Rarement je me suis senti aussi désarçonné à l’issue de la lecture d’un livre qu’après avoir tourné la dernière page de celui d’Antoine Nouchy. Sans cesse j’ai eu le sentiment qu’il soufflait le chaud et le froid devant le retour du loup dans les espaces interstitiels que nous abandonnons peu à peu autour de nos zones de forte concentration de présence humaine.