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La Main Heureuse

Extraits

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Réussite personnelle

Imparfaite mais heureuse

Le livre incontournable pour prendre confiance en soi et se donner à soi-même sa juste place ! Une psychologue répond à toutes vos questions pour vous aider à trouver votre juste place, celle qui vous correspond vraiment, dans toutes les circonstances de votre quotidien. Que ce soit dans vos loisirs, au travail, avec vos amis, votre mari, vos enfants ou en famille élargie : soyez la femme unique que vous souhaitez être ! Imparfaite mais heureuse ! Etre mieux à l'écoute de son corps, comprendre ses émotions et celles des autres, faire taire ses peurs, retrouver de l'énergie, de la joie, une juste autorité etc. : ce livre de chevet, riche de l'expérience et de l'intimité de tant d'autres femmes, est une aide précieuse pour trouver ses propres réponses et concilier toutes les facettes de sa vie en s'appuyant sur ses aspirations profondes. Une aide personnalisée à la connaissance de soi !

09/2023

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Religion

La mort heureuse

Ce livre a soulevé émotion voire scandale en Allemagne : comment un théologien catholique peut-il, ose-t-il, défendre l'idée d'une "aide à mourir", appelée aussi "suicide assisté" ou "accompagné", ou encore "euthanasie" ? C'est pourtant paradoxalement au nom de sa foi que Hans Küng défend une fin de vie digne de l'homme, de son humanité. Comment le Dieu bon qui a créé les humains voudrait-il qu'ils meurent dans les pires déchéances physiques ou psychiques ? Pour qui aspire à une vie éternelle, pourquoi retenir cette vie mortelle quand précisément "ce n'est plus une vie" ? "Un Dieu qui interdirait à l'homme de mettre fin à sa vie quand la vie lui fait porter durablement des fardeaux insupportables ne serait pas un Dieu amical à l'homme." Hans Küng parle pour lui-même et ne veut rien imposer à personne. Mais avec beaucoup de délicatesse et de nombreuses nuances, il revendique, pour les personnes très âgées devenues entièrement dépendantes, qui n'en peuvent plus de vivre, ou pour les grands malades incurables, accablés de souffrances insupportables, le droit de partir quand et comme ils le désirent, et d'être aidés physiquement et soutenus moralement dans cette ultime phase de leur vie. Ce livre est aussi un parcours simple, lucide et éclairant du "changement de paradigme" où nous sommes engagés aujourd'hui dans notre compréhension de la vie et de la mort humaine.

09/2015

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Poésie

La forêt heureuse

Attaché à chaque arbre un mot. Arraché à l'écorce, le langage premier

11/2020

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Littérature française

La mort heureuse

Ce Cahier n° 1 contient exclusivement La mort heureuse, texte présenté et annoté par Jean Sarocchi. Il s'agit de la première entreprise romanesque d'Albert Camus, élaborée entre 1936 et 1938 (époque à laquelle il écrivait L'Envers et l'Endroit et Noces). Il travaillait encore à la remanier lorsque se forma en lui le premier projet de L'Étranger, auquel il ne tarda pas à se consacrer entièrement. On aurait donc tort de voir dans La mort heureuse une première version de L'Étranger, malgré la similitude du nom des héros. Le thème de ce premier roman est la recherche têtue du bonheur, fût-ce au prix d'un crime. Ses péripéties sont nourries de l'expérience d'une jeunesse difficile et ardente - pauvreté, maladie, voyages en Europe centrale et en Italie, vie communautaire sur les hauts d'Alger.

06/2005

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Littérature étrangère

La ville heureuse

Un jeune garçon arrive de Chine pour rejoindre sa famille qui a émigré en Espagne. Une fillette fuit à la recherche d'un vagabond qui l'effraye et la fascine. La Ville heureuse est ce roman en forme de diptyque construit autour de deux histoires imbriquées, deux récits d'apprentissage et de découverte d'un monde fait de mensonges, de laideur et de conventions hypocrites. Chi-Huei a quitté la Chine, son village de province où il vivait heureux en compagnie de sa vieille tante. Contraint à l'âge de six ans de rejoindre sa famille qui survit dans la grande ville jamais nommée, à la tête d'un commerce rudimentaire pompeusement baptisé Restaurant chinois, il se heurte à sa propre nostalgie, à la honte et la déception que lui inspire sa famille aux chimériques ambitions de réussite, à une langue étrangère, aux difficultés d'intégration, de découverte et d'apprentissage d'un monde nouveau. Il partage le même quartier que Sara avec qui il noue une amitié complice. Celle-ci est la protagoniste du deuxième récit, mené depuis la troublante et subtile intériorité de la fillette. A la découverte de l'univers qui l'entoure, transgressant les règles de jeu fixées par son père et les tabous sociaux qu'impose leur vie bourgeoise, elle franchit les limites interdites du quartier. Effrayée et fascinée à la fois par un vagabond qui hante ces lieux elle nouera avec lui une relation singulière et finira par découvrir ce monde des adultes, à la fois cruel et incom­préhensible. Car elle ignore tout : une ignorance qui est sans doute le plus précieux des privilèges et le constat le plus cruel de l'enfance.

07/2014

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Littérature française

La cité heureuse

Bienvenue à Town Park, le centre historique d'une capitale de la vieille Europe ! Monuments, rues médiévales, jardins et immeubles, tout a été racheté par la Compagnie, un groupe de loisirs. Les touristes affluent. Les habitants vivent au milieu d'une fête permanente. En échange de certains avantages, ils doivent porter des costumes d'époque : peintres impressionnistes, belles dames du temps jadis... Longtemps réfractaire à la privatisation de sa ville, le héros de La Cité heureuse a pourtant fini, comme les autres, par céder aux sirènes du changement. Figurant résigné du spectacle touristique, il écrit des scénarios pour la télévision et mène une existence tranquille à Town Park. Mais son bonheur est fragile. Dans sa vie comme dans sa ville, tout commence à se déliter. Après La Petite Fille et la cigarette, traduit dans de nombreux pays, Benoît Duteurtre nous offre une fable grinçante et visionnaire. Ce roman, riche en histoires finement articulées, emploie l'arme du rire face à la folie d'un monde (en tout point semblable au nôtre) où son narrateur aimerait trouver un peu de sens.

08/2007

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Religion

La vie heureuse

S'il est une question qui parcourt comme un fil rouge toute l'oeuvre d'Augustin, c'est celle du bonheur, ou plutôt du désir de bonheur. De ses premiers essais philosophiques, lorsqu'il n'est encore qu'un jeune et brillant professeur de rhétorique à Milan, à ses sermons d'évêque, et à ses Confessions", il ne cesse de revenir sur ce qui lui paraît comme le paradoxe central de la vie des hommes : le bonheur réside dans l'accomplissement du désir, or la vie toujours menacée de mort court à chaque instant le risque de sa perte. Hannah Arendt, dans son travail de jeunesse sur Le Concept d'amour chez Augustin, avait bien montré que la recherche de la vie heureuse est au coeur de l'oeuvre d'Augustin et fonde jusqu'à sa conception du divin, car "pour pouvoir attendre de l'avenir la vie heureuse du désir, il faut déjà avoir fait l'expérience de cette vie avant même tout ce sur quoi peut porter le désir", il faut avoir la mémoire de l'origine du bonheur.

10/2020

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Littérature française (poches)

La vie heureuse

" Il n'y a aucun choix à aimer une fille. C'est violent. C'est l'instinct. C'est la peau qui parle. C'est le sang qui s'exprime. Je n'ai pas choisi d'aimer Diane. C'est une loi physique. C'est une attraction. C'est comme la Lune et le Soleil. C'est comme la pierre dans l'eau. C'est comme l'été et la neige. C'est de l'histoire naturelle. Ça reste longtemps dans le corps. C'est inoubliable. C'est la grande vie. J'aime Diane, je suis milliardaire. " N. B.

03/2004

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Ouvrages généraux

La vie heureuse

Une même sensation, la plus simple et la plus élémentaire qui soit, la sensation d'être vivant, peut provoquer le bonheur le plus intense ou être au contraire un objet de crainte et de malheur. Quoique très familière, cette sensation n'en reste pas moins le plus souvent inaperçue, comme endormie dans notre vie quotidienne. Au fil de chapitres courts et captivants, Emanuele Dattilo tente de définir cette sensation. Reconnaître dans chacun de nos gestes la vie qui est vivante, c'est entrer dans une rune dimension où nous apprenons à "désirer directement le bien" .

10/2023

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Sociologie

Des mains heureuses. Une archéologie du toucher

En pleine épidémie de Covid, dans une maternité déserte, je me suis demandé si mon fils allait naître dans un monde irrémédiablement appauvri, sans le droit de se toucher ni de se rencontrer. Le confinement a été levé, mon fils est né, mais les "gestes barrières" sont restés. J'ai découvert l'immense continent des gestes de la maternité, tour à tour libérateurs et aliénants. J'ai alors commencé à réfléchir aux architectures tactiles, celles qui nous entravent et celles qui nous portent, et à imaginer une archéologie du toucher. L'amour et la perte, la tendresse et la violence, la transmission et la rupture, la naissance et la mort : et si l'on racontait notre vie sous l'angle des gestes qui la composent ? Des mains heureuses qui nous font et nous défont ? C. R. Ecrivain et documentariste, Claire Richard a notamment publié Young Lords. Histoire orale des Black Panthers latinos (L'Echappée, 2017) et LesChemins de désir (Seuil, 2019). Son travail radiophonique ("Cent façons de disparaître" , "Le télégraphe céleste") lui a valu de nombreux prix nationaux et internationaux.

01/2023

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Développement durable-Ecologie

Vers la sobriété heureuse

Pierre Rabhi a vingt ans à la fin des années 1950, lorsqu'il décide de se soustraire, par un retour à la terre, à la civilisation hors sol qu'ont commencé à dessiner sous ses yeux ce que l'on nommera plus tard les Trente Glorieuses. En France, il contemple un triste spectacle : aux champs comme à l'usine, l'homme est invité à accepter une forme d'anéantissement personnel à seule fin que tourne la machine économique. L'économie ? Au lieu de gérer et répartir les ressources communes à l'humanité en déployant une vision à long terme, elle s'est contentée, dans sa recherche de croissance illimitée, d'élever la prédation au rang de science. Le lien viscéral avec la nature est rompu ; cette dernière n'est plus qu'un gisement de ressources à exploiter — et à épuiser. Au fil des expériences, une évidence s'impose : seul le choix de la modération de nos besoins et désirs, le choix d'une sobriété libératrice et volontairement consentie, permettra de rompre avec cet ordre anthropophage appelé "mondialisation". Ainsi pourrons-nous remettre l'humain et la nature au coeur de nos préoccupations, et redonner enfin au monde légèreté et saveur.

09/2013

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Littérature française

Douce heureuse

Victor, la cinquantaine, traverse une période qui s'apparente de plus en plus à une course d'obstacles. La plaie ouverte après sa séparation qui tarde à cicatriser, la relation complexe avec son père vieillissant ainsi qu'une carrière d'inspecteur de l'éducation nationale qui le fait se confronter, parfois durement, à la souffrance des écoles et des habitants des zones socialement sinistrées, sont parvenues à le faire douter. C'est une lettre écrite par une inconnue prétendant être l'amour de jeunesse de son père qui va redonner du sens à son existence au travers d'une enquête qui le mènera vers des lieux et des personnes qui l'aideront à lever le voile trop longtemps déposé sur des secrets de famille.

09/2020

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Littérature étrangère

Heureuse fin

Comme beaucoup de couples, Antonio et Ángela ont connu un amour hors du commun. Et comme beaucoup de couples, après treize ans de passion, ils ont fini par divorcer. Quand commence Heureuse fin, Antonio erre dans l'appartement conjugal vidé par les déménageurs. Les souvenirs affluent. C'est le point de départ d'un roman d'un genre particulier où tout, de la première rencontre à la séparation, est raconté à rebours. Tour à tour, Antonio et Ángela prennent la parole, et se livrent à une autopsie de leur vie commune : le mariage, les enfants, les problèmes d'argent, l'usure du temps... Seulement chacun a son point de vue sur les raisons de leur échec : leurs récits se complètent, se disjoignent, et parfois se contredisent. Les illusions de l'un se retrouvent ruinées par les attaques de l'autre, et vice-versa. L'amour est quelquefois une bataille où les coups les plus durs sont portés dans les mots.

01/2020

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Roman d'amour, roman sentiment

Heureuse melancolie

Le corps humain est le siège d'une multitude d'émotions que nous ressentons plus ou moins fort. Notre être se différencie de l'animal grâce à ces dernières qui sont à la fois une force et une faiblesse. En effet, au travers de cet ouvrage, vous allez toucher du doigt toute la dimension antithétique des émotions jusqu'à ce qu'elles prennent complètement le dessus sur la raison et nous fassent perdre nos repères. Cette nouvelle est un chemin de réflexion, une initiation aux ressentis de notre corps vis-à-vis de nos émotions.

10/2021

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Littérature française

Esther heureuse

" En 1824, au dernier bal de l'Opéra, plusieurs masques furent frappés de la beauté d'un jeune homme qui se pro- menait dans les corridors et dans le foyer, avec l'allure des gens en quête d'une femme que des circonstances imprévues retiennent au logis. Le secret de cette démarche, tour à tour indolente et pressée, n'est connu que des vieilles femmes et de quelques flâneurs émérites. Dans cet immense rendez-vous, la foule observe peu la foule, les intérêts sont passionnés, le désoeuvrement lui-même est préoccupé. Le jeune dandy était si bien absorbé par son in- quiète recherche, qu'il ne s'apercevait pas de son succès : les exclamations railleusement admiratives de certains masques, les étonnements sérieux, les mordants lazzis, les plus douces paroles, il ne les entendait pas, il ne les voyait point. Quoique sa beauté le classât parmi ces personnages exceptionnels qui viennent au bal de l'Opéra pour y avoir une aventure, et qui l'attendent comme on attendait un coup heureux à la Roulette quand Frascati vivait, il paraissait bourgeoisement sûr de sa soirée ; il devait être le héros d'un de ces mystères à trois personnages qui com- posent tout le bal masqué de l'Opéra, et connus seulement de ceux qui y jouent leur rôle ; car, pour les jeunes femmes qui viennent afin de pouvoir dire : J'ai vu ; pour les gens de province, pour les jeunes gens inexpérimentés, pour les étrangers, l'Opéra doit être alors le palais de la fatigue et de l'ennui. Pour eux, cette foule noire, lente et pressée, qui va, vient, serpente, tourne, retourne, monte, descend, et qui ne peut être comparée qu'à des fourmis sur leur tas de bois, n'est pas plus compréhensible que la Bourse pour un paysan bas-breton qui ignore l'existence du Grand-Livre. A de rares exceptions près, à Paris, les hommes ne se masquent point : un homme en domino paraît ridicule. En ceci le génie de la nation éclate... ".

02/2023

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Autres éditeurs (A à E)

Marin dans son bain

Après un spectacle sous un chapiteau, le jeune éléphant Marin n'a qu'une seule idée en tête : plonger dans un bon bain bien chaud et mousseux. Mais ce bain ne serait pas aussi savoureux, poétique et coloré si Marin n'était pas en bonne compagnie. Allez les copains ! Tous au bain !

03/2021

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Littérature française

La comedie humaine. Esther heureuse

" En 1824, au dernier bal de l'Opéra, plusieurs masques furent frappés de la beauté d'un jeune homme qui se promenait dans les corridors et dans le foyer, avec l'allure des gens en quête d'une femme que des circonstances imprévues retiennent au logis. Le secret de cette démarche, tour à tour indolente et pressée, n'est connu que des vieilles femmes et de quelques flâneurs émérites. Dans cet immense rendez-vous, la foule observe peu la foule, les intérêts sont passionnés, le désoeuvrement lui-même est préoccupé. Le jeune dandy était si bien absorbé par son inquiète recherche, qu'il ne s'apercevait pas de son succès : les exclamations railleusement admiratives de certains masques, les étonnements sérieux, les mordants lazzis, les plus douces paroles, il ne les entendait pas, il ne les voyait point. Quoique sa beauté le classât parmi ces personnages exceptionnels qui viennent au bal de l'Opéra pour y avoir une aventure, et qui l'attendent comme on attendait un coup heureux à la Roulette quand Frascati vivait, il paraissait bourgeoisement sûr de sa soirée ; il devait être le héros d'un de ces mystères à trois personnages qui composent tout le bal masqué de l'Opéra, et connus seulement de ceux qui y jouent leur rôle ; car, pour les jeunes femmes qui viennent afin de pouvoir dire : J'ai vu ; pour les gens de province, pour les jeunes gens in- expérimentés, pour les étrangers, l'Opéra doit être alors le palais de la fatigue et de l'ennui. Pour eux, cette foule noire, lente et pressée, qui va, vient, serpente, tourne, retourne, monte, descend, et qui ne peut être comparée qu'à des fourmis sur leur tas de bois, n'est pas plus compréhensible que la Bourse pour un paysan bas- breton qui ignore l'existence du Grand-Livre. A de rares exceptions près, à Paris, les hommes ne se masquent point : un homme en domino paraît ridicule".

02/2023

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Littérature française

La Main

Eloi, professeur de mathématiques accompagne une classe de seconde dont fait partie. Coralie, petite lolita de quinze ans... Il lui demande de se tenir correctement et touche par inadvertance son sein. Ce contact éveille en lui un désir endormi. Une plainte est déposée contre lui. Sa femme le soutient puis l'accable, son fils Gaspard quitte la maison, le proviseur le manipule. Et lui, il n'a de cesse de retrouver Coralie. Une attirance, une main qui s'égare suffisent à faire basculer la vie d'un homme de cinquante ans.

03/2014

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Autres éditeurs (P à T)

La main

#JeunesseCNL – Au matin le charme a disparu femmes et hommes reprennent leurs occupations avec au coeur pour toujours un étrange sentiment fait de rires et de larmes de poils, de plumes de feuilles et de bourgeons et l'homme son petit théâtre, son traîneau sont loin déjà sur le chemin...

Dans ce nouvel, album Ronald Curchod donne la parole à la forêt. C’est elle qui voit, qui accueille, qui raconte l’histoire de cet homme qui porte son petit théâtre sur le dos, un marionnettiste. Dans son trajet de villle en ville, l’homme va sauver un ours prisonnier des glaces du lac, mais y perdre sa main gelée.

Il va se réfugier dans la forêt, dans une cabane de bûcheron jusqu’à ce qu’un ours lui dépose une minuscule créature, une fée. C’est cette jeune femme qui va désormais donner la réplique au diable- marionnette du spectacle. C’est le cadeau de la nature : un esprit charmeur qui va envoûter les spectateurs jusqu’à les entraîner en une étrange procession vers la forêt.

10/2021

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Policiers

La Main

J'étais assis sur le banc, dans la grange. Non seulement j'avais conscience d'être là, devant la porte déglinguée qui, à chaque battement, laissait s'engouffrer une rafale de vent et de neige, mais je me voyais aussi nettement que dans un miroir, me rendant compte de l'incongruité de ma position. Le banc était un banc de jardin peint en rouge. Nous en avions trois, que nous rentrions pour l'hiver, avec la tondeuse à gazon, les instruments de jardinage et les moustiquaires des fenêtres.

07/2012

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Ethnologie et anthropologie

La main

Une exploration littéraire passionnante et inattendue des mystères de la main Un luthier qui change la mèche d'un archet, un chirurgien qui dissèque un nerf, un boulanger qui étreint sa pâte... autant d'histoires que seules peuvent raconter nos mains. A l'ère de l'intelligence artificielle, qui vantera l'intelligence de la main et sa splendeur ? Dorian Chauvet tente de relever ce défi aux allures de quête infinie. Car dans une main se joue chaque seconde une petite symphonie magique. Quel outil ou autre organe du vivant possède une telle précision et une telle finesse ? La main est un miracle mais aussi un vertige : comment définir la beauté d'un geste ? Est-ce sa simplicité ou sa complexité ? Sa lenteur ou sa rapidité ? Sa grâce ou sa force ? Et qui orchestre cela : la main ou le cerveau ? Les quatre-ving-dix écrits de ce livre illustré - histoires, nouvelles ou confessions - nous font découvrir un univers aussi mystérieux qu'un continent invisible. Célèbres ou anonymes, ces auteurs, en parlant de leurs mains, se livrent à nous avec une puissance inédite et souvent bouleversante.

10/2023

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Littérature française

Ce matin j'ai posé la main sur l'horizon

C'est le confinement, tout est rétréci. Aldo pose sa main sur l'horizon. Il écrit des poèmes, retrace la relation compliquée avec son père. Il conte son parcours de vie, ses blessures d'enfant. Son récit esquisse la problématique de la souffrance psychologique. On le suit dans le milieu hospitalier, en tant que cadre de santé. On partage ses indignations, ses coups de coeurs, ses escapades dans notre beau pays de France. Il ouvre son coeur, sans sombrer dans le pathos. L'ouvrage comporte deux parties, la première sous la forme d'un roman, la seconde étant un recueil de ses poèmes.

04/2021

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Théâtre

Une famille heureuse

Et mes parents se souviennent seulement d'une chanson de leur enfance, et du nom de la poupée avec laquelle ils jouaient et de leur chat orange, aux couleurs des carottes et des citrouilles. Et puis, peu à peu, mes parents oublient le monde. Et ils pensent aux fourmis et aux fourmilières. Et mon père oublie ma mère. Et ma mère oublie mon père. Une famille heureuse est une oeuvre poétique qui parle de son temps sans pour autant en exhiber les problèmes frontalement. Une cave comme une caverne de Platon où la nature et la société des hommes y sont reproduites et déformées grâce à la parole des personnages qui constituent cette famille, et plus particulièrement celle du fils, un narrateur ou une didascalie personnifiée, jamais nommé.

01/2020

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Romans de terroir

L'heureuse providence

Confiée toute jeune à un riche couple de Parisiens en mal d'enfants contre une rente miraculeuse pour son père Ludovic, maître du modeste domaine de Kernadic, Gwenn Le Braz devient institutrice après des études brillantes à l'école normale. Alors que depuis dix ans elle n'a plus revu son père, furieux de son engagement dans l'enseignement laic, elle apprend qu'il est sur le point de vendre ses terres en raison de la construction d'un barrage. A l'annonce de cette nouvelle, Gwenn est parcourue d'une étrange sensation qui va la ramener dans sa Bretagne natale pour venir au secours du domaine...

06/2019

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Littérature française

Te rendre heureuse

Un homme envoie un sms à sa maîtresse, au lendemain de leur première nuit. Mais par habitude, il expédie ce message à sa femme, qui est en voyage, sans portable et loin de tout réseau. Sa femme dont il est pourtant très amoureux. Elle aura le sms en rentrant, en se reconnectant. Et inévitablement, elle le quittera. Il a treize jours pour trouver une solution, treize jours pour tenter de comprendre cette énigme : pourquoi trompe-t-on ceux qu'on aime ? Le narrateur court après ce petit message dans un monde dominé par la pulsion, le plaisir instantané, qui promet un bonheur facile à ceux qui consomment... y compris des femmes, des hommes, ou des histoires d'amour dans l'espoir qu'elles les rendent heureux. Cette course folle bouleversera les personnages, leur vision du monde, jusqu'à l'amour qu'ils se portent. S'acharnent-ils à vivre une existence qui n'est pas la leur et qui ne leur convient pas ? Comment faire pour en changer et être enfin heureux ?

01/2013

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Littérature française (poches)

Une femme heureuse

Toute jeune encore, Clotilde choisit de divorcer. Non que son mariage avec Albert soit malheureux, mais elle attend davantage d'un homme et de l'amour que ce bonheur paisible et fade. Bien des épreuves l'attendent. La liberté n'est pas facile, surtout pour une femme. Contrainte à accepter un emploi médiocre, en butte aux reproches voilés de la famille et aux avances des hommes en quête d'une proie facile, elle découvre la solitude, en même temps qu'une vie matérielle de plus en plus problématique... Des rencontres jalonneront le parcours - nouveaux pièges qui s'offrent, nouveaux malentendus - avant que Clotilde ne parvienne enfin à construire un bonheur adulte. A travers cette quête de soi-même, la romancière de La Maison de jade et de Mère et filles rencontre le long cheminement de la liberté qui est celui de milliers de femmes d'aujourd'hui.

01/1996

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Littérature française

Une heureuse imposture

Meursault ("L'Etranger") et Roquentin ("La Nausée") se rencontrent à Bruxelles en 2022. L'un est interprète dans une ONG qui s'occupe des migrants, l'autre écrit enfin le roman dont il avait le projet dans "La Nausée" . Devenus inséparables, ils tentent de "digérer" l'époque qui les voit renaître. Chacun relit l'histoire de l'autre mais leur nouvelle vie les fait basculer de leur condition d'individus "sans importance collective" vers un nouveau type d'engagement. Quand on les invite à donner une conférence au Lycée français de Belgique, l'imposture se dévoile : aucun dispositif numérique ne peut les saisir. Scandale ! Une chasse à l'homme s'engage, qui est aussi une chasse à la vérité. Car quelle peut bien être la condition de ces individus dont seule l'existence contingente peut être constatée et qui échappent au régime de la nécessité que génère la numérisation de notre rapport au monde ? Aidés par France (en qui Meursault retrouve Marie) et par des amis qui ne les considèrent pas comme des imposteurs, ils prennent la fuite. Une fuite tragique dont Roquentin fixera le sort dans son roman. Il n'en reste pas moins que si leur réalité ne peut être confirmée par aucun écran, la seconde vie qui leur est accordée par cette fiction en abîme ne les aura cependant privés ni de l'amitié, ni de l'amour, sentiments qui, tout compte fait, s'embarrassent assez peu de la vérité.

10/2022

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Littérature française

Une sédentarité heureuse

Depuis un coin préservé de l'Auvergne, l'auteur de ce texte sème des pistes de vie, de réflexion et de partage. Faisant corps avec sa maison rêvée, il pratique l'isolement mais s'ouvre bien volontiers aux hommes ; aux amis d'automne et de passage ; aux jeunes venus prouver, à eux-mêmes et aux autres, qu'un autre avenir est possible dans ces terres parfois oubliées. De saison en saison, il tire le fil de ses pensées, mêlant habilement nostalgie et curiosité, rêverie et lucidité, sans jamais imposer au lecteur sa vision de notre société. Des hivers rigoureux au retour des hirondelles, des pages de Thoreau aux merisiers en fleur, ce petit précis d'immédiateté regorge d'observations savoureuses.

03/2023

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Littérature francophone

L'Apocalypse heureuse

Ici l'apocalypse avait déjà eu lieu. La dévastation avait engendré la beauté avant qu'à son tour la beauté ne sème la dévastation. Dans ce décor propice à l'invention des dieux, nous nous baignons tranquillement aux portes de la mort, savourant la proximité du ciel et de l'abîme. Dans ce livre majeur, Stéphane Lambert dit le chaos d'une enfance abusée. Au hasard des jours, en se rendant chez un thérapeute, il se retrouve à son insu, trente ans plus tard, dans l'immeuble-même de son ancien abuseur. A partir de là il remonte le fil de son enfance et de ce qu'on a voulu taire, en mesurant avec quelle force le passé imprégnait sa vie présente. Il perçoit dans le souvenir traumatisant d'une famille qui vole en éclats, l'écho de la crise qu'il traverse en tentant d'aimer. Et quand survient la mort du père, d'anciens séismes se réveillent sur cette île grecque où il a trouvé refuge pour écrire. Ce sont dans les failles les plus profondes que les livres tentent la difficile communion du meilleur et du pire.

01/2022

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Littérature étrangère

Une famille heureuse

Dans la famille Copeland, je voudrais les parents. Gordon, le père déjanté - grandiloquent, vaniteux et insignifiant, il est gérant de supermarché -, et Jean, la mère courage dévastée par le suicide de son amant. Je voudrais aussi les enfants : Priscilla, l'ado insupportable et délurée qui ne vit que pour les fringues, les mecs et la télé-réalité ; et Otis, le petit dernier un brin allumé. Sans oublier, les aïeuls : Théodore, le grand-père tendre à la tête dans les étoiles, et Vivian, la matrone bourgeoise et venimeuse, férue de potins et de commentaires assassins. Résumons : "fille caractérielle, père je-sais-tout, fils gentil et normal, quoiqu'un peu bizarre, maman au-potentiel-non-encore-exploité/ayant-une-aventure, arrière-grand-mère vacharde, papy qui perd la boule". Joyeuse et punchy, la photo a désormais la place d'honneur sur la cheminée. Mais avec de telles personnalités, une chose est sûre, un rien suffit pour tout faire exploser. Le jeu de massacre peut commencer. Faisons confiance à Elizabeth Crane pour mettre le feu aux poudres.

04/2013