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Kosovo

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BD tout public

Bienvenue au Kosovo

Mars 2004, Dimitri est un jeune homme qui a fui la Yougoslavie dans sa jeunesse et qui doit retourner au Kosovo pour participer à l'enterrement de son père avec qui il était resté en mauvais termes. A travers un périple dans l'ex-Yougoslavie Dimitri est rapidement plongé dans l'enfer balkanique d'après-guerre. Lors de son voyage il rencontre Milan, un vieux serbe truculent à la langue acérée, qui lui raconte sa version des guerres yougoslaves. A chaque récit Dimitri se replonge dans son enfance et se souvient des moments passés avec son meilleur ami, Kledi, un jeune Albanais. Dimitri se souvient également de la montée des tensions entre communautés au Kosovo et de la relation compliquée avec son père. Après plusieurs embûches Dimitri se rapproche enfin de son but mais se retrouve piégé en plein milieu des émeutes de 2004 dans un Kosovo à feu et à sang. Timide et romantique Dimitri doit prendre son courage en mains pour traverser une zone de guerre et atteindre son but. Soldats, tirs, révolte, espoir, haine, amour... Bienvenue au Kosovo.

10/2019

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BD tout public

Retour au Kosovo

Il y a une quinzaine d'années, le Kosovo est devenu le théâtre d'une guerre civile, aux franges de l'Europe. Kosovar, Gani Jakupi a quitté son pays en proie au conflit. Ecrivain, journaliste, jazzman, dessinateur et scénariste, il a vécu en France et en Espagne, avant de revenir au Kosovo après la fin des combats en 1999, pour retrouver sa famille et pour témoigner. A la fois proche et lointain, ce conflit a ravivé des doutes et des blessures qu'on croyait oubliés. Comment dire l'après ? Gani Jakupi explore les douloureuses questions qui se posent quand les armes se taisent et que la vie doit reprendre ses droits. Gani Jakupi s'est associé au dessinateur Jorge González pour servir l'écriture d'un récit marqué par l'émotion. Graphiquement les pages se construisent en strates successives, lumières et couleurs s'amalgamant aux traits des paysages et des personnages. Apre et poétique, auteur chez Dupuis des remarqués "Bandonéon" et "Chère Patagonie", collaborateur du New Yorker, Jorge González est de ces artistes capables d'exprimer l'indicible et de rendre palpables les sentiments qui lient identité et géographie. Ces deux grands auteurs nous offrent un récit singulier et saisissant, qui parvient à mêler l'Histoire et l'intime.

10/2014

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Guides étrangers

Petit Futé Kosovo. Edition 2019

Niché dans son écrin de montagne, le Kosovo demeure l'une des dernières destinations du continent européen à conserver tout son caractère sauvage. Amateurs de grand air, de montagne et d'espaces encore vierges, le Kosovo, plus jeune pays du monde, ne demande qu'à vous dévoiler ses nombreux trésors naturels si peu connus du grand public. Riche de son histoire, le Kosovo offre également au visiteur un voyage dans le temps et l'espace où influences orientales et slaves se mêlent dans un subtil mélange de traditions, de folklore et de patrimoine architectural, conférant aux villes une identité unique où les plus beaux monastères orthodoxes classés au patrimoine mondial de l'UNESCO côtoient de magnifiques mosquées ottomanes. Visiter le Kosovo c'est aussi venir à la rencontre d'un peuple, fier de ses origines et dont la légendaire hospitalité vous surprendra. Le Petit Futé vous accompagne pour vivre une expérience balkanique inoubliable !

03/2019

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BD tout public

Retour au Kosovo Tome 1

Il y a une quinzaine d'années, le Kosovo est devenu le théâtre d'une guerre civile, aux franges de l'Europe. Kosovar, Gani Jakupi a quitté son pays en proie au conflit. Ecrivain, journaliste, jazzman, dessinateur et scénariste, il a vécu en France et en Espagne, avant de revenir au Kosovo après la fin des combats en 1999, pour retrouver sa famille et pour témoigner. A la fois proche et lointain, ce conflit a ravivé des doutes et des blessures qu'on croyait oubliés. Comment dire l'après ? Gani Jakupi explore les douloureuses questions qui se posent quand les armes se taisent et que la vie doit reprendre ses droits. Gani Jakupi s'est associé au dessinateur Jorge González pour servir l'écriture d'un récit marqué par l'émotion. Graphiquement les pages se construisent en strates successives, lumières et couleurs s'amalgamant aux traits des paysages et des personnages. Apre et poétique, auteur chez Dupuis des remarqués "Bandonéon" et "Chère Patagonie", collaborateur du New Yorker, Jorge González est de ces artistes capables d'exprimer l'indicible et de rendre palpables les sentiments qui lient identité et géographie. Ces deux grands auteurs nous offrent un récit singulier et saisissant, qui parvient à mêler l'Histoire et l'intime.

10/2014

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Histoire internationale

Le martyre du Kosovo. 3e édition

Le Kosovo a été arraché à la Serbie dont il est le coeur historique. Par suite d'une immigration sauvage, les autochtones ont été submergés par les Albanais (ils représentaient 2 % de la population du Kosovo au XVe siècle et sont actuellement majoritaires à 90 %). Ceux-ci ont proclamé l'indépendance de cette région : ainsi, au coeur de l'Europe, une minorité chrétienne est victime d'une véritable épuration ethnique étant submergée par des vagues d'étrangers et ce sur un territoire qui lui appartient historiquement. Ce qui arrive au Kosovo aujourd'hui pourrait être le destin d'autres régions d'Europe demain. Ce livre est une page tragique de l'histoire présente de l'Europe où les Serbes, abandonnés de tous, ont été bombardés par les forces de l'Otan surfant sur une opinion mondiale anesthésiée et manipulée. Depuis la fin de cette guerre, qu'est devenu le Kosovo sous l'occupation de l'Otan ? Qui sont ces indépendantistes kosovars, ces nouveaux amis de l'Occident ? Quel était l'intérêt des Américains à susciter et soutenir cette sécession ? Comment en est-on arrivé là ? Des réponses précises et argumentées qui remettent les idées à l'endroit et contrecarrent bobards et "intox".

12/2020

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Littérature étrangère

Trois chants funèbres pour le Kosovo

On aurait du mal à trouver en ce monde une autre région de plaine où une vieille tragédie continue à projeter sans relâche, de façon cyclique, de nouvelles tragédies. Cette terre porte le nom innocent de " Champ des merles ", autrement dit Kosovo. Il y a six siècles, le 28 juin 1389, une coalition balkano-chrétienne composée de Serbes, de Bosniaques, d'Albanais et de Roumains fut écrasée par l'armée ottomane du sultan Mourad. Cette sanglante bataille ne dura qu'une dizaine d'heures. De cette défaite, les vaincus n'ont cessé jusqu'à aujourd'hui de porter le deuil. Cependant, comme les rapaces tournoient au-dessus du terrain après les combats, des cliques de politiciens nationalistes ont essayé à maintes reprises de tirer profit de cet événement fatal le 28 juin 1989, date de son sixième centenaire, le dirigeant serbe Milosevic lança un nouvel appel au massacre dans le Kosovo, cette fois contre les Albanais. C'est de ce jour que commença l'implosion de la Yougoslavie. Au sujet d'aucune autre bataille n'ont été échafaudées autant de mystifications qu'autour de celle du Kosovo. Bien de siècles qu'auparavant, la vérité sur la guerre de Troie fut mise au jour par la littérature grecque antique. A travers ce dévoilement, celle-ci se hissa à des sphères sublimes jamais encore atteintes depuis lors par la civilisation universelle. Aujourd'hui, trois mille ans plus tard, la civilisation balkanique, dans l'épreuve, et tombée, elle, au plus bas niveau de la barbarie. Ce recueil, dans son impartialité, est une tentative pour témoigner de la noblesse perdue de cette civilisation, et une exhortation à ce qu'elle renaisse.

10/2000

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Théâtre - Pièces

Carrousel pour les tsiganes (Kosovo mon amour)

Dans un café tenu par Yashar, Rrom de Prizren, se déroulent des événements du quotidien en période de conflit serbo-albanais, apportant de plus en plus de violence, de corruption, de haine absurde entre ennemis jurés, hier encore amis. La pièce illustre la souffrance morale des Yougoslaves écartelés entre nostalgie, compassion, haine(s), nationalisme(s), mensonges et manipulations. Si les personnages principaux sont rroms, symbolisant le peuple simple sans orientation nationaliste, les autres protagonistes apparaissent avec toutes leurs ambiguïtés. Mais les auteurs traitent d'une destruction intérieure, qui n'épargne personne, et ne font pas le procès de l'une ou l'autre des forces en présence. "Quand les taureaux se battent, c'est l'herbe qui souffre le plus."

03/2022

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Histoire internationale

Le testament du Kosovo. Journal de guerre

1999. La Serbie est bombardée par l'aviation de l'OTAN, sans mandat de l'ONU. Seul intellectuel étranger à être présent sur le terrain, dans ce que l'on appelait alors l'ex-Yougoslavie, durant toute la durée de cette intervention militaire (du 24 mars au 10 juin 1999), Daniel Salvatore Schiffer offre, par ce document exceptionnel, un témoignage unique. L'auteur, qui parcourt sans relâche, au péril de sa vie, le pays en guerre, ne se limite cependant pas à y analyser, en philosophe et en humaniste, la cruelle réalité du conflit. Il l'étaye aussi, preuves à l'appui, par une impressionnante série de constats matériels, d'échanges directs avec les survivants et de photos inédites, récoltés aux quatre coins de la Serbie, dont le Kosovo faisait encore partie intégrante. Daniel Salvatore Schiffer, qui fut aussi blessé par un de ces raids aériens de l'Alliance atlantique, n'a pas souhaité publier ce livre jusqu'ici. Car ce journal de guerre contient en effet des révélations qui auraient été auparavant inaudibles, voire irrecevables, au vu du contexte de diabolisation dans lequel une grande partie de l'intelligentsia européenne et des médias internationaux en leur ensemble avaient alors décidé, sans esprit critique ni effort l'analyse, de jeter unilatéralement, systématiquement à de rares exceptions près, les Serbes, sans nuances ni distinctions. Ainsi est-ce la vérité historique, concernant cette dernière guerre, en Europe, du xxe siècle, que Daniel Salvatore Schiffer tente de rétablir, contre l'opinion communément reçue, dans ce Testament du Kosovo. Auteur d'une vingtaine d'ouvrages, dont Requiem pour l'Europe consacré à la guerre de Bosnie, agrégé de philosophie, grand spécialiste du dandysme, Daniel Salvatore Schiffer est professeur de philosophie de l'art à l'Académie royale des beaux-arts de Liège. Il est également professeur invité au Collège Belgique, sous le parrainage de l'Académie royale de Belgique et du Collège de France. Intellectuel engagé, humaniste, esprit libre, Daniel Salvatore Schiffer publie des tribunes fréquentes et remarquées dans bon nombre de grands journaux européens.

10/2015

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Histoire internationale

Kosovo. Une guerre juste pour un Etat mafieux

La première guerre de l'OTAN a été menée au nom des droits de l'homme : frapper fort pour "prévenir un génocide" et stopper les troupes serbes menaçant des populations civiles. Elle était pourtant illégale. Pendant 78 jours, au printemps 1999, l'Alliance emmenée par les États-Unis a bombardé la Serbie, y compris le Kosovo, alors sa province, avec le soutien enthousiaste de la plupart des intellectuels et médias français. La même Alliance, soutenue par l'Europe, a détaché de la Serbie le Kosovo pour en faire, en 2008, un nouvel État qu'elle a adoubé. Quatorze ans après, où en est le Kosovo "démocratique" et "pluri-ethnique" ? Voici un droit de suite - un de plus - dont nous avons été privés. En dépit de ses déclarations d'autosatisfaction, la communauté internationale a failli. Une véritable purification ethnique a débarrassé le Kosovo d'une grande partie de ses minorités (en premier lieu, serbes et roms), au lendemain de l'intervention de l'OTAN et en 2004. Au centre des trafics dans les Balkans, le nouvel Etat est dirigé par les leaders issus des rangs de l'UÇK, l'ancien mouvement indépendantiste armé, hier encore présentés comme les "combattants de la liberté", et aujourd'hui connus pour leurs liens avec le crime organisé. Pierre Péan démontre la terrible duplicité de la communauté internationale, États-Unis en tête. Tous, Américains, Britanniques, Français et Allemands, savaient parfaitement à qui ils avaient affaire ; leurs services ont souvent appuyé ou formé militairement plusieurs des leaders de l'UÇK. L'auteur révèle que la France mena de facto une politique à double face pendant et aussitôt après la guerre. Depuis, ni Washington ni Paris n'ont jamais voulu désavouer leurs anciens protégés. Même la justice internationale et l'ONU ont été entravées. Voilà comment un effrayant trafic d'organes, mis au jour dès 2003 par des membres de la Mission d'administration du Kosovo de l'ONU, a été étouffé pendant sept ans. Pourtant, le constat, effroyable, des exactions et crimes commis ou couverts par le nouveau régime est abondamment documenté par nombreux enquêteurs internationaux, magistrats et agents de services de renseignement présents sur le terrain. Pierre Péan est allé à la rencontre de ces victimes ignorées par l'opinion internationale. Ce livre lève un coin du voile.

05/2013

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Histoire internationale

Vers la guerre au Kosovo. Octobre 1998 - Mai 1999

En mars 1999, l'OTAN intervenait militairement pour la première fois de son histoire en bombardant la République Fédérale de Yougoslavie. Les diplomates internationaux avaient pourtant essayé d'éviter la guerre en dépêchant au Kosovo une "Mission de Vérification", la plus importante opération jamais mise sur pied par l'OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe), puis en invitant tous les acteurs du conflit à la Conférence de Rambouillet, qui se termina par un échec. A la suite de ces événements, le Kosovo, jusque-là province de la Serbie, passa sous mandat de l'ONU puis proclama son indépendance en 2008. Aujourd'hui, son président, accompagné des principaux chefs de la guerre d'indépendance, sont à La Haye en attente de leur procès pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Le présent document, rédigé par l'un des principaux dirigeants de cette mission "de la dernière chance", retrace les derniers mois précédant le conflit et décrypte sans complaisance le rôle joué par ses principaux acteurs en racontant de l'intérieur le fonctionnement de la diplomatie multilatérale.

01/2021

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Littérature étrangère

Les ombres de la nuit. Et autres récits du Kosovo

Un homme se fait arrêter par la police, en plein brouillard, alors qu'il se dirige vers son lieu de travail. Aux agents qui l'interrogent sur la raison de sa présence dans la rue au beau milieu de la nuit, il rétorque qu'il n'est pas minuit, mais sept heures du matin. Commence alors un dialogue absurde, qui sera suivi d'une succession de manifestations insolites : à l'instar du système horaire, tout se déglingue. Un " régime de brumes " est instauré, jusqu'au jour où le narrateur se réveille dans une ville libérée du brouillard et de la police... Ecrits entre 1971 et 1995, les douze récits qui composent ce recueil traitent de l'oppression et de la folie, et évoquent, sur le mode de l'absurde, les plaies d'une guerre qui a longtemps tu son nom.

06/1999

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Histoire internationale

Histoire des Albanais. Des Illyriens à l'indépendance du Kosovo

Les Illyriens, peuple indo-européen très ancien dans les Balkans, furent christianisés très tôt, comme les Grecs, dès les premiers siècles. Soit bien avant les Slaves, arrivés tardivement dans la région et évangélisés seulement autour du Xe siècle. Sous la domination turque, leurs descendants, les Albanais, s'avérèrent pourtant les moins réfractaires à l'islamisation (deux sur trois environ se firent musulmans). L'éveil tardif de la conscience nationale chez les Albanais est la conséquence de leur division religieuse. Cela leur fut fatal lors du démembrement de l'Empire ottoman en 1913. Le Kosovo, haut lieu de la lutte pour l'indépendance de l'Albanie, fut alors attribué à la Serbie. Les Albanais musulmans étaient souvent considérés comme des " Turcs " ; les chrétiens de rite orthodoxe grec, comme des " Grecs " ; quant aux catholiques, dans la région de Shkodër, il était tentant de voir en eux des " Latins ", voire des " Serbes albanisés ". L'histoire des Albanais au XXe siècle fut particulièrement douloureuse : négation de leurs droits nationaux sur la moitié des territoires albanophones avant la Seconde Guerre mondiale, installation de régimes de terreur dans l'Albanie d'Enver Hoxha, comme dans la Yougoslavie de Tito, dès la fin de la guerre. Ils furent victimes d'un nouveau malheur après l'effondrement du communisme : les exactions du régime " rouge-brun " de Milosevic qui ne furent arrêtées que par l'intervention militaire de l'OTAN en 1999. Les Albanais ont aujourd'hui l'espoir d'être réunis, comme les autres peuples balkaniques, au sein de l'Union européenne. Cela passe par l'indépendance du Kosovo qui devrait être reconnue dans le courant de l'année 2006.

05/2006

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Romans d'espionnage

SAS 171 L'agenda kosovo. La machine infernale est en route

Derrière Malko, un moustachu prit sous une banquette une kalach à crosse pliante et la braqua sur les trois visiteurs. Plusieurs hommes avaient sorti des armes. On était parti pour un massacre. Il y avait des tas de billets sur toutes les tables. De quoi acheter la moitié des voix du Kosovo. Malko baissa les yeux : le canon de la kalach visait son ventre. Dans leur hâte à éteindre la nouvelle guerre des Balkans, à la conférence de Rambouillet censée décider de l'avenir du Kosovo, en 1999, les négociateurs occidentaux avaient promis aux Serbes que le Kosovo resterait éternellement Serbe. Normalement il aurait suffi d'une résolution du Conseil de sécurité des Nations unis, remplaçant la résolution 1244 qui avait entériné l'autonomie du Kosovo, pour résoudre le problème. Hélas, la Russie avait volé au secours de la Serbie et averti qu'elle mettrait son veto à toute résolution accordant l'indépendance aux Kosovars. Or, ceux-ci, excédés de cet interminable retard, expirant le 10 décembre 2007, menaçaient de proclamer unilatéralement leur indépendance. Une perspective qui donnait des sueurs froides à tous les diplomates de l'Union européenne. Alors, les dix-sept mille soldats de la KFOR se préparaient au pire...

02/2023

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Littérature française

Afghanistan-Kosovo : parcours de deux adolescents exilés. En quête de liberté

Un jeune Afghan est capturé par les talibans à l'âge de sept ans. Libéré six ans plus tard, il doit fuir son pays pour l'Europe où il deviendra journaliste. Alors qu'il passe sa seconde nuit en France, à la gare Saint-Charles, il croise le regard de Leonora, une jeune kosovare de treize ans, surdouée en danse, orpheline de guerre à onze ans, fuyant massacres et persécutions perpétrés dans son pays. L'histoire peu commune de l'exil forcé de deux jeunes adolescents nous est ici contée avec réalisme et précision. Jean-Pascal Collegia met en avant, dans ce premier roman, la composante humaine du problème de l'exil, ce que signifie dans le corps et dans l'esprit le fait d'être privé du droit d'espérer.

04/2013

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Histoire internationale

Mon Kosova. De l'autonomie à l'indépendance

"Ecrire sur le Kosovo n'est pas seulement une envie, c'est un besoin. Le besoin de faire connaître ce peuple et sa tragédie shakespearienne. Je lance un appel solennel au pays de l'Union européenne - l'Espagne, la Grèce, la Roumanie, la Slovaquie et Chypre - pour qu'ils se rangent aux côtés de la France, l'Allemagne, l'Angleterre, l'Italie et d'autres en reconnaissant le Kosovo en tant qu'Etat, car la liberté est la seule qui puisse lier les peuples d'amitié".

05/2018

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Sciences politiques

Regards libanais sur la turbulence du monde. Kosovo, 11-septembre, Afghanistan, Irak

Explorer le nouveau visage de la libanisation constitue le fil rouge de cet ouvrage. Aucun examen approfondi n'avait été entrepris jusque-là pour déterminer les effets que produisent des crises qui surgissent dans l'espace mondial sur la société libanaise en temps de paix ou, plus exactement, dans le contexte local de sortie de guerre. Comment des crises exogènes (Kosovo, 11-Septembre, Afghanistan, Irak) s'insèrent-elles dans le débat d'une société elle-même traversée par de nombreuses lignes de fracture ? Comment se transforment-elles en ressource politique pour des acteurs libanais en situation concurrentielle ? L'un des objets principaux de ce livre est de montrer comment la surexposition du Liban aux conflits extérieurs est à la fois la résultante de leurs captations par des acteurs identitaires libanais sensibles aux turbulences de l'espace mondial, et de la vulnérabilité de la situation géopolitique libanaise, dont la responsabilité ne saurait être attribuée aux seules stratégies menées par ces acteurs. Nous avons cherché à circonvenir les situations dans lesquelles le global prime sur le local et celles dans lesquelles c'est l'inverse qui est constaté, en sachant bien que tout dépend parfois de là où se pose notre premier regard.

09/2018

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Histoire internationale

La grande imposture. Génocide au Kosovo et parrainage de la "mafia albanaise"

La grande imposture démantèle quelques-unes des grandes opérations de propagande et manipulations politiques menées par Belgrade autour de la guerre au Kosovo. Initialement publié en albanais et en anglais, l'ouvrage de Bardhyl Mahmuti est proposé ici dans une version adaptée pour le lecteur francophone. Ce livre décrit l'engrenage du crime génocidaire au Kosovo, identifie qui était derrière le meurtre de civils serbes et qui a inventé l'accusation de trafics d'organes. Il invalide encore le concept de "mafia albanaise", dont les promoteurs et parrains sont passés en revue. L'auteur réfute les constructions policières de Belgrade, complaisamment reprises par de nombreux observateurs étrangers se prétendant neutres ou de bonne foi, à partir des rapports des associations de défense des droits de l'homme et des articles de journalistes indépendants serbes. Il rapporte aussi les aveux des protagonistes de certains crimes dont l'opinion publique francophone n'avait pas connaissance. Ayant travaillé sur les sources serbes, il a mis au jour des documents peu connus du grand public. Il traque ainsi méthodiquement les propos contradictoires de policiers, militaires, médecins, juges ou encore journalistes serbes, relève les inexactitudes factuelles, pulvérise les impostures et invalide des théorèmes. La plus abjecte rumeur, née dans les officines d'Etat serbes, reste bien entendu celle de trafics d'organes prélevés sur des prisonniers serbes. Reprise à l'échelle internationale par Carla Del Ponte, Dick Marty et autre Pierre Péan, elle visait à susciter l'effroi, détourner l'opinion européenne de ses sympathies vis-à-vis de la cause albanaise et passer sous silence le génocide contre les Albanais du Kosovo. L'ancien porte-parole de l'Armée de Libération du Kosovo a conservé toute la passion et la rigueur du militant. Il a lu minutieusement brochures, pamphlets, rapports des services de renseignements et autres publications liées à la guerre du Kosovo, avec la confiance patiente de celui qui sait avoir mené un juste combat et se fait gardien vigilant de mémoire.

09/2017

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Histoire internationale

L'Europe est morte à Pristina. Guerre au Kosovo (printemps-été 1999)

Entre 1996 et 1999, la République fédérale de Yougoslavie (RFY) est confrontée à la rébellion séparatiste albanophone de l'UÇK sur le territoire du Kosovo, province considérée par les Serbes comme le coeur historique, culturel et spirituel de leur nation. En 1999, l'OTAN décide d'attaquer la RFY pour venir en aide à l'UÇK. De mars à juin, l'aviation alliée bombarde sans relâche la Serbie. Patron du groupement des forces spéciales françaises opérant sous commandement britannique, officier parachutiste issu de la Légion étrangère et familier des opérations africaines, le colonel Jacques Hogard découvre pour la première fois le théâtre balkanique. Immédiatement confronté aux réalités du terrain, il est écartelé entre les idées reçues en vigueur dans sa coalition militaire et le langage des faits, entre les objectifs de l'OTAN et de l'UE et la fidélité à cette longue amitié franco-serbe forgée par le sang versé au cours des deux guerres mondiales. Sous ses yeux, et avec l'aide des démocraties, il voit se créer un État musulman intolérant et corrompu au coeur de l'Europe. Jacques Hogard en viendra ainsi à protéger, avec ses hommes, les populations et les monastères serbes contre la terreur de l'UÇK, en dissonance complète avec les vents dominants. Ce livre est le récit de cette épopée atypique et poignante.

05/2014

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Histoire internationale

IL A FALLU CE DEUIL POUR SE RETROUVER. Journal de la guerre du Kosovo

" Il y a vingt ans, au cours de ma visite à Pristina, j'appris que ce vaste plateau avait été autrefois recouvert par les eaux. Puis, quand vint le temps de leur reflux, une partie de ces flots se dirigea, par le Danube, vers la mer Noire, une autre, par le Vardar, vers la mer Égée, et l'autre, empruntant le cours tumultueux de la Drina, vers l'Adriatique. J'imaginais alors, s'en allant en même temps que ces eaux, poissons, mollusques, anguilles, serpents et monstres marins. Ainsi se terminait la préhistoire de ce territoire, un drame de la nature qui serait suivi un jour d'un drame humain combien plus cruel ! Quand ce fut donc le tour des hommes, que sonna l'heure de l'évacuation du Kosovo de tous ses Albanais, deux des voies que je viens d'évoquer, celle qui conduit vers la Macédoine, et l'autre vers l'Albanie, se remplirent à nouveau comme si elles voulaient reprendre leur cours antique, cette fois sous forme de colonnes de déportés. À la troisième voie, celle du Danube, s'en substitua une autre, impossible à emprunter par les eaux, mais praticable par les hommes : celle du Monténégro. C'est ainsi qu'on s'employa à vider le Kosovo par trois canaux à la fois. Mais advint alors ce à quoi nous avons tous assisté ; en l'espace d'une saison, les Albanais connurent ce miracle tragique : ils tombèrent, puis se relevèrent comme S'ils avaient vécu une Semaine sainte. Par les trois gorges qui avaient servi à le vider, le Kosovo se remplit de nouveau. Un mouvement à rebours, de ceux qui se produisent rarement dans l'histoire du monde et dont on dit qu'ils constituent un " retournement du destin ", empêcha la mort de tout un peuple. Bien des siècles auparavant, à l'aube de la civilisation, un combat chanté par Homère contribua au réveil de la conscience du monde antique. Trois mille ans plus tard, la guerre du Kosovo a ébranlé, comme aucune autre avant elle, l'humanité moderne. Puisse-t-on avoir trouvé dans ces notes quelques traces de ce bouleversement. "

01/2000

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Cuisine

Du pain, du sel et du coeur ! Recettes de cuisine d'Albanie et du Kosovo

"Du pain, du sel et du coeur ! " Telle est l'expression que les Albanais utilisent pour accueillir les amis qui arrivent à l'improviste à l'heure du repas. Le plaisir de recevoir, d'offrir à son hôte un accueil chaleureux, demeure le credo de l'hospitalité albanaise. Pour le moins la forme est respectée... Accueillir dignement l'ami, en proposant un festin sur la table, est une question d'honneur. Il faut savoir que la quantité importe presque autant que la qualité. Si vous connaissez une Mama italienne, vous avez une idée très précise de ce que sont les Nana albanaises... Ainsi, une table comblée de mets vous garantit une assiette abondante, toujours remplie, au fur et à mesure que vous lui rendrez hommage. N'essayez pas de refuser, votre combat est perdu d'avance. La seule issue est de laisser l'assiette pleine...

11/2019

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Histoire internationale

Naissance d'une démocratie. Hashim Thaçi et la route vers le Kosovo indépendant (1987-2008)

Juillet 1999. Après onze semaines de bombardements, Slobodan Milosevic capitule et évacue le Kosovo. Il aura fallu des années d'apartheid, 13000 morts et près d'un million de réfugiés pour que le dernier pays en guerre de l'ex-Yougoslavie se libère de la Serbie. Placée sous l'administration et la protection de l'Onu, une nouvelle démocratie s'installe au coeur des Balkans. Dix ans plus tard, en février 2008, sur la recommandation des Nations unies, le Kosovo devient un Etat souverain, aboutissement du combat de tout un peuple dont la principale figure est Hashim Thaçi. Chef politique de l'UCK, l'Armée de libération du Kosovo, puis Premier ministre, c'est lui qui traça la route vers l'indépendance. Des premières manifestations de Pristina en 1988 au massacre de Reçak, des pourparlers de Rambouillet aux dessous des négociations entre Américains, Européens et Russes, ce livre reconstitue les causes historiques et politiques qui ont conduit à l'indépendance du Kosovo. Faisant la part des contre-vérités et des caricatures, il rappelle que la démocratie kosovare fut aussi un succès de l'Onu et qu'elle reste un enjeu majeur de la paix en Europe.

06/2018

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Histoire militaire

Carnet de missions

Bulgarie, Kosovo, Guyane, Tchad, Sénégal, RCI, Afganistan

07/2021

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Faits de société

Au coeur des chrétiens d'Orient

De la Syrie au Kurdistan irakien, des chrétiens de Maaloula aux Yézidis d'Irak, des peshmerga kurdes aux habitants serbes des enclaves assiégées du Kosovo, Katharine Cooper et Pierre-Alexandre Bouclay, mêlant leurs photos et leurs textes, fixent pour toujours les sentiments qui habitent ces populations malheureuses, victimes des politiques déréglées et des "lâchetés occidentales". Un authentique carnet de voyages poignant qui nous conduit de Palmyre au Champ des Merles au Kosovo.

11/2016

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Histoire internationale

Quand Le Monde... Décryptage des conflits yougoslaves

La fable de Kosovo Polje a assimilé les grandes puissances à l'arbitre qu'on sollicite ou au sauveur qu'on implore. Supposées n'avoir aucun intérêt dans la région, elles rechigneraient à s'impliquer. Et, si elles interviennent finalement, c'est poussées par des médias qui, eux, défendraient des principes. Animée par la volonté de mobiliser contre la Serbie une opinion française acquise au rejet légitime de la ségrégation raciale, la fable est fidèle à elle-même dans son instrumentalisation de l'apartheid. Le procédé en rappelle un autre, également utilisé par le quotidien Le Monde, qui assimile la guerre de Bosnie à la Shoah. L'un comme l'autre valent ce que valent les amalgames et les méthodes de diabolisation. En même temps qu'elles falsifient les réalités du Kosovo et de la Bosnie, elles banalisent l'apartheid et la Shoah en faisant disparaître leurs singularités. Avec la fable de Kosovo Polje, Le Monde reprend les méthodes de l'histoire asservie : la manipulation de l'opinion et la fabrication d'un bouc émissaire. En l'occurrence, la Serbie. Dans cet ouvrage constitué de trois parties - La Fable de Kosovo Polje ; Le Rêve d'une Bosnie multi ethnique ; La Face cachée du drame de Srebrenica - l'auteur dévoile autant d'illusions médiatiques présentées par un grand quotidien comme Le Monde : ici, une fiction, "la fable" , sur l'éclatement de la Yougoslavie, là, "le rêve" , celui d'une Bosnie multi ethnique, ou encore là, les approximations et les dérives concernant la question du "génocide de Srebrenica" .

03/2013

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Théâtre

Vol au-dessus du théâtre du Kosovo. Une pièce de théâtre avec quatre acteurs, avec quelques cochons, vaches, chevaux, avec un premier ministre, une vache Milka, des inspecteurs locaux et internationaux

Près de dix ans après la fin de la guerre, le Kosovo s'apprête enfin à déclarer son indépendance. Le gouvernement demande alors au Théâtre national de préparer un spectacle pour le jour J. Mais le metteur en scène est soumis à tant de contraintes incompatibles que l'événement connaîtra de multiples rebondissements... Le Royaume-Uni vient de sortir de l'Union européenne : il y a une place à prendre et le Kosovo vise à l'occuper avant la Serbie.
Il s'agit de remplir au plus vite les critères d'accession, ce à quoi tâche de s'employer la boucherie Tony-Blair à Prishtina. C'est sans compter la corruption des fameux inspecteurs et la mobilisation des animaux...

10/2020

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Histoire internationale

VIE ET MORT DE LA YOUGOSLAVIE. Edition 1999

Ce livre retrace l'histoire des régions qui ont été réunies sous le nom de Yougoslavie de 1918 à 1991, et les péripéties du sanglant divorce qui s'en est suivi. La présente édition a été complétée jusqu'aux événements tragiques du Kosovo.

01/2000

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Romans d'espionnage

La sale guerre du Service secret

La Yougoslavie communiste dans les années 1980. Elle se présentait comme un pays où toutes les ethnies étaient égales mais la réalité était différente. Le Kosovo, membre fédéral de la Yougoslavie de l'époque, principalement habité par des Albanais, était moins développé et avait le statut de province autonome. Sa population demandait le changement de son statut au sein de la Yougoslavie afin que Kosovo progresse et puisse décider de son avenir. La Serbie et certaines des républiques yougoslaves, sous l'influence de celle-ci, s'opposaient à cet objectif par tous les moyens possibles. L'Armée yougoslave, avec ses services secrets dominés principalement par les Serbes, a joué un rôle important dans le déroulement de tous les événements et a toujours eu le dernier mot. Le personnage du livre, un Albanais du Kosovo, était membre de l'Académie militaire de l'armée terrestre à Belgrade. Celui-ci, bien que jeune, a subi un traitement terrible de la part des services secrets militaires yougoslaves. Les événements dans le livre sont précis, originaux et prouvés par de documents officiels délivrés par l'armée fédérale. Les méthodes interrogatoires décrites dans le livre et les actions inhumaines du service secret militaire yougoslave sont semblables aux méthodes utilisées par le Gestapo pendant la Seconde Guerre mondiale : guerre psychologique, violence physique, torture, pression jusqu'aux limites de la folie ; face à cela lutte pour la survie, résistance, idéalisme et espoir en la victoire. Tout cela à l'Académie militaire et à la prison de l'armée yougoslave à Belgrade.

10/2022

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Lecture 6-9 ans

Je suis un petit roi. Edition bilingue albanais-français

Publié en 2003 au Kosovo, Je suis un petit roi a été élaboré peu après la fin des années de répression et de la guerre. Malgré la crise évoquée par petites touches, une certaine douceur de vivre se dégage de ces poèmes. Ce recueil décrit à merveille les petits bonheurs de l'enfance.

02/2012

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Immigration

Entre deux terres. Trente ans de clandestinité

Arrivé en Suisse à l'âge de seize ans, Arsim Sharri s'est intégré, engagé dans la restauration et marié. En 1998, bouleversé par les événements au Kosovo, il risque de tout perdre en retournant au pays pour participer à la guerre d'indépendance, renonçant au passage à son permis de séjour. Rescapé, il n'est toutefois pas au bout de ses peines : revenu en Suisse comme clandestin, il effectuera pendant plus de dix années des allers-retours dangereux, par moments hallucinants, sur terre et sur mer, pour continuer de voir sa famille restée au pays, jusqu'à cette fameuse année 2017 où Genève décide de régulariser ses travailleurs sans-papiers bien intégrés. Un Kosovar sur dix vit aujourd'hui en Suisse et peu ont écrit leur histoire de vie. On connaît les célébrités du football ; moins les plus petites gens qui constituent pourtant la majorité de la communauté, leur histoire, leurs aspirations, leur lien avec la terre et les familles du Kosovo. Cet ouvrage permet aussi de mieux connaître, par le témoignage, un des nombreux visages de l'opération Papyrus.

05/2023

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Littérature française

Mission russe

Mission russe s'inspire de faits réels survenus lors des guerres des Balkans et de l'occupation du Kosovo par l'armée serbe. Le roman prouve l'implication des missionnaires russes dans l'armée serbe. Le narrateur, Gregor Reziq, est journaliste à Belgrade. Investi dans l'armée serbe, il est témoin de ces événements, tout comme les missionnaires russes Rousslan Nikollai, Kazimir Olenko et Tatjana Vollovna.

11/2021