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BONNES FEUILLES - Une femme d'un certain âge acquiert par inadvertance le Saint-Graal dans une petite boutique. Quand le chevalier Galaad vient le réclamer, pensant sa mission terminée, il est loin de s'imaginer les difficiles négociations qui l'attendent.

BONNES FEUILLES - « Des souvenirs attendaient à la lisière des choses, pour me faire signe. » Traduction de Patrick Marcel.

HIVER2024 - La création de Neil Gaiman est sujette aux adaptations. Au départ, Neverwhere est une série télévisée diffusée à la BBC, que Gaiman réadapte lui-même en roman. Par la suite, Mike Carrey et Glenn Fabry l'adaptent de nouveau, cette fois en roman graphique. Fantastique ou fantasy, plongée dans une histoire à glauqe, à basculement, ou un peu des deux.  

BONNES FEUILLES – Début septembre, les éditions Delcourt publient en version intégrale l’adaptation de l’œuvre de Neil Gaiman, en comics. Cette réédition en intégrale de l’adaptation du roman The Graveyard est servie par la crème des auteurs de comics, de P.C. Russell à Kevin Nowlan, en passant par Jill Thomson et Scott Hampton. 

BONNES FEUILLES - Le regard sans cesse accroché au ciel, constellé de bombes allemandes, Sarah Brown n'a pour toute richesse que sa valise, baptisée Humphrey, de bonnes intentions et une bienveillante inefficacité... 

HIVER2024 - Chef-d’oeuvre injustement méconnu de la fantasy britannique du XXe siècle, Gormenghast est une oeuvre étrange et enivrante, à la fois gothique et résolument contemporaine. Un monument étrange, à l’image du château qui occupe le centre du récit, qu’il est urgent de (re)découvrir. 

BONNES FEUILLES - Suzanne vit avec ses quatre enfants de quatre pères différents, Achille, Jules, Arthur et Mathilde qui ont rentre 17 et 6 ans. Ils partagent un quotidien tendre et fantasque à l’image de leur mère. Liés par un amour indéfectible, ils ont surmonté toutes les épreuves jusqu’à ce jour de novembre 2015 où tout s’écroule. Leur histoire rejoint alors celle du monde, et leur amour devient leur seule planche de salut. 

BONNES FEUILLES - On les appelle les « tirailleurs sénégalais » et pourtant Amadou Lo, vingt ans, n’est ni l’un ni l’autre. Tirailleur, il ne l’est plus : c’est la fin de la Première Guerre mondiale et il est démobilisé. Et sénégalais, il ne l’a jamais été.