Bois flottés, mémoire de cris et d’écume, mots surgis du roulis des vagues... Il y a de la laisse de mer dans le recueil Poésie non hallucinées d’Alain Marc. Les peintures, en premier, accrochent le regard. Christian Jaccard soumet à la chaleur destructrice du feu des toiles anciennes : Anonymes calcinés.