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Philosophie

Profils philosophiques et politiques

Quelle est la place de la philosophie dans la cité ? Jürgen Habermas aborde cette question sans cesse renaissante en esquissant le profil intellectuel de huit penseurs allemands dont l'ouvre a marqué la conscience philosophique de notre temps : Martin Heidegger, Karl Jaspers, Karl Löwith, Ludwig Wittgenstein, Ernst Bloch, Herbert Marcuse, Theodor W Adorno et Arnold Gehlen. Revenant sur un passé proche, Jürgen Habermas relève l'impuissance de la pensée face à une catastrophe comme le Troisième Reich. Dans notre société plus libérale, la question ne se pose plus dans les mêmes termes ; pourtant la fonction de la philosophie y paraît aussi précaire. En tant que matière d'enseignement, elle a du mal à se situer dans un monde que régissent les communications de masse. Du fait, d'autre part, de l'extension et de la mutation de l'enseignement, elle ne s'adresse plus à une élite fortunée à laquelle elle était destinée pendant des siècles. C'est pourtant à ce monde et à ses conditions nouvelles qu'il lui faut s'adapter.

01/1987

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Philosophie

Supériorité de l'éthique

Dans un aphorisme, Kafka déclare : " Tu es la tâche ". Cette phrase exprime la maxime fondamentale de l'éthique. Tout l'enjeu de ce livre est d'expliquer pourquoi et comment la tâche éthique consiste en une " explication avec soi-même " où il s'agit, en tout dernier ressort, de faire face au désespoir qui est toujours tapi au fond de soi et dont il convient de désespérer pour mieux se supporter soi-même. Cependant, cette tâche dont le moi est à la fois le sujet et l'objet ne peut être accomplie que si le " vouloir porteur de l'éthique ", comme dit Wittgenstein (philosophe dont la conception de l'éthique se prête ici à une élucidation particulière), se dote par lui-même d'une certaine " force de caractère " capable non pas de le rendre heureux, mais de le disposer à l'être, si jamais il peut l'être. Cette disposition au bonheur, qui n'est pas le bonheur lui-même, est ce que Paul Audi analyse sous le nom de " réjouissance ".

01/2007

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Ouvrages généraux

La condition de l'homme athée

Yvon Quiniou a déjà réfléchi, dans une perspective critique intransigeante, sur la religion. Il complète ici, en un sens, cette réflexion en s'intéressant à l'athéisme et à la manière dont celui-ci peut-être vécu par l'homme incroyant, souvent méprisé par les croyants et leurs Eglises. Il le fait en distinguant un athéisme positif et dogmatique et un athéisme simplement privatif, sans Dieu, qui s'apparente à l'agnosticisme, tout en articulant chacun d'eux à deux formes de matérialisme, l'un métaphysique et totalisant et l'autre, plus modeste, affirmant simplement que l'homme est un produit de la nature, mais validé scientifiquement. Il peut alors analyser finement la condition intellectuelle et affective de l'homme athée dans ses différentes figures, en examinant comme des penseurs importants l'ont assumée et vécue : Russell, Dawkins, Nietzsche, Camus, Sartre, Wittgenstein en particulier. On sera surpris de voir que ne pas croire en Dieu permet d'aimer davantage le monde dans lequel nous vivons, même si nous sommes voués à la mort... ou à cause d'elle.

02/2022

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Poésie

À nos adieux

Rien ne se donne à l'Humanité, sinon le silence universel. Quand la folie happe l'être au point de le faire disparaître, il ne subsiste rien que la matière primordiale à partir de laquelle il a été forgé par les étoiles. Ce recueil est une entrée dans la finitude : au fil des pages, la démence s'installe, insidieuse, désorganisant les actes et les pensées, jusqu'à ce qu'il ne reste que des bribes, et finalement, plus rien. Originaire de Montpellier, Nox, initialement kinésithérapeute, est actuellement étudiant en médecine à Clermont-Ferrand. Il écrit des poèmes depuis son plus jeune âge et se passionne pour la musique et la composition. Influencé par les poètes maudits, le surréalisme de Lautréamont, mais aussi par la philosophie de Schopenhauer et de Wittgenstein, il conçoit la poésie comme une aventure intime, un saut bref et intense dans les torrents de l'esprit. Il questionne la nature humaine à travers ses limites : son rapport à la mort, ses états pathologiques, son langage et ses représentations.

02/2023

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Littérature française

Patraque

Patraque est un livre de littérature et de philosophie. Non pas un livre hybride qui hésiterait entre deux genres, entre deux registres mais un livre rare qui tresse la pensée à la littérature, une pensée déliée, libre, circulante, à la littérature dans ce qu'elle peut avoir d'intuitif, d'irrationnel. Cela donne un mixte très étonnant, extrêmement original dans sa facture comme dans sa tonalité. Familier, proche, et exigeant à la fois. Un livre qui se lit comme un roman, comme on dit, et qui cependant fouille, retourne et questionne notre présence au monde. On croise dans ce livre Wittgenstein, Bouvard et Pécuchet, Arendt, et beaucoup d'autres avec lesquels le narrateur engage un dialogue sans contraintes ("Qui pourrait comptabiliser les voix qui nous parlent depuis que nous existons, depuis qu'existe la voix humaine ? [...] J'entends des voix. Je suis hanté par d'innombrables voix. On peut dire ça comme ça." Ces conversations viennent rythmer ce récit qui est celui d'une détresse contemporaine et le relancent en même temps qu'ils lui donnent un écho universel.

10/2006

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Philosophie

De la couleur. Edition revue et augmentée

Les couleurs existent-elles dans les choses ou n'ont-elles de réalité que dans notre regard ? Sont-elles matière ou idée ? Entretiennent-elles les unes avec les autres des rapports nécessaires ou sont-elles seulement connues de manière empirique ? Y a t-il une logique de notre monde chromatique ? Pour répondre à ces questions, Claude Romano convoque l'optique, la physique, les neurosciences, la philosophie et la peinture. En retraversant certaines étapes décisives de la réflexion sur ces problèmes (de Descartes à Newton, de Goethe à Wittgenstein, de Schopenhauer à Merleau-Ponty), il développe une conception réaliste qui replace le phénomène de la couleur dans le monde de la vie et le conçoit comme mettant en jeu notre rapport à l'être en totalité : perceptif, émotionnel et esthétique. L'auteur fait ainsi dialoguer la réflexion théorique et la pratique artistique. C'est parce que la couleur touche à l'être même des choses, en révèle l'épaisseur sensible, que la peinture, qui fait d'elle son élément, est une opération de dévoilement.

01/2021

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Philosophie

Ecrits logiques et philosophiques

Ecrits logiques et philosophiques Dix textes, échelonnés entre 1879 et 1925, qui forment une méditation continue, sur les méditations qu'il faut administrer à la langue naturelle pour satisfaire l'idéal d'une " langue formulaire de la pensée pure ". Dix textes qui se trouvent aux sources de trois courants essentiels de la pensée contemporaine : le formalisme logique, dont la figure décisive sera Bertrand Russell ; la critique du langage commun, que poursuivra, après Wittgenstein, la philosophie analytique anglo-saxonne ; et la réflexion proprement linguistique. Parmi les apports décisifs de ces essais de Frege, il faut noter la construction d'une logique extensionnelle (avec l'identification du concept et de la fonction) et la mise en place de ce " triplet " de notions : la fonction, essentiellement insaturée, l'argument qui la complète, la valeur (de vérité) que prend la fonction pour cet argument. S'y articule cette distinction valable en tout langage : s'il y a des expressions équivalentes, c'est qu'à la pluralité des sens se conjugue l'unité de la dénotation.

11/1994

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Philosophie

Le bluff éthique

Vouée au chaos du marché planétaire, notre société, avec ses professeurs d'éthiques, ressemble aux cités en déclin de l'époque gréco-romaine où pullulaient de doctes prêcheurs de sagesses. Autres temps, même commerce. A l'image de leurs antiques modèles platoniciens, aristotéliciens, cyniques, stoïciens et épicuriens, nos donneurs de leçons actuels vantent à la criée médiatique leurs recettes d'une vie " bonne " - ou, c'est selon, " réussie ", " jouissive ", " vertueuse ", " libre ", " engagée ", " altruiste ". Appréciés de la foule, ces philosophes moralisateurs éclipsent une lignée de philosophes démoralisants - allant des Sophistes à Wittgenstein, en passant par Machiavel, Montaigne, La Rochefoucauld, Gracian, Hobbes et Schopenhauer -, dont l'art, prisé du petit nombre, est de saigner les idéaux de la lame du doute, et, du scalpel de la précision, d'en mettre à nu les squelettes. En revisitant l'histoire des idées, ces pages rappellent qu'entre des pensées qui élucident, sans plus, notre condition tragique, et des discours qui prétendent, sans rire, nous apprendre à vivre et à mourir, il y a le même rapport qu'entre des vérités et du bluff.

09/2008

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Psychologie, psychanalyse

Les larmes. Trauma et éthique du transfert

Nous sommes comme ces solides (nous sommes ces solides) conservant toute trace ; et plus encore enfants, où chaque "manque-à-être" et chaque "trop-perçu" de ceux qui sont tenus de s'occuper de nous impriment à même nos chairs, nos sensibilités, nos ventres et nos rétines, sans filtre langagier, l'injonction de parler pour ceux qui ne le peuvent : "L'homme qui crie de douleur, a écrit Wittgenstein, ou qui nous dit qu'il souffre, ne choisit pas la bouche qui le dit." L'événement traumatique, la catastrophe première de la séparation — la scie qui coupe le bois — sont relayés dans l'être d'un tout petit, infans, qui articule sans mots la détresse des parents, la mort des êtres chers, toutes les tragédies qui figent et paralysent les paroles et affects de ceux qui ne savent plus se mouvoir au présent. C'est alors avec eux ce présent qui s'arrête, et le temps qui bégaie, pétrifiant le sujet dans la répétition, en faisant l'héritier d'un passé qui ne passe pas.

03/2019

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Histoire de la philosophie

L'incertitude chez les Anciens et Modernes

A la différence de la certitude ou de la probabilité, l'incertitude constitue dans l'histoire de la philosophie et de la culture un thème négligé. Rapportée à des événements, à des états de choses ou à leur représentation, l'incertitude est par définition une modalité vague ; rapportée à l'esprit lui-même, elle revêt, avec une valeur exclusivement négative, une coloration psychologique et affective que n'a pas, sinon à un moindre degré, le doute, disposition intellectuelle ou cognitive plus déterminée dans ses objets et dont il existe toute une culture. Il importait donc d'explorer le champ propre et de reconstruire la trajectoire de la notion d'incertitude, depuis la skepsis pyrrhonienne telle que restituée par Sextus Empiricus jusqu'à Wittgenstein et à la science du XXe siècle. Entre ces deux pôles, cette reconstruction, confiée à des spécialistes d'époques et de disciplines différentes, s'intéresse à des auteurs trop peu pratiqués (Gassendi, G. E. Schulze), mais aussi particulièrement à Cicéron, Montaigne, Descartes, Pascal et Hume.

04/2022

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Essais

L'architecte et la femme au foyer

Dans son atelier, qui est aussi son salon, Frances Stark se demande si elle ne serait pas devenue une Femme au foyer. Elle observe avec amusement et lassitude les artistes hommes qu'elle associe à la figure des Architectes parce qu'ils séparent production artistique et activité ménagère, art et décoration et qu'ils ont la chance de pouvoir quitter l'espace domestique pour aller créer ailleurs. Frances Stark réfléchit à son expérience quotidienne, la mêlant à des réflexions sur des habitations construites par R.M. Schindler et Jorge Pardo, l'essai Critique comme artiste d'Oscar Wilde, le livre Une chambre à soi de Virginia Woolf ainsi que des déclarations de Daniel Buren, d'Adolf Loos, d'Otto Weininger, ou encore de Ludwig Wittgenstein. Elle livre ainsi ses pensées, vives et sagaces, sur les espaces d'exposition, les maisons, les chambres à coucher, les coussins décoratifs, en prenant aussi en compte les couples hommes-femmes qui les utilisent, s'y rencontrent, s'y unissent et s'y séparent.

02/2022

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Autres

Philosophia scientiae vol.26/3. Psychologie philosophique et Gestalts praxéologiques

Au début du 20e siècle, un certain nombre de philosophes ont développé et formé leur propre pensée en dialogue avec les écrits de la psychologie de la Gestalt. Ces engagements ne sont pas seulement essentiels au développement de leur pensée, mais ils ont eu des effets d'entraînement importants, conduisant à un changement de perspective significatif au sein des sciences cognitives, de la linguistique, de la psychologie sociale, de la sociologie et des théories de la perception. La question fut alors - et est toujours - de saisir les caractéristiques les plus saillantes et les plus spécifiques de ce qui fait l'humain, et cette quête a souvent été inspirée par des positions philosophiques, scientifiques, anthropologiques et même politiques très différentes. La publication récente de textes moins connus ou précédemment non disponibles d'auteurs clés met en évidence la complexité des engagements philosophiques, et jette une lumière nouvelle sur les dialogues entre psychologie, philosophie, études du langage et sciences. Nous nous intéresserons principalement à la façon dont les idées de la psychologie de la Gestalt ont été reprises par des philosophes ayant des agendas et des prédilections philosophiques différents, mais aussi par des psychologues sociaux et des sociologues. Et en philosophie justement, la réception de la psychologie de la Gestalt passe notamment par Aron Gurwitsch, D. W. Hamlyn, Maurice Merleau- Ponty et Ludwig Wittgenstein. Les engagements de ces penseurs avec la psychologie de la Gestalt auront une influence sur nombre de disciplines et seront à l'origine de plusieurs mouvements très actifs aujourd'hui : en psychologie, grâce aux travaux de James Gibson sur la perception et de Roger Barker sur la théorie des sites comportementaux (Behaviour Setting Theory) en psychologie écologique ; en sciences cognitives, avec le développement des approches nouvelles de la cognition (e- cognition : embodied, embedded, enactive, and extended ; cognition incorporée, integrée, énactive, étendue) et l'énactivisme ; et en sociologie et psychologie sociale, avec le développement de l'ethnométhodologie et d'autres versions de l'interactionnisme. Chacune de ces perspectives est redevable à la psychologie de la Gestalt, et elles le sont à travers les philosophes qui l'ont abordée. Ces engagements philosophiques ont souvent conduit à des analyses qui ont pris leurs distances par rapport à des explications cognitives et neuroscientifiques au sein de la psychologie, pour aborder les phénomènes de la Gestalt de manière constitutive (Gurwitsch), écologique (Gibson), existentielle (Merleau-Ponty), praxéo-grammaticale (Wittgenstein) et praxéologique (Garfinkel). Dans certains cas, des nouvelles catégories ont été proposées, comme les "Gestalts praxéologiques" de Garfinkel.

11/2022

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Philosophie

Philosophie. Auteurs et thèmes

Loin d’être un catalogue d’idées et de concepts, ce livre se propose de saisir la force et l’originalité de la pensée de chaque philosophe, d’hier à aujourd’hui. On y rencontre aussi bien des bâtisseurs de système, comme Leibniz, Kant ou Hegel, que des penseurs critiques, tels Nietzsche, Foucault ou Derrida. Les idéalistes côtoient les empiristes, les épistémologues croisent les penseurs du politique ou les philosophes de la sagesse… Pour faire écho aux présentations de la pensée des philosophes, des articles thématiques évoquent les grandes questions de la philosophie : la liberté, le bonheur, la morale, le pouvoir, la science… Ces questions sont abordées à la lumière des interrogations contemporaines majeures. Des textes et de nombreuses citations viennent étayer le propos et permettent de se « frotter » aux genres et aux styles philosophiques : des dialogues platoniciens aux propositions composées à la manière des géomètres de Spinoza, de l’écriture poétique de Nietzsche aux aphorismes de Wittgenstein, ces textes sont autant de balises et de repères pour arrimer la réflexion mais aussi des chemins de traverse pour penser aussi loin que possible. Un petit dictionnaire bio-bibliographique vient clore l’ouvrage.

09/2012

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Littérature française

Journal (1979-1983)

Alix Cléo Roubaud est morte le 28 janvier 1983, à cinq heures du matin, d'une embolie pulmonaire. Elle était, gravement, asthmatique depuis l'enfance. Elle venait d'avoir trente et un ans. Née à Mexico (son père, Arthur Blanchette, diplomate, sa mère, Marcelle Blanchette, peintre), elle était canadienne, et bilingue. Son journal est écrit en français et en anglais. Elle avait fait des études d'architecture et de psychologie à Ottawa, des études de philosophie à Aix-en-Provence et à Paris. Elle préparait une étude sur le style de Wittgenstein et sa théorie de l'image. Elle était, essentiellement, photographe. Un film de Jean Eustache, en 1980, Les Photos d'Alix, montre quelques-unes de ses photographies, elle y parle de la photographie. Alix écrivait, depuis 1971 au moins, un journal ; ce sont les derniers cahiers de ce journal qui sont, à l'exception de quelques passages d'ordre strictement privé, reproduits ici. Elle écrivait dans l'ordre des jours, sans revenir en arrière, sans corriger, sans effacer, pour elle-même et, peut-être, bien qu'elle n'ait rien dit à cet effet, ni pour ni contre, pour être lue après sa mort.

11/2009

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Psychologie, psychanalyse

La psychanalyse face à ses détracteurs

Plus d'un siècle après sa naissance, la psychanalyse est toujours l'objet de controverses et d'attaques virulentes. Son histoire est jalonnée de batailles et de remises en question qui montrent la nécessité d'examiner sa place dans la société, d'interroger son épistémologie, afin de maintenir vivants son développement et sa transmission en sortant d'une position essentiellement défensive. Les détracteurs contemporains puisent dans les dogmes modernes de la science les éléments de leur contestation, mais Freud en avait déjà anticipé les principales tendances. En développant une généalogie de l'interprétation, un des concepts clefs de la théorie et de la pratique psychanalytique, l'auteur entreprend de restituer les différentes critiques dans leur contexte historique. La psychanalyse est ici en débat avec l'herméneutique (en n'outrant comment le freudisme en modifie son histoire), avec la science (en partant de la querelle entre les sciences de la nature et les sciences de l'esprit), enfin avec la philosophie du langage (puisque Wittgenstein se présentait comme un " disciple " de Freud). Trois temps, trois débats, trois perspectives théoriques dont les racines permettent de renouer le fil d'un conflit moderne des paradigmes.

10/2010

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Beaux arts

Pas encore une image

" Aussi loin qu'il m'en souvienne, comment ai-je découvert l'image, la photographie ou le film et l'écriture ? Comment s'est joué en moi ce trouble : ce qu'il faut regarder et ce grail faut lire ? Comment s'est organisée cette double rencontre à vivre simultanément : l'image n'est plus à regarder mais à lire, et l'écriture n'est plus à lire mais fait image. Comment velte singulière permutation s'est-elle opérée dans l'art d'aujourd'hui ? " Pas encore une image tire un fil de ce constat - l'écriture conquérante de l'image - et en propose un passionnant inventaire parlé, de Mario Merz avec ses écritures au néon jusqu'aux lettres inédites de Marcel Broodthaers. De l'un à l'autre un fil est tendu qui pose en permanence la question de la philosophie de l'art et ses conséquences avec Jean-Michel Alberola, Jean-Pierre Bertrand, Christian Boltanski, Daniel Buren, James Lee Byars, Sophie Calle, Gilbert & Georges, Nan Goldin, Toni Grad, Raymond Hains, David Hockney, Shirley Jaffe, Pierre Klossowski, James Turrell, Rémy Zaugg, en interrogeant aussi Jacqueline Risset, Aby Warburg ou Ludwig Wittgenstein.

11/2019

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Philosophie

Ordo Amoris. Conflits terrestres et bonheurs célestes

Dissoudre les noeuds qui bloquent la volonté, cicatriser les différends, enlever le poids du passé, en permettant à chacun de reformuler et de recommencer sa vie du début : telle est la tâche de l'amour, qui est synonyme de renouvellement et de solution aux conflits. L'amour n'ouvre pas seulement sur le futur, il ouvre aussi sur le passé et permet au mal qu'on a commis et subi, aux souffrances qu'on a infligées et reçues, de trouver leur rachat. L'amour peut ainsi devenir un "ordre" dans le double sens d'une libre disposition de l'âme et d'une réponse à un commandement extérieur, divin. Le philosophe Remo Bodei propose une réflexion, d'une grande rigueur critique, sur Augustin et toute une tradition philosophique qui, partie de sa pensée, se prolonge jusqu'à l'époque contemporaine (Martin Heidegger, Karl Jaspers, Ludwig Wittgenstein, Hannah Arendt, Hans Jonas). Il pose ainsi son regard sur certains des grands thèmes qui ont marqué la pensée et la praxis de l'occident : la volonté divisée, la douceur et l'intolérance de l'amour, le désir catégorique de bonheur, le besoin d'immortalité, le rapport entre la religion et la politique.

01/2015

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Histoire et Philosophiesophie

UN SAVANT DINER. Ou comment cinq philosophes et scientifiques discutent, lors d'un somptueux festin, la possibilité de créer une machine aussi intelligente que l'homme

Un soir d'été orageux de 1949, l'écrivain scientifique C.P. Snow convie à un dîner somptueux, dans l'antique décor du " Christ's College " de Cambridge, quatre hôtes singuliers afin de discuter d'une question qui le taraude : peut-on construire une machine capable de reproduire le processus cognitif humain ? Au cours du dîner la discussion permet à chacun de clarifier son point de vue : le célèbre philosophe et logicien Wittgenstein soutient qu'afin d'avoir une conscience, une machine devrait vivre des expériences similaires à celles des hommes, telles que la douleur, la joie ou le plaisir ; le biologiste et mathématicien JBS Haldane avance l'idée que l'esprit est une entité séparée de la matière, donc que seule la chair pourrait s'associer à cette force mystérieuse appelée intelligence ; tandis que le physicien E. Schrödinger et, bien sûr, le pionnier des ordinateurs A. Turing affirment que ce n'est pas la substance mais plutôt l'organisation de cette substance qui rend un esprit conscient. Près de quarante ans plus tard, la solution à ce problème scientifique et philosophique demeure hors de notre portée, et le débat ainsi reconstitué reste tout à fait contemporain.

09/1998

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Mathématiques

La chasse aux trésors mathématiques

De quel côté tombe un chat avec une tartine beurrée sur le dos ? Qui a inventé le signe égal ? Quel est le bruit du mathématicien qui se noie ? Comment faire fortune au pub ? Quelle est la surface d'un oeuf d'autruche ? Qu'est-ce qu'un ours polaire ? Comment calculer n en observant les étoiles ? Comment décrypter les codes et comment les faire ? Casse-tête, jeux, foires aux questions, curiosités, paradoxes, anecdotes, arcanes... tout y est ! Le professeur Ian Stewart intercale allègrement un problème dû à Euclide entre l'histoire d'un roi scandinave qui joue l'une de ses îles aux dés et le calcul de la probabilité qu'ont des singes de composer par hasard les oeuvres complètes de Shakespeare. Il traite de sujets historiques, tels que les nombres babyloniens, les bouliers ou les fractions égyptiennes, mais aussi de la quatrième dimension ou du retournement de la sphère. Dans ce second volume de miscellanées mathématiques, vous croiserez Euler, Feller, Lincoln, Newton, Byron, Wittgenstein, et même Frédéric II. Vous serez captivé, surpris, parfois désarçonné. Et vous vous amuserez au moins autant que vous vous instruirez !

09/2010

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Philosophie

Le lieu de l'universel. Impasses du réalisme dans la philosophie contemporaine

Le territoire de la philosophie serait divisé par une frontière infranchissable entre modèles analytique et continental. S'élevant contre cette idée reçue, cet essai met en lumière le socle commun de la philosophie des trente dernières années : pour sortir du „dispositif de la perspective» où le sujet était spectateur du monde, les philosophes contemporains ont conçu un sujet à ce point immergé dans le monde qu'il n'en est plus que le reflet ou l'effet. Cette solution a un nom : le réalisme, unanimement revendiqué aujourd'hui, de l'actuelle phénoménologie aux disciples de Wittgenstein en passant par les nouvelles métaphysiques. Cette solution ne serait-elle pas devenue un simple lieu commun ? Ce panorama critique de la philosophie contemporaine montre les écueils et l'impossibilité de ce réalisme partagé, dont il soumet les multiples expressions à une analyse serrée et limpide. Comment ensuite dépasser les apories du réalisme sans retomber dans le modèle du face-à-face entre l'homme et le monde ? La réponse suppose une réflexion sur la possibilité même de la philosophie aujourd'hui. Au lieu commun réaliste de la philosophie contemporaine, l'auteur objecte le «lieu de l'universel».

04/2015

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Sociologie

La société de verre. Pour une éthique de la fragilité

Nos sociétés contemporaines sont devenues des sociétés de verre, aux institutions fragiles et fragilisantes pour les individus. Les incertitudes quant à l'avenir se nourrissent des difficultés à tirer des enseignements du passé. Les désillusions quant aux promesses de la vie comme les déceptions à l'égard des politiques annonçant l'avènement d'un monde meilleur assèchent chaque jour un peu plus nos réserves d'enthousiasme. "Qui suis-je ? " et "Qui sommes-nous ? " : la quête identitaire s'exprime tant au niveau individuel qu'au plan collectif. Philippe Corcuff nous convie à des investigations existentielles, qui éclairent le problème du sens de notre vie, dessinent une éthique de l'inquiétude et esquissent une politique de la fragilité. Le cheminement de ce questionnement est illustré par des matériaux aussi différents que les chansons d'Eddy Mitchell et d'Axelle Red, les films de Martin Scorcese et de John Woo, les polars américains, la poésie de René Char, les philosophies de Ludwig Wittgenstein et de Maurice Merleau-Ponty, la sociologie de Pierre Bourdieu, la pensée écologique de Hans Jonas ou les politiques de Rosa Luxemburg et du sous-commandant Marcos.

10/2002

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Philosophie

Platon, les mots et les mythes. Comment et pourquoi Platon nomma le mythe ?

"Ce livre précis et rigoureux, qui détaille en analyses minutieuses le regard platonicien sur le mythe, vaut doublement : par la définition particulièrement nette qu'il donne de la position de Platon, solide contribution à une histoire du concept de mythe, mais aussi par l'image très riche qu'il dessine, en disséquant le témoignage privilégié du philosophe, de ce qu'a pu être la performance mythique dans la Grèce classique." L'homme. "Platon veut briser le monopole qui intervient dans le processus de communication du mythe en déterminant le comportement du destinataire. Il oppose ainsi le mythe au logos entendu comme discours véritable. Mors, le mythe apparaît comme le discours de l'autre et pour l'autre. Le discours du conteur relaie simplement, au niveau qui est le sien, celui du philosophe et du législateur. Chez Platon, contrairement à ce qui se passe chez Wittgenstein, le discours philosophique demeure bruissant de la parole des dieux que partagent tous les citoyens. Luc Brisson formule ses conclusions à la suite d'une enquête lexicologique. C'est là une méthode exégétique très sûre qui exige du lecteur un retour au texte avec un très grand souci de précision." Revue philosophique de Louvain.

11/1982

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Sociologie

De la croyance à la différence des sexes

Nous croyons savoir que les sexes sont différents. En réalité nous ne le savons pas, nous le croyons. La croyance à la Différence des sexes représente ce "nid de croyances" (Wittgenstein) qui affirme une différence essentielle entre les sexes et leur complémentarité sous laquelle se dissimule tout un ensemble d'inégalités entre les femmes et les hommes. Dieu, la Nature, la Science ont été invoqués par les sociétés pour donner un fondement transcendant et une légitimité absolue à cette croyance. Une pensée critique, appuyée sur les évolutions scientifiques actuelles, est nécessaire pour distinguer ce qui dans le sexe relève de déterminismes biologiques, et qui ne concerne guère que les mécanismes de la procréation et quelques caractères sexuels secondaires, et ce qui ressortit au champ du psychisme humain, de la culture et de l'histoire. La croyance à la Différence et à la dichotomie des sexes apparaîtra alors comme une "mythologie" qui se transforme selon les sociétés et les époques. Elle doit être questionnée et remise en question si l'on veut jeter les bases d'un mouvement vers l'avènement d'une égalité réelle, et non seulement formelle, entre tous les êtres humains.

05/2016

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Philosophie

20 questions sur la philosophie africaine

" Peut-être sous l'influence de Wittgenstein, pour qui la philosophie est moins une doctrine qu'une activité, Lalèyê cherche davantage à caractériser et à décrire cette activité qu'à la définir.... La sûreté de l'information, l'analyse honnête dont elle fait l'objet ainsi que les qualités pédagogiques exceptionnelles du Pr Lalèyê font de cc livre un véritable vade-mecum, méthodiquement construit, qui pourra être consulté avec profit tant par les étudiants que par les enseignants. Il constitue une excellente initiation à l'étude de la philosophie africaine, non seulement dans nos classes de terminale, mais encore dans le premier cycle de nos universités. Au grand public, il offre un accès simple, clair et autorisé à la philosophie africaine et môme à la philosophie tout court " D Samb. " Cette ignorance savante (docta ignorantia comme le dit Nicolas de Cues) est conjuguée ici par Lalèyê qui ne verse pas dans le réflexe dichotomiste et infamant, valorisant d'un côté les "philosophes" et de l'autre stigmatisant les "ethnophilosophes". II donne, à travers les réponses claires à des problématiques compliquées, l'envie de philosopher " J-G Bidima.

05/2010

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Ouvrages généraux

Philosophie et langage. Dialogue de la pensée de l'existence avec la philosophie analytique

Cet ouvrage propose un dialogue entre la philosophie analytique, fondée par Frege et Russell, et la pensée de l'existence, inaugurée par Kierkegaard et développée à sa suite notamment par Rosenzweig et Heidegger. Pour la philosophie analytique, il n'est de savoir que scientifique ; tandis que dans la pensée de l'existence, la vérité essentielle, à savoir celle de l'ouverture à l'Autre, est ignorée et même rejetée au nom de la science. L'une et l'autre sont attachées au langage, la première voulant le réformer afin d'élaborer un langage logique pour la science, la seconde y voyant un lieu majeur de l'existence. Cependant, toutes deux refusent que puisse être posé comme tel un savoir philosophique avec l'essence comme principe. Elles se rejoignent également en Wittgenstein, penseur paradoxal, qui hérite des analyses de la philosophie analytique en les critiquant implicitement au nom de la vérité découverte par la pensée de l'existence. On entend montrer ici que l'inconscient, qui s'exprime de manière privilégiée dans le langage par la métaphore, permet de passer outre à ce refus, de déterminer l'essence originelle et de présenter la philosophie comme savoir de l'existence.

04/2024

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Psychologie, psychanalyse

Musicophilia. La musique, le cerveau et nous

La musique peut nous émouvoir jusqu'au tréfonds de notre être, nous arracher à la dépression, nous inciter à danser, ou nous rendre triste et nostalgique. Quand on est un neurologue aussi compétent qu'Oliver Sacks, et ouvert, comme lui, à bien d'autres disciplines, comment peut-on comprendre et décrire ce pouvoir ? Plus d'aires cérébrales sont affectées au traitement de la musique qu'à celui du langage : l'homme est donc véritablement une espèce musicale. Bien des exemples le montrent, évoqués par Sacks avec la force et le talent qu'on lui connaît (voir L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau), depuis ce chirurgien frappé par un éclair qui devient soudain pianiste à l'âge de quarante-deux ans jusqu'au frère manchot de Wittgenstein, en passant par les familiers de la synesthésie ou les arriérés mentaux mélomanes. La musique est souvent médicalement bienfaisante : elle anime les parkinsoniens incapables de se mouvoir, améliore l'élocution des victimes d'accidents vasculaires, apaise les patients atteints de la maladie d'Alzheimer ou restitue des souvenirs à certains amnésiques. L'homme a donc une véritable dimension musicale. Oliver Sacks la décrit dans toute son étendue, d'un point de vue scientifique, philosophique, et spirituel.

01/2009

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Philosophie

Au coeur de la raison, la phénoménologie

D'abord, le rapprochement des termes "raison" et "phénoménologie" surprend. La phénoménologie avait pour ambition première de redécouvrir la réalité du monde que nous habitons par le célèbre "retour aux choses mêmes", et la tentative de redéfinir les catégories de la raison pour entendre, écouter le monde tel qu'en lui-même. Claude Romano reprend brillamment les choses à la racine. Soutenir l'actualité de la question phénoménologique, c'est affirmer que la prégnance accordée depuis Wittgenstein au langage n'a pas rendu superflue une philosophie de l'expérience; c'est poser l'existence de structures d'expérience et de perception du monde, des autres, de nous-mêmes antérieures au langage mais avec lesquelles l'intelligence du langage est en continuité étroite. Ce dont il retourne avec la phénoménologie, ce n'est pas seulement le statut de l'expérience en tant que telle, ni le statut du langage et de ses significations, mais leur problématique unité et, à travers elle, le problème de la raison lui-même. Ce qu'elle a cherché à élaborer en premier lieu, c'est une nouvelle image de la raison. Claude Romano, faisant dialoguer les traditions kantienne, analytique et continentale notamment, nous offre une traversée de la philosophie contemporaine.

10/2010

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Critique littéraire

Philosophie du langage (et de l'esprit)

Philosophie du langage et philosophie de l'esprit constituent désormais un tout indissociable. Les expressions linguistiques " signifient ". Qu'est-ce que cela veut dire ? François Recanati distingue trois réponses possibles. Selon la première, signifier c'est (pour une expression linguistique) être associée à des représentations mentales. Selon la deuxième, signifier c'est " faire référence " et renvoyer à quelque chose dans le monde - une réalité extralinguistique. Selon la troisième, enfin, signifier, c'est jouer un rôle distinctif dans cette activité sociale qu'est la parole. La première réponse renvoie aux représentations mentales. Mais qu'est-ce, pour une représentation mentale, que d'avoir un contenu ? La vraie question, est-on tenté de penser, est plus générale : qu'est-ce que signifier ou avoir un contenu ? Qu'est-ce qu'une représentation (linguistique ou mentale) ? Les philosophes contemporains recherchent une théorie du contenu qui soit suffisamment générale pour s'appliquer à la pensée aussi bien qu'au langage. François Recanati nous introduit à leurs efforts, et conclut en faveur de l'approche " pragmatique " inspirée de Wittgenstein. Ce qui fait que la pensée et le langage représentent le monde, c'est avant tout le fait que la pensée et le langage sont dans le monde, qu'ils y ont leur place et y jouent leur rôle.

11/2008

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Philosophie

Désaturer l'esprit. Usages du pragmatisme

Que faisons-nous, au juste, lorsque nous parlons d'"esprit", ou que nous attribuons des pensées à d'autres personnes ? Penser, est-ce déjà agir ? Les concepts de pensée, d'intention ou de compréhension font-ils référence à des processus "internes"? Pour répondre à ces questions, Pierre Steiner développe une conception déontologique de l'esprit ("dé-ontologique et normative"), en dialogue avec Wittgenstein, les premiers écrits de Richard Rorty et le pragmatisme normatif de Robert Brandom. Il propose en outre une lecture renouvelée de l'expérimentalisme social et politique de John Dewey - dont l'une des conséquences pourrait être d'externaliser l'esprit dans des pratiques scientifiques et des dispositifs techniques. Contre une définition privée et centralisante de la pensée, ce livre délocalise l'esprit dans des réseaux intriqués de jeux de langage, de formes de vie et de techniques sédimentées. Ce faisant, il confronte le pragmatisme à un certain nombre de thèses analytiques dominantes en philosophie de l'esprit, comme le naturalisme, le représentationnalisme ou l'identification de la pensée à un ensemble de faits intracrâniens. "Désaturer l'esprit", c'est rendre compte de la dimension publique de la cognition, mais aussi de nos croyances et de nos valeurs.

05/2019

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Ouvrages généraux

La philosophie en 60 livres

Riche d'une histoire de deux millénaires et demi, la philosophie peut impressionner par son étendue et le nombre d'oeuvres qui lui sont associées. Ce volume propose d'en découvrir une soixantaine parmi les plus emblématiques, depuis les présocratiques jusqu'aux contemporains comme Foucault et Derrida, en passant par les piliers que sont Platon, Aristote, Descartes, Kant, Hegel, Nietzsche ou Wittgenstein. N'omettant aucune période, il accorde une attention particulière aux pensées médiévale et renaissante, ainsi qu'aux développements les plus récents de la phénoménologie ou du "nouveau réalisme". Une série de "panoramas" permet par ailleurs de présenter dans leur unité des mouvements philosophiques qu'il eût été impossible de traiter par des oeuvres isolées ; qu'il s'agisse des présocratiques, des épicuriens, de la philosophie islamique, de la pensée libérale ou encore de la philosophie expérimentale, le lecteur disposera de synthèses originales permettant de rapidement assimiler les points saillants de ces différentes formes de philosophie. Destiné à un vaste public, le présent ouvrage s'adresse aussi bien aux étudiants - qu'ils soient en Terminale, en licence de philosophie, en classes préparatoires littéraires ou commerciales - qua l'honnête homme qui souhaiterait parfaire sa connaissance de l'histoire de la pensée.

03/2021