Recherche

Colonne

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Colonne

En août 1936, au début de la Guerre d'Espagne, la philosophe Simone Weil, qui n'a pas trente ans, part rallier le front d'Aragon et les brigades internationales de la colonne Durutti. Lors d'une offensive sur les bords de l'Ebre, elle se blesse en plongeant le pied dans une bassine d'huile brûlante. Rapatriée à l'arrière puis soignée à l'hôpital de Sitgès, elle rentre en France le 25 septembre accompagnée de ses parents. Elle passe quarante-huit jours en Espagne. De ce séjour, nous ne savons rien ou presque. Un passeport, des notes éparses d'un "Journal d'Espagne" portées sur un cahier dont il subsiste trente-quatre feuillets, des lettres et des photographies en uniforme. Agir, penser, écrire, serait une seule et même chose. Du mystère d'une vie brève, du tremblé affectif d'un engagement qui refuse autant le fascisme que le meurtre d'un petit phalangiste de seize ans, Adrien Bosc a tiré un roman aux phrases claires et lumineuses. Au milieu du chaos d'une guerre civile fratricide, il nous conte une existence intense et tragique, dont le combat en Espagne fut le point de bascule. Colonne, dernier volet d'une trilogie amorcée avec Constellation, puis Capitaine - raconte la collision de destins rassemblés en une communauté provisoire -faisceau de récits de vie qui éclatent en trajectoires contraires, séparées et pourtant réunies jusqu'à se confondre à l'infini. Des dates et des mots qui s'effacent, des courriers et des tombes qu'on oublie.

01/2022

ActuaLitté

Philosophie

La cinquième colonne

La " cinquième colonne " est un phénomène politico-social tout à fait spécifique, aussi bien dans l'Antiquité que dans le monde moderne. Elle est, essentiellement, un phénomène de contre-révolution préventive. Elle est aussi, et tout aussi essentiellement, un phénomène de trahison. Alexandre Koyré

09/1997

ActuaLitté

Renaissance

Une colonne de feu

La saga des Piliers de la terre et du Monde sans fin, qui a captivé des millions de lecteurs, se poursuit aujourd'hui avec Une colonne de feu, la nouvelle épopée sensationnelle de Ken Follett. En 1558, les pierres patinées de la cathédrale de Kingsbridge dominent une ville déchirée par la haine religieuse. En Angleterre, le pouvoir passe de manière précaire des mains des catholiques à celles des protestants et Elisabeth Tudor devient reine. Toute l'Europe se dresse contre elle. La jeune souveraine, habile et déterminée, crée les premiers services secrets du pays, afin d'être avertie à temps des complots qui se trament contre sa vie, des projets de rébellion et des plans d'invasion. A Paris, Marie, reine d'Ecosse, proclamée souveraine légitime de l'Angleterre, attend son heure. Jeune femme séduisante et obstinée appartenant à une famille française d'une ambition sans scrupules, elle réunit autour d'elle de nombreux partisans qui intriguent pour se débarrasser d'Elisabeth. Ned Willard n'a qu'un désir : épouser Margery Fitzgerald. Mais lorsque les amoureux se retrouvent de part et d'autre de la fracture religieuse qui divise l'Angleterre, Ned se place au service de la princesse Elisabeth. En ce demi-siècle tourmenté où l'extrémisme attise la violence d'Edimbourg à Genève en passant par Paris, l'amour entre Ned et Margery paraît condamné. Ned traque l'énigmatique et insaisissable Jean Langlais, espion français à la solde des catholiques, ignorant que sous ce faux nom se dissimule un ancien camarade de classe qui ne le connaît que trop bien. Elisabeth s'accroche désespérément à son trône et à ses principes, protégée par son petit cercle dévoué d'espions ingénieux et d'agents secrets courageux. Alors comme aujourd'hui, les religions rivales ne sont pas le coeur du conflit. La véritable bataille oppose les adeptes de la tolérance et du compromis aux tyrans décidés à imposer leurs idées à tous les autres – à n'importe quel prix. Ayant pour cadre une des périodes les plus mouvementées et les plus révolutionnaires de l'histoire, Une colonne de feu est l'un des ouvrages les plus captivants et les plus ambitieux que Follett ait écrits à ce jour. Il saura séduire les admirateurs de longue date de la série de Kingsbridge aussi bien que les nouveaux venus dans son univers.

09/2017

ActuaLitté

Petits classiques parascolaire

La colonie

Des hommes et des femmes réfugiés sur une île déserte, ou presque. Un nouveau gouvernement à fonder. C'est l'occasion pour les femmes de faire entendre leur voix et de demander à participer aux lois. La Colonie condense, en un acte, l'esprit des Lumières. Elle met en scène de réelles confrontations de valeurs sur fond de fantaisie et de légèreté. Une pièce drôle et accessible qui aborde des questions tout à fait actuelles. Recommandé pour les thèmes du nouveau programme : 4e - Individu et société : confrontation de valeurs ? Une approche vivante : l'interview fictive de l'auteur ; le contexte historique avec une frise chronologique ; la présentation des personnages. Des outils complets : des notes et des encadrés culturels ; de nombreuses pauses lecture avec des activités variées ; des documents iconographiques exploités. En fin d'ouvrage, le dossier du collégien : un quizz pour vérifier la compréhension ; l'oeuvre en un coup d'oeil ; des repères pour mieux lire et analyser ; un groupement de textes complémentaires ; des lectures d'images ; un lexique du théâtre.

01/2018

ActuaLitté

Policiers

La Colonie

A l'ombre de la cordillère des Andes, la bête immonde a survécu...Samuel Atlan possédait la capacité de se souvenir de tout. Un cas rare d'hypermnésie, selon les médecins. Une mémoire sans faille, à l'exception d'une seule : Samuel ne se rappelait rien de ce qui précédait le jour où on l'avait trouvé, à l'âge de sept ans, errant au bord d'une route. Quand son passé refait surface de la plus singulière des façons, il se retrouve confronté aux versants les plus sombres de la science nazie, traquant sans le savoir, entre Paris et les plaines du Sud chilien, l'un des pires monstres qu'ait engendré l'Histoire...

05/2014

ActuaLitté

Littérature étrangère

La colonie

Elspeth Baillie, jeune actrice écossaise, est choisie par Lord Coak, un énigmatique imprésario, pour jouer dans la troupe de théâtre qu'il veut créer dans l'île de la Barbade. Après un accueil flatteur de la part de l'aristocratie coloniale, sa vie dans les Caraïbes est bouleversée par le passage meurtrier d'un ouragan. Elspeth est contrainte d'endosser un rôle ambigu et temporaire dans le monde fermé d'une lointaine plantation de sucre. Elle devient prisonnière de La Colonie, une entreprise dont le principe fondateur est la domination blanche. Le capitaine Shaw, l'intendant, s'emploie à construire une nouvelle Calédonie, peuplée d'émigrés écossais fuyant la misère du pays natal. Elspeth et ses compatriotes n'y trouvent qu'un sentiment de perte et d'intemporalité. Elle essaie de donner un sens à sa vie et à ses ambitions de jeunesse au milieu d'un peuple de naufragés rêvant de leur foyer. Ses espoirs d'un nouveau monde, plein de théâtre et de passion, entrent en collision avec les drames trop réels et les amours illusoires de la vie coloniale. Une série d'événements catastrophiques et de brutales erreurs historiques briseront ce cycle. Avec sa richesse linguistique et sa narration hypnotique pleine de retournements, ses personnages pleins de désir de vivre et de croire, le roman de Dolan interroge sur ce qui fait une Nation. Les lignées ? Le langage ? L'Histoire ? Ou un idéal pour l'avenir ?

04/2016

ActuaLitté

Science-fiction

Une colonie

Un groupe de cinq cents personnes a été envoyé dans l'espace pour coloniser une autre planète. Dans un état de semi-conscience, les êtres humains en devenir qu'ils sont suivent une éducation qui leur est dispensée par une intelligence artificielle. A trente ans, ils seront parfaitement formés pour appréhender leur nouveau monde. Mais après quinze ans seulement, une explosion à bord du vaisseau en tue la majorité et détruit la plus grande partie de leurs vivres. Nus, terrifiés, les soixante jeunes rescapés tentent d'utiliser l'IA pour mettre sur pied leur colonie, mais les luttes de domination font bientôt leur apparition, et ils découvrent que leur pire ennemi n'est ni l'environnement hostile, ni l'IA, mais bien leurs pairs.

ActuaLitté

Science-fiction

Une colonie

Cinq cents humains ont été envoyés dans l'espace pour coloniser une autre planète. Dans un état de semi-conscience, ils recevront une éducation dispensée par une intelligence artificielle et se réveilleront à trente ans, formés pour appréhender leur nouveau monde. Mais après quinze années, une explosion à bord du vaisseau tue la majorité d'entre eux et détruit leurs vivres. Les soixante adolescents rescapés, eux, n'ont pas terminé leur apprentissage. Terrifiés, démunis, ils essaient d'établir tant bien que mal leur colonie. Et découvrent bientôt que leur pire ennemi n'est ni l'environnement hostile, ni l'IA, ni le manque de nourriture... mais eux-mêmes. Drapée dans une atmosphère prenante, cette relecture de Sa majesté des mouches nous interroge sur la construction de l'identité ainsi que sur notre rapport aux technologies et au vivant. Librairie Mot à mot (Fontenay-sous-bois), Page des libraires. Ce roman confirme l'exceptionnel talent de créateur d'univers de Hugh Howey. Sciences et Avenir. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Aurélie Tronchet.

04/2024

ActuaLitté

Littérature étrangère

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

ActuaLitté

Littérature française

La colonne infernale. Tome I

"La Colonne Infernale" est un roman historique écrit par Gaston Leroux. Voici un résumé du contenu du premier tome : L'histoire se déroule pendant la période de la Révolution française, plus précisément pendant la Terreur, une période de violence et d'instabilité politique en France. La "Colonne Infernale" fait référence à une division militaire républicaine dirigée par un général sans pitié, Augustin Robert, qui est chargée de réprimer les contre-révolutionnaires en Vendée. Le personnage principal du premier tome est le jeune noble Théodore de Varin, qui se trouve pris dans les tourbillons de la Révolution française. Malgré ses origines aristocratiques, Théodore se trouve du côté républicain et se joint à la Colonne Infernale, espérant que cela le protégera de la Terreur. Cependant, Théodore est confronté à des dilemmes moraux alors qu'il est témoin des atrocités commises par la Colonne Infernale contre les habitants de Vendée, y compris des civils innocents. Il se lie d'amitié avec des révolutionnaires modérés et des habitants locaux qui souffrent des exactions de la Colonne Infernale. Au fil du roman, Théodore est confronté à des choix difficiles entre sa loyauté envers la République et ses convictions morales. Il se pose des questions sur la légitimité des actions de la Colonne Infernale et sur les conséquences de la Révolution. "La Colonne Infernale" explore des thèmes tels que la loyauté, la moralité, la violence politique et les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les individus en temps de révolution. C'est une oeuvre historique captivante qui offre un aperçu des horreurs de la Terreur pendant la Révolution française.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

La colonne infernale. Tome II

"La Colonne Infernale" est un roman historique écrit par Gaston Leroux. Voici un résumé du contenu du deuxième tome : L'histoire se poursuit dans la période tumultueuse de la Révolution française, en se concentrant sur les événements liés à la Terreur en Vendée. Le général Augustin Robert continue de diriger la redoutable Colonne Infernale, chargée de réprimer les contre-révolutionnaires et les insurrections royalistes dans la région. Le personnage principal, Théodore de Varin, un jeune noble républicain, se trouve toujours au coeur de l'action. Il est confronté à des défis moraux de plus en plus grands alors qu'il assiste aux horreurs commises par la Colonne Infernale. Théodore s'efforce de maintenir son intégrité morale tout en obéissant aux ordres républicains. Dans ce deuxième tome, l'intrigue se développe autour des relations de Théodore avec d'autres personnages, notamment des révolutionnaires modérés et des habitants locaux de Vendée. Les alliances se forment et se brisent alors que la situation devient de plus en plus chaotique. L'auteur, Gaston Leroux, explore les thèmes de la loyauté, de la morale, de la violence politique et de la complexité des relations humaines en temps de révolution. Le lecteur est plongé au coeur des événements historiques qui ont secoué la France à l'époque de la Révolution. Ce deuxième tome de "La Colonne Infernale" approfondit les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les personnages et offre un aperçu des conséquences dévastatrices de la Terreur en Vendée.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

La colonne infernale. Tome III

"La Colonne Infernale" est un roman historique écrit par Gaston Leroux. Voici un résumé du contenu du deuxième tome : L'histoire se poursuit dans la période tumultueuse de la Révolution française, en se concentrant sur les événements liés à la Terreur en Vendée. Le général Augustin Robert continue de diriger la redoutable Colonne Infernale, chargée de réprimer les contre-révolutionnaires et les insurrections royalistes dans la région. Le personnage principal, Théodore de Varin, un jeune noble républicain, se trouve toujours au coeur de l'action. Il est confronté à des défis moraux de plus en plus grands alors qu'il assiste aux horreurs commises par la Colonne Infernale. Théodore s'efforce de maintenir son intégrité morale tout en obéissant aux ordres républicains. Dans ce deuxième tome, l'intrigue se développe autour des relations de Théodore avec d'autres personnages, notamment des révolutionnaires modérés et des habitants locaux de Vendée. Les alliances se forment et se brisent alors que la situation devient de plus en plus chaotique. L'auteur, Gaston Leroux, explore les thèmes de la loyauté, de la morale, de la violence politique et de la complexité des relations humaines en temps de révolution. Le lecteur est plongé au coeur des événements historiques qui ont secoué la France à l'époque de la Révolution.

09/2023

ActuaLitté

Littérature Italienne

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

03/2024

ActuaLitté

Allemagne

Cologne. 4e édition

De l'Altstadt aux maisons-grues du Rheinauhafen, du quartier d'Ehrenfeld aux rives du Rhin, du musée Ludwig au Volksgarten de la Südstadt, Cologne se déploie en un clin d'oeil avec un guide pas comme les autres. - Un concept unique : des cartes grand format dépliables par quartier - Les incontournables, visites, sorties et shopping localisés sur les cartes - Des idées pour découvrir la ville hors des sentiers battus. Tous les bons plans testés par nos auteurs-voyageurs pour vivre à l'heure de Cologne !

09/2021

ActuaLitté

Science-fiction

La Colonie NT5

Peu de temps avant sa mort, le célèbre physicien Stephen Hawking avait déclaré que l'humanité disparaîtrait probablement d'ici un siècle si elle ne colonisait pas une autre planète. Dans l'espoir de conjurer cette perspective, il avait lancé avec le milliardaire Yuri Milner le programme Breakthrough Starshot, visant à démontrer la faisabilité du voyage interstellaire au moyen de la technologie de la voile photonique. Ce roman imagine la réussite du projet : on suit la progression d'un vaisseau automatisé, chargé de gamètes congelés, jusqu'à l'exoplanète Proxima b du Centaure. Une colonie se développe peu à peu, attentive aux signes de maladies mentales que l'éducation par des machines est réputée favoriser. Mais un incident passé inaperçu aura de lourdes conséquences...

02/2023

ActuaLitté

Policiers

La 14e colonie

Une conspiration menace les Etats-Unis. Elle trouve son origine dans une société secrète fomentée durant les deux guerres d'indépendance du pays. Pour la déjouer, Cotton Malone va devoir faire le lien entre trois faits historiques. 1783. Des révolutionnaires américains et des Français fondent une société secrète, La Société des Cincinnati, présidée par George Washington. 1812. Lors de la guerre anglo-américaine, un plan est échafaudé aux plus hauts échelons du gouvernement américain. Son nom de code : la 14e Colonie. 1982. Reagan et Jean-Paul II ont, dans la bibliothèque du Vatican, une conversation en tête à tête dont rien n'a jamais filtré. " Avec ses thrillers palpitants, Steve Berry fait preuve d'un véritable don pour entrelacer le présent et l'Histoire. " Harlan Coben " Steve Berry est sans conteste LE maître du genre. " Dan Brown

11/2017

ActuaLitté

Généralités

La dernière colonie

" Je souhaite attirer votre attention sur une injustice qui dure depuis cinquante ans. " Lettre de Jean-Marie Gustave Le Clézio à Barack Obama (2009)

ActuaLitté

Généralités

La dernière colonie

Dans les années 1960, la Grande-Bretagne sépare Diego Garcia et les cinquante-quatre autres îles des Chagos de la toute jeune République indépendante de Maurice. La raison secrète : offrir aux Etats-Unis une base militaire sur Diego Garcia, la plus grande île de l'archipel. Les Chagossiens qui y demeuraient depuis le XVIIIe siècle sont chassés brutalement de leur foyer et contraints à l'exil. Parmi eux, Liseby Elysé, une jeune mariée, enceinte de son premier enfant. Depuis cinquante ans, elle se bat pour pouvoir retourner sur son île natale. C'est ce combat que Philippe Sands retrace, en mettant en lumière les horreurs persistantes de l'impérialisme britannique, les crimes racistes dont Mme Elysé et ses compatriotes chagossiens ont été les victimes, et le long cheminement du droit international moderne pour que soit reconnu et jugé ce crime contre l'humanité. Traduit de l'anglais (Grande-Bretagne) par Agnès Desarthe.

04/2024

ActuaLitté

Littérature française

La colonie migratoire

Récit métaphorique sur la ségrégation, le totalitarisme et l'insoumission, cette fable morale décrit la servitude imposée à un peuple pour le plaisir d'un autre. Sous la discipline impitoyable de Capitaines, des détenus soumis à l'autorité de Sentinelles et de Surveillants tentent de survivre dans les Limites d'un Camp. Après plusieurs tentatives, un seul prisonnier réussira cependant à s'échapper, mais pour quel destin ? La Colonie migratoire est un récit d'une subtile ambiguïté en même temps que d'une implacable lucidité dramaturgique magnifiée par le style et la langue de Rudefoucauld. Une surprenante leçon de littérature.

02/2024

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Description d'Olonne

Une ville qui n'existe pas, mais décrite par le menu, avec une précision (une joie, aussi) de maquettiste : rue par rue, lieu par lieu, avec ses grands passants, ses fantômes, son ton. Ville du bord de l'eau (comme si, entre la Garonne et la Loire, un autre fleuve et un autre estuaire avaient existé), ville où la donne de l'utopie a été plus généreuse qu'ailleurs, ville qui a donc beaucoup rêvé et qui, à son tour, fait rêver. Ecrite à partir de son plan dessiné un jour de désoeuvrement, Olonne est devenue une sorte d'absolu de la fiction, une sorte de vertigineux " comme si ", qui est aussi comme un roman. Description d'Olonne a obtenu le prix France Culture en 1992.

04/2010

ActuaLitté

Policiers

L'ogre et la colonne brisée

"Carter, comme tous les matins depuis quelques semaines, commence sa journée, attablé à sa petite table de cuisine, à déguster du doux thé bleu de Chartres. Quelques minutes plus tôt, il vient de couper sa connexion Skype avec Bienvenu. Avec L'Ogre et sa traque, Carter avait frémi, avait rêvé, avait vécu à cent à l'heure ! Carter avait aimé l'ère de l'Ogre. Et, depuis, Carter s'ennuie". Maman est toujours là. Devenu le "Saigneur" de la Eme, l'Ogre assouvit sa faim. De Cancun à Mexico, Carter oublie d'abord son ennui à travers les délices du Yucutan. C'est un nouvel art. Celui du dépeçage artistique, que l'Ogre dessine pour l'enfer des policiers français et mexicains. Carter, Olivier, Ben mais aussi Fran et Antonio pourront-ils mettre fin aux déviances maladives de l'insaisissable tueur en série français ? Nath Winter est née à Paris en 1967. Bram Stoker, Stephen King, Edgar Allan Poe berceront son adolescence au même titre que Jules Verne, Anne et Serge Golon. Après L'Ogre du Perche, elle revient nous glacer le sang avec L'Ogre et la colonne brisée, un deuxième tome enivrant qui nous plonge davantage dans les noires pensées d'un tueur.

01/2019

ActuaLitté

Littérature française (poches)

La tranchée de Calonne

Comme le fit Larbaud pour le duché d'Allen, Michel Bernard élève le Barrois mouvant, son pays natal sublimé, singulier désert et "marche" de l'ancien royaume, à la dignité d'une France immémoriale. En de saisissants raccourcis se tisse une fresque au grain serré où les figures mythiques de Jeanne d'Arc et de Charles de Gaulle, l'ombre des druides et celles des sacrifiés de Verdun, les rêves de Barrès et l'empreinte de Ligier-Richier, la silhouette de Ravel ambulancier et le fantôme d'Alain-Fournier se mêlent et s'entrecroisent. "Les paysages, écrit l'auteur, sont nos royaumes". Courte phrase qui pourrait servir d'épigraphe à ce récit musical et tourmenté que l'on croirait composé par un moderne Michelet.

10/2018

ActuaLitté

Histoire de France

La colonie du niger

La Colonie du Niger est la Benjamine des Colonies françaises ; les débuts de sa conquête et son occupation datent seulement de 1897. Comme ses aînées, elle a d'abord été placée sous la tutelle militaire ; elle a vu ensuite son émancipation se réaliser progressivement, en même temps qu'elle changeait de nom et parfois de forme. Par Décret du 23 juillet 1900, elle recevait le nom de Territoire Militaire de Zinder, qu'elle devait conserver pendant dix ans, et était rattachée à la Colonie du Haut-Sénégal-Niger. Un Arrêté du Gouverneur Général de l'A O F, en date du 22 juin 1910, la détachait du Haut-Sénégal-Niger, l'augmentait du Cercle de Gao et lui donnait le nom de Territoire Militaire du Niger. L'année suivante, elle cédait le Cercle de Gao à la région de Tombouctou (arrêté du 21 juin 1911) et était rattachée directement au Gouvernement Général de l'A O F (Arrêté du 7 juillet 1911). Le Décret du 4 décembre 1920 la transformait en Territoire Civil Autonome, dernière étape avant son accession au rang et nom de Colonie du Niger que lui conférait le Décret du 13 octobre 1922. La Capitale du Niger, modestement installée, au début, à Sorbo Haoussa, puis à Niamey, a été transférée en janvier 1911 à Zinder. Elle a été ramenée à Niamey à la fin de 1926.

12/2010

ActuaLitté

12 ans et +

Le libraire de Cologne

#ScrineoHistoire - L’Histoire racontée à travers la vie des grandes figures qui l’ont marquée ! Des romans avec des cahiers documentaires à la fin des récits afin d’aider les lecteur.rice.s à contextualiser l’histoire vécue par ses personnages.

Le roman est le lauréat du Grand Prix SGDL du Roman Jeunesse 2021

Quand l’amour des livres est plus fort que la haine… 

Cologne, Allemagne. 1934. Poussé à l’exil par les lois anti-juives, le libraire Alexander Mendel est obligé de s’exiler en France avec sa famille. Il confie sa librairie à son jeune employé, Hans Schreiber.

Par fidélité à son mentor et par haine du régime nazi, Hans décide de se battre, malgré les menaces et les bombes, pour que la Librairie continue à vivre dans cette période tragique.

Inspirée d’une histoire vraie, le combat d’un libraire, héros ultime d’un pays où règnent la haine et la terreur, qui tente de faire triompher les livres… et la liberté.

02/2020

ActuaLitté

Science-fiction

Logbook de la colonie

Bienvenue dans le métavers ! A l'issue de trois pandémies dévastatrices, des humains participent à l'expérimentation d'une vie entièrement dématérialisée. Toutes les relations, intimes, amicales et professionnelles, se déroulent sur une plateforme de simulation. Même s'ils n'ont pas le droit de quitter leurs cellules de confinement, les participants ne s'ennuient pas, car le gouverneur de la Colonie les engage dès leur plus jeune âge dans des jeux de rôles hautement concurrentiels. Le Logbook recueille les témoignages des profils enrôlés dans le Jeu de la Tour no5, dont l'équilibre déjà précaire est fragilisé par l'arrivée d'un agent infiltré. Ce roman d'un nouveau genre a été co-écrit par Alexandra Saemmer, Sébastien Appioti, Brice Quarante, Françoise Cahen, Crançoise Chambefort, et illustré par Adrien Brunel.

06/2022

ActuaLitté

Napoléon

Napoléon. La dernière colonie

"Il n'y a pas de si, de mais, ni de car !", rétorquait Napoléon à celui qui osait discuter ses plans. Pourtant, ce qu'il demanda à Decrès, son ministre de la Marine et des Colonies, dépassait l'entendement : envoyer dix mille hommes à Java, la belle colonie qu'il avait acquise en annexant la Hollande à l'Empire en 1810. L'Empereur ignorait-il que la flotte britannique régnait sur toutes les mers du globe et que toutes les colonies avaient été conquises, les unes après les autres, par les Anglais ? Face à ce défi insurmontable, Decrès, avec une habileté certaine, fit monter une opération qui entraîna l'échec de l'expédition et servit éventuellement ses intérêts…

06/2022

ActuaLitté

Autres collections (6 à 9 ans)

Ninie et sa colonie

Ninie fait partie d'une colonie de fourmis. Ensemble, elles mènent un certain nombre de missions. Aujourd'hui, la reine étant malade, elles doivent se rendre à la pâtisserie afin de trouver des médicaments pour la soigner. Seulement, tout ne se passe pas comme prévu...

06/2022

ActuaLitté

Littérature française

Le silence de Cologne

Arnold remonte la rue vers son atelier. Il est inquiet. Il ne veut pas être chassé de la ville. Il ne fait de mal à personne. Il travaille à Cologne depuis dix ans. Son atelier fonctionne bien. Ses clients sont contents. Lui et ses compagnons sont de bons chrétiens. Arnold sait que sa religion est différente de la religion catholique. Il se dit que ce n'est pas important car tout le monde prie le même Dieu. Arnold ne veut pas se laisser faire.

11/2014

ActuaLitté

Littérature française

Les colonnes du temple

Les colonnes du temple / André Lebey Date de l'édition originale : 1900 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2020

ActuaLitté

Lycée

La colonie ; La dispute

Les femmes de La Colonie veulent participer aux décisions politiques. Mais leurs revendications se heurtent à la tradition... et à la ruse des hommes ! Une autre confrontation anime La Dispute : qui, de l'homme ou de la femme, s'est montré inconstant le premier ? Savoureuses et originales, ces deux pièces en un acte proposent des expérimentations riches en échos contemporains. TOUT POUR COMPRENDRE- Notes lexicales- Biographie de l'auteur- Contexte historique et culturel- Genre de l'oeuvre- Chronologie et carte mentaleTOUT POUR REUSSIR- Explications linéaires guidées- Sujets de commentaire- Sujet de dissertation- Histoire des artsGROUPEMENTS DE TEXTES- Le statut de la femme en question- Variations autour de l'inconstanceCAHIER ICONOGRAPHIQUE.

02/2023