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Soderbergh

Extraits

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Essais

Steven Soderbergh, anatomie des fluides

Cannes, 1989. Steven Soderbergh reçoit la Palme d'or à Cannes pour son premier long-métrage, Sexe, mensonges et vidéo. A 26 ans, il fait une entrée fracassante dans le monde du cinéma. Trente-cinq films et trois saisons de séries plus tard, il est devenu une figure incontournable de l'audiovisuel américain, à Hollywood comme dans les sphères indépendantes. Prolifique, audacieux, Soderbergh brouille les pistes, enchaînant blockbusters (la trilogie des Ocean's, Erin Brockovich, Contagion...) et films intimes (Bubble, Girlfriend Experience...). Collaborant aussi bien avec des stars qu'avec des amateurs, il est à l'avant-garde des essais techniques en matière de captation numérique et des innovations économiques pour la production et la diffusion des films. Steven Soderbergh, anatomie des fluides brosse un portrait de l'artiste et capture les thématiques qui traversent sa carrière.

11/2021

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Littérature étrangère

Dessin à l'encre de Chine et autres nouvelles

Hjalmar Söderberg (1869-1941) est à la Suède, et à Stockholm, ce que Guy de Maupassant est à la France ou Anton Tchekhov à la Russie : un miracle littéraire qui résiste au temps, aux modes, aux changements de préoccupations et de goûts.

04/2014

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Thèmes picturaux

Nell'acqua

Cet ouvrage propose un recueil d'illustrations de Lorenzo Mattotti, pour la plupart inédites. Ces images sensuelles mettant en scène les ébats amoureux d'un couple dans l'eau font écho au film co-signé par Wong Kar Wai, Michelangelo Antonioni et Steven Soderbergh, Eros (2004), film dont Mattotti avait réalisé le générique, les interludes, l'affiche, le dossier de presse, etc. Cet ensemble unique donnera lieu à une exposition importante au printemps 2021 présentée lors du prochain festival Pulp de la Ferme du Buisson.

10/2021

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Science-fiction

Solaris

Solaris : un monde inhabité tournant autour de deux soleils, entièrement recouvert d'un immense océan protoplasmique qui, pour les scientifiques de la Terre, demeure un irritant mystère. Dès son arrivée sur Solaris, le Dr Kelvin est intrigué par le comportement du physicien Sartorius et du cybernéticien Snaut, qui semblent terrorisés. Lui-même reçoit la visite d'une femme, Harey ; une femme qu'il a autrefois aimée et qui s'est suicidée plusieurs années auparavant. Impossible. A moins qu'une entité intelligente n'essaie d'entrer en contact avec lui en matérialisant ses fantasmes les plus secrets, et qu'en l'océan lui-même réside la clé de cette énigme aux dimensions d'un monde. Solaris, une des pierres angulaires de la science-fiction, a été porté à l'écran en 1972 par Andreï Tarkovski et en 2002 par Steven Soderbergh.

03/2017

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Cinéastes, réalisateurs

Nicolas Roeg. Un cinéaste expérimentateur au coeur des années 70

Nicolas Roeg (1928-2018) demeure une référence incontournable pour bien des cinéastes de notre époque. Des réalisateurs aussi divers que Tony Scott, Steven Soderbergh ou Christopher Nolan ont reconnu son influence majeure et son héritage. Directeur de la photographie talentueux pour Roger Corman, David Lean, François Truffaut ou Richard Lester, il passe à la réalisation en 1970 en co-signant le très troublant Performance, porté par Mick Jagger. Mais c'est Walkabout, un an plus tard, tourné dans le désert australien, qui va faire de lui un réalisateur remarqué. Ne vous retournez pas, récit angoissant et fantastique où Donald Sutherland et Julie Christie se retrouvent plongés dans une Venise hivernale et cauchemardesque, demeure son chef-d'oeuvre. La décennie 70-80 s'achèvera avec deux films importants dans sa filmographie : L'Homme qui venait d'ailleurs, centré autour de l'image et de la personnalité de David Bowie, et Enquête sur une passion, radiographie d'un amour extrême et compliqué au coeur d'une Vienne figée dans son passé culturel, et sur laquelle plane encore la figure tutélaire de Freud. En seulement quelques films, Nicolas Roeg a révolutionné le langage cinématographique. Il a déconstruit les règles narratives par la science du montage et a su imposer une mise en scène personnelle, où les choix sonores et musicaux sont aussi essentiels que les images.

04/2022

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Dictionnaire du cinéma

Films des années 90

Rhett et Scarlett finissent par s'embrasser, le rideau de douche est maculé de sang et E. T. s'envole dans le crépuscule. La dernière décennie du 20e siècle affirme encore le pouvoir de fascination du grand écran, qu'il regarde vers l'avenir ou s'inspire du passé. Il n'est pas exagéré de dire que jamais jusqu'alors le cinéma ne s'était appliqué avec autant d'ironie à exposer sa propre vanité, et que jamais il ne s'était préoccupé aussi intensément de lui-même. Des réalisateurs comme Steven Soderbergh, David Lynch, Quentin Tarantino et Ang Lee élaborèrent des mondes aussi déroutants que cryptiques, James Cameron, Steven Spielberg et George Lucas, des effets spéciaux de plus en plus spectaculaires. Faites-vous des rêves où vous errez dans le désert comme le Patient anglais ? Vous seriez-vous tiré vivant du Titanic ? Désirez-vous toujours conquérir Mary à tout prix ? Films des années 90 rend compte des moments les plus marquants de l'histoire du cinéma entre 1991 et 2000 et ravive le souvenir de nombreuses pépites. L'intrigue et les caractéristiques esthétiques de chaque film sont présentées de façon pédagogique et précise. Des commentaires des acteurs et réalisateurs ainsi que des informations sur le contexte et les aspects techniques du cinéma viennent enrichir l'ouvrage. Film des années 90 est un livre pointu mais divertissant, clair mais exigeant, inoubliable et captivant comme un grand moment de cinéma.

09/2022

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Littérature française

Deuxièmes séances

" Nous sommes de ceux pour qui le cinéma a été plus qu'un passe-temps et même plus qu'une passion. Ce "nous" désigne des êtres pour lesquels la vie en vingt-quatre images par seconde est au moins aussi précieuse que la "vraie". Le cinéma nous a offert des modèles, des coups de feu dans la Sierra, des bains improvisés dans la fontaine de Trevi, des courses-poursuites sur le mont Rushmore, des exploits de samouraïs, des petits déjeuners chez Tiffany... Puis vient un jour où l'on croit avoir tout vu. On se sent un peu orphelin quand Hitchcock, Welles, Hawks, Wilder, Kurosawa, Fellini, Tati, Huston, Kubrick et les autres n'ont plus d'images inédites à nous offrir. On guette le dernier Scorsese ou le dernier Eastwood. Parfois, Allen ou Tarantino suffisent à notre bonheur. Alors, il a fallu fréquenter les clandestins, les mal-aimés, les films du "second rayon", ceux traités en trois lignes dans les journaux du mercredi. J'en ai tiré une panoplie cinématographique faite d'oeuvres absentes des palmarès ou des recensions officielles et pourtant produites au coeur de l'industrie hollywoodienne, pour l'essentiel d'entre elles ces vingt dernières années, quelquefois par des cinéastes qui deviendront célèbres comme Michael Mann, Steven Soderbergh ou les frères Coen. Ces films sont nos contemporains, mais à part quelques fanatiques, personne ne les a vus ni aimés. Alors, offrez une deuxième séance à Duos d'un jour, La Peur au ventre, Susie et les Baker Boys, Terrain d'entente et les autres. Goûtez-les sans préjugés, vous ne le regretterez pas. Et faites passer. "

11/2009

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Histoire du droit

La justice au cinéma

Une analyse passionnante de la justice et du droit au cinéma à travers 20 grands classiques L'ambition de cet ouvrage est d'étudier les rapports entre la justice et le cinéma. Il ne s'agit pas d'analyser, avec une exhaustivité résolument impossible, les considérations de justice dans la multitude des oeuvres cinématographiques. Depuis que le cinéma est cinéma, la caméra explore et illustre l'idée de justice et tout ce que celle-ci suppose comme conséquences. Comment le cinéma se saisit-il de la justice, comment l'appréhende-t-il ? Qu'est-ce que le cinéma dit de la justice ? Les films de justice, filmés à un moment précis de l'histoire juridique, souvent contemporains du spectateur, avec une volonté de vraisemblance qui en fait régulièrement de fins documents, fouillés et approfondis, sont les témoignages d'une époque, d'un événement, d'une institution, voire d'une certaine conception de la justice. C'est l'objet de cet ouvrage, qui nous plonge dans l'analyse de 20 films, français ou étrangers, considérés comme des classiques du genre. 20 Films commentés Accusée, levez-vous ! (Maurice Tourneur, 1930) Jenny Frisco & Le Coupable (William Wellman, 1932 et Raymond Bernard, 1937) Vers sa destinée (John Ford, 1939) Boomerang ! (Elia Kazan, 1947) Le Procès Paradine (Alfred Hitchcock, 1947) Winslow contre le Roi (Anthony Asquith, 1948) Madame porte la culotte (Georges Cukor, 1949) Justice est faite (André Cayatte, 1950) Témoin à charge (Billy Wilder, 1957) Douze en hommes en colère (Sidney Lumet, 1957) Les Sentiers de la gloire (Stanley Kubrick, 1957) Autopsie d'un meurtre (Otto Preminger, 1959) La Vérité (Henri-Georges Clouzot, 1960) Le Septième Juré (Georges Lautner, 1962) Le Verdict (Sidney Lumet, 1982) Erin Brockovich. Seule contre tous (Steven Soderbergh, 2000) L'Hermine (Christian Vincent, 2015) La Tête haute (Emmanuelle Bercot, 2015) My Lady (Richard Eyre, 2018) Mon crime (François Ozon, 2023)

10/2023