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Des jours sans fin

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Littérature étrangère

Des jours sans fin

Chassé de son pays d'origine par la Grande Famine, Thomas McNulty, un jeune émigré irlandais, vient tenter sa chance en Amérique. Sa destinée se liera à celle de John Cole, l'ami et amour de sa vie. Dans le récit de Thomas, la violence de l'Histoire se fait profondément ressentir dans le corps humain, livré à la faim, au froid et parfois à une peur abjecte. Tour à tour Thomas et John combattent les Indiens des grandes plaines de l'Ouest, se travestissent en femmes pour des spectacles, et s'engagent du côté de l'Union dans la guerre de Sécession. Malgré la violence de ces fresques se dessine cependant le portrait d'une famille aussi étrange que touchante, composée de ce couple inséparable, de Winona leur fille adoptive sioux bien-aimée et du vieux poète noir McSweny comme grand-père. Sebastian Barry offre dans ce roman une réflexion sur ce qui vaut la peine d'être vécu dans une existence souvent âpre et quelquefois entrecoupée d'un bonheur qui donne l'impression que le jour sera sans fin.

01/2018

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Littérature étrangère

La fin des jours

Turin, dans un futur proche. Giovanni Ceresa est professeur de lycée et s'occupe de son père, qui n'a plus toute sa tête. C'est du reste le cas de nombreux habitants, qui perdent peu à peu la mémoire et ne se soucient plus que de survivre dans une ville envahie par des bandes de clochards violents et par les jeunes marginaux d'une secte apocalyptique dont fait également partie Carla, la sour de Giovanni. Pour ne pas perdre la mémoire à son tour et sur le conseil de son ami Winnie, Giovanni tient un journal dans lequel il note tout ce qu'il vit, et jamais ne se sépare d'un magnétophone qui lui permet d'enregistrer chaque conversation. Winnie est la seule personne sur laquelle il peut compter et à qui il peut se confier. Mais ne lui fait-il pas trop confiance ? Ne se laisse-t-il pas manipuler par quelqu'un qui s'inquiète curieusement de son sort, alors que celui des autres l'indiffère ? Au terme d'une immersion dans sa propre mémoire et dans les rues d'une ville qui, comme tout le pays, semble plongée dans une véritable guerre civile, Giovanni n'aura d'autre choix que de se confronter à ses découvertes. "Dystopie" à la Orwell inspirée par L'Enfer de Dante, La fin des jours est un roman haletant qui n'oublie jamais de poser des questions actuelles : qu'est-ce qu'un individu et que valent les libertés individuelles ? Existe-t-il encore une société et une sphère publiques ? Peut-on accepter une forme de contrôle social ou devons-nous nous défendre pied à pied ?

04/2012

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Critique

Le fil sans fin

"Nous autres, enfants de l'Europe des riches, qui a produit Auschwitz, nous qui passons pour des êtres civilisés, vivant dans une paix apparente depuis plus de soixante-dix ans, nous pensions être sortis de tout cela. Et aujourd'hui que le monde en est réduit au sauve-qui-peut, aujourd'hui que la grande fuite a commencé, nous sommes encore tout imprégnés du sentiment déraisonnable d'être étrangers aux désastres qui nous environnent". Face à tant de violence destructrice, d'où pourrait bien venir un élan de reconstruction de l'Europe ? Qu'y a-t-il encore d'authentique dans un Occident submergé par le matérialisme ? Pourrons-nous nous rétablir sans avoir besoin d'autres guerres et catastrophes ? A l'urgence de ces questions, Paolo Rumiz cherche une réponse dans les lieux et parmi les personnes qui continuent de tenir le fil des valeurs essentielles. Ce sont les disciples de Benoît de Nursie, le saint patron de l'Europe. Rumiz les a cherchés dans leurs abbayes, de l'Atlantique aux rives du Danube, des lieux plus forts que les invasions et les guerres. A l'heure où les semeurs d'ivraie tentent de déchirer l'utopie de leurs pères, les hommes qui y vivent selon une "règle" plus que jamais valable aujourd'hui nous disent que l'Europe est, avant tout, un espace millénaire de migrations.

08/2022

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Littérature française

Jour, nuit, hiver sans fin

Un univers âpre où se télescopent violence et poésie Un univers âpre où se télescopent violence et poésie. Celles des hommes et celles de la nature. L'auteur y situe l'itinéraire complexe d'une femme moderne, Anne Delamare. C'est l'analyse subtile de sa relation avec ses souvenirs. C'est, dans son activité professionnelle et dans sa vie privée, la chronique de ses échanges, duels cruels ou complicités amicales ou sensuelles, avec ceux qui l'entourent. Comment rester indifférent à l'érudition ironique de Thomas et surtout à l'image obsédante de Lili, qui flotte dans ce récit comme un air de violon et qui perdure au-delà du drame.

12/2018

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Romans noirs

Jusqu'à la fin des jours

Toussaint est un enfant ordinaire. A première vue, du moins. Coincé entre une mère violente et un père léthargique, voilà qu'il se persuade un jour qu'il est mort. Alors, il essaie de comprendre, lutte pour se défaire de cet inextricable tourment existentiel, mais rien n'y fait. Toussaint voit les jours défiler avec cette impression diffuse d'existence intermédiaire : vivant parmi les morts ? Ou bien mort parmi les vivants ? Et quelle différence ? Louison, quant à elle, voit un beau matin sa vie pulvérisée en haute définition. N'en subsistent qu'une carcasse fumante et un cercueil vide. Livrée à elle-même, Louison va devoir apprendre à maîtriser d'étranges pulsions qui l'assaillent, froides et électriques. Seul refuge pour elle, la tombe de sa mère. Et soudain survient ce jour inouï, celui du compte à rebours des jours de Toussaint, et commencent alors les pérégrinations macabres et loufoques de ces deux êtres poussés dans la marge du monde, unis par leurs différences autant que par les circonstances. Une grille de fer grince, puis sous leurs pas le gravier crisse : les voilà maîtres désormais de cet endroit où se cristallisent les craintes, les angoisses. Ce lieu du repos éternel, cerné de hautes murailles de pierres et de tabous. Et de cette enclave où joies et effervescences n'ont d'ordinaire pas droit de cité, Louison et Toussaint feront l'écrin de leurs extravagances.

11/2021

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Théâtre

Au fil des jours

En sept tableaux se déroule l'histoire d'une femme qui essaie de retrouver sa mémoire. Sortie miraculeusement de l'enfer des camps, elle essaie, entre incertitudes et errements, entre souvenirs d'adultes et souvenirs d'enfants, de mettre des mots sur la folie des hommes.

05/2014

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Poésie

Au fil des jours

Contrairement à ses deux premiers recueils de poèmes qui racontent ce que l'auteure appelle "ses tranches de vie", celui-ci est une suite de poèmes écrits au fil des jours. Tout est prétexte, elle enfile les mots, les glisse dans son aiguille, pour tricoter les émotions, la vie d'avant et les événements.

06/2022

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Romans de terroir

Au fil des jours

Fragile, mais droite et déterminée à ce que la justice règne sur ses terres, Gervaise est cette fois en prise avec la pègre, car sa fille aura un enfant d'un certain Richard, quinquagénaire et trafiquant de drogue. Décidément, les rebondissements foisonnent à la ferme de Télesphore. Mais à travers ce tourbillon qui ne cesse de la bousculer, Gervaise résiste vaillamment. La tempête passée, malgré quelques égratignures, elle est encore solidement ancrée dans une terre fertile, prête à s'épanouir. C'est alors qu'avec douceur l'amour cogne à sa porte, et la jeune femme doit apprendre à se laisser à nouveau envahir par ce sentiment qui transporte son coeur vers les plus hauts sommets.

03/2013

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Littérature française

Au fil des jours

Marc Bernard, disparu à la fin de l'année dernière, avait terminé ce manuscrit peu avant sa mort. Dans l'esprit de ses derniers livres, et surtout de La mort de la bien-aimée, il reste un incomparable spectateur de la vie et de la nature. Avec le grand âge, il nous parle, avec humour et délicatesse, de ses petites misères. Un vieillard est peu sûr de lui : il n'a pas "le pied terrien". Il vit dans la familiarité de la fin prochaine. Il parle de Dieu, mais se fait une religion toute personnelle, qui ne doit rien aux Eglises, avec une naïveté savoureuse. Cela a toujours été une de ses qualités : parler de tout en disant ce qu'il pense, sans se soucier des opinions reçues. Dans ces notes, l'écrivain fait merveille pour évoquer le souvenir d'Else, sa femme. Pour se livrer à la célébration des figues ou des amandes, l'été, dans sa petite maison des Baléares. Pour dire la timidité d'un vieil homme quand il croise une fille jeune et jolie. Sa joie soudaine si elle daigne le regarder, lui accorder l'aumône d'un sourire. Il y a aussi des histoires de gens, comme la fin de J. , une des deux femmes qu'il a le plus aimées, ou le portrait de Fernando, élégant aficionado majorquin. Ce livre ne peut que plaire au public qui a été ému par les derniers ouvrages de Marc Bernard.

03/1984

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Littérature française

Le fil des jours

Seize histoires de personnages ordinaires qui affrontent des situations délicates ou dramatiques : la guerre, l'accident, la maladie ou, simplement, les évènements et les émotions de la vie, la rupture, la haine, la trahison, la lassitude, la différence, la fuite du temps, la vieillesse, et s'en montrent dignes. Seize nouvelles écrites dans un style percutant sur un ton aigre-doux parsemé d'humour et de réflexion sur l'existence. Il était dangereux de s'y pencher. " E pericoloso sporgersi ". Une fois en gare, les trains jouaient à cache-cache. " Un train peut en cacher un autre ". Des dictons ferroviaires pleins de bon sens, qui ont disparu sans crier gare. Maintenant, ce serait purement et simplement interdit de se pencher. " E vietato sporgersi ". Ca ne sonne pas pareil. C'est le " pericoloso " qui faisait toute l'affaire. Est-ce que tout ce qui est dangereux doit être interdit ? Mais ce n'est plus possible, les fenêtres sont condamnées. Est-ce que tout ce qui est dangereux doit être condamné ? Où est-ce qu'on n'est condamné que si on brave l'interdit ? Ce qui est sûr c'est qu'il est dangereux de braver l'interdit mais pas interdit de braver le dangereux...

03/2019

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Littérature française

Au fil des jours

Au fil des jours, on s'aime, on rit, on pleure, les enfants naissent, grandissent, on prend de l'âge mais on continue de rêver. On traverse des étapes, des épreuves, mais on vit ! Des émotions universelles, des moments touchants, souriants, dramatiques parfois, que l'auteure conte d'une plume moderne et sensible. A travers une multitude de portraits, ce livre nous emmène en voyage dans ce quotidien simple et merveilleux, comme un tour de manège... Montez à bord !

03/2018

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Poésie

Au fil des jours

Faites-vous plaisir : suspendez le temps, durant cet instant de lecture. Cent poèmes et aphorismes, ce n'est pas grand-chose dans l'absolu. Je vous invite donc à parcourir ces cent pensées qui sont miennes, toutes mêlées de douceur, d'embruns marins, de collines arides, de ciels étoilés, de questionnements, de douleurs aussi, et de tant d'autres moments fugaces, mais essentiels. "De ma plume affairée / Et vélins et papiers / Ecrins de mes pensées" Ces écrits, plutôt que de les laisser prisonniers muets de mes carnets, je les lance dans le vent, je vous les offre ici et maintenant.

03/2022

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Poésie

Au fil des jours

La passion de la création m'a apportée bien des satisfactions. Coudre, peindre, écrire, à 89 ans, ces activités accompagnent toujours ma vie et me protègent de l'ennui. Noter au fil des jours, petits récits et souvenirs, anecdotes et faits divers sont un défi à l'âge et ses problèmes.

10/2022

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Religion

Le Septième Jour, une actualité sans fin

Le Septième Jour de la création, une actualité sans fin. Voici prononcé la formulation de ce texte. Cette formulation fait suite à un ensemble de confusions théologiques observables aujourd'hui, autour de la création, de la question du repos de Dieu, de la responsabilité humaine, dans une histoire faite à la fois de prouesses et de profondes dérives. Dans la problématique du repos de Dieu, j'envisage bien un Dieu toujours en repos, et qui nous donne encore la possibilité justement d'entrer dans ce repos (Epître aux Hébreux). Je parle bien sûr de ce Dieu dont l'action solitaire reste manifeste jusqu'au sixième jour avant la création de l'homme. Je parle de ce Dieu qui, curieusement, se libère de sa solitude tellement ''solipsisante'', pour s'accorder réellement une possibilité de distinction de lui à lui-même, en la Personne de Jésus-Christ, le Dieu Amour, dont l'action créatrice commence clairement à se manifester avec le projet de création de l'homme (faisons enfin l'homme à notre image, selon notre ressemblance). Je vois donc en un mot, un Septième Jour non bouclé. Un Jour ouvert depuis Adam, et qui s'étendra jusqu'à la révélation de l'Apocalypse de Jean.

01/2016

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Littérature française (poches)

Nuits sans nuit et quelques jours sans jour

Qu'est donc le rêve ? Si quelques-uns, sans être dupes, puisent dans leurs rêves une mythologie et, sans être des savants, prennent soin de scrupuleusement les noter, c'est que le rêve - mirage qui scintille sur un fond de ténèbres - est essentiellement poésie. Tel est (s'il en faut) le mot clé de cette suite de récits, tantôt d'événements rêvés, tantôt d'événements réels, qui semblent au narrateur avoir projeté par instants sur sa terne silhouette un même éclairage de seconde vie.

03/2002

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Décoration

Hermès au fil des jours

En 2002, la maison Hermès demande à Alice Charbin de réaliser les visuels de sa communication e-mailing. Ses dessins poétiques et irrévérencieux jouent avec l'iconique boîte orange, la mettant en scène dans des situations drôles et tendres, pour tous les grands rendez-vous de l'année. Les textes plein d'humour de Rachael Canepari font écho à ces métamorphoses. Le livre réunit les 300 meilleurs dessins, fruit de cette collaboration de 18 ans. Que ce soit à Noël, pour la fête des pères ou la Saint Valentin, les clins d'oeil de la maison Hermès sont comme un cadeau : ils vous feront sourire et voir la vie en... orange !

11/2019

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Poésie

Le fil bleu des jours

Le Fil bleu des jours est un voyage vers la connaissance de son intérieur à la lumière du dehors. L'inspiration surgit dans le désert, dans la rencontre des peuples du Sahara, dans le sillage des petits riens du quotidien. Quoi de plus paisible et subtil qu'un arc-en-ciel liant ensemble les clins d'oeil du soleil à la nécessité vitale de l'eau du ciel et à l'appétit de la terre. De la source de la nature au dojo, de l'effervescence nocturne du ballet des étoiles à la chaleur ardente du désert, Le Fil bleu des jours tisse la présence à soi-même, aux amitiés nouvelles, à d'autres civilisations fraternelles.

05/2018

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Littérature française

Louange et épuisement d'un jour sans fin

J'ai vu un jour sans fin au bas mot une vingtaine de fois mais je ne me souviens pas de la toute première, c'est comme si je l'avais toujours connu. Sans même parler du spoil contenu dans le titre français, son affiche (Murray captif d'un réveil à cloches et affectant un peu crédible air étonné) ou les bruissements du bouche-à-oreille auront inévitablement éventé le secret de son intrigue, de sorte qu'un spectateur qui partagerait l'ahurissement et la perplexité de Phil, à la dix-huitième minute du film, est une chimère, une chimère à laquelle pourtant le script est obligé de croire, et le plaisir que nous prenons à voir Phil Connors ne pas comprendre ce qui lui arrive n'est aussi intense que parce que nous en savons tellement plus que lui, et depuis si longtemps.

03/2015

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Philosophie

SANS COMMENCEMENT ET SANS FIN. Extraits des essais

" J'ouvre les choses plus que je ne les découvre " : Montaigne s'interroge et renonce souvent à conclure, parce que le réel n'est jamais simple. Cette défiance envers un savoir trop sûr de lui, notre époque la fait sienne et en retrouve l'expression vivante dans les Essais sur des problèmes qui nous concernent toujours : l'amitié et l'amour, le choc des cultures, les bassesses de la vie publique, le plaisir... Dossier : 1. Le moi intime 2. L'autre 3. Le doute 4. Montaigne et la politique 5. Une philosophie du plaisir 6. Les auteurs cités par Montaigne.

03/1998

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Littérature étrangère

Mouvement sans fin

Vers 1860, dans sa modeste ferme du Canada britannique à peine gagnée sur la forêt, Robert Fraser est obsédé par sa recherche du mouvement perpétuel. Il a lu tous les écrits d'autres chercheurs, il connaît leurs réussites et leurs échecs ; il a fabriqué autour de sa maison de multiples automates que le vent anime ; mais, surtout, il a construit peu à peu une machine des plus compliquées, reliée à une grande roue que fait tourner la rivière. Tous ses essais, tous ses calculs tendent à couper un jour le contact entre la roue et la machine, celle-ci continuant à fonctionner de son propre mouvement. Ces longs travaux nécessitent plus de temps et d'argent que n'en possède un pauvre fermier. Sourd aux reproches de son épouse, aux doutes de ses voisins, il s'obstine pourtant, surtout après avoir trouvé sur ses terres les restes d'un animal préhistorique. Sera-ce la fortune ? La considération que lui porte un érudit de Toronto, passionné par les mêmes théories, lui permet d'exhiber dans les villes le monstre reconstitué. Mais la véritable bénédiction s'offre le jour où des myriades de pigeons s'abattent sur les arbres de sa ferme : famille, voisins, équipes venues de très loin s'emploient à capturer, à plumer, à emballer, à expédier cette viande précieuse, tout cela dans le bruit, la puanteur, une sorte de folie épique et sauvage que le style nous restitue par sa vigueur et sa candeur, sa gaucherie très volontaire et très savante. C'est une vaste fresque de kermesse flamande, des scènes de carnage et de désordre dont les résultats financiers permettront à Fraser de bâtir la maison de ses rêves et de perfectionner interminablement sa machine. Pourra-t-il lui donner un jour cette autonomie qui l'obsède ? Le désastre final laisse sa foi inébranlée. Il traverse, imperturbable, les épisodes burlesques ou pathétiques, les chagrins familiaux, la disparition de son fils repris par la forêt. Une vie entière dominée par une pensée généreuse, quel plus bel accomplissement pour un homme ? Mais, du planétarium que Fraser a construit dans l'espoir de l'associer au succès de sa machine, seule une planète sera retrouvée après la conflagration, et c'est la lune.

10/1985

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Théâtre

Théâtre sans fin

Pour la première fois, voici réuni le théâtre complet d'Alexandro Jodorowsky : Ecole de ventriloques, Trois vieilles, Un rêve sans fin, Le Gorille, Hypermarché, Zarathoustra... Pour celui qui a fondé avec Arrabal l'idée du " théâtre panique ", il est essentiel de parvenir à représenter un théâtre apte à créer un affrontement avec soi-même. " Au moment d'écrire, je me suis toujours posé la question suivante : qu'ai-je à dire, comme dernières paroles ? Les réponses qui me sont venues ont toutes à voir avec cet éternel recommencement... Le théâtre authentique aborde en effet nos grandes interrogations et les conduit vers une catharsis positive. Ce théâtre veut résoudre le dilemme originel de l'être humain, son incertitude, sa faiblesse et ses terreurs fondamentales afin que, portés à la conscience, ils deviennent certitude, assurance, force et compassion". Traduites et adaptées de l'espagnol par son fils, Brontis Jodorowsky, ces pièces donnent une vision d'ensemble sur cet artiste multiforme dont le film, La Danza de la realidad, a été un succès international.

05/2015

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Photographie

Florange sans fin

Florange, commune de la Moselle proche de l’Allemagne, de la Belgique et du Luxembourg, a été à la une de l’actualité ces derniers mois à cause des menaces de fermeture de ses usines sidérurgiques. Florange a été luxembourgeoise puis française. Rattachée à l’Allemagne après la guerre de 1870, elle redevient française aux lendemains de la Grande Guerre. La modernisation de la sidérurgie lorraine, avec l’implantation d’aciéries, de laminoirs, de hauts fourneaux, attire au XXe siècle une population extérieure à la Moselle, en particulier des ouvriers italiens. Aujourd’hui, Florange est devenu le symbole de la désindustrialisation. Les auteurs de cet ouvrage ont chacun un rapport particulier à Florange. Le photographe Joël Leick en est originaire et y a grandi, les grands-parents italiens de l’écrivain Jean Portante ont émigré au Luxembourg où son grand-père a été ouvrier dans des hauts fourneaux semblables à ceux de Florange. Ce projet s’inscrit parfaitement dans la ligne éditoriale d’une maison d’édition qui depuis 30 ans explore l’histoire industrielle et la mémoire ouvrière, la photographie et la littérature de création en relation avec un travail documentaire. Ce livre fait suite à Friches (photographies de Joël Leick, textes de Pierre Bergounioux) paru il y a tout juste un an.

10/2013

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Littérature française

Histoire sans fin

Julien, romancier est en panne d’écriture. Il cherche à raconter son évolution et sa métamorphose. Ses expériences, ses rencontres, font de lui l’homme qu’il est devenu. C’est donc l’histoire d’un homme qui ne cesse de se transformer intérieurement. L’amour et le désir qu’il ressent sont le moteur de sa créativité et de son besoin de l’exprimer par l’écriture. Cette histoire aura-t-elle réellement une fin?? La transformation intérieure est un processus sans fin et le désir de Julien de tout vivre pleinement est présent dans chaque minute de sa vie.

11/2022

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Littérature étrangère

Vies sans fin

Dès sa plus tendre enfance, Gio Magnasco se passionne pour les vis, les clous et les boulons. Homme taciturne et méticuleux, il sera à l'aube du XXe siècle le fondateur de la plus grande entreprise de quincaillerie de son époque. Son intérêt obsessionnel s'étend aussi aux boutons et aux lacets des corsets féminins. Gio Magnasco est le maître des connexions et des jointures. Après avoir travaillé à la construction d'un paquebot transatlantique, il participe à l'ouverture de la ligne de chemin de fer qui doit relier Buenos Aires à Ushuaia, en Patagonie. De retour en Europe, il ouvre son gigantesque magasin, dessine des modèles de lingerie féminine et invente d'innombrables modèles de têtes de vis et de clous. A la naissance de son fils, il met au point un berceau qui peut non seulement s'agrandir jusqu'à devenir un lit nuptial, mais également se transformer en cercueil. Dans ce roman où s'entrelacent la rationalité méthodique et l'excentricité absolue, la froide pondération et la fantaisie débridée, tout semble à la fois impeccablement contrôlé et perfidement vertigineux. Précise et sans ombres, l'écriture de Vies sans fin n'en dégage pas moins une poésie insolite et fascinante.

10/2001

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Livres 3 ans et +

Histoires sans fin

J'ai trouvé quatre images. Je les ai ramassées, je les ai regardées, et elles m'ont raconté des histoires à l'infini !

01/2014

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Policiers

Nuit sans fin

Pendergast face à un psychopathe coupeur de têtes Quel point commun entre la fille d'un milliardaire, un ancien avocat véreux, un oligarque russe et une lauréate du Prix Nobel de la paix ? Tous ont été assassinés à New York, que la presse surnomme bien vite la Cité des Ténèbres. Surtout, ils ont tous été décapités, et leur tête a disparu, comme si l'assassin était une sorte de collectionneur morbide... Quelles sont ses motivations ? Comment choisit-il ses victimes ? C'est ce que Vincent d'Agosta, de la police de New York, et l'agent spécial Pendergast, du FBI, s'efforcent de comprendre. Et si l'ultime cible du psychopathe n'était autre que Pendergast lui-même ? Avec ce nouvel opus, Preston & Child renouent avec leur veine polar. Une enquête parsemée de fausses pistes où l'intelligence l'emportera sur la force brute.

04/2018

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Littérature étrangère

Adieu sans fin

Un matin, sous une froide lumière d'hiver : un homme pénètre dans la chambre à coucher de son fils de dix-sept ans et le découvre mort dans son lit. A partir de cet instant, l'équilibre qui gouvernait son existence vacille. Il tente tant bien que mal de surmonter l'impuissance, la douleur et la mort. Dans ce bref livre de deuil, l'auteur nous dit toute la profondeur de la souffrance et de la mélancolie, et s'efforce de reconquérir par la grâce de l'écriture et du souvenir l'essence des heures précieuses du passé. D'une plume sereine, poétique et sensible, il saisit au plus près les oscillations du coeur, laisse affleurer la douceur et le réconfort au sein même de l'effroi, et s'attache à préserver toujours une lueur d'espoir.

02/2017

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Littérature française

Route sans fin

La route est sans fin pour qui s'attache à résister aux bourreaux. Grand-père et grand-mère et tant d'autres encore étaient engagés totalement, sans la moindre hésitation, à la recherche de ce que l'humanité peut offrir de plus digne. Une étrange sensation s'est peu à peu emparée de l'auteur, mêlant l'envie de connaître, la peur de savoir, l'admiration pour les êtres d'hier et d'aujourd'hui. Son enfance s'était déroulée apparemment sans la moindre douleur de manque affectif. Tout était normal. Grand-père était mort pendant la guerre. Grand-mère n'en parlait que très rarement et jamais ne montrait une larme. Voilà, rien de troublant au premier abord pour les âmes enfantines : un simple fait. Survint un beau jour, vers la quarantaine bien sonnée, une incompressible souffrance. Un dialogue s'était instauré avec grand-père, le Résistant. L'héritage se faisait chaque jour un peu plus insistant, au point de mettre en route une écriture "flottant" entre passé vérifié ou imaginé et présent. Ils ont volé grand père, ils ont abîmé grand-mère et tant de héros ordinaires. Ils n'ont fait disparaître personne. Ils sont dans les mémoires des descendants, inaltérables, inoubliables. Ils vivent. Grand-père avait pris la main du petit fils. Merci, Grand père.

03/2021

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Critique littéraire

Paris sans fin

La légende de François Villon, prince des poètes et mauvais garçon, a traversé les siècles et parcouru le monde. Mais pourquoi d'innombrables lecteurs ont-ils reconnu " mon semblable, mon frère " en un poète du Paris de 1460 ? Villon, " né de Paris emprès Pontoise ", est le poète fondateur de l'imaginaire de Paris, le premier vrai représentant de son inimitable esprit. Paris est le monde de Villon. Merveilleux observateur satirique de la société parisienne au Moyen Âge, il nous invite à découvrir la physionomie de la capitale, théâtre de ses tribulations, dont il dépeint avec force détails la vie du haut en bas. Sa langue burlesque et simple, avec son argot des rues et son jargon de criminel, porte la trace vivante de la réalité vécue : la pauvreté mère de tous les vices, mais aussi la joie de vivre, la gourmandise, la paillardise, thèmes qui traversent la poésie de Villon et nous font percevoir le rapport intime entretenu entre le poète et la ville. Il est aussi le premier poète lyrique à tirer de la vie quotidienne de la cité de son temps la matière pour renouveler les thèmes éternels de l'amour et de la mort, du périssable et de l'éternité. Là est l'originalité de Villon et sa modernité. À travers des détails de plans du Moyen Âge, des illustrations anciennes et contemporaines inspirées par Villon et placées en regard de fragments choisis de sa poésie, se dessine le Paris d'alors dans sa topographie, ses lieux emblématiques, ses personnages, ses scènes de vie. Ce Paris de Villon qui nous hante encore aujourd'hui.

03/2005

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Poésie

Fables fainéantes au fil des jours

Un professeur de français, quelque peu désoeuvré quand l'été s'est pointé, s'est dit qu'il pourrait pour s'occuper, écrire, chaque jour, une fable nouvelle. Pourtant, il n'avait en aucun cas l'intention de se fatiguer. Il se donna un quart d'heure par pièce et se proposa tout simplement de se laisser guider par les sonorités.

08/2016