Lac-Mégantic

BONNES FEUILLES – Pour cette rentrée littéraire, les Editions Marchialy publient le prochain roman de l’autrice bulgare Kapka Kassabova. Elle nous invite à un voyage dans les Balkans, une région brisée par le pouvoir où cohabitaient autrefois peuples, langues et religions. Un croisement entre des faits historiques, des récits familiaux, ainsi que des légendes locales, qui mène le lecteur vers une pensée autour de la notion d’identité et d’appartenance.

HIVER2024 - Il y a deux décennies, une météorite s'est abattue en plein cœur de la ville où résidait la jeune Aoko...

BONNES FEUILLES – Après avoir été témoin du meurtre de sa meilleure amie, Daunis, 18 ans, se retrouve malgré elle entraînée dans un monde dont elle ignore tout : un trafic de drogue d’un genre nouveau, qui sévit sur la réserve ojibwée de Sault Ste. Marie, petite ville du Michigan. Jamie, un jeune agent du FBI sous couverture, lui demande de devenir son indic. Mais Daunis n’est pas prête à découvrir tous les secrets qui entachent sa communauté… 

HIVER2024 - Dans ces lieux qui façonnent les êtres qui les peuplent, comment réussir à exister sans empiéter sur ce qui nous entoure ? 

BONNES FEUILLES – Au bord d’un lac, une maison. Dans cette maison, une famille et un vieux monsieur venu d’Algérie qui s’occupe du jardin. Une situation confortable que les écarts des uns et des autres ne semblent pas troubler. On ferme les yeux sur les trahisons, on soupire beaucoup, on parle peu. On vieillit ensemble, vaille que vaille, on consent au vaudeville jusqu’à la rencontre improbable entre l’épouse et la maîtresse. Tout change alors.

BONNES FEUILLES - Deux jeunes filles, Chloé et Clara, se réfugient dans la maison de leur enfance, au large de la ville. Elles ont un été, un seul, pour se reconstruire et se retrouver, loin d’une civilisation qui les étouffe. 

BONNES FEUILLES - Dans une langue poétique et crue, Les Chairs impatientes raconte un désir féminin dévorant qui ne veut plus renoncer à rien et peut tout renverser sur son passage. 

BONNES FEUILLES — À l’occasion de cette prochaine rentrée littéraire, les éditions Les Escales publient le nouveau roman de l’actrice américaine Lydia Millet. Un roman puissant sur l’aliénation adolescente et la complaisance des adultes dans un monde en mutation, finaliste du National Book Award.

BONNES FEUILLES — Dans ce petit village paisible près d'Annecy, Antoine a du mal à trouver sa place dans la vie. Séparé de la mère de son fils, il vit sous les combles de la maison de ses parents et a du mal à payer le loyer. Heureusement, il y a les soirées passées au Café des Sports, où il retrouve Fanny, son amour de toujours, et les autres habitués.

BONNES FEUILLES - Dans un style exceptionnel, d’un onirisme sensuel à mi-chemin entre l’univers de Zelda Fitzgerald et le cinéma de Sofia Coppola, Strega raconte l’histoire, empreinte de lait et de sang, de neuf femmes aux prises avec un malaise insaisissable. L’écriture incantatoire de Johanne Lykke Holm œuvre comme un lent poison irrésistible. 

BONNES FEUILLES - « À votre avis, les gens écrivent des livres pour semer le chaos ou pour une autre raison ? » D’après sa mère, Khristen, bébé, a brièvement connu la mort. Ce qui l’investirait d’un destin d’oracle, sinon de prophète – qui tarde à se manifester.

Victoria Nash, à la fin des années 1940, gère d'une main de fer le domaine de son père à Iola, une petite ville entre les montagnes et les rivières du Colorado. Elle est la seule survivante féminine de sa famille et doit cohabiter avec un père colérique, un oncle acariâtre et un frère violent, tout en s'efforçant de protéger et de préserver le fruit de son amour interdit...

BONNES FEUILLES - Sur cette île qui ne figure sur aucune carte, les morts sont rois. Thanatea. Un nom qui sonne comme celui d’une femme ou d’une déesse. Un mot plutôt agréable, exotique, à condition de ne pas en connaître la racine grecque, thanatos, la mort. Le plus long des voyages. L’éternité.

BONNES FEUILLES - Lui, dix-huit ans, elle, sans âge. Un conte moderne et tendre qui flirte avec le fantastique, habité par des personnages forts que tout sépare. Avec Célestine du Bac, Tatiana de Rosnay donne d’un coup de baguette magique une voix à ceux qui n’en ont pas, dans la droite lignée de La Vie devant soi de Romain Gary.

Écrit en 2005, alors que l'auteur de L'Île des chasseurs d'oiseaux désespérait de trouver un éditeur pour ce dernier livre, Quarantaine, roman de Peter May, a retrouvé une soudaine pertinence en 2020. Et pour cause : il projette un détective dans une macabre enquête, au cœur d'une ville de Londres ravagée par une pandémie mondiale... Un air de déjà vu, mais pas de déjà lu...

AVANT-PARUTION – Dans son nouveau roman à paraître le 21 août aux éditions Stock, La part du fils, Jean-Luc Coatalem retrace la vie de son défunt grand-père incarcéré par la Gestapo, durant le régime de Vichy. Malgré les tabous et les non dits familiaux, à l’aide d’archives et de témoignages, l’auteur s’emploie à faire revivre sa mémoire au travers son récit. 

RentréeLittéraire23 - L’explorateur Loury Lag transcende les limites du handicap en accompagnant Martin Petit, tétraplégique, dans trois aventures extraordinaires.

Pour la rentrée littéraire, les éditions Métailié propose une nouvelle traduction d’un classique sur la Seconde Guerre mondiale : Hôtel Berlin 43, de Vicki Baum, traduit de l’anglais par Cécile Wajsbrot. Ecrit quelques années avant la fin de la guerre, ce roman d’anticipation raconte avec réalisme la violence de cette année de guerre. 

En France comme dans d'autres pays, l'autrice américaine Colleen Hoover a largement profité de BookTok, cette communauté de lecteurs et de lectrices réunis sur le réseau social TikTok. Si ses livres sont beaucoup lus en version originale, l'éditeur Hugo Roman propose, le 11 janvier prochain, la traduction d'À tout jamais, par Pauline Vidal.

BONNES FEUILLES — Qui a servi Da Silva ? Qui est responsable ? Coresponsable ? Il a tué, mais qui a tué avec lui ? Qui sont les véritables acteurs de ce drame ? Qui a pu, sans savoir ou en sachant, sans se soucier de son état, s'est fait le complice de ce « meurtre » ? Est-ce seulement le « destin » ? Le roman le plus simenonnien de l'auteur, fidèle à son univers des bistrots, lieux romanesques par essence. 

HIVER2024 - Issu d'une famille aisée de Lyon, il vit une vie ordonnée à Sète avec son épouse Madeleine et leur fils Matias. Pharmacien de profession, Clément apprécie la stabilité, évitant les débats, même lorsqu'ils surgissent à la maison, comme lors de la réélection de François Mitterrand.

BONNES FEUILLES – Le récit d’un été passé à découvrir les multiples lacs qui quadrillent et entourent Berlin, en suivant le tracé imprévu d’une femme de lac en lac. Il y en a seize à explorer et, au bout du voyage, la mer Baltique. Les images défilent comme une rétrospective d’un Berlin bucolique, loin des axes urbains et des lieux communs. 

AVANT-PARUTION – Confiné dans un hôtel avec un dictateur en fuite, Spirou n’a que peu d’occupations : essayer de comprendre les intrigues politiques qui s’y jouent... ou tomber amoureux de la fille du tyran. 

RentreeLitteraire23 - Un des plus grands romans de Joyce Maynard, très aimée en France. Une héroïne marquée par les tragédies de la vie, qui tente envers et contre tout de se reconstruire. 

BONNES FEUILLES - À qui réclame sa part de catastrophe, les dieux aiment donner satisfaction... Une jouissive comédie noire où l’art d’écrire n’est pas un vain mot. Pas de souci se déroule dans un univers utopique : le nôtre, mais sans pandémie. On y parle beaucoup mais toujours à côté de ce qui se joue, sans jamais voir ce qui se cache.

BONNES FEUILLES - « Rives et dérives » est un parfait sous-titre pour ce nouveau texte de Michèle Lesbre. Elle y emprunte des chemins de traverse afin de rejoindre une rivière, la Furieuse, dont le nom – sans qu’elle la connaisse – a résonné en elle de manière particulière. 

BONNES FEUILLES - Ariane est une jeune femme en difficulté sociale et personnelle. Elle préfère rester cloîtrée chez elle, jusqu’au jour où Sandrine, sa meilleure amie d’enfance, l’invite à ses fiançailles. Écrit comme un thriller, ce roman, sur l’amitié et la mort, sur les fragilités sociales et psychiques, traverse les illusions et l’impossibilité du deuil à l’aune de nos addictions numériques. 

Pour la rentrée littéraire, les éditions Les Avrils publient le premier roman de l’auteur strabourgeois Dan Nisand.  Un roman, aux inspirations autobiographiques, sur la jeunesse et l’absurdité de la violence. « Moi qui avais grandi parmi les enfants d’Ungemach, je savais quel genre de graine poussait dans ce quartier... » 

BONNES FEUILLES – Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil, et écrit à sa sœur pour « exorciser de son corps » un amour- dévastation qui l’habite toujours. Elle raconte son histoire, mais également celle des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre. Avec James, son frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Maman Colonel, Tonton Damas, les cœurs débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L’Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman.

BONNES FEUILLES — Ecrite à la première personne, cette histoire tient à la fois du journal intime, du roman de formation, de la quête spirituelle.
 Il s'ouvre sur l'enfance, l'Algérie, les rapports complexes avec les familles arabes, la lumière, la chaleur. Mais également le décalage entre la vie stricte et pieuse d'une famille juive d'Algérie – sa mère est à l'origine de confession catholique, et la liberté, la légèreté de la vie en France.