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Goncourt oublié

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Critique littéraire

Francis de Miomandre, un Goncourt oublié

Francis de Miomandre (1880-1959), sixième lauréat du prix Goncourt, auteur d'une oeuvre curieuse et abondante, premier traducteur de grands textes de la littérature hispanique (Asturias, Unamuno, Cervantès...) est aujourd'hui complètement oublié. Ce dandy, ami fidèle de Gide, Suarès, Larbaud, Breton, Supervielle, Desnos, Milosz, Soupault, Claudel et de beaucoup d'autres, fut le témoin des aventures littéraires du XXe siècle, toujours présent, fêté, jusqu'aux dures années d'après-guerre, à Paris, où on commença à le mettre à l'écart parce qu'il incarnait trop le vieux siècle précieux. Il a fallu la passion d'un jeune homme curieux, Remi Rousselot, pour chercher dans les archives déposées dans la salle Cervantès de la Bibliothèque nationale d'Espagne, et suivre le fil de cette vie à travers la Première Guerre mondiale, les années folles à Paris et sur la côte basque, les salons littéraires, la guerre d'Espagne et enfin la Deuxième Guerre et le retour à Paris. Parallèlement, paraît, dans la collection Minos, Ecrit sur de l'eau, le roman qui obtint le prix Goncourt en 1908.

09/2013

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Critique littéraire

Sacré Goncourt !

" Notre époque, dites-vous, manque de vrais auteurs. Et le Goncourt alors ? Jamais entendu parler ? Et dans la grande presse, les listes hebdomadaires des nouveaux "chefs-d'œuvre" ? Ça ne vous suffit pas ? Vous n'êtes toujours pas satisfait ? Fiez-vous à vous-même, à votre propre jugement ! Les livres sont faits pour qu'on les ouvre, qu'on les feuillette, qu'on les interroge... Ils sont patients et timides. C'est de vous qu'ils attendent d'exister. Pas de bon auteur sans un vrai et bon lecteur " P. L Pascal Lainé dénonce ici avec humour les effets pervers de la mode et du suivisme dans la création littéraire comme dans tout le milieu de la culture. Pour lui, le bavardage médiatique étouffe désormais les œuvres, ou les défigure bien plus souvent qu'il ne les éclaire. Au lecteur, donc, de recouvrer sa propre liberté, et de la rendre aux livres.

10/2000

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Encyclopédies de poche

Le prix Goncourt

Assurer à quelques romanciers la même liberté dont ils avaient eux-mêmes bénéficié, leur épargner les "besognes de fonctionnaires" ou les "basses oeuvres du journalisme", tel est le but que visaient Edmond et Jules de Goncourt par la création d'une "Société littéraire" portant leur nom. La vente de leurs collections devait assurer à chacun des dix membres une rente annuelle de 6000 francs or ; un prix de 5000 francs or était destiné au meilleur volume de prose publié dans l'année. Des perspectives attisant de nombreuses convoitises. Mais les dévaluations successives ont réduit très tôt à néant les montants des rentes et du prix. C'est désormais grâce à sa notoriété que le prix Goncourt génère des tirages très importants et assure ainsi aux lauréats la liberté que voulaient leur procurer les frères Goncourt. Un retournement spectaculaire, raconté par Robert Kopp dans ce livre qui fait défiler, à travers l'histoire de l'académie et du prix, toute la vie littéraire française de la Belle Epoque à aujourd'hui.

10/2012

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Littérature française

Naissance d'un Goncourt

" Quand j'ai vu ces deux bougies charbonner dans les ténèbres, je me suis demandé où j'arrivais ? Dans quel port inconnu j'allais devoir entrer à la voile, manoeuvrer à la voile et rien qu'à la voile, accoster en douceur ? Santander ? La Corogne ? Yeu ? Noirmoutier ? La Rochelle ? Je n'ai reconnu Belle-Isle-en-Mer qu'au dernier moment, à l'énorme silhouette oblique de la citadelle Vauban. On a déboulé vent arrière entre les deux môles à peine visibles sous la pluie rageuse, et j'ai viré de bord en catastrophe, suppliant Claudius de baisser la voile, de la tuer. J'espérais ralentir le voilier, lui briser son élan, mais il a filé sur son erre entre deux yachts au corps-mort, deux ombres gesticulantes, et c'est le quai des visiteurs qui l'a fait s'arrêter - net ! avec un méchant bruit de ferraille disloquée. Pour morfler, il avait morflé ! Des échelons brillaient comme des yeux. Je suis monté sur le quai passer une amarre à l'anneau. A quoi pouvais-je penser ? Mes mains avaient doublé de volume, le vent m'incendiait les tympans. J'étais sorti du monde civilisé où le mot Littérature a la moindre chance de vous choper au collet. Pourtant je n'avais pas la berlue, quelqu'un me tapait sur l'épaule et crevant les rafales j'entendais ces mots complètement nases, délivrés du nord, du sud, de tous mes fantasmes du moment : - Toi, chéri, tu as une gueule d'écrivain. " C'est ainsi que Yann Queffélec, 27 ans, rencontra Françoise Verny, papesse de l'édition. Un hommage tendre et drôle au chemin que parcoururent ensemble ce jeune inconnu et cette femme aux excès aussi célèbres que ses intuitions. Un hommage à l'écriture, aussi, qui sait faire sa place dans la vie des écrivains par des voies parfois inattendues.

09/2018

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Littérature française

Le prochain Goncourt. Pastiche

Dans un village de la Creuse, à Jarnages, près de la maison de Michel Houellebecq, Jean-Pierre Coffe est retrouvé mort dans une tarte à la citrouille géante. L'inspecteur Weyergland et sa coéquipière Marie Ndxwsiaye se rendent sur les lieux du crime... Pour mener à bien cette enquête construite en onze chapitres, Etienne Liebig "pille" sans vergogne les onze derniers Goncourt. Sous sa plume, Le Sermon sur la chute de Rome devient Le Sermon sur la chute des cheveux, Les Bienveillantes : Les Malvoyantes, La Carte et le Territoire : La Tarte et le Méritoire... Pour être certain d'obtenir à son tour cette récompense prestigieuse qui lui permettra de vivre à Genève et de s'acheter les chaussures Berluti dont il a toujours rêvé, Etienne Liebig, écrivain malfaisant et particulièrement immoral, reprend à son compte le travail considérable et les styles si originaux de ces maîtres de l'écriture pour les pasticher.

08/2013

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Biographies

Les infréquentables frères Goncourt

Edmond et Jules de Goncourt sont comme écrasés par leur nom. Si nul n'ignore le prix qu'ils ont fondé, l'oubli a frappé la vie et l'oeuvre de ces deux frères qui se sont attaqués pendant près d'un demi-siècle à tous les genres littéraires, et plus encore au genre humain. Suivre les Goncourt, c'est courtiser la princesse Mathilde, dîner avec Zola, survivre à la Commune, passer des salons des Rothschild aux soupentes sordides et recevoir toute l'avant-garde artistique dans leur Grenier de la Villa Montmorency. Pamphlétaires incisifs, romanciers fondateurs du naturalisme, dramaturges à scandale, collectionneurs impénitents, ces langues de vipère ont légué à la postérité un cadeau empoisonné : un Journal secret qui fait d'eux les meilleurs chroniqueurs du XIXe siècle. Seule la méchanceté est gratuite, aussi les deux écrivains la dépensent-ils sans compter. Chaque page laisse éclater leur détestation des femmes, des parvenus, des Juifs, des artistes et de leurs familiers. On découvre Baudelaire ouvrant sa porte pour offrir aux voisins le spectacle du génie au travail, Flaubert invitant ses amis à déguster des "cervelles de bourgeois", les demi-mondaines étalant un luxe tapageur ou Napoléon III entouré d'une cour servile qui met en bouteilles l'eau de son bain... Réactionnaires ne jurant que par la révolution en art, aristocrates se piquant de faire entrer le bas peuple dans la littérature, les Goncourt offrent un regard aiguisé sur un monde en plein bouleversement, où, de guerres en révolutions, le paysan fait place à l'ouvrier, la bougie à l'ampoule et le cheval à l'automobile.

01/2020

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Biographies

Le Paris des Goncourt

La vie parisienne des frères Goncourt. Ayant hérité de quelques rentes, Edmond et Julse de Goncout décident "de ne rien faire" et entrent en littérature par le journalisme. Dans L'Eclair et Paris, ils veulent "chaque matin éveiller Paris" avec quelques nouvelles fraîches, sur la vie des théâtres, des caf'conc, des restaurants courus par les actrices, les gens de presse, les politiques. Faire le portrait des silhouettes à la mode, de la lorette, de la partageuse, de la lionne, de la grisette. Rapporter la rumeur de la rue. Ils parcourant sans cesse les rues de ce Paris que Haussmann transforme sous leurs yeux, pour prendre des notes, et faire des portraits au vitriol de la bourgeoisie louis-philipparde, de bohême littéraire du Second Empire, du monde de hôpitaux, des prisons, des lupanars. Journalisme, histoire, roman : écritures tournées vers la vie concrète, quotidienne, à la manière des naturalistes, qu'ils précèdent. Et tout au long de leur vie tenant un Journal, qui est à la République des lettres ce que sont les Mémoires de Saint-Simon à la cour de Versailles. Une galerie de portraits sans complaisance, une dénonciation d'une rare méchanceté des intrigues et des bassesses de la ménagerie humaine, préfigurant les intrigues du Prix qu'ils ont fondé et qui porte leur nom.

11/2023

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Littérature française

Terres lorraines. Prix Goncourt 1907

Terres lorraines est un roman d'Emile Moselly publié en 1907. Il fut récompensé rétroactivement la même année par le prix Goncourt. Contexte : Terres lorraines, à l'image de l'ensemble des premières oeuvres de l'auteur, s'inscrit dans le courant régionaliste dont Emile Moselly est un représentant pour la Lorraine. Comme dans ces précédentes nouvelles, il y décrit en détail les paysages lorrains, le monde rural, la vie des humbles et des miséreux entre Metz, Nancy, Toul et Commercy. Résumé : Un pêcheur sur la Moselle, tourmenté par des désirs d'indépendance et de découvertes, abandonne sa terre natale pour s'embarquer sur un navire qui fait le trafic entre la Lorraine et la Flandre. Il y perd sa fiancée qui meurt à la suite de son départ et se voit entraîné dans une vie de nomadisme loin des paysages lorrains familiers.

11/2022

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Biographies

Journal Des Goncourt. Tome 1

Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le "meilleur de l'oeuvre" ou, selon Robert Ricatte, "le plus beau de leur roman") et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d'un échec). Il convient d'abord de s'en étonner, au lieu de l'accepter simplement comme un bien nécessaire - éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion -, ou de l'intégrer naturellement dans l'ensemble des écrits, en tant qu'appendice, esquisse, complément ou substitut de l'oeuvre légitime, bien que l'une et l'autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s'est largement fait l'écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L'entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l'on entre un moment dans la perspective de l'organisation - ou réorganisation - du "champ littéraire" tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d'une réflexion sur le statut de l'écrivain "moderne" , ou la figure emblématisée de l'homme de lettres. Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d'établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l'écrivain fin de siècle qui s'y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du "Poète"), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une oeuvre théorique qu'une oeuvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d'étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d'un demi-siècle de "la vie littéraire" (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qu'à une lecture continue, pourtant indispensable si l'on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements - ceux d'un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s'y adaptant.

01/2023

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Biographies

Journal Des Goncourt. Tome 2

Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le "meilleur de l'oeuvre" ou, selon Robert Ricatte, "le plus beau de leur roman") et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d'un échec). Il convient d'abord de s'en étonner, au lieu de l'accepter simplement comme un bien nécessaire - éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion -, ou de l'intégrer naturellement dans l'ensemble des écrits, en tant qu'appendice, esquisse, complément ou substitut de l'oeuvre légitime, bien que l'une et l'autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s'est largement fait l'écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L'entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l'on entre un moment dans la perspective de l'organisation - ou réorganisation - du "champ littéraire" tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d'une réflexion sur le statut de l'écrivain "moderne" , ou la figure emblématisée de l'homme de lettres. Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d'établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l'écrivain fin de siècle qui s'y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du "Poète"), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une oeuvre théorique qu'une oeuvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d'étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d'un demi-siècle de "la vie littéraire" (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qu'à une lecture continue, pourtant indispensable si l'on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements - ceux d'un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s'y adaptant.

01/2023

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Littérature française

Le Chèvrefeuille. Prix Goncourt 1924

Prix Goncourt en 1924, est un roman de Thierry Sandre paru en 1924 et fait partie d'une trilogie avec Le Purgatoire et Le Chapitre treize d'Athénée. C'est l'histoire de Maurice, poilu de la guerre de 14-18 qui laisse ses pièces d'identité sur le corps d(un soldat tombé au combat à côté de lui. Il passe donc pour mort et laisse une jeune veuve, inconsolable. Dans la deuxième partie du roman nous assistons à la réapparition de Maurice, des années après la fin de la guerre. Mais Marthe s'est envolée avec un nouveau mari...

11/2022

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Beaux arts

Les frères Goncourt collectionneurs de dessins

L'Art du XVIIIe siècle (1875), des Goncourt, est un ouvrage de référence sur la réhabilitation de la peinture du règne de Louis XV au XIXe siècle. Jules et Edmond, hommes de lettres, écrivains, romanciers, fondateurs de l'académie et du prix Goncourt, ont collectionné avec ferveur les dessins français de cette époque. De Watteau à Boucher, de La Tour à Fragonard, ces feuilles sont aujourd'hui conservées dans les plus grands musées. L'auteur fait revivre la "manie" des deux frères et analyse chaque oeuvre de leur étonnate collection.

07/1991

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Critique littéraire

Les frères Goncourt. Hommes de lettres

Le nom de Goncourt connaît la célébrité grâce au plus fameux des prix littéraires, mais il mérite aussi de survivre car il fut porté par deux frères, hommes de lettres novateurs, irremplaçables témoins de leur temps. Leur double biographie ressuscite un demi-siècle de vie littéraire et artistique, où l'on croise Gautier et Flaubert, où l'on côtoie Renan, Taine, Berthelot, Daudet, Zola. Collectionneurs impénitents, esthètes dolents et élitistes, Jules et Edmond de Goncourt ont transformé leur vie et celle de leurs proches en pages d'écriture. Leur Journal, leurs romans, qui ont initié le naturalisme et la littérature fin de siècle, la création de l'académie des Goncourt, tout témoigne de leur aspiration à la survie littéraire. Leurs engagements avant-gardistes s'associent paradoxalement à un conservatisme politique qui n'exclut ni la misogynie ni l'antisémitisme. Fondée sur des archives familiales, sur des correspondances largement inédites et sur le dépouillement de la presse de la seconde moitié du XIXe siècle, cette biographie magistrale s'attache à l'oeuvre littéraire et historique aujourd'hui méconnue, elle renoue les fils d'une intense vie à deux, en pénétrant dans l'intimité affective d'une gémellité fusionnelle.

03/2020

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Littérature française

Proust, prix Goncourt. Une émeute littéraire

10 décembre 1919 : le prix Goncourt est attribué à Marcel Proust pour A l'ombre des jeunes filles en fleurs. Aussitôt éclate un tonnerre de protestations : anciens combattants, pacifistes, réactionnaires, révolutionnaires, chacun se sent insulté par un livre qui, ressuscitant le temps perdu, semble dédaigner le temps présent. Pendant des semaines, Proust est vilipendé dans la presse, brocardé, injurié, menacé. Son tort ? Ne plus être jeune, être riche, ne pas avoir fait la guerre, ne pas raconter la vie dans les tranchées. Retraçant l'histoire du prix et les manoeuvres en vue de son attribution à Proust, s'appuyant sur des documents inédits, dont il dévoile nombre d'extraits savoureux, Thierry Laget fait le récit d'un événement inouï - cette partie de chamboule-tout qui a déplacé le pôle magnétique de la littérature - et de l'émeute dont il a donné le signal.

04/2019

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Littérature française

L'Oublié

Mathéo, artiste peintre toulousain, éprouve la nécessité de retourner dans son pays de Caux natal pour faire la lumière sur ses origines. Accompagné de sa compagne, Solange, et de deux amis chers, il va partir à la recherche de la vérité sur sa mère, une Allemande aux absences mystérieuses, et sur son père, l'Oublié, l'homme sans passé... Avec la fresque romanesque de " L'Ebéniste de Saint-Paul ", Jean Mondin s'inspirait de la vie des membres de sa famille, immigrés italiens. Prolongement de cette aventure littéraire, " L'Oublié " relate la quête des origines d'un de leurs descendants.

06/2019

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Littérature française

L'Oublié

Un bourg des Carpates, la guerre, l'errance à travers l'Europe à feu et à sang, la découverte de la Palestine, l'amour de Talia dans Jérusalem où se poursuivent les combats alors qu'Israël est à peine né: Elhanan Rosenbaum conserve ces souvenirs vivaces en lui, quarante-cinq ans plus tard, à New York où il s'est installé avec Malkiel, son fils. Malkiel a grandi dans l'univers américain, proche de son père, mais tellement étranger à ce passé auquel ne le relie qu'une certitude: sa mère, Talia, est morte en le mettant au monde. Survient la maladie d'Elhanan. Maladie de la mémoire et de la parole: le passé se dissout, les souvenirs s'effacent. Bientôt, plus rien ne restera que le père puisse léguer à son fils. A quel enracinement Malkiel pourra-t-il donc prétendre quand son amie Tamar conteste ses convictions les plus profondes? En désespoir de cause, Elhanan raconte ce passé tumultueux, nourissant ainsi la mémoire de son fils à mesure que la sienne se défait. Puis, tandis que le vieil homme s'enfonce dans sa nuit, Malkiel découvre la terre de ses ancêtres. Lieu d'une deuxième naissance, où se révèleront son identité profonde et sa vérité à travers celles d'Elhanan. Est-ce là que la mémoire triomphera de l'indifférence et de l'oubli?

12/1989

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Romans policiers

J'oublie

Je me réveille, perdue, sans ma fille. Qu'est-ce que je fais ici ? Un dédale de couloirs, plusieurs inconnus. On ne se connait pas et nous n'avons rien en commun, pourtant nous allons devoir survivre ensemble. Mais qui nous a abandonné ici ? Pourquoi ai-je tant de souvenirs si horribles qui me hantent l'esprit ? Autant de mystères et de questions auxquels je vais devoir répondre pour connaître la vérité.

03/2022

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Littérature française

La Femme au XVIIIe siècle

Passionnés par le XVIIIe siècle, les frères Goncourt ont consacré une grande partie de leur vie à enquêter sur les moeurs d'alors. De la mode à la politique, en passant par les couvents et les salons, ils célèbrent dans cet essai la toute-puissance de la femme à l'époque des Lumières, et en particulier l'aristocrate parisienne, qui se distingue par son élégance, son intelligence et sa liberté affective et sexuelle. Décriés et négligés en leur temps, les frères Goncourt figurent parmi les précurseurs de la Nouvelle Histoire. C'est dans cette perspective qu'Elisabeth Badinter nous invite à redécouvrir cet essai méconnu dans sa lumineuse préface : " A la différence de l'histoire politique traditionnelle qui a toujours ignoré la femme, l'histoire des moeurs et des mentalités peut seule la faire apparaître comme sujet de l'histoire. "

11/2021

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Littérature française

Journal des Goncourt Tome 4 : 1865-1868

Dans les années 1865-1868, les Goncourt, publient deux romans (Germinie Lacerteux, 1865 ; Manette Salomon, 1867), achèvent la réaction d'un troisième (Madame Gervaisais), font représenter au Théâtre-Français Henriette Maréchal (1865), trouvent l'énergie d'écrire un autre drame, Blanche de La Rochedragon (1868), s'avèrent moralistes et esthètes dans Idées et sensations (1866), complètent L'Art du XVIIIe siècle de monographies nouvelles. Le morcellement de l'écriture diaristique réfracte ainsi, dans ses éclats, une existence qui semble elle-même se composer de morceaux successifs au gré des contraintes engendrées par la rédaction des oeuvres, par la participation à des rites sociaux ou mondains et, dès 1867, par une maladie qui les incite à déménager, à cause d'une hantise du bruit, dans la célèbre maison d'Auteuil. Le Journal des Goncourt, qui fait alterner maximes de moralistes, portraits caricaturaux, anecdotes souriantes, paysages en prose, jugements esthétiques, propos rapportés, est le précipité des tensions entre l'ordre du Monde, dont les deux frères ne récusent pas les vanités, et une religion de l'Art qui tient lieu de transcendance et de compensation.

11/2019

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Biographies

Journal Des Goncourt. Troisième Série, Tome 2

Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le "meilleur de l'oeuvre" ou, selon Robert Ricatte, "le plus beau de leur roman") et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d'un échec). Il convient d'abord de s'en étonner, au lieu de l'accepter simplement comme un bien nécessaire - éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion -, ou de l'intégrer naturellement dans l'ensemble des écrits, en tant qu'appendice, esquisse, complément ou substitut de l'oeuvre légitime, bien que l'une et l'autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s'est largement fait l'écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L'entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l'on entre un moment dans la perspective de l'organisation - ou réorganisation - du "champ littéraire" tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d'une réflexion sur le statut de l'écrivain "moderne" , ou la figure emblématisée de l'homme de lettres. Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d'établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l'écrivain fin de siècle qui s'y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du "Poète"), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une oeuvre théorique qu'une oeuvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d'étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d'un demi-siècle de "la vie littéraire" (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qu'à une lecture continue, pourtant indispensable si l'on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements - ceux d'un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s'y adaptant.

01/2023

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Correspondance

Journal des Goncourt. Tome 5, 1869-1871

Les années 1869-1871 constituent un moment capital du Journal des Goncourt. Jules meurt le 20 juillet 1870. Il avait cessé d'écrire dès le 19 janvier. Edmond, devenu le seul scribe, évoque avec une précision clinique, mais aussi avec émotion, l'agonie de son frère. Dès septembre 1870, le Journal change de forme. La défaite, l'effondrement du Second Empire, la Commune transforment Edmond, qui ne cesse de parcourir Paris, en témoin privilégié de la vie quotidienne ; il la décrit sous forme de brefs instantanés qui s'élargissent parfois en tableaux parisiens. L'histoire est ainsi subjectivée en fonction d'une idéologie, d'une curiosité insatiable qui détermine parfois, au nom du reportage, une éthique de l'écriture, mais aussi d'une esthétique sensible à l'insolite inhérent aux métamorphoses suscitées par les deux sièges.

09/2021

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Critique

Station Goncourt. 120 ans de prix littéraires

Cet essai entend jeter un regard contemporain sur un phénomène de plus en plus profus et sauvage : les prix littéraires. A priori, l'idée même de ces prix offusque la raison. Elle rappelle les mauvais souvenirs normatifs de sélection à l'école ; elle établit une compétition de tous contre tous ; elle financiarise et hiérarchise ce qui devrait être la liberté criarde de créer en sautant hors du rang. Pourtant, l'invention des frères Goncourt d'un prix non-académique, décerné depuis 1903 au meilleur roman de l'année par un cénacle d'hommes de lettres, s'est non seulement pérennisée mais a servi de modèle, en France comme à l'étranger, pour de nombreuses récompenses du même type. On compte maintenant entre 2000 et 5000 prix dans notre pays, distribués par des jurys qui se révèlent de plus en plus éloignés du fait littéraire. Dans une moindre mesure la même prolifération s'observe à l'étranger. Tout au long du vingtième siècle, ces récompenses qui constituent essentiellement un mode parallèle de financement de la littérature, n'ont cessé d'être vilipendées par nombre d'écrivains et de critiques qui les ont entre autres accusées, non sans quelque motif valable, d'opacité et de corruption. Peine perdue. En 120 ans, les prix littéraires ont réussi à structurer la littérature au risque de la gadgétiser.

04/2023

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Biographies

Journal Des Goncourt. Deuxième série, Tome 2

Le Journal des Goncourt suscite également admiration (le "meilleur de l'oeuvre" ou, selon Robert Ricatte, "le plus beau de leur roman") et aversion (un ramassis de ragots et de malveillance, la preuve d'un échec). Il convient d'abord de s'en étonner, au lieu de l'accepter simplement comme un bien nécessaire - éphémérides et répertoire à consulter en toute occasion -, ou de l'intégrer naturellement dans l'ensemble des écrits, en tant qu'appendice, esquisse, complément ou substitut de l'oeuvre légitime, bien que l'une et l'autre démarche soient parfaitement fondées, et du reste illustrées par de multiples travaux spécialisés, dont le présent colloque s'est largement fait l'écho. Les considérant comme acquis, je souhaiterais déplacer le point de vue et proposer une approche un peu nouvelle, me semble-t-il. L'entreprise me paraît en effet offrir matière à un questionnement radical, si l'on entre un moment dans la perspective de l'organisation - ou réorganisation - du "champ littéraire" tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, et d'une réflexion sur le statut de l'écrivain "moderne" , ou la figure emblématisée de l'homme de lettres. Un dépouillement systématique du Journal, par les moyens informatiques, permettrait seul d'établir, méthodiquement et chronologiquement, sur des bases lexicales, la nouvelle problématique de l'écrivain fin de siècle qui s'y dessine, en rupture avec les valeurs du premier romantisme (autour du "Poète"), entre artiste et intellectuel. Mais le Journal est moins une oeuvre théorique qu'une oeuvre de combat, soumise aux variables conjoncturelles et consubstantiellement engagée dans la pratique de la littérature, dont il traite. Je me contenterai ici de dégager une perspective d'étude, à travers une approche concrète des questions soulevées par ces milliers de pages, qui couvrent près d'un demi-siècle de "la vie littéraire" (je reviendrai sur ce sous-titre). Le genre et la masse invitent au feuilletage plutôt qu'à une lecture continue, pourtant indispensable si l'on veut saisir les lignes de force de ces Mémoires et en comprendre à la fois les constantes et les infléchissements - ceux d'un texte en devenir, qui exécute un programme tout en enregistrant les variations du milieu où il opère, et en s'y adaptant.

01/2023

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Littérature française

Si le passé t'oublie, oublie le passé

Ce jour-là, c'est le délire à Marzam, la paranoïa. La IVe République vient d'être proclamée. Nul ne connaissant les tenants et les aboutissants de ce changement majeur, tout le monde s'interroge. Et le peuple est divisé. Une thérapie collective est appliquée qui semble avoir fait ses effets. Chacun défendant désormais, comme il peut, sa position. Les partisans ou repentis se moquent du passé. Ils ont leur IVe République, c'est désormais leur bébé. Il ne faut surtout pas résister au vent qui souffle. Il faut avancer. La IIIe République est morte, vive la IVe. Ce n'est pas en se focalisant sur le passé que l'on construit l'avenir. Et chaque fois que c'est possible, leur conseil est simple : ne résistez pas à ce qui vous résiste. Contournez la montagne. Frayez un autre chemin. Erigez-vous un nouveau pont. Etablissez-vous de nouvelles relations. Après tout, on peut toujours dire non sans refuser, et dire oui sans donner. Qui veut gagner l'argent, doit perdre l'argent, car c'est l'argent qui appelle l'argent. Mais pour les résistants ou conservateurs, tous ceux qui ne sont pas pour le passé sont des sécessionnistes, des fédéralistes, des gens perdus, égarés et sans conscience ni boussole. Pour les indécis ou indifférents, il faut laisser faire, laisser aller. Le bien et le mal ont bien leur raison d'être ici-bas sur Terre. Si quelqu'un récolte la tempête, c'est qu'il a bien semé le vent. Et c'est la nature même du bât que de blesser. On n'y peut rien. C'est fatal, tout simplement. Finalement qui a raison et qui a tort ? Malgré toutes ces contradictions et ces déclarations à l'emporte-pièce, pour Abdoulaye Logamou, le politicien et ses amis, tout est bien dans le meilleur des mondes pour gouverner la cité.

11/2018

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Policiers

N'oublie pas

Le corps sans vie d'une femme est retrouvé dans un champ. Qui avait un intérêt à sa mort ? Quel rapport ce meurtre a-t-il avec le mystérieux évènement survenu cinq ans plus tôt lors de l'escalade d'une via ferrata ? Mais que cache Adrien ? Est-il impliqué dans la série de crimes odieux que la police semble impuissante à résoudre ? Le lieutenant Richard Corbel devra démêler les fils d'une affaire complexe et naviguer entre tueur à gages, meurtres, trahison, vengeance, amour et coups de théâtre.

01/2020

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Littérature érotique et sentim

Le Tiroir oublié...

" Son père, qui avait toujours représenté à ses yeux l'exemple à suivre, le modèle d'homme parfait à la moralité sans faille, venait de chuter violemment de son piédestal. " A 59 ans, James Saint Clear, photographe et reporter depuis peu à la retraite, coulait des jours heureux à Fontevieille, dans son "Petit Mas" au pied des Alpilles, en compagnie de ses animaux. Quelques mois après le décès de son père, il retourna à Paris pour s'occuper de la vente de l'appartement familial. Après avoir flâné au coeur de la capitale et savouré des souvenirs d'antan, il commença à faire le tri dans le mobilier parental. A sa grande surprise, il découvrit en vidant le "bureau américain" que son papa affectionnait tant un tiroir caché... Une véritable boîte de Pandore renfermant plusieurs terribles secrets. A quel point son quotidien en sera-t-il bouleversé ? Comment réagira-t-il ? En arrivera-t-il à bout ? James vous emmènera de Paris à Athènes, puis dans les Cyclades à travers des sites paradisiaques. Offrant un magnifique voyage temporel et géographique, Jérôme Adam décrit avec justesse le poids des secrets et la manière étonnante dont une vie, paisible, solitaire et bien réglée, peut basculer dans une spirale inattendue et chaleureuse.

09/2019

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Esotérisme

Le Chemin Oublié

"Je suis une onde qui prend forme pour que vous me reconnaissiez". Ainsi se présente Benoît, mon fils décédé en 2011 à la suite d'un accident de voiture. Le Chemin Oublié est le récit d'une nouvelle prise de conscience. La Vie présente et Réelle nous appelle à travers les messages de Benoît. Le Chemin Oublié nous dit que l'Amour existe et que notre perception de nous-mêmes et du monde est erronée. Nous sommes la Vie. Nous sommes l'Amour. Quand le réaliserons-nous ? Les limites sont invisibles, elles sont inexistantes. Seul notre esprit croit en elles. Notre esprit se trompe. Et souffre. Nous pouvons retrouver l'Etre que nous sommes Réellement.

07/2020

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Littérature étrangère

Le soldat oublié

En 1921, dans le village anglais de Charlton Ambrose, huit petits arbres sont plantés en mémoire des soldats tombés lors de la Grande Guerre. Une nuit, en secret, un neuvième arbre est mystérieusement ajouté. Qui l'a planté ? Et à quel "soldat inconnu" ce mémorial végétal est-il dédié ? Quatre-vingts ans plus tard, la colère gronde dans le village face à un projet immobilier qui détruirait le bosquet. Rachel, une journaliste locale, est non seulement déterminée à préserver ce lieu de mémoire, mais aussi à faire toute la lumière sur sa signification. La jeune femme est loin de se douter que ses recherches vont la mener sur les traces de sa grand-mère, infirmière pendant la guerre. Au-delà des grands événements de l'Histoire, c'est le passé de sa propre famille que Rachel exhume. Une histoire d'amour tragique et un secret qui vont bouleverser sa vie...

10/2019

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Littérature érotique et sentim

PS : oublie-moi !

Léonore est belle comme le jour, mais elle vit dans l'ombre pour cacher son plus gros complexe et son plus douloureux secret. Pourtant, quand une agence de mannequins extra-ordinaires s'intéresse à elle, elle y voit une chance de se reconstruire. Mais ses espoirs se brisent lorsqu'elle découvre l'identité de son nouveau boss : Wolf Larsson, le garçon qu'elle aimait et qui a bien failli la détruire. Il fut son premier amour, son bourreau, son pire cauchemar... Huit ans après le drame, elle est devenue une lionne prête à tout pour survivre. Lui a gardé ses mots féroces et ses yeux de loup. Elle va devoir lui pardonner. Il va devoir se racheter. Pour raviver la flamme qui brille encore entre eux, malgré tout.

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Littérature française

Le Manuscrit Oublié

Vous avez aimé le Da Vinci Code ? Vous adorerez Le Manuscrit Oublié ! Tous les secrets sur la vraie nature du Sauveur évoqués dans le best-seller de Dan Brown sont ici clairement expliqués. Qui était réellement Yeshua ben Yosef, celui que nous appelons aujourd'hui "Jésus" ? Etait-il de nature divine ? L'étonnante rencontre entre une journaliste et un riche homme d'affaires libanais va mettre le feu aux poudres ! Ce passionné de spiritualité a hérité d'un très vieux manuscrit que son père avait acheté lors d'une promenade dans un souk de Baalbeck, un texte étonnant qui va faire basculer l'histoire ! Dans ce roman haletant, vous marcherez sur les traces des esséniens... Dans un imbroglio mystique où se mêlent les intérêts de l'occupant romain et ceux des premiers chrétiens, Joseph d'Arimathie va vous livrer le plus merveilleux des secrets : le Fils de Dieu n'est pas mort sur la croix ! Féru d'histoire et de littérature, l'auteur écrit depuis toujours. Il aime mêler dans ses récits de subtils parfums d'hier et d'aujourd'hui pour que chacun puisse s'y reconnaître. A ses yeux, le véritable talent des écrivains consiste à entraîner ses lecteurs dans un univers singulier, aux confins du réel et de l'imaginaire...

05/2019