Valérian et Laureline anime

RentreeLitteraire23 - Bulgarie au début du XXe siècle, une société pétrie de traditions, de superstitions et de conventions ancestrales. La jeune Miriam, fantasque, indépendante, un peu sorcière, aime Ahmed envers et contre tout. Elle décide de vivre avec lui, puis de le suivre à Istanbul au risque d’en payer le prix fort. 

BONNES FEUILLES - Les Zinzins de l’espace, Oggy et les cafards, Zig et Sharko... Depuis deux générations, les enfants du monde entier rient de ces animations géniales qui nourrissent leur imaginaire.

BONNES FEUILLES - Un roman noir qui dénonce le système mafieux derrière la restitution des biens spoliés par le communisme, doublé d’une méditation bouleversante sur l’alcoolisme.

BONNES FEUILLES - Elle se rend aux obsèques de celui qu’elle aimait et pensait connaître, un homme disparu de sa vie depuis un an. 

#RentréeLittéraire23 - Louise rêvait d’avoir un smartphone... sans imaginer qu’il serait bientôt une arme retournée contre elle.

BONNES FEUILLES – A l’occasion de cette nouvelle rentrée littéraire, les éditons Elyzad vous proposent de découvrir le nouveau roman de Yamen Manai. En un monologue fiévreux et haletant, un jeune homme s’adresse tour à tour à son avocat et à un expert psychiatrique venus lui rendre visite en prison.

BONNES FEUILLES - L’histoire commence et s’achève au cimetière du Montparnasse, sur une tombe. Celle du poète et résistant Robert Desnos, arrêté par la Gestapo un matin de mardi gras. 

BONNES FEUILLES - Pascal Convert, né en 1957, est un artiste français spécialisé dans l'utilisation de matériaux variés comme le verre et la cire. Il est notamment reconnu pour avoir créé le Monument en mémoire des otages exécutés au Mont Valérien entre 1941 et 1944. 

« J’aime mon corps, je le protège. Il est à moi, personne n’a le droit d’y toucher si je ne veux pas », affirme une petite fille. Il n'est jamais trop tôt pour apprendre aux enfants que leur corps leur appartient. Un livre coup de coeur. 

AVANT-PARUTION – Dans son nouveau roman à paraître le 21 août aux éditions Stock, La part du fils, Jean-Luc Coatalem retrace la vie de son défunt grand-père incarcéré par la Gestapo, durant le régime de Vichy. Malgré les tabous et les non dits familiaux, à l’aide d’archives et de témoignages, l’auteur s’emploie à faire revivre sa mémoire au travers son récit. 

RentréeLittéraire2023 - Ces personnages chemineront longtemps à vos côtés, même une fois le livre refermé, comme des amis que vous auriez aimé retrouver in real life. Ils sont brillants, drôles, tragiques aussi, à leur manière, animés par la volonté de créer des univers pour transformer leur faiblesse en force (Sam), prouver leur valeur (Sadie), ou vivre mille vies en une (Marx).

BONNES FEUILLES - À quarante ans, Ilyas ne cherche pas la femme de sa vie. Il cherche la femme qui lui plaît, pour un soir. Il aime sortir, il aime danser, il aime les femmes, et par-dessus tout sa mère qu'il voudrait « sauver ». En une nuit, son destin va basculer.

HIVER2024 - En 1967, Mack Reynolds tente d'inventer un mouvement contestataire et sa répression, en pleine Guerre froide. Car Paul Kosloff, ce protagoniste-agent secret est animé par un désir irrépressible de s'opposer au communisme, l'ennemi principal de l'époque.

HIVER2024 - Un roman centré sur la quête existentielle et universelle du mystère qui nous détermine, nous anime et nous fait parfois dévier de la voie que l’on croyait initialement tracée. Pour interroger l'intimité.

BONNES FEUILLES - Dans un monde où les jeunes sont de plus en plus exposés aux fausses informations et à la cruauté en ligne, le livre La bêtise, c'est quoi ? par Jean-François Marmion, vise à éclairer les 8-11 ans sur les subtilités de l'intelligence, la bêtise, et la manière dont nos propres erreurs peuvent nous enseigner à être de meilleures personnes. 

BONNES FEUILLES - Comment un modeste fils de garagiste devient un des magnats de l'immobilier parisien ? Tiré d'une histoire vraie, ce récit démontre que tout est réalisable quand on est animé d'une volonté tenace et que l'on reste fidèle à ses principes. 

BONNES FEUILLES - Pascal Dessaint éclaire sous la forme d'une grande fresque romanesque une affaire judiciaire et un conflit social de la fin du XIXe siècle, qui résonnent fortement avec notre époque.

BONNES FEUILLES - Après la mort du roi Mézence, monarque qui maintenait d’une poigne de fer les Trois Royaumes – Rerek, la Meszrie et le Fingiswold –, de nombreux nobles tentent de s’approprier le pouvoir. Complots et trahisons mènent a danse dans ce qui s’avère être un ensemble d’intrigues politiques complexes présageant l'éclatement prochain de la Zimiamvie tout entière.

BONNES FEUILLES — 120 écrivains, écrivaines et autres personnalités partagent leur vision du livre via de petits textes accompagnés des illustrations de Jack Koch

HIVER2024 - À l'automne 1971, une famille animée de huit personnes, composée de six enfants espiègles et de leurs parents, jouit d'une vie tranquille dans la campagne...

AVANT-PARUTION – Un an et demi après Les inéquitables, Philippe Djian amorce la rentrée littéraire de septembre 2020 avec une forme de projection. Rendez-vous en 2030, avec en trame de fond, un combat pour une conscience écologique plus forte. Et l’avantage, avec ActuaLitté, c’est de pouvoir découvrir les premières pages du roman…

BONNES FEUILLES - Kosovo, 1995 : Quand Arsim rencontre Miloš à l’université de Pristina, tout semble les opposer : l’un est albanais, l’autre serbe, et leurs deux ethnies s’enfoncent dans un conflit meurtrier. Pourtant, face à une société où l’homosexualité est un crime, ils s’aiment.

#Holdup21 – Les nouvelles que l’on va lire sont ambitieuses. Artistes engagées, ces femmes venues d’horizons divers ont relevé le défi de donner un nouveau souffle à la littérature érotique en 2023, sans éluder les aspects politiques qu’elle revêt aujourd’hui. Voici Hold-Up 21, voyage entre la fiction littéraire et l’autofiction photographique.

RentréeLittéraire23 - En apparence, tout semble aller pour le mieux. Ingken partage sa vie avec Lily, qui est parfaitement en phase avec elle-même et avec le chemin qu’elle a choisi. Mais pour Ingken, accepter et vivre pleinement son identité est un combat, principalement intérieur. 

HIVER2024 - Jacob Dreyfus, un universitaire new-yorkais et lauréat du prix Pulitzer, a vécu une expérience intense en passant une année sous couverture au sein de la milice suprémaciste, Aryan Blood. 

BONNES FEUILLES - « Aujourd’hui que le pouvoir est concentré dans quelques mains, on assiste aux événements, mais on en ignore les raisons, et le monde ressemble à ces machines actionnées par quelque mécanisme secret ou à ces statues qu’anime un comparse dissimulé dans leurs flancs. Le monde humain est devenu semblable au monde naturel : il faut étudier les événements comme on étudie les phénomènes et en découvrir les forces motrices en tâtonnant, comme le font les physiciens. »

Lorsque sa grand-mère commence à sombrer dans la démence, la narratrice est quittée par celui qu'elle aime, un musicien en vogue, son premier amour. 

Produit culturel de premier ordre, le jeu vidéo ne peut pas échapper à un regard critique sur sa charge politique et sociale. Dans Racisme et jeu vidéo, Mehdi Derfoufi propose une recherche qui lit l'histoire du jeu vidéo par le prisme des études postcoloniales et décoloniales, pour questionner les enjeux de création, de production et de réception.

AVANT-PARUTION – Les pédagogies alternatives interrogent notre propre éducation, celle que nous souhaiterions pour nos enfants et la réalité de la situation éducative. Elles annoncent une autre façon d’éduquer, d’enseigner, de comprendre les apprentissages et illustrent cette volonté d’incarner une autre façon de penser l’éducation pour créer de nouvelles relations entre parents et enfants.

BONNES FEUILLES — Combien de fois s'est-on trouvé devant le miroir, les larmes aux yeux, se jugeant trop enrobé, constatant des vergetures, ou se lamentant sur des oreilles trop écartées... Nous nous critiquons pour être trop ceci ou cela, un véritable gaspillage d'énergie ! Peut-être que le réel souci ne réside pas en nous, mais plutôt dans les normes de beauté oppressives qui nous accablent.