Parce qu’il faut de l’humour pour inventer un moment de l’année où près de 600 romans vont s’affronter pour trouver une place en librairie, rions ensemble.
« Parce que pour connaître les peuples, il faut d’abord les comprendre. » Cette présentation de la collection l’Âme des peuples, montée en 2013 par les éditions Nevicata, résume à elle seule toute la situation mondiale.
Le temps en librairie est compté, aussi faut-il savoir où trouver les bons conseils pour réaliser ses cadeaux. Voici une liste de 30 ouvrages, extrêmement diversifiée, qui fait aller de la littérature au polar, et de la jeunesse aux bandes dessinées, afin de mettre la main sur le présent idéal.
« Pour faire une histoire, il faut toujours un point de départ. » Pour inaugurer ce commencement, les éditions Delcourt ont confié à Christophe Tranchant leur nouveau label : Sens Dessus Dessous. Un nouveau défi qui proposera aux jeunes lecteurs une gamme d'ouvrages illustrés et d'albums, aussi bien en fiction qu'à travers des documentaires.
Goncourt, Renaudot, Femina, Interallié, Médicis : les prix littéraires rythment la fin de l'année, qu'on le veuille ou non. Instituées depuis un siècle ou jeunes de quelques années seulement, les récompenses sont légion dans le domaine de la littérature : pour certains, ils sont synonymes de petit landerneau germanopratin, pour d'autres, le signe d'une diversité des voix et des écritures qu'il s'agit de valoriser et de récompenser.
La rentrée littéraire d’hiver va s’avancer avec la nouvelle année. Dès ce 3 janvier, les premières parutions prendront place dans les librairies avec, d’ores et déjà, quelques grosses pointures attendues. Une armée de 493 romans sortira – avec 336 d’auteurs français.
Dans le cadre d'une tournée inédite de présentation de leur rentrée littéraire, quatre éditeurs – Philippe Rey, Le Tripode, Le Passage et Bruit du Monde – vont à la rencontre de 250 libraires à travers la France. En avant première, ils nous proposent de découvrir les extraits des différents romans qui seront alors dévoilés.
« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.
L’émerveillement ouvrirait ce qui est fermé. Souvent il passe par l’étonnement, la découverte. Sortir des sentiers battus, voilà un des grands moyens de l’éblouissement, ce dont sont capables les artistes. Parmi eux, les auteurs, grâce à leur style, leur propension à prendre le problème par un bout qui échappe à tout le monde, ou à leur trait de crayon.