Marvel Riri Williams

RentréeLittéraire23 - « J’avais une machine à écrire dans mon cabinet. Je travaillais à toute allure. Si un patient venait à la porte au milieu d’une phrase, j’écartais d’un coup la machine et j’étais médecin. » 

BONNES FEUILLES - « À votre avis, les gens écrivent des livres pour semer le chaos ou pour une autre raison ? » D’après sa mère, Khristen, bébé, a brièvement connu la mort. Ce qui l’investirait d’un destin d’oracle, sinon de prophète – qui tarde à se manifester.

RentreeLitteraire23 - Que s’est-il passé dans la vie de William Shakespeare entre 1585 et 1592, de ses vingt et un à vingt-huit ans ? Personne ne le sait. Ce sont ces « années perdues » que Stéphanie Hochet se plaît ici à imaginer. 

RentréeLittéraire23 - Comment retrouver du sens à son travail ?

BONNES FEUILLES - L'ouvrage de William Morris célèbre les métiers d'art tout en critiquant vivement la production industrielle, qu'il qualifie de laide. 

RentréeLittéraire23 - Un jour, il a perçu quelque chose d'extraordinaire. Il a vu à travers ses oreilles une grande congrégation d'esprits. Leurs voix empruntaient les intonations des animaux, et curieusement, plusieurs mots de différentes langues humaines parsemaient leurs paroles. 

BONNES FEUILLES - 1200 pages, une œuvre en quatre romans et un manga, qui, à travers cinq histoires personnelles toutes liées les unes aux autres, tourne autour d’un seul et même thème, la fin de notre monde : un projet romanesque hors norme qui nous conduit du XIXe siècle français au Japon du XXIe siècle, de la Commune à Fukushima, des premiers pas de la libération de la femme à la réalité virtuelle et à l’humain augmenté. 

BONNES FEUILLES – Dans ce livre, Marcel Rufo se dévoile. Il raconte son enfance et son apprentissage en psychiatrie. Comment vit-on ce métier ? « En nous appuyant sur nos peines, nous devenons plus forts, plus modestes et plus déterminés dans le soin. » 

Au départ de ce 23e livre, Nathalie Rheims redécouvre, au fond d’une boite, un Polaroid pris par sa sœur Bettina à la fin des années 70. Sur cette photo, on voit Nathalie à l’âge de 18 ans, aux côtés d’un homme plus âgé, aux cheveux noirs et bouclés, qui affiche un large et irrésistible sourire. Il nous semble d’ailleurs reconnaître son visage... 

BONNES FEUILLES — À partir de divers documents laissés par Marcel Proust et son entourage, Chloé Cruchaudet dessine le portrait fervent et engagé de Céleste Albaret, la gouvernante et occasionnellement secrétaire de l'écrivain. Leur rencontre a eu lieu en 1913, alors que Céleste n'avait que 21 ans. Elle a dédié près de neuf ans de sa vie à servir Proust, jour et nuit, jusqu'à son décès en 1922.

BONNES FEUILLES - Découverte après avoir été oubliée pendant six décennies dans les archives familiales de Marcel Pagnol, la comédie satirique inédite Gaby refait surface grâce aux efforts de Nicolas Pagnol, qui préparait les archives pour un futur musée. 

RentréeLittéraire23 - Roumaine de naissance, française de plume, la princesse Bibesco (1886-1973), l’un des auteurs les plus lus de l’entre-deux-guerres, rivale de Colette et Anna de Noailles, admirée de Marcel Proust, Rainer Maria Rilke et Paul Claudel, fut un personnage flamboyant. Elle traversa le vingtième siècle en ne laissant jamais personne indifférent sur son sillage.

La mission de Noé n’est pas mince : mettre fin à la guerre qui oppose les Chauves-souris et les Hommes... Au-delà du fantasque de son conte, qui fait bien sûr écho à l’actualité – des accusations de transmission du SARS-1 et du SARS-2 par les chauves-souris à l’Homme –, Érik ORsenna emmène le lecteur dans une histoire d’entraide et de partage, propre à démontrer l’incroyable unicité du vivant et l’importance de la coévolution.

BONNES FEUILLES - À l’occasion du centenaire de la mort de Marcel Proust, Les Plaisirs et les Jours en édition reliée. « Les qualités de ce livre délicat, paru en 1896, me paraissent si éclatantes, que je m’étonne qu’on n’en ait pas d’abord été ébloui. » André Gide.

RentreeLitteraire23 - Entre Richard Powers et William Gibson, un roman sur l’intelligence artificielle (IA).

Rentréelittéraire2023 - « Qu’il vous reste de nous notre amour infini de la vie, de sa beauté et de sa légèreté, et que du fin fond de notre sommeil éternel, vous nous entendiez rire encore. Rire, chanter, danser et célébrer la vie. Nous l’avons tant aimée. »

Avec une équipe de profs constituée de Captain Marvel, du « Doc », des Gardiens de la galaxie, de l’androïde Data et tant d’autres, vous deviendrez un expert en astrophysique.

BONNES FEUILLES - « Des souvenirs attendaient à la lisière des choses, pour me faire signe. » Traduction de Patrick Marcel.

RentréeLittéraire23 - « ‘Vous êtes là pour la caillasse ?’ Sa voix est trop grave, c’est surjoué. Derrière moi, j’entends Sam faire passer un rire pour une quinte de toux. Cet abruti va tout foutre par terre, il s’amuse trop. 

BONNES FEUILLES - Un fascinant récit d'anticipation qui dresse une violente critique de la société marchande. Un roman singulier et hypnotique qui rappelle Franz Kafka et William S. Burroughs, qui doit autant à l'imagination de Philip K. Dick qu'à la lucidité de J. G. Ballard.

BONNES FEUILLES - Son véritable nom est Betty Pack. Américaine, elle est recrutée par les Services secrets anglais au crépuscule des années folles. Cynthia, son nom de code, c’est William Stephenson, dit l’Intrépide, qui l’a trouvé. Il est le plus grand des espions, un as de la dissimulation. 

BONNES FEUILLES - En 1936, le jour de ses douze ans, William, qui habite près de la Manche, quitte l'Angleterre afin de se rendre en Espagne. Débute alors un récit à la Don Quichotte des aventures d'un jeune garçon anglais traversant la guerre d'Espagne pour empocher « El Gordo » (le gros lot). 

BONNES FEUILLES - Découvrez une version modernisée et illustrée de l'anthologie dédiée à la célébration de la féminité à travers les âges. Marcel Béalu nous présente six siècles de poésie érotique francophone. 

AVANT-PARUTION — Les éditions Nous publient, le 6 novembre prochain, une traduction intégrale du chef-d'œuvre de Louis Zukofsky, « A ». François Dominique et Serge Gavronsky concluent ainsi un travail de traduction d'une vingtaine d'années, pour présenter aux lecteurs français cette somme de l'objectivisme.

BONNES FEUILLES - Ce livre décapant, qui explore avec puissance le pardon et le regard d’autrui sur la différence, signe la naissance d’un grand auteur capable de faire cohabiter la brutalité avec la lumière, le rire et la tendresse avec les souvenirs explosifs, le café filtre et les donuts avec l’ivresse de l’aventure. 

BONNES FEUILLES - Au début du XXe siècle, dans une France troublée par les actions d'un anarchiste insaisissable nommé Etienne Rabotin, le commissaire parisien Marcel Martin se lance dans une quête énigmatique, guidé par un simple mot : « marmotte ». 

AVANT-PARUTION – Le double fictionnel d’Olivier Adam est donc de retour pour cette rentrée. Paul Lerner est un personnage commode, explique l’écrivain : il lui sert à dresser le bilan, tous les cinq ans, de sa propre existence. Aujourd’hui âgé de 45 ans, il compose avec « la loi de l’emmerdement maximum ». Et toujours avec « un détachement pince-sans-rire », assure le romancier. 

BONNES FEUILLES – Voici un roman qui signe le retour très attendu de Tom Ward et la naissance d'un nouvel épouvanteur ! Joseph Delaney entame un spin-off de la saga culte, avec le retour de personnages incontournables, Tom Ward et Alice, et l’arrivée de nouveaux, Frère Wulf et William Johnson. Le tout ouvrant des portes sur un nouveau monde, les Enfers, où règne une puissante antagoniste, Circé, déesse tout aussi terrifiante que fascinante. 

BONNES FEUILLES – Aorte adorée (Se pendre et autres idées géniales quand on s'ennuie le dimanche) est un ensemble de 32 fragments poétiques qui vise à faire rire avec le sujet tragique du suicide, que l'auteur comme tout un chacun a pu éprouver, éprouve ou éprouvera peut-être un jour. De la tête posée sous la roue d'un camion à la fiabilité litigieuse des insecticides, le ton est donné : ironique, plein d'imagination et teinté d'autodérision.

BONNES FEUILLES – Fasciné par la trajectoire de Stephen Crane (1871-1900), comète rimbaldienne de la littérature américaine, mort de la tuberculose à 28 ans, Paul Auster remet en lumière sa vie et son œuvre, lui rendant ainsi un hommage éclatant, celui d’un « vieil écrivain empli d’admiration pour le génie d’un jeune écrivain ».