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Chroniques de la fin du m

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Science-fiction

Images de la fin du monde. Chroniques de Mertvecgorod

"28 avril 2025 : Premier bilan de l'attentat ayant causé la destruction de l'échangeur des avtostradi 1 à 8 et de l'ossuaire de la Zona : plus de 8 000 morts, plus de 30 000 blessés et au moins 5 000 disparus. Quelle est l'implication réelle du Sit, et de son mystérieux gourou Nikolaï le Svatoj, dans l'attentat le plus meurtrier de Mertvecgorod ? ". Les Chroniques de Mertvecgorod, "comédie inhumaine" violente et romanesque, traversent plusieurs époques, de l'écroulement de l'URSS juqu'à la fin possible de l'humanité, et dressent un vaste panorama du monde en décomposition qui est le nôtre.

03/2020

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Littérature française (poches)

Chroniques de la fin d'un monde

Pierre Mac Orlan, dont nous avons réédité il y a peu Rues secrètes, est un écrivain épris de ce qu’il appelait le « fantastique social ». Spécialiste des bas-fonds, de la pègre, de la Légion étrangère et autres figures d’aventuriers en tous genres, il était aussi profondément épris de son époque, qu’il voyait se transformer sous ses yeux, et dont il tenait à nous livrer les derniers feux avant extinction. Chronique de la fin d’un monde se présente comme un tableau littéraire des provinces françaises et de la vie des hommes. Au gré des chapitres, où le romantisme est associé aux noms des quatre points cardinaux, d’autres territoires « romantiques » viennent s’inviter à cette ronde de la terre : celui des bois, de l’été, de l’automne, de Strasbourg, de Rouen, des mers imaginaires, et jusqu’au romantisme de la fin du monde, qui ne manque ni d’humour, ni d’érudition.

05/2010

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Littérature française

La fin du monde ? Chroniques épistolaires d'une fin annoncée

Les millénaristes et autres prophètes nous prédisent pour bientôt la fin de l'humanité, improprement appelée "fin du monde". Une curieuse correspondance entre un sage cévenol et son neveu nous interroge sur cette éternelle question.

02/2012

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Critique littéraire

Le langage de la passion. Chroniques de la fin du siècle

Qu'il brosse le portrait de Nelson Mandela, qu'il évoque la figure de Bob Marley ou qu'il restitue en eau-forte le calvaire d'une Frida Kahlo puisant dans ses plaies la force de créer, Mario Vargas Llosa nous parle ici de ses passions et de ce vice impuni qui l'a toujours possédé : une inlassable curiosité pour le monde dans lequel nous vivons. Il ne faut donc pas s'étonner qu'il soit devenu au fil des ans l'un des chroniqueurs les plus présents et les plus lucides de notre temps. Mais Le langage de la passion n'est pas seulement une vaste fresque où l'on retrouve les événements, les personnages et les débats qui ont marqué la fin d'un siècle et le début d'un nouveau millénaire. En filigrane, Mario Vargas Llosa dessine également l'autoportrait d'un homme en mouvement qui regarde son époque avec fascination et avec méfiance, toujours ouvert et concerné, toujours critique et vigilant.

02/2005

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Critique littéraire

Un air de fin des temps. Chroniques

Voici rassemblées les meilleures chroniques et critiques d'Eric Ollivier, parues entre 2000 et 2004 dans Le Figaro. Avec style et désinvolture, humour et nostalgie, il commente son époque et contemple l'effondrement d'un art de vivre. Festival de formules, d'érudition légère et de sagacité nonchalante, ce recueil prouve qu'il n'y a pas une grande différence entre la littérature et la vie. Il brasse une large variété de sujets : la Toscane, le pain, la mer bretonne, Horace, les oiseaux, Saint-Germain-des-Prés, André Gide... se croisent, se répondent et nous émeuvent. Tout un monde s'écroule joyeusement.

05/2005

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Littérature française (poches)

Chronique d'une fin de règne

" Le Prince s'aperçut que le pouvoir était une maladie mortelle. La flèche du comte Macron était empoisonnée et il sentit ses os se refroidir. Dans son bureau, François-l'Hésitant songeait à son destin. Puis il rédigea le discours qu'il devait prononcer aux fenestrons le soir même. Pour dire quoi ? " Rien ne va plus au royaume de France : le duc d'Evry bouillonne, Nicolas-le-Flambard ne s'est jamais résolu à la perte du Trône, Mlle de Montretout se cache et ne montre plus ses dents... 2016, année difficile. Entre House of Cards et Game of Thrones, il nous reste la chronique facétieuse, hilarante, terrible, d'un règne qu'on espère vite oublier. C'est compter sans le talent de Patrick Rambaud. Rire ? Oui, mais de tout, Majesté ! Une intarissable verve. Frédéric Potet, Le Monde des livres. Un régal de lecture. Emmanuel Berretta, Le Point. Notre meilleur satiriste, le prince des pasticheurs. Grégoire Leménager, L'Obs.

01/2018

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Littérature étrangère

Rome sans Pape. Chroniques romaines de la fin du XXe siècle

Nous sommes à Rome, dans les derniers jours du XXe siècle. Le pape, Jean XXIV, Irlandais dans la force de l'âge, a quitté le Vatican pour une sorte de complexe de motels, dans une bourgade des environs de Rome. Il fait un peu de tennis, du cheval, et reste silencieux, dans une paix bucolique plutôt que religieuse. Le narrateur, Walter, modeste prêtre suisse, attend à Rome, où il n'était pas retourné depuis trente ans, d'être reçu par le Saint-Père. Décommandé de jour en jour, il attendra l'audience un an durant. Le temps de rencontrer toutes les sortes possibles de prêtres de toutes nationalités, prélats de tous rangs, théologiens de tous horizons. Mariés pour la plupart, se promenant en jeans, fumant de la marijuana, ils offrent à Walter, observateur inquiet, attentif, ingénu, le spectacle d'un bouillonnement «théorique», où dans Rome privée de directives, toutes les données de la culture moderne et de la science alimentent la pensée de la nouvelle Église. Walter, resté quelque peu traditionnaliste, n'accueille pas sans perplexité certaines nouveautés. Passe encore que Satan, la révélation, l'Immaculée Conception soient passés de mode ; ou que la psychanalyse ait été adoptée ; ou encore que des missionnaires entreprennent de convertir de grands ordinateurs. Mais faut-il accepter l'introduction du totémisme dans la pratique religieuse ? Ou qu'à la charité de jadis se substitue le concept politique de "socialidarité", thème du Concile préparé pour l'an 2000 ? Roman d'anticipation, ce livre intelligent et fin est aussi des plus actuels.

02/1979

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Sciences politiques

La chute de la Sarkozye. Chronique de la fin d'un quinquennat

Avec ce livre, Charles Debbasch achève l'analyse de la société française et internationale durant le mandat de Nicolas Sarkozy. Tout au long de ces années 2011-2012, le monde développé est secoué par la crise économique. Les peuples se vengent de leurs malheurs en refusant de reconduire les sortants. Nicolas Sarkozy va tout faire pour tenter d'échapper à cette malédiction : présence accentuée sur la scène internationale, adoption d'un style plus sobre, réformes pour moderniser la France. Mais le pays progressivement lui échappe : échec aux élections locales et européennes, virage du Sénat à gauche. La campagne s'avère rude face à la gauche pourtant touchée par le vaudeville Strauss-Kahn, François Hollande, la tortue, va s'avérer plus rapide que le lièvre Sarkozy. La France n'adhère pas pour autant au socialisme mais elle souhaite une relève des élites politiques que la droite n'a pas su apporter. L'auteur, riche d'une longue expérience éditoriale - qui l'a conduit du journal Le Monde au Figaro en passant par Jeune Afrique et le groupe de presse Rhône-Alpes - livre ses réflexions sur les mutations de la France dans cette période charnière marquée par la campagne présidentielle et l'échec de Nicolas Sarkozy ; cette chronique aidera à mieux comprendre les lignes de force de la France contemporaine.

11/2012

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Histoire internationale

Le crépuscule des bureaucrates. Chronique de la fin de l'Union Européenne

18 novembre 2021 : Bruxelles ne répond plus. Le quartier européen est abandonné aux SDF et aux chiens errants. La Commission est aux abonnés absents. Le Parlement a cessé de siéger. Les eurocrates sont confinés chez eux. Mais le Covid n'y est, cette fois, pour rien. Si les institutions de l'Europe ont fermé boutique, c'est parce que la veille, le Conseil des ministres, convoqué pour la réunion de la dernière chance, s'est séparé sans approuver de budget. Les caisses sont vides. L'Union européenne a vécu. Les 27 Etats membres reprennent chacun leurs billes. Et déjà les premiers bruits de bottes se font entendre. Le projet européen est-il définitivement enterré ? Frédéric Lassource, le dernier assistant de Jean Monnet, et Pascal Dalando, un ancien président d'une institution de l'UE, ne peuvent s'y résoudre. Avec quelques amis, ils décident de ne pas baisser les bras. Dans ce récit à clés, l'auteur passe en revue les dérives de la bureaucratie bruxelloise qui ont entraîné l'explosion de l'aventure européenne. A travers les portraits à la fois attachants et acides des personnages qu'il met en scène, on pénètre les arcanes des administrations communautaires et l'on comprend, horresco referens, les raisons du dévoiement de l'ambition des Pères fondateurs de l'Europe.

11/2020

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Sociologie

La fin de la culture religieuse. Chronique d'une disparition annoncée

La laïcité et la question de la place des religions dans l'espace public nourrissent au Québec, depuis plusieurs années, de vifs débats dans le champ politique, de même que dans la société et dans le monde éducatif. L'ouvrage montre comment la décision récente du ministre de l'Education de réviser le programme d'éthique et culture religieuse et d'en supprimer les connaissances sur les religions illustre bien les tensions liées aux différentes conceptions de l'articulation entre liberté de conscience et liberté de religion, ainsi qu'aux représentations divergentes de la laïcité. Par une analyse historique approfondie des critiques de la culture religieuse, il met en scène les différents acteurs sociaux impliqués dans ces débats et déconstruit les arguments utilisés pour défendre leurs points de vue. Cet essai fait le constat que ces débats sont d'autant plus difficiles qu'ils sont chargés des maux emblématiques de notre époque : polarisation des opinions, tendance au complotisme, délégitimation des experts, confusion entre militantisme et analyse scientifique, ainsi qu'instrumentalisation idéologique et politique. L'ouvrage s'intéresse également aux nombreux défis que représente l'implantation d'un nouveau programme éducatif et lève le voile sur les modalités politiques et pédagogiques d'élaboration du cours de Culture et citoyenneté québécoise, destiné à remplacer celui d'ECR, par le biais d'une analyse critique. Enfin, il propose une réflexion sur les finalités de l'enseignement scolaire, et en particulier sur les tensions entre la mission d'instruction de l'école fondée sur la transmission de savoirs, et celle liée à la socialisation des élèves, visant notamment à les sensibiliser à des enjeux de société, qui caractérisent le monde éducatif contemporain.

11/2023

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Actualité et médias

FIN DU SIECLE DES OMBRES. Chroniques politiques et littéraires

Les éditoriaux de Jean-François Revel comptent depuis trente ans parmi les plus influents de la presse française. On l'a souvent comparé à Raymond Aron pour l'exactitude de ses analyses, et aux écrivains du XVIIIe siècle pour la vivacité de son style. Chroniqueur politique et littéraire, il a toujours été suivi par un très large public, d'abord à L'Express de 1966 à 1981, puis au Point à partir de cette date. Les chroniques qu'on lira ici s'échelonnent sur les deux dernières décennies. A des articles du Point s'ajoutent quelques papiers parus dans la presse étrangère puisque Revel, jouissant d'une réputation internationale, a également collaboré à des journaux italiens, américains, espagnols et latino-américains. La période couverte par ces textes est probablement l'une des plus décisives, sinon la plus décisive, du XXe siècle. C'est, en effet, durant ces années que l'humanité aura vu se désagréger les grands systèmes totalitaires communistes qui, il y a encore quinze ans, couvraient la majeure partie de l'Europe et de l'Asie, et poursuivaient leur expansion tant en Afghanistan qu'en Afrique et en Amérique centrale. En même temps qu'une révolution politique et économique, les deux dernières décennies du siècle ont vécu une importante révolution culturelle, à travers, en particulier, la disparition des grands systèmes d'explication du monde au profit d'une philosophie plus proche des hommes. Avec l'effacement des grands systèmes totalitaires dans l'ordre de la pratique et des grands systèmes philosophiques dans l'ordre de la théorie, c'est au fond à la renaissance de l'individu, de la pensée et de la liberté individuelle que Revel nous fait assister pas à pas, épinglant à l'occasion les ridicules du temps, maniant la satire avec autant de bonheur.

09/1999

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Généralités

La fin du royaume de Majorque (1339 – 1349) dans la Chronique de Pere le Cérémonieux

Cet ouvrage entend combler un vide dans l'histoire du royaume de Majorque (1276-1349), une entité créée par le testament du roi Jaume Ier d'Aragon en 1276 : au fils aîné Pere revenait le royaume continental d'Aragon, tandis que l'île de Majorque, les comtés de Roussillon et de Cerdagne et la seigneurie de Montpellier constituaient un nouveau royaume autonome, attribué au fils cadet Jaume. Cette partition, jamais vraiment acceptée par les rois d'Aragon, a été finalement remise en cause par le roi Pere IV le Cérémonieux : grâce à un sens politique non dépourvu de machiavélisme, il a fini par reconquérir la totalité du royaume de Majorque en 1349. Les chapitres de sa Chronique que nous présentons ici, dans une traduction inédite en français, sont remarquables par l'utilisation que Pere fait de la propagande ; il est donc nécessaire pour l'historien de les confronter à d'autres sources contemporaines, pour mesurer à quel point leur présentation biaisée ne rend pas justice à l'adversaire malheureux de Pere, le roi Jaume III de Majorque.

04/2022

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Critique

Le fil sans fin

"Nous autres, enfants de l'Europe des riches, qui a produit Auschwitz, nous qui passons pour des êtres civilisés, vivant dans une paix apparente depuis plus de soixante-dix ans, nous pensions être sortis de tout cela. Et aujourd'hui que le monde en est réduit au sauve-qui-peut, aujourd'hui que la grande fuite a commencé, nous sommes encore tout imprégnés du sentiment déraisonnable d'être étrangers aux désastres qui nous environnent". Face à tant de violence destructrice, d'où pourrait bien venir un élan de reconstruction de l'Europe ? Qu'y a-t-il encore d'authentique dans un Occident submergé par le matérialisme ? Pourrons-nous nous rétablir sans avoir besoin d'autres guerres et catastrophes ? A l'urgence de ces questions, Paolo Rumiz cherche une réponse dans les lieux et parmi les personnes qui continuent de tenir le fil des valeurs essentielles. Ce sont les disciples de Benoît de Nursie, le saint patron de l'Europe. Rumiz les a cherchés dans leurs abbayes, de l'Atlantique aux rives du Danube, des lieux plus forts que les invasions et les guerres. A l'heure où les semeurs d'ivraie tentent de déchirer l'utopie de leurs pères, les hommes qui y vivent selon une "règle" plus que jamais valable aujourd'hui nous disent que l'Europe est, avant tout, un espace millénaire de migrations.

08/2022

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Théâtre

Chroniques d'une fin d'après-midi

Il s'agit bien d'une fin d'après-midi... Et d'une fin d'après-midi d'été. Mais d'une fin d'après-midi en Russie, au XIXe siècle. Il s'agit aussi de chroniques... fragments de l'oeuvre d'Anton Tchekhov : quelques scènes de plein-air du Duel (sa plus longue nouvelle), de La Mouette et de La Cerisaie. Quant au décor — le Cloître du Palais Vieux — le lieu tel qu'il est, aussi réel et naturel que le sera la lumière... celle d'une fin d'après-midi d'été. Dans ce décor, lieu solitaire et abandonné d'une campagne lointaine, un groupe (la famille, les amis) vient, comme dans Le Duel, pique-niquer au crépuscule...

11/2004

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Ouvrages généraux

Fin de l'histoire, fin de la géographie

Les discours sur la fin de l'histoire, dominants à la fin du siècle dernier, ont laissé place aux discours marquants la fin de la géographie, à l'urgence climatique et à l'effondrement. Ces considérations s'enracinent dans l'histoire de la philosophie, chez Montesquieu en particulier. La mondialisation et les multiples crises (économique, sociale, politique et sanitaire) que nous traversons, nous imposent un nouveau questionnement pour nous resituer historiquement et géographiquement ; ces deux dimensions étant, de plus, inséparables. La géographie conceptualisant l'espace rend intelligible la temporalité historique. Peut-on pour autant entériner la fin de l'histoire ou de la géographie, la contraction d'un monde englouti par les nouvelles technologies et les moyens de communication instantanés ?

04/2021

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Critique littéraire

Fins de la littérature. Tome 1 : Esthétiques et discours de la fin

Les discours sur la "fin" de la littérature se multiplient. Les uns déplorent la perte de son aura sociale, l'affaiblissement de son lectorat et préfèrent avec nostalgie les écrivains d'hier à ceux d'aujourd'hui. Les autres évoquent les menaces qui pèsent sur le livre et s'inquiètent de son avenir numérique. Ce flot critique réactive complaisamment une tonalité crépusculaire propre aux fins de siècle. En renouant avec les esthétiques du déclin, il rejoue la prophétie hégélienne d'une mort de l'art. Mais il pointe également ce qui menacerait notre temps : la dissipation de l'héritage humaniste, de l'exigence intellectuelle et de l'esprit critique dans un monde qui abandonne la culture au spectacle et au marché. Il était temps d'interroger ces discours, d'en peser les arguments, les enjeux et les références. Porteurs d'une idéologie ou d'une représentation singulière de la littérature, ne perpétuent-ils pas, en ce début de XXIe siècle, un geste de "l'adieu" volontiers repris par les écrivains eux-mêmes ? A moins que la littérature présente ne cherche désormais à se figurer comme survivante : une littérature d'après la fin ? Avec les contributions de Arno Bertina, Olivier Bessard-Banquy, Gilles Bonnet, Emmanuel Bouju, Martine Boyer-Weinmann, Claude Burgelin, Michel Deguy, Laurent Demanze, Alexandre Gefen, Bertrand Leclair, Marielle Macé, Daniel Martin, Jean-Pierre Martin, Laurent Nunez, Pierre Ouellet, Pierre Senges, John Taylor, Dominique Viart, Tanguy Viel, Nelly Wolf. Ouvrage publié avec le soutien de l'Institut universitaire de France, l'Ecole normale supérieure de Lyon, la région Rhône-Alpes.

03/2012

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Science-fiction

Les chroniques de St Mary Tome 9 : Jusqu'à la fin et au-delà

Derrière la façade très académique de l'institut St Mary, les équipes d'historiens, de techniciens, de chercheurs ont découvert le secret du voyage dans le temps. Ici, on n'étudie pas seulement le passé, on le visite... De l'Angleterre des Tudors aux flammes de Persépolis, de l'institut St Mary version moyenâgeuse aux prisons mortifères du XIXe siècle, Max a du mal à préserver un semblant de vie privée... Que faire alors, lorsque ses deux plus grands ennemis décident de venir la hanter à nouveau ? Prix Spécial du Prix ActuSF de l'Uchronie 2021 pour l'ensemble de la série.

03/2022

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Réalistes, contemporains

Fukushima. Chronique d'un accident sans fin

LE 11 MARS 2011. au large du Japon, un séisme effroyable accouche d'un tsunami, qui vient frapper de plein fouet l'une des plus grandes centrales au monde Fukushima Daiichi. D'une violence inouïe, la catastrophe naturelle entraîne alors une catastrophe technologique. Dès le départ, un angoissant compte à rebours s'est enclenché... et les cinq premiers jours vont s'avérer décisifs. Dans un univers complètement dévasté, alors que les bâtiments sont plongés dans l'obscurité, le personnel de la centrale nucléaire se retrouve confronté aux explosions et aux radiations toxiques. Guidés par Masao Yoshida, le directeur du site, les employés feront preuve de beaucoup de courage, d'ingéniosité et d'un incroyable sens du sacrifice pour tenter d'éviter l'apocalypse. Quelques mois plus tard, une commission d'enquête auditionne Yoshida pour comprendre l'ampleur du désastre auquel ils ont dû faire face. Voici son récit.

03/2021

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Vins et savoirs

Le Vin retrouvé. Chroniques vigneronnes

A une époque où surgit une crise économique et écologique sans précédent, la sphère de la viticulture semble avoir pris une décision tacite : enseigner aux futurs vignerons une autre manière de faire, dans laquelle l'authenticité et la typicité des terroirs sont mises en avant comme de véritables atouts. Ceci n'est possible qu'en restituant une vie organique saine dans des sols souvent anéantis par la chimie, grâce à un travail méticuleux et respectueux de l'environnement. Alors qu'il y a encore une quinzaine d'années, les pratiques de la viticulture dite "biologique" se heurtaient à l'opposition institutionnelle d'une agriculture dite "conventionnelle", la situation a bien changé depuis, à la fois par le nombre de vignerons ayant adopté ce type de viticulture et par l'adhésion du public et des autres professionnels. Cependant, il y a encore beaucoup à faire pour imposer la généralisation d'une agriculture ayant renoncé à des pratiques dangereuses pour l'environnement. L'auteur a rencontré une quarantaine de professionnels scrupuleux, aux techniques parfois non reconnues par l'agronomie moderne et bien-pensante, mais dont les nectars nous procurent davantage que du plaisir : de l'émotion ! Ils refusent la négation de leur terroir, respectent leur environnement et cultivent leurs sols sans les polluer, ni les détruire. Ils réunissent ainsi les critères économiques, écologiques et sociaux d'un authentique développement durable et nous montrent la voie d'une viticulture en phase avec les enjeux de notre époque.

04/2021

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Sciences politiques

Au fil des jours. 1992-2002, chroniques

" Comme beaucoup, j'ai longtemps veillé, la terrible nuit du 11 septembre 2001. On n'observe pas souvent, dans une vie humaine, la lumière dure et blanche de l'apocalypse. Levé à l'aube dans un Paris bizarrement tranquille, j'ai revu les images mille fois répétées des tours qui s'effondrent. J'ai songé aux faubourgs poussiéreux de Karachi. J'ai médité la haine de la Qaïda contre notre temps. J'ai pensé qu'il fallait se tourner vers notre histoire récente, et j'ai entrepris de relire mes 500 et quelques éditoriaux de Courrier international. J'ai confronté avec les faits mes hypothèses d'alors. J'ai revu les années Clinton, Eltsine, Kohl, Mandela, Deng Xiaoping. J'ai voyagé, depuis la Yougoslavie déchirée jusqu'à Hong Kong, depuis le Chili jusqu'au Cachemire. J'ai rencontré des hommes d'État, des petits princes, des mafieux, des dictateurs. J'ai puisé dans ces années quelques signes - parfois des évidences. Aujourd'hui, alors que Dieu seul sait le destin de notre monde, j'ai décidé de rassembler cette masse de faits et d'hypothèses. Placé devant les pages que j'ai écrites, j'ai tenté de choisir les plus fortes. J'aimerais permettre, à tous ceux qui cherchent, comme moi, de se construire une boussole artisanale, avec les moyens du bord, afin de reprendre, peut-être sur des eaux plus tranquilles, notre infini périple à travers l'espace et le temps. " A. A.

04/2003

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Linguistique

A mots découverts. Chroniques au fil de l'actualité

" Essence : Recherchant la pureté absolue des substances qu'ils cuisinaient, les alchimistes appelèrent essentia, essence, le produit d'une distillation. Cinq opérations de purification : c'était la quinte-essence. Au XVIe siècle, ces essences matérielles étaient donc affaire d'alchimistes : on parle toujours d'essences dans le domaine des parfums et certaines essences végétales s'appellent encore des huiles essentielles. " Pendant des années, Alain Rey a enchanté les matins de France Inter avec sa chronique " Le Mot du jour " érudite et réjouissante. De " mouton " à " utopie " en passant par " gendarme ", Alain Rey nous raconte l'étrange aventure des mots de tous les jours, avec cette finesse toujours espiègle qui n'appartenait qu'à lui. Linguiste, lexicologue et inspirateur de la rédaction des dictionnaires Le Robert, Alain Rey (1928-2020) a publié de nombreux ouvrages sur la langue dont L'Amour du français : contre les puristes et autres censeurs du langage, disponible chez Points, et Mille ans de langue française : histoire d'une passion. " Essence : Recherchant la pureté absolue des substances qu'ils cuisinaient, les alchimistes appelèrent essentia, essence, le produit d'une distillation. Cinq opérations de purification : c'était la quinte-essence. Au XVIe siècle, ces essences matérielles étaient donc affaire d'alchimistes : on parle toujours d'essences dans le domaine des parfums et certaines essences végétales s'appellent encore des huiles essentielles. " Pendant des années, Alain Rey a enchanté les matins de France Inter avec sa chronique " Le Mot du jour " érudite et réjouissante. De " mouton " à " utopie " en passant par " gendarme ", Alain Rey nous raconte l'étrange aventure des mots de tous les jours, avec cette finesse toujours espiègle qui n'appartenait qu'à lui. Linguiste, lexicologue et inspirateur de la rédaction des dictionnaires Le Robert, Alain Rey (1928-2020) a publié de nombreux ouvrages sur la langue dont L'Amour du français : contre les puristes et autres censeurs du langage, disponible chez Points, et Mille ans de langue française : histoire d'une passion.

11/2021

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Littérature française (poches)

La fin de Bartleby

L'écrivain B. va mourir. Le narrateur, ami de l'écrivain B. , se rend à son chevet où l'attend, entre autres, l'étrangeté du personnage inventé en 1853 par l'américain Herman Melville et que tout le monde connaît, Bartleby, scribe de son état. On sait que l'énigmatique formule du copiste, "I would prefer not to" , continue de hanter les esprits longtemps après son invention, sa répétition à l'envi. Au-delà de sa fonction performative et quelle qu'en soit la traduction, elle est devenue pour certains, plus qu'un miroir, comme une raison d'être. Le tour a été réussi à la perfection, qui s'accompagne d'un curieux scotome, ou de l'oubli récurrent d'un détail pourtant hautement significatif : la fin de la nouvelle et le sort funeste de Bartleby qui semblait pourtant, si l'on veut bien l'examiner, inéluctablement arrimé à sa formule. Ce récit-essai qui tisse la lecture de Melville et la fin d'un fictif "écrivain de la disparition" , a pour objet, entre autres, la lecture, ce qu'il en reste, une réflexion sur l'écriture et ce qu'elle implique de renoncement au monde, la publication, l'édition, l'amitié littéraire, les bibliothèques, les écrivains, les rapports qu'ils entretiennent parfois entre eux, les rêves. Ce qui alors prend fin ici - pour renaître aussi de ses cendres ? - c'est une certaine époque de la littérature, idéale, avec ses "lecteurs pénétrants" , ses affinités électives, ses bibliothèques hantées, sa mystérieuse collection de paperolles, mais aussi son autotélisme, ses manies byzantines, ses gloires plus ou moins frelatées, ses calculs, ses impasses. On verra bien où ça nous mène. "J'y racontais comment j'avais appris à lire dans une version pour enfant de Moby Dick aux illustrations colorées d'éloquence. La grande baleine blanche, dans sa douceur monstrueuse, son horrible beauté avait bientôt représenté à mes yeux le processus secret de l'écriture sans que je sache vraiment en expliquer les raisons, en identifier les ressorts. Prisonnier du doute, il fallait pourtant que je parte à sa recherche sur le libre élément et que j'y exerce une patience insensée au milieu de ses sillons invisibles. Puis, au sortir d'une nuit étoilée d'écume, pailletée de doublons équatoriaux, je repérais enfin le souffle fabuleux du cachalot qui aspergeait le ciel de hiéroglyphes. Je devais alors poursuivre le grand corps laiteux à la surface d'un océan de formules dans lesquelles abondait du vertige noyé de vérités encore trop profondément immergées pour être lues. Le plus grand animal m'imposait d'attendre peut-être en pure perte qu'il rapportât aux yeux du monde dans le surgissement grandiose de son corps au-dessus d'une houle hyperbolique des messages compliqués, les énigmes inouïes des profondeurs. Mais je finirais, espérais-je, par faire gicler de sa tête en de longues phrases séminales un spermaceti inépuisable de sens. Je percerais ainsi dans ces vagues d'huile éjaculées les mystères de la création. Et pour ces apothéoses exégétiques, cet engendrement littéraire, je serais couronné de gloire et de goémon". Th. B. Thierry Bouchard : il a fondé et dirigé trente années durant la revue Théodore Balmoral et dirige aujourd'hui une collection éponyme aux éditions Fario. Il a publié : Tous ceux qui passent, Deyrolle, 1996, Où les emportes-tu ? , Deyrolle, 1997, Blue Bird's Corner, Fario, 2014.

02/2020

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Littérature française

La fin de rien

Années 1930. Dans un pays de l'Est, un homme est arrêté et conduit à la prison d'Etat où il est interrogé sans ménagement. Il prétend être représentant de commerce, s'appeler Greedich, mais ses geôliers lui donnent du Monsieur Hortsman. Il veut que l'on prévienne sa femme. Les bourreaux assurent qu'il n'est pas marié. Les questions pleuvent comme les coups. Hortsman appartient à une organisation terroriste qui vise l'armée. Mais l'homme maintient être Greedich.

08/2015

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Science-fiction

La fin de tout

"Le jour de mes soixante-quinze ans, je me suis engagé". Ainsi commençait Le Vieil Homme et la Guerre, le premier livre de la série. Mais le temps a passé depuis l'époque où la Terre alimentait benoîtement les Forces de défense coloniale en chair à canon. A présent, c'est non. Et, désormais au régime sec, l'Union coloniale regarde se cabrer les mondes qu'elle a colonisés. On se prend ici et là à revendiquer son indépendance. Et tout cela dans un univers où l'espèce humaine est loin d'avoir la cote. Prise entre le Conclave, puissante confédération de peuples extraterrestres plus ou moins hostiles, et ses propres divisions internes, l'humanité pourrait bien faire face à la fin de tout. D'autant qu'une organisation clandestine en plein essor hante l'obscurité de l'espace et qu'elle oeuvre à dresser par tous les moyens les uns contre les autres. "Salut. Je m'appelle Rafe Daquin et je suis un cerveau en boîte".

02/2017

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Poésie

La Fin de Satan

"Antres noirs du passé, porches de la durée Sans dates, sans rayons, sombre et démesurée, Cycles antérieurs à l'homme, chaos, cieux, Monde terrible et plein d'êtres mystérieux, Ô brume épouvantable ou les préadamites Apparaissent, debout dans l'ombre sans limites, Qui pourrait vous sonder, gouffres, temps inconnus ! Le penseur qui, pareil aux pauvres, va pieds nus Par respect pour Celui qu'on ne voit pas, le mage, Fouille la profondeur et l'origine et l'âge, Creuse et cherche au-delà des colosses, plus loin Que les faits dont le ciel d'à présent est témoin, Arrive en pâlissant aux choses soupçonnées, Et trouve, en soulevant des ténèbres d'années, Et des couches de jours, de mondes, de néants, Les siècles monstres morts sous les siècles géants. Et c'est ainsi que songe au fond des nuits le sage Dont un reflet d'abîme éclaire le visage". Extrait de Et nox facta est, IX

08/1984

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Littérature française

La Fin de Chéri

"Tout est foutu ! J'ai trente ans ! " : exaltation et désespoir de Chéri, alors qu'il revient de la Grande Guerre et ne reconnaît plus le monde qu'il a quitté. L'heure est au négoce et à l'appât du gain. Son épouse, autrefois muette et effrayée, gère désormais les affaires du couple. Son ancienne maîtresse est devenue une vieille femme obèse qui a tiré un trait sur sa vie passée. En retournant à son existence oisive d'avant-guerre, Chéri ne sait plus quel rôle tenir et découvre son incapacité à s'adapter. Désoeuvré et apathique, enfermé dans une solitude complète et étranger aux valeurs auxquelles se raccroche la société, le jeune homme choisira la mort. Représentant de cette génération ravagée par un nouveau mal du siècle, Chéri prend place parmi les grandes figures romanesques de l'immédiat après-guerre, aux côtés des héros de Mauriac, de Radiguet, de Cocteau ; de ceux, en somme, qui ont donné la parole à l'adolescence inquiète et aux enfants terribles.

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Esotérisme

La fin de Dieu

Le jour où nous comprenons qui nous sommes, notre vie change. Ce changement est dû à l'augmentation de notre niveau de conscience mais également grâce à l'origine stellaire qui compose notre âme. En effet, plus notre conscience évolue, plus nous changeons. Encore faut-il vouloir emprunter ce chemin. La terre que nous connaissons abrite plusieurs plans de consciences, de vibrations, de dimensions. Si nous sommes ici, maintenant, ce n'est pas par hasard : nous répondons à une "mission de vie?". Cette mission est juste et nécessaire. Elle prendra tout son sens dans l'acceptation. Qui sommes-nous ? Quelle est cette mission ?

11/2022

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Mouche

La Fin de Velvet

Au milieu de la nuit, à l'heure où les monstres se réveillent, Lima découvre sa grande soeur dans la chambre. Pourtant, hier encore, Velvet dormait à l'hôpital. "Dépêche-toi, on va être en retard", lui dit-elle en lui tendant ses chaussures. Lima accompagnerait sa grande soeur jusqu'au bout du danger. Dehors, il y a plein de bruits inconnus. On dirait que la nuit parle une langue étrangère. Et une ombre étrange semble les suivre.

09/2023

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Poésie

Fin de la mythologie

MISERE Parce que la cuirasse de force m'était trop courte on m'a chaussé des jambières d'un chevalier on m'a enfoncé le heaume jusqu'aux yeux et mes bras on les a coupés - au cas où. Puisque depuis lors je ne croise plus que des chevaliers j'accours pour leur serrer la main je m'empresse de leur serrer la main je me hâte de leur serrer la main. Et parfois je reste en vie.

10/2021

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Autres

De la fin. Conversations

Le philosophe Alain Badiou, en dialogue avec Giovanbattista Tusa, propose ici d'abandonner la thèse heideggérienne d'une unité destinale de la philosophie, sous le nom de métaphysique. Plutôt que d'af ? rmer qu'il n'y a pas de vérité, il s'agirait alors de reconstruire une relation entre les vérités et un absolu non transcendant. En menant une critique radicale de la doctrine de la ? nitude, qui nous rappelle que l'être humain est mortel et qui af ? rme le relativisme culturel et le caractère inachevé de tout accès au vrai, le philosophe entend ainsi montrer comment le concept d'in ? ni serait la condition des vérités universelles.

10/2023