Gustave Kervern

À l’œuvre, d’Éric Laurrent, est le roman de la vie du jeune Flaubert durant les cinq années de la rédaction de Madame Bovary. Nous sommes exactement au mitan du XIXème siècle. L’homme vient de rentrer d’Orient. Il est encore jeune. Il vit à la campagne avec sa mère et sa nièce.

BONNES FEUILLES — Une plongée dans le tumulte affectif d'Alma et Gustav Mahler : Qu'est ce qui peut susciter l'effroi de Gustav Mahler, sinon la vue d'Alma tenant une lettre qui boulversera leur couple. La missive provient de l'amant d'Alma, l'architecte Walter Gropius, qui, par erreur, l'a adressée à Gustav lui-même. Ce dernier, homme au tempérament aussi sombre qu'extrême, voit sa vie bouleversée par cette découverte.

HIVER2024 - Si seulement elle était née ailleurs, aux États-Unis ou en Scandinavie ! Elle aurait envoyé sa mère se faire voir... 

BONNES FEUILLES - Un parcours en 50 étapes pour apprivoiser ses ombres et révéler sa lumière est un guide écrit par Cécile Neuville, psychologue reconnue. Inspiré par les théories de l’inconscient de Carl Gustav Jung, ce livre aborde le concept du shadow work, une tendance majeure en provenance des États-Unis.

BONNES FEUILLES - Pour la rentrée d’hiver 2022, Sabine Wespieser éditeur publie le roman de Robert Seethaler, Le Dernier mouvement, traduit de l’allemand par Elisabeth Landes. A travers celui-ci, l’écrivain parvient à rendre palpable la légendaire exigence du maître, bourreau de travail Gustav Mahler, malgré sa faiblesse physique constitutive, de même que sa quête permanente de la beauté. Il sera disponible en librairie dès le 3 février. 

BONNES FEUILLES - Loin des idées reçues et des poncifs sur Flaubert, Régis Jauffret nous invite à découvrir sa vie et son oeuvre et des aspects méconnus de sa personnalité : l’homme tonitruant qui se cachait derrière l'un des écrivains incontournables du XIXe siècle.

BONNES FEUILLES - Comment dépasser le désespoir et l’abattement de l’écoanxiété ? Les risques écologiques et politiques actuels expliquent le climat d’anxiété dans lequel nous vivons. Tout en soulignant la dynamique destructrice du désespoir, Corine Pelluchon montre que la confrontation à la possibilité d’un effondrement de notre civilisation est l’occasion d’un changement ouvrant un horizon d’espérance. 

BONNES FEUILLES - Quel destin d’exception que celui de Joséphine d’Yquem (1768-1851), héritière à dix-sept ans d’un domaine encore inconnu. 

RentréeLittéraire23 - Dans son luxueux appartement de New York, Iris attend avec impatience ses invitées pour leur raconter ses histoires. Éric, toujours à ses côtés, exerce une emprise stricte sur elle. Pourtant, ce soir, elle choisit de déroger à la règle en racontant l'histoire de sa demi-sœur Ling. 

BONNES FEUILLES - Les Rêveries de Barbey forment un portrait original : une flânerie vagabonde sur les pas de Barbey d'Aurevilly, au-delà des éternels clichés du dandy catholique réfractaire au progrès. Le regard singulier d'un écrivain contemporain déjà lauréat de plusieurs prix sur un autre écrivain 

AVANT-PARUTION — Les Éditions du Rêve développent une collection Jeunesse avec la sortie au mois de mai prochain de l’album Le grand méchant qui ?, de Béatrice Ruffié Lacas, illustré par Pauline Amélie Pops. Joli conte autour des figures mythiques de la littérature jeunesse du loup et du pou, il aborde avec tendresse la question du compromis et de la résolution de conflits.

BONNES FEUILLES - « La mer enlève et rend la mémoire, l’amour De ses yeux jamais las fixe et contemple,
Mais les poëtes seuls Donnent à ce qui dure une assise éternelle. »

BONNES FEUILLES — “Nous n’avons aucune raison de nourrir de la méfiance à l’endroit de notre univers, car il ne nous est pas hostile. Recèle-t-il des frayeurs, ce sont les nôtres ; contient-il des abîmes, ces abîmes nous appartiennent ; des dangers apparaissent-ils, nous devons tenter de les aimer.

RentreeLitteraire23 - Mon Petit nous entraîne dans les rues de Belleville, dans les pas frénétiques d’une jeune fille décidée à vivre plus tôt que les autres. Sans savoir que les lendemains, parfois, vous
scient les jambes.

BONNES FEUILLES – Avec un regard désenchanté mais d’une précision chirurgicale implacable, et maniant une ironie savamment dissimulée, Alice Ceresa dresse le portrait intimiste d’une famille ordinaire, pour mettre au jour la structure profonde de la famille patriarcale et l’aliénation qui, inexorablement en découle.