malheur

AVANT-PARUTION – L’enfant du malheur : c’est ainsi que sa mère l’appelle. Corentin, personne n’en voulait. Ni son père envolé, ni les commères dont les rumeurs abreuvent le village, ni surtout sa mère, qui rêve de s’en débarrasser. 

BONNES FEUILLES - « Je suis née un 13. Un chiffre qui porte malheur, pour une grande partie de mes compatriotes qui n’en sont pas à une contradiction près lorsque, ce même jour, ils se ruent dans les bureaux de tabacs pour jouer au loto. 

BIOGRAPHIE – Amos Reichman livre un bouleversant portrait de Jacques Schiffrin, fondateur de « La Pléiade ». Une existence romanesque, héroïque et tragique, avec son lot de malheurs personnels et de succès magnifiques.

Un roman inspiré d'une histoire vraie, où le scandale du restaurant Le Dîner de l'Exposition, ouvert pour l'exposition universelle de 1855, joue un rôle déclencheur. D'un continent à l'autre, résiliente face aux malheurs et aux préjugés dus à ses origines, Aurélia, née esclave, continue son rêve d'ascension sociale.

BONNES FEUILLES - Catherine Day est venue chercher des réponses au bord de la mer, en Gaspésie. Au hasard de ses excursions sur la grève, elle rencontre des pêcheurs qui savent que l’horizon ne cache rien d’autre que des vagues qui viennent aussi certainement qu’elles repartiront. 

BONNES FEUILLES — Est-il possible de débattre sereinement et sérieusement de l’immigration en France ? Sur ce sujet, l’assurance des sophistes qui s’expriment régulièrement sur un thème pourtant complexe a de quoi surprendre... Pour cette rentrée d’hiver 2022, les éditions Aube publient le nouvel essai de Smaïn Laacher, Le fait migratoire et les sept péchés capitaux. 

BONNES FEUILLES - Une jeune fille, un devoir, un royaume… Le best-seller de fantasy enfin en poche ! Choisie à la naissance pour inaugurer la nouvelle ère de son royaume, Poppy n’a jamais vraiment été maîtresse de sa vie. 

BONNES FEUILLES - Carpe Diem. Sur la couverture du carnet qui abrite ses pensées, cette douce expression en lettres brillantes nargue Alexia et accentue sa douleur. Du haut de ses 14 ans, le temps où elle pouvait « cueillir le jour » lui semble très loin.

HIVER2024 - À l'automne 1971, une famille animée de huit personnes, composée de six enfants espiègles et de leurs parents, jouit d'une vie tranquille dans la campagne...

BONNES FEUILLES - 1936, Monza, dans le Nord de l’Italie. Francesca, douze ans, est allongée sur la rive du Lambro, un homme mort sur elle. Il s’est effondré alors qu’il tentait de la violer. C’est Maddelena, son amie qui a fait ce qu’il fallait pour que ça s’arrête.

BONNES FEUILLES — « Peut-être trouverez-vous tout ceci étrange, insensé même : étrange, soit, mais réel. Les Anciens savaient ce que signifie “lever le voile”. Ils appelaient cela “voir le dieu Pan”. »

BONNES FEUILLES – L'année 2023 marquera le centième anniversaire de la disparition de Jacques d’Adelswärd-Fersen, auteur d’une vingtaine d'ouvrages et créateur d’Akademos, la première revue homosexuelle française (1909). Le 7 novembre 1923, il prenait congé de tout et tous, en avalant une forte dose de cocaïne dans sa demeure de Capri. Et laissait derrière lui une œuvre presque inachevée. 

BONNES FEUILLES - L’histoire commence en Espagne, par deux naissances et deux abandons. En juin 1943, une prostituée obèse de Bilbao donne vie à un garçon qu’elle confie aux jésuites. Un peu plus tard, en Galice, une femme accouche d’une fille et la laisse aux sœurs d’un couvent. Elle revient la chercher dix ans après. L’enfant est belle comme le diable, jamais elle ne l’aimera. Le garçon, c’est Julian. La fille, Victoria. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice. 

RentreeLitteraire23 - « En effet, lorsque l’on perd un proche, autant une douleur infinie témoigne d’une complaisance insensée, autant l’indifférence révèle un cœur de pierre. Le juste milieu entre l’amour et la raison, c’est de ressentir le manque tout en le réprimant.

BONNES FEUILLES – Placée sous l’autorité de son frère, le marquis d’Espeils, Gabrielle a quinze ans lorsqu’elle croise le grand amour, un roturier du nom de Pierre-André Coffinhal. Mais les convenances interdisent leur union. Gabrielle est promise à un riche cousin, qui s’avère d’une rare brutalité. 

BONNES FEUILLES - C’est l’histoire de deux trajectoires parallèles mais liées. Les vies imbriquées de chacun des membres de ces deux familles défileront sous l’œil d’un témoin un peu particulier. Est-ce une bonne idée d’enchaîner à ce point des caractères, des parcours, des vies si différentes ? 

AVANT-PARUTION – Dans son nouveau roman à paraître le 21 août aux éditions Stock, La part du fils, Jean-Luc Coatalem retrace la vie de son défunt grand-père incarcéré par la Gestapo, durant le régime de Vichy. Malgré les tabous et les non dits familiaux, à l’aide d’archives et de témoignages, l’auteur s’emploie à faire revivre sa mémoire au travers son récit. 

Victoria Nash, à la fin des années 1940, gère d'une main de fer le domaine de son père à Iola, une petite ville entre les montagnes et les rivières du Colorado. Elle est la seule survivante féminine de sa famille et doit cohabiter avec un père colérique, un oncle acariâtre et un frère violent, tout en s'efforçant de protéger et de préserver le fruit de son amour interdit...

BONNES FEUILLES - Le destin tragique des cinq « presque reines ». Ecartées de l'histoire, échappées à la narration nationale, les dauphines de France sont les grandes oubliées des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Le temps des Bourbons n'a guère retenu les noms de celles qui, par leur naissance et leur mariage, étaient destinées à devenir reines de France, mais ne le sont jamais devenues.

HIVER2024 — Deux amis se promènent à travers les champs, fatigués de tout. Ils décident de s'éloigner, de quitter l'agitation de la ville. Leur quête est celle de la légèreté et du bonheur. Ils se posent une question fondamentale : où est le meilleur endroit pour vivre ?

AVANT-PARUTION – Lola Nicolle, jeune éditrice, signe son premier roman avec Après la fête à paraître le 22 août prochain aux Éditions Les escales. 

Les Presses universitaires de Lyon publient ce 11 mars un ouvrage d’Henri Calet, Je ne sais écrire que ma vie. Ce texte avait été préfacé par Joseph Ponthus, mettant en lumière l’admiration qu’il portait à l’œuvre de Calet, autant que les liens entrevus entre son propre travail et celui de l’écrivain. La diffusion de cette préface se fait en hommage des PUL à Joseph Ponthus.