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Francis Wolff Il n’y a pas d’amour parfait

Extraits

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Notions

Il n'y a pas d'amour parfait

Qu'est-ce que l'amour ? Ce n'est ni l'amitié, ni le désir, ni la passion. C'est un peu tout cela et son contraire. L'amour est instable, changeant, précaire. Imparfait. C'est pourquoi il est le moteur tout-puissant de tant d'histoires grandioses et de nos vies ordinaires.

01/2023

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Couple, famille

Il n'y a pas de parent parfait

Une enquête au coeur des passions contradictoires qui nous animent en tant que parent. Nous aimerions ne trouver en nous, pour nos enfants, qu'amour et tendresse. Mais tout n'est pas si simple. Nous nous surprenons parfois à agir d'après des modèles issus de notre propre enfance, alors qu'on s'était promis de faire le contraire. Pourquoi tant de passion dans l'éducation ? Parce que, au-delà des théories, il y a notre inconscient, nos blessures, notre histoire. L'auteure propose des pistes de réflexion et des exercices pratiques afin de retrouver la liberté d'être Le parent que nous désirons être.

04/2019

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Actualité et médias

Il n'y a pas de malheur français

Jusqu'à la nausée nous est conté le déclin d'une France qui ne croit plus en rien ni personne. Erreur radicale : nos douleurs ne sont pas celles de l'agonie mais de l'accouchement. Nous sommes soumis au même choc que tous les pays comparables, à savoir la crise de maturité du couple de la démocratie et de la modernité. Traditionnellement alliées, elles s'opposent aujourd'hui. La France y réagit de manière particulièrement forte du fait de sa tradition. Nous sommes en train de quitter une pensée politique vieille de quatre siècles pour inventer autre chose : la réconciliation de l'autorité et de la confiance. C'est notre plus grand renouveau politique depuis Richelieu. Notre pays est dans une position unique pour inventer l'avenir car lui seul a exploré les limites de l'Etat comme source unique du pouvoir légitime. C'est cela qui se termine nos yeux, parce que ce pouvoir n'est plus assez puissant pour nous rassurer et qu'il échoue désormais à nous endormir. Du coup, l'avenir nous appartient. Et déjà les citoyens s'impatientent, parce qu'agir est l'essence de la politique et parce que ce ne sont pas les désaccords qui créent le désespoir mais l'absence de projet.

02/2007

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Littérature française

Amour parfait

Un roman d’amour qui décrit une passion, passion fulgurante mais passion dramatique. Il est écrit avec des phrases brèves, dans un vocabulaire essentiel, permettant un centrage sur les émotions et les relations humaines. Cette écriture d’une grande sobriété donne une épure, de laquelle émergent les moments inquiétants, tels les rêves. Ceux-ci prennent couleur et force et donnent une profondeur et un mystère qui préfigurent le dénouement. Les amants sont unis par le montage du texte, passant indifféremment de l’un à l’autre, quel que soit le lieu où ils se trouvent. Le climat du récit est proche de notre quotidien et une génération pourrait se retrouver dans ces personnages, c’est dire son actualité. Ainsi l’amour passionnel, venu des pro­fon­deurs de l’histoire humaine, réémerge au travers de cette génération et donne un accent dramatique qui crève l’insignifiante apparence de ces vies. Elle était magnifique. On aurait pu la confondre avec une fée. Sa robe blanche en voile descendait jusqu’au sol, cachant ses pieds. Ses yeux étaient soulignés de noir, les rendant encore plus beaux qu’à l’ordinaire, si toutefois cela pouvait être possible, ses cheveux lui tombaient sous les genoux, quelques mèches plus courtes glissaient avec grâce sur ses épaules dénudées. Des roses blanches étaient accrochées dans sa chevelure... Il s’était fait beau. Il avait mis son costume marron, et sa chemise verte. On aurait dit un homme d’affaires. Il s’était fait beau pour ce qu’il espérait être l’un des plus beaux jours de sa vie. Il n’avait rien laissé au hasard ; il avait coupé ses cheveux en les gardant assez longs pour les attacher. Il s’était rasé en préservant le collier et le bouc. Il s’était installé à une table dans un restaurant et attendait… Vont-ils se rencontrer ? Et conjuguer l’amour parfait ?

01/2014

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Littérature française

Il n'y a pas d'Indochine

Paru en 1995 aux Belles Lettres, Il n'y a pas d'Indochine est composé de 25 histoires dont chacune se passe dans un lieu particulier. New York, Le Caire, Athènes, Londres, Lille, Strasbourg... Sous la conduite du narrateur, nous faisons ce que l'on pourrait appeler des visites d'idées. La postérité, le génie, l'idéalisme, les prétendus grands hommes, l'apparition du marbre blanc dans la sculpture grecque, les chansons de variété, les aquariums, tout cela surgit à Tunis, dans les jardins de la Fontaine à Nîmes ou en buvant un café à Vienne. Il n'y a pas d'Indochine est le livre d'un Charles Dantzig méconnu, celui d'avant son Dictionnaire égoïste, d'avant son Encyclopédie capricieuse. Pourtant, c'est déjà lui : les compagnons de voyages sont les créateurs, écrivains (Proust, Kafka, Pasolini, Wilde), cinéastes ou peintres (Coppola, Klimt, Van Gogh). On trouvera ses premières listes (comme la liste de la parade en l'honneur de Nelson Mandela à New York), ses fictions mêlées à l'essai (comme dans le chapitre où le narrateur se transforme en Arc de Triomphe et décrit Paris arrondissement par arrondissement), son style alerte, ses aphorismes et sa désormais célèbre irrévérence. Il n'y a pas d'Indochine, cela veut dire : il n'y a pas d'exotisme. Comme l'écrit Charles Dantzig : "Arrivé en Chine, on cherche encore l'Asie. On a trouvé des hommes".

10/2013

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Poésie

Il n'y a pas d'autre

Doute, peur, beauté, espoir. Ils sont les jalons essentiels de notre existence. Voilà comment un jeune adulte les traverse, les découvre et les ressent. Ce recueil de poèmes livre un témoignage intime et pourtant si proche de vous ! Laissez-vous aller au plus profond de vos souvenirs. Confrontez-vous au temps, aux rêves, aux peurs, à la perte d'êtres proches, au monde... Ecriture poétique ou blessures profondes, la limite n'est jamais loin, à vous de la (re)découvrir.

09/2021

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Littérature française (poches)

Le parfait amour

" Edith avait le don, que je jugeais diabolique, de la compassion. Elle me le prouva en me proposant gentiment de rester, de dormir dans la chambre de l'enfant. Elle ne voulait pas que je rentre en pleine nuit, ce n'était pas raisonnable. D'un geste calculé, apparemment machinal, elle défit ses cheveux (...) mais je n'étais pas dupe. Je savais qu'il ne nous arriverait rien. Nous ne serions pas amants. (...) La nuit était immense, et je dus m'élancer avec courage, tenant fermement le guidon de ma bicyclette. Edith suivit des yeux la lueur de mon phare, jusqu'à ce qu'elle se sentît délivrée de tout regret, de toute tentation, comme rappelée à Dieu. "

05/1997

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Policiers

Un amour parfait

Avec Un amour parfait, Gilda Piersanti signe un thriller psychologique d'une puissance redoutable où la passion amoureuse prend la forme d'une fascination venimeuse. Commence alors une lente descente aux enfers. La vie de Lorenzo n'a pas d'ombre, sa carrière est au zénith, son couple se porte à merveille, ses enfants l'adorent. Jusqu'à ce soir où il la revoit au bar de l'hôtel : Laura, l'amour de ses 18 ans. Trente ans plus tôt, il a failli mourir pour elle. Le hasard l'a-t-il remise sur son chemin pour faire renaître le passé ou pour faire disparaître le présent ? Une femme fatale ne revient jamais pour réparer ses fautes mais pour continuer son oeuvre de destruction. Elle est revenue et elle lui dit qu'elle l'aime encore, mais doit-il la croire ? Lorenzo est prêt à tout pour l'avoir de nouveau dans ses bras. Prêt à tout... Même à tuer ?

03/2019

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Littérature française

Un amour parfait

Devant de bons repas se déroulant les week-ends, des amis se retrouvent pour partager les joies de la vie tout en discutant, la plupart du temps, de l'Amour. Célibataires, hétérosexuels ou homosexuels seront à débattre sur ce thème, du pour ou du contre, de la place de l'amour dans la vie de chacun. François ne croyant pas à l'amour se laissera tout de même convaincre par ses amis de s'inscrire sur un site de rencontres ; il n'aurait peut être pas dû... Cupidon n'est pas le seul à faire son effet, l'allégorie Dame Faucheuse est là, elle aussi et elle ne va pas rester passive. Venez vivre avec nos héros leurs aventures mais aussi leurs suffrages. Embarquez et n'ayez pas peur de la marée haute, la houle est au rendez-vous mais peut-être que le calme va revenir...

03/2019

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Economie

Bifurquer. Il n'y a pas d'alternative

Bifurquer

10/2021

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Critique littéraire

Il n'y a qu'un amour

C'est l'histoire de trois femmes. Elles sont toutes différentes. Par le tempérament, la culture, l'origine et la nationalité, elles appartiennent à des mondes opposés. L'une est brûlante et désespérée. Une autre froide et calculatrice, une autre voluptueuse et perdue. Elles ont cependant aimé le même homme. Un écrivain français. Elles se succèdent dans sa vie ou s'entrecroisent. Elles vont être la clé de son destin : car il les a aimées toutes, chacune à sa manière, d'un amour profond, d'un même amour profond mais déçu. De Jane-Wanda de Szymkiewicz, Russo-polonaise de seize ans, qu'il enlève à une famille bohème, qu'il met en pension en Angleterre, avant de l'épouser et de connaître avec elle un mariage scandé de drames, d'infidélités et d'abandons, à Maria Rivera - Marita -, une actrice péruvienne de trente ans, c'est toujours la même quête d'un bonheur entrevu et fracassé qui l'obsède. Simone de Caillavet, la grande bourgeoise parisienne, très liée à l'aristocratie littéraire de l'entre-deux-guerres, lui apporte de son côté la fragile paix d'une infirmière du cœur. Au milieu de ces trois femmes qui, tout en appartenant à sa vraie vie, l'éloignent de lui-même, Emile Herzog - devenu André Maurois (1885-1967) - se déchire, se blesse et rêve. C'est d'elles qu'il tirera le meilleur de lui-même : ses livres.

03/2003

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Littérature française

Il n'y a pas de hasard

"Je m'enfonce dans le canapé et prends conscience qu'il est temps de vendre la maison pour vivre loin d'ici. La maison. A sa retraite, ma mère a décidé de vivre dans le sud-est, tout près de la mer qu'elle affectionne tant. Travaillant sur Toulouse, j'acceptai de vivre dans la villa de mes parents, le temps de trouver un acquéreur." Potentiels acheteurs louches, gens du cru aux méthodes douteuses, étranges incidents. Avec ces éléments, il est décidément ardu de vendre une propriété dans la ville de Lever. Un fait qui ne cessera de s'imposer à Shana, prise dans une situation immobilière ubuesque, qui devra découvrir, à force de patience, pourquoi le bien qu'elle met en vente focalise toutes les attentions. Et Christelle Preux de signer par la même occasion un récit à l'atmosphère lourde et saturée, aux personnages interlopes et ombrageux, que seules viennent éclairer les lumières de l'amitié.

06/2014

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Littérature française

Il n'y a pas de secret

" Ecoute-toi, Paula, me disait mon père, tu n'es pas différente des autres, mais si tu t'écoutes bien tu auras une longueur d'avance. " Finalement j'ai trop appliqué ce principe et désormais j'en ai dix de retard comme je viens de vous l'expliquer.

08/2004

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Santé, diététique, beauté

Il n'y a pas de mot...

Ce livre n'est pas un roman de plus sur le cancer ou au sujet de la perte d'un enfant. Il s'agit du récit des trois années d'une mère et de sa fille, qui vivent intensément ce combat et découvrent ensemble les vraies valeurs du quotidien. Une histoire émouvante dans laquelle les émotions se bousculent, et qui nous prouve que l'amour permet d'accepter l'inacceptable. Un livre vrai, plein de joie, où bonheur et souffrance se confondent, et où la vie et la mort prennent tout leur sens. Bouleversant de sincérité, cet ouvrage écrit avec le coeur vous aidera à vivre chaque jour en pleine conscience de votre présent.

06/2020

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Poésie

Il n'y a pas que Beyoncé

Entre narration personnelle et critique culturelle poétique et politique, Morgan Parker confronte société de consommation, médias et féminisme, tissant habilement son histoire personnelle avec la pop culture.

02/2021

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Littérature française

Il n'y a qu'un pas...

Quinze siècles séparent Bernadette, jeune femme tourmentée par des rêves ubuesques, de l'insoumise Berhardat, enlevée lors d'une invasion de barbares dans son village. Cette dernière fait face aux rigueurs de reîtres sous la férule sévère de Walden, un homme primitif qui détruit tout sur son passage... Témoin de violence d'un monde sans foi ni loi, elle aspire à la liberté ! Tous les matins, Bernadette s'éveille avec des souvenirs dévastateurs et tente de comprendre l'objet de ses songes romanesques pour échapper à la folie qui la guette. Deux femmes, deux histoires, un récit croisé plein d'intrigues et de questionnements.

03/2023

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Littérature étrangère

N'appelle pas, il n'y a personne

Jeune femme venue de la petite ville d'Azemmour, Farah - qui signifie "joie" - rêve de devenir chanteuse et monte à Casablanca dans l'espoir d'y faire carrière. Osman est un artisan décorateur qui travaille avec son père sur le chantier de la mosquée Hassan II, que le roi a voulue d'un luxe opulent et pour le financement de laquelle toutes les couches de la population sont mises à contribution, y compris les plus démunies. Sur cette toile de fond se greffe une histoire d'amour entre Osmane et Farah qu'il rencontre par hasard sur le chantier. Elle est pour lui, au gré de ses apparitions, comme un ange de lumière. Toutefois, l'ambition de Farah est trop pressante pour l'assigner à un seul lieu, à un seul homme, et cette nature libre l'expose à toutes les convoitises. Avec N'appelle pas, il n'y a personne, titre inspiré d'une chanson de Fayrouz, Youssef Fadel met un point final à sa trilogie consacrée au règne de Hassan II. On a vu dans Un joli chat blanc marche derrière moi (Sindbad/Actes Sud, 2014) l'arbitraire du pouvoir royal et les intrigues de la cour, dans Un oiseau bleu et rare vole avec moi (Sindbad/Actes Sud, 2017) la dure répression qui a suivi l'attentat manqué contre le roi, le 15 août 1972. Ce dernier tome dénonce en particulier le fossé qui n'a cessé de se creuser entre les riches et les pauvres.

09/2019

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Littérature française

Il n'y a pas d'abonné à vos sentiments

Tétouan, Maroc. Dans un hôtel de charme, une touriste française, en voyage d'étude linguistique, savoure les délices d'un flirt tandis qu'aux cuisines, une jeune femme prépare un couscous, épicé de sa haine. Tel un charmeur de serpents, le patron du gîte, chevauchant ses désirs en toute insouciance, déroule son chant d'amour, sous le regard de son employée qui, depuis la réception, observe les faits et gestes de chacun et pressent qu'un drame va se dérouler. Dans le labyrinthe de la médina, encore plein des échos du muezzin appelant à la prière, les personnages, aveuglés par leurs désirs, cherchent le fil du bonheur.

12/2022

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Littérature française

Il n'y a pas d'âge pour séduire

Après "Le Roman des régimes", voici les nouvelles aventures du docteur Mathieu Sorin, nutritionniste réputé, qui décide, afin de se rapprocher de ses patients, de quitter la clinique chic où il exerçait pour un cabinet plus modeste. Dans sa salle d'attente, on croise Ralph Farrell, un grand couturier rattrapé par ses kilos, auquel Mathieu propose un traitement radical. Dernière chance ou nouveau départ ? Liliane Bensimon, une épouse modèle, qui poursuit son combat contre le surpoids. Une rencontre inespérée bouleversera-t-elle sa vie ? Sarah Fillot, une jeune fille anorexique qui, après avoir frôlé la mort, a décidé de se lancer dans la politique sur les traces de son père. Parviendra-t-elle à son but ? Pierre-André, un CRS qui veut devenir ostéopathe, traîne un lourd secret. Le docteur Sorin l'aidera-t-il à le découvrir ? Quant à Betty Danslaer, séductrice octogénaire, elle trouve en Mathieu plus qu'un confident et lui révèle les dessous d'une existence agitée. Quelles leçons en tirera-t-il ? A travers ce nouveau roman, le docteur ,Jean-Michel Cohen poursuit son exploration des désordres alimentaires en s'intéressant aux problèmes psychologiques qui les provoquent. Et prouve, avec humour et émotion, qu'il n'y a pas d'âge pour séduire.

11/2010

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Littérature française

On parlait d'amour

Immobile face à sa femme, il attend les premières séries de l'après-midi. Six mois qu'elle est partie. Elle n'a jamais donné de nouvelles et lui, comme un con, il garde sa photo sur la télé. II s'entend lui chuchoter "ils m'ont viré, tu te rends compte, ces salauds", et il est sûr d'apercevoir aux commissures de ses lèvres l'ébauche désolée d'un sourire. Ici, on voudrait s'aimer et on ne sait pas bien comment ; on parle sans toujours trouver les mots ; on s'accroche au quotidien comme on peut. Au fil des quinze histoires qui composent ce recueil, on croise des individus qui donnent parfois l'impression de marcher à côté de leur propre existence. Le propos est grave, souvent drôle, toujours tendre.

07/2019

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Beaux arts

Il y a un seul amour

Dans la solitude d'une nuit au musée Picasso, loin de l'être aimé, l'auteur tente de trouver les mots pour écrire son amour et conjurer ses peurs. L'art et la mémoire se mêlent pour explorer l'espace de la création et le territoire des sentiments. Une rêverie nocturne qui, peu à peu, trouve sa forme la plus simple : celle d'une lettre d'amour.

03/2020

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Paramédical

Il n'y a pas de citoyens inutiles

Malgré une dépense publique en faveur des personnes en situation de handicap en croissance exponentielle et la première d'Europe (pour une population estimée à 5 millions de personnes), rien n'y fait : la personne handicapée en France n'a pas la même chance que dans les pays anglo-saxons. Les réflexes d'aides de la société ont amené à mettre trop souvent la personne handicapée à part, à l'écart. Le système français aboutit au final au confinement hospitalier des personnes, avec les conséquences humaines et financières que l'on connait. L'un des obstacles à l'intégration c'est la peur que suscite le handicap, car la société refuse de le voir. Pourtant on peut ne pas l'avoir. Les enfants dans les écoles ne l'ont pas. Pour cela il convient de mettre sur pied une nouvelle gouvernance du handicap.

09/2016

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Littérature française

Il n'y a pas de geste minuscule

Un hameau perdu aux rives de plateaux isolés. Un homme solitaire venu là, à la recherche d'une raison d'être. Un hiver précoce, neiges, frimas, brouillards. Et, dans un dédale de buissons, de ruines, une femme et une fillette. Qui sont-elles ? D'où viennent-elles ? Et ce solitaire, qui est-il ? Lui, moi, vous ? Quiconque ouvre sa porte à l'Inconnu. Quelle que soit son origine, sa religion, sa couleur de peau...

04/2020

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Littérature française (poches)

Il n'y a pas de grandes personnes

" Malraux et moi. ce fut une grande histoire, et j'aimerais trouver pour en parler aujourd'hui les accents de ma passion d'alors, qui exaspéra souvent mes amis les plus intimes, et fit rigoler les autres. J'éprouve la même difficulté que les gens qui racontent un premier amour. Reste toujours sa voix. Je ne peux pas l'entendre sans que mon poil se hérisse, et que ma gorge se noue. Il est mort, bien sûr, mais le fait qu'il fût vivant n'a jamais eu une très grande influence sur notre vie commune. " Pour l'amour de Malraux, Alix de Saint-André a acheté des chats de gouttière, appris la grammaire espagnole, visité la Bosnie en guerre, péroré à la chaire d'universités new-yorkaises, tenté un acrobatique ménage à trois avec Proust, poursuivi toutes ses femmes d'une jalousie féroce et même kidnappé sa fille dans les pages d'un roman. Jusqu'au jour où elle s'est retrouvée face à face avec Florence, la véritable fille de son héros...

11/2008

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Littérature étrangère

Il n'y a pas de faux départ

David Carter, la cinquantaine, est frustré par la vie. Il aimerait que sa femme Eleanor redevienne la jeune Écossaise ambitieuse et pétillante qui l'a séduit ; que son poste comme conservateur de musée tienne ses promesses ; que la naissance de sa fille Kate parvienne à rapprocher des parents éloignés l'un de l'autre. Mais quelques mots négligemment prononcés par Julia, l'amie de sa mère, sèment la confusion dans son esprit. Toute son existence a été construite autour d'un mensonge: il est un enfant adopté. Tentant de donner un sens à son passé, à travers ses archives de photos, de lettres et de vestiges ténus, David est entraîné, par sa quête de vérité, dans le Londres du Blitz, le Coventry d'après guerre, et la campagne irlandaise. Pourtant l'histoire le ramène toujours vers Eleanor et le désir de continuer, envers et contre tout, une relation amoureuse entre des vides qui le taraudent et des éclaircies qui l'enchantent. Ce roman, à la trame subtile, se déploie avec tendresse et humanité sur les failles, les hasards, les succès et les échecs, les bonnes et les mauvaises rencontres qui constituent la chair de nos vies.

04/2008

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Poésie

Il n'y a pas assez de feuilles

"J'aimerais pouvoir tendrement faire sortir du côté sombre de l'histoire des voix qui sont anonymes, minimisées... inarticulées". Ainsi Susan Howe définit le projet de ce livre à la fin de son introduction dont le titre - "Il n'y a pas assez de feuilles pour couronner pour couvrir pour couronner pour couvrir" - devient celui de notre édition française (et il est extrait d'un poème de l'américain Wallace Stevens intitulé "United Dames of America"). Un titre "poétique" pour une introduction "historique" qui nous plonge tout de suite dans l'univers si particulier de Susan Howe, l'espace de la page devient une scène où vont être évoqués de larges pans d'histoire, personnelle et universelle, nationale et internationale, récente et passée, et ses déchirures. Son autobiographie - "Je suis née à Boston, Massachusetts, le 10 juin 1937, d'une mère irlandaise et d'un père américain". - côtoie une certaine historiographie : "En 1937, la dictature nazie était bien établie en Allemagne. [... ] L'axe Berlin-Rome avait un an. La guerre civile espagnole aussi. Le 25 avril, les pilotes de la Luftwaffeaux ordres de Franco bombardaient le village de Guernica. [... ] De 1939 à 1946 dans les photographies de presse, jour après jour je voyais les signes de la culture exploser pour se faire meurtriers". La prose percée par des vers de l'introduction annonce les trois parties qui composent ce volume publié à New York en 1990. Trois ensembles de poèmes dont la réunion montre comment "la poésie apporte similitude et représentation à des configurations qui attendent depuis toujours d'être dites". Susan Howe mêle ici l'autobiographie, l'essai historique et l'écriture poétique, en un tissu organique où chaque mode textuel vient fertiliser et déstabiliser l'autre. Au long de ces poèmes, on ne cesse de s'enfuir à travers des forêts : qui sont celles de l'Europe, celles de la Nouvelle-Angleterre, et celles des mots. Le travail de fragmentation et de et reconstruction dans et par le langage - en dialoguant avec d'autres textes, époques, personnes et personnages - propre à Susan Howe sert à faire émerger de l'histoire, individuelle et collective, ces "voix anonymes, minimisées... inarticulées" qui la traversent. On parvient à les entendre, inscrites dans les interstices d'une syntaxe comme ruinée, à les voir ensevelies sous les décombres de l'histoire, matérielle et littéraire, elles peuvent alors sortir (échos ou fantômes) si le lecteur se laisse prendre à ce jeu de capture et d'évasion que la poésie expérimentale de Susan Howe lui offre.

10/2021

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Littérature française

Il n'y a pas que les autres

"Cinquante-cinq ans ! Finalement à cinquante-huit ans la vie n'est pas finie. Sauf si. Au fond, quoi de plus simple : trois ans asexué en état de ménopause prolongée et après. Nom de Dieu, ils n'ont aucune idée de ce que cela représente !" Alexandre mène une vie tranquille qui bascule quand il apprend qu'il a un cancer, et pas n'importe lequel : la pathologie qui touche le plus à la virilité, un cancer de la prostate. Dès lors, ses relations aux autres - notamment aux femmes - s'en trouvent bouleversées. Sa vision de la vie va totalement être remise en cause et le contraindre à réviser sa perception des autres. Prenant conscience de la fragilité de l'existence, Alexandre va comprendre qu'il lui faut donner un sens à sa vie, à moins que ce ne soit à sa mort. Avec "Il n'y a pas que les autres", Gilbert Costa nous offre le récit tout en tact et humour d'un homme tentant de survivre et parfois, plus distancé, le regard des femmes qui l'entoure.

01/2014

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Policiers

Il n'y a pas de passé simple

Journaliste stagiaire au Courrier du Sud-Ouest, le jeune Skander Corsaro réalise un reportage culturel sur l'abbaye cistercienne de Morlan. Quarante-huit heures après la parution de son article, un cadavre est retrouvé au pied d'un échafaudage, dans la grande nef. Skander Corsaro est alors pris dans un engrenage infernal dont le premier rouage remonte à l'Occupation nazie... A moins que tout n'ait commencé encore bien plus tôt, en 1789, par l'assassinat du dernier prieur de l'abbaye ? Peut-être que Blb ; le poisson jaune de Skander, connaît la solution. Ce serait tellement rassurant si les poissons savaient tout comme dans la chanson d'Iggy Pop...

03/2016

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Littérature française

Il n'y a pas Internet au paradis

La trentaine et tout pour être heureux, Alex et Aliénor s'aiment, envisagent de faire un enfant ou deux, et de partir vivre à la campagne, un jour. Mais la Grande Entreprise en a décidé autrement, à coups de réorganisations et de gestion cruelle de la ressource humaine. Nouvelle idole réclamant le prix du sang, elle a ses prêtres et ses victimes expiatoires qui, ne sachant plus comment lutter, abandonnent. Entre chagrin et souvenirs, la colère d'Aliénor monte, contre l'entreprise, mais aussi contre Alex, à qui elle n'a pas suffi pour continuer à vivre, et contre elle-même, qui n'a rien vu avant qu'il soit trop tard. Et puis le deuil se fait, Aliénor commence une existence nouvelle, un peu hésitante, un peu bancale. Une seule certitude : face à l'adversaire, il ne faut pas plier. Sur cette trame sombre, Gaëlle Pingault dessine une renaissance. Son écriture enlevée réussit à tenir à distance la cruauté du monde et des entités déshumanisées pour laisser à l'individu, seul grain de sable capable de gripper la machine, la liberté de revendiquer son paradis dans cette vie.

09/2017

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Actualité médiatique France

Il n'y a pas de "grand remplacement"

"Depuis plus d'un siècle, l'extrême-droite agite la peur de l'invasion : celle des Italiens et des Allemands avant 1914, des Polonais et des Yougoslaves avant 1939, des Maghrébins puis de tous les Africains, récemment. Cette panique a pris depuis peu la forme d'une " théorie " du " grand remplacement " . On verra ici que de " théorie " , il n'y en a guère, ni de " grand remplacement " d'ailleurs. Mais une fable efficace, fausse, imagée, travaillant la peur, et dont il faut comprendre la cause. A l'approche de l'élection présidentielle, ce fatras idéologique sert de justification à d'inquiétantes menaces politiques : remigration, dénaturalisation, musellement des médias, interdiction de prénoms non catholiques, suppression des corps intermédiaires accusés d'encourager ce prétendu " remplacement " . On montrera ici, point par point, thème par thème, que tout cela constitue un dangereux mensonge, qui masque et déforme les problèmes parfois graves posés par l'immigration au détriment de réponses sérieuses. Faits et données à l'appui, on verra ainsi que l'immigration et l'étranger occupent en France une place plus modeste que dans la plupart des pays occidentaux". H. L. BDans cet essai insicif, l'auteur analyse, raconte, compare. Restez libre, ne vous laissez pas manipuler par les semeurs de haine, lisez ces pages. .

03/2022