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XXII

Extraits

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Critique littéraire

Correspondance. Tome XXII, Avril 1870 - mars 1872

Cette édition monumentale de la Correspondance de George Sand apporte des documents sans nombre à l'histoire du XIXe siècle, l'histoire littéraire, l'histoire des idées et fournit des informations de première main sur les contemporains.

01/2019

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Religion

Homélie XXII pour le 1er jour de l'an

Homélie XXII pour le 1er jour de l'an , par M. le curé de S. Sulpice de Paris Date de l'édition originale : 1707 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

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Religion

LA CITE DE DIEU. Volume 3, livres XVIII à XXII

Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.C), un soupçon naît chez les Romans adversaires du christianisme : serait-il responsable du déclin de Rome ? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Eglise, et donc dans le monde : elle n'y est pas " réalisée " et ne le sera jamais. Bien au contraitre, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout -y compris donc l'empire romain - doit être relativité, même si, dans la perspective du Jugement Dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires. Les résonances politiques, religieuses, culturelles de La Cité de Dieu, dont c'est la première traduction intégrale en " poche ", ont été immenses dans l'histoire de l'Occident.

05/1994

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Religion

La liturgie des heures. Tome 4, Temps ordinaire, Semaines 22-34

Tome 4. Temps ordinaire (semaine XXII-XXXIV).

09/1998

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Contrats de travail

Guide de la rupture du contrat de travail. Edition 2023-2024

I. Promesse d'embauche II. Essai III. Apprentissage IV. Résiliation conventionnelle V. Démission VI. Prise d'acte VII. Licenciement pour motif personnel VIII. Licenciement pour inaptitude physique IX. Plan de départs volontaires X. Licenciement pour motif économique XI. Accord de mobilité XII. Accord de maintien de l'emploi XIII. Transfert d'entreprise XIV. Contrat de travail à durée déterminée XV. Contrat de mission XVI. Contrat de chantier XVII. Mise à disposition XVIII. Salarié expatrié XIX. Salariés protégés XX. Retraite XXI. Ruptures judiciaires du contrat de travail XXII. Statuts particuliers XXIII. Contrats aidés XXIV. Suites de la rupture XXV. Contentieux de la rupture

10/2023

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Religion

TRAITES ET SERMONS. 3ème édition

Le 27 mars 1329, le pape Jean XXII condamnait comme hérétiques dix-sept propositions extraites des oeuvres de Maître Eckhart et en réputait onze autres "tout à fait malsonnantes, très téméraires et suspectes d'hérésie". Ainsi s'achevait le premier procès d'inquisition intenté au Moyen Age contre un dominicain, maître en théologie de l'Université de Paris, né en 1260 et mort en 1328. Ce volume consacré à l'un des plus grands philosophes du Moyen Age regroupe un ensemble de textes régis par une intention : convertir le chrétien, et, à cette fin, confier à la parole le soin de faire renaître l'âme en Dieu.

10/2015

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Philosophie

Le défenseur de la paix

Rédigé en 1324, Le Défenseur de la paix s'inscrit dans le conflit qui opposa, au XIVe siècle, l'empereur Louis II de Bavière au pape Jean XXII. Dans la lignée du De Monarchia de Dante, Marsile de Padoue s'y appuie sur une analyse aristotélicienne de la Cité pour contester la revendication pontificale d'une "plénitude de pouvoir" et argumenter en faveur de l'inscription des autorités religieuses sous le pouvoir politique. Qu'est-ce qu'une Cité? Comment garantir la paix civile ? Comment penser les rapports de l'Eglise et de l'Etat ? Autant de questions auxquelles Le Défenseur de la paix, texte clé de la philosophie politique du Moyen Age, apporte des réponses décisives dans l'histoire de la pensée.

04/1968

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Fantasy

Dehors les chiens, les infidèles

"Dehors les chiens, les drogueurs, les prostitueurs, les meurtriers, les idolâtres. Moi, Jésus, je suis l'étoile resplendissante du matin". Apocalypse de Jean, XXII, 15-16. Quatre-vingts ans après la défaite des forces de la Lumière face aux Ténèbres, le monde ne connaît plus que la nuit éternelle. Seul espoir de voir un jour se lever le soleil : la Quête. Tous les cinq ans, un groupe de cinq adolescents spécialement entraînés part à la recherche de l'Etoile du Matin, arme légendaire, seule capable de lever la malédiction divine qui frappe l'humanité. Avec Dehors les chiens, les infidèles, roman apocalyptique, violent et captivant, s'interrogeant sur le fondamentalisme religieux, Maïa Mazaurette se place d'emblée parmi les auteurs de fantasy à suivre.

03/2024

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Science-fiction

Le devoir d'un berserker. Tome 1, La riposte des dragons

La Normandie, terre de légendes et surtout, l'épine dans le pied du Roi de France. Ce dernier est prêt à tout pour récupérer les richesses de ce territoire, comme il l'a fait pour les autres duchés en France, si ce n'est qu'il y a en son sein des Berserkers nombreux et redoutables. Avec l'aide d'un mage noir, Enguerrand de Wertelle, il compte bien abattre le plus puissant d'entre eux, le chef de meute, Axel de Coursy. Pour cela, il fait organiser un piège à la frontière du territoire du Maine-Anjou et de la Normandie. Mais Enguerrand de Wertelle poursuit-il le même but que Louis XXII ? Le Roi va s'apercevoir qu'il ne tient pas les rennes du destin et surtout pas ceux d'un certain mage noir, et celui de la Normandie.

03/2019

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Théâtre

C'est la faute à Rousseau. Comédie philosophique

C'est la faute à Rousseau, si la question éducative habite et agite ta société française depuis 1762 - il y a 255 ans (en 2017) -, s'il existe un Contrat social et si "la société doit favoriser [...] les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens" (Art. XXII de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen - 24 juin 1793). C'est la faute à Rousseau, si la Patrie lui est reconnaissante (Panthéon oblige), depuis 1794 ; s'il a donné naissance au concept révolutionnaire de l'Education-tout-au-long-de-la-vie, donc impulsion, différée, mais tangible, aux "Programmes éducatifs européens" . Démystifier un "monstre sacré" et le célébrer en même temps ? Oui, seuls l'humour et la scène en sont capables. Il fallait oser le faire... C'est fait !

04/2018

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Religion

ISAAC OU L'EPREUVE D'ABRAHAM. Approche narrative de Genèse 22

La ligature d'Isaac au chapitre XXII de la Genèse constitue sans doute le sommet de l'histoire d'Abraham. Lu superficiellement, l'ordre initial de Dieu apparaît scandaleux, incohérent, inhumain. Mais est-ce bien la mort d'Isaac que Dieu réclame pour tester Abraham ? Et si la première épreuve d'Abraham consistait à devoir interpréter une parole ambiguë, et à dévoiler ainsi la vraie nature de sa relation à Dieu et à son fils ? L'approche narrative de cette page difficile et sublime permet d'apprécier à sa juste valeur l'art de la mise en scène dont font preuve les narrateurs bibliques. Elle donne aussi d'entrer plus profondément dans l'épaisseur de la vérité du texte, une vérité qui se fait jour quand le lecteur se risque à lire lui-même, à l'aide d'une méthode à la fois souple et rigoureuse.

11/1999

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Vie chrétienne

Taxes des parties casuelles de la boutique du pape. avec la fleur des cas de conscience décidés par les Jésuites

Taxes des parties casuelles de la boutique du pape , rédigées par Jean XXII et publiées par Léon X... avec la fleur des cas de conscience décidés par les Jésuites... publié par Julien de Saint-Acheul Date de l'édition originale : 1820 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Antiquité - Essai

La vertu des arbres - N° 50

Pline l'Ancien fut l'un des esprits les plus curieux de son temps. Son Histoire naturelle constitue une extraordinaire encyclopédie des connaissances de l'époque. Du tilleul au cyprès, de l'olivier au cerisier, le chêne, le pin et le sureau, il nous convie à une promenade salutaire dans les vergers de l'Antiquité, et dans les forêts riches en remèdes et en recettes de santé. Né en 23 après J. -C. , mort en 79, Pline l'Ancien fut l'un des esprits les plus curieux de son temps. Son Histoire naturelle constitue une extraordinaire encyclopédie des connaissances de l'époque. Du tilleul au cyprès, de l'olivier au cerisier - en passant par le laurier-rose, l'orme, le chêne, le platane, le pin et le sureau -, il nous convie à une promenade salutaire dans les vergers de l'Antiquité, et dans les forêts riches en remèdes et en recettes de santé. Ce volume propose une nouvelle traduction des livres XXII, XXIII et XXIV de l'Histoire naturelle.

06/2022

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Policiers

Les Sorciers d'Opoul

Quelques bougies noires, dans de grands candélabres en fer forgé, éclairaient le pourtour du guéridon. Leurs flammes orangées tremblotaient imperceptiblement. Anastasia mélangea lentement ses cartes en les tournant sur la table, de droite à gauche, en cercles concentriques. Ensuite, elle prépara ses lames de tarot pour un tirage complet en tirant douze cartes, une à une, qu'elle posa en cercle. " C'est la deuxième fois que je tombe sur La Maison Dieu ou les catastrophes. Avec le XXII, cela veut dire complications et désillusions. Voilà le Roy de Baton, c'est toi, mais il y a aussi une Reyne d'Epée, une femme brune, indépendante et inconnue qui pourrait nous faire du tort. Mes arcanes me disent qu'il y a un danger, proche de nous ! " Anastasia se pencha en avant, leva les mains et se couvrit le visage. Elle massa ses tempes et ses paupières et respira profondément. " Samaël, méfie-toi ! Je crois qu'il va falloir préparer des potions spéciales et appeler à l'aide certains de nos... protecteurs ! "

09/2013

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Maître Eckart

Réduit à rien. Les derniers jours de maître Eckhart

A l'entour de l'an 1328, accusé d'hérésie, jugé par l'Inquisition, désavoué par Rome, Maitre Eckhart, le grand théologien dominicain du Rien, se trouve réduit à rien alors que la mort avance au-devant de lui. Or, de ces derniers jours, nous ne savons également presque rien. Celui qui s'enracine dans l'éternité et que ses ennemis pourchassent dans le temps, décède en un lieu, une saison, un jour et une heure dont aucun manuscrit médiéval n'a gardé la mémoire. Sept siècles plus tard, c'est au coeur de cet exode que le rejoint son meilleur commentateur, Rémy Valléjo, en se faisant le compagnon et le chroniqueur de ce voyage au bout de la nuit qu'a entrepris le Maître, entre son procès à Cologne, son passage par Strasbourg et sa disparition sur la route d'Avignon afin d'en appeler à l'autorité du pape Jean XXII ; et en s'instituant le scribe de l'aboutissement lumineux d'Eckhart, abandonné de tous mais libre de tout, à ce point extrême où l'homme est à jamais saisi par la Déité. Une enquête mystique, un essai littéraire et un récit passionnant.

03/2021

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Romans historiques

La croix et l'épée. La vie du chevalier d'Altamura

Quittant les Etats pontificaux de Provence où il résidait la plupart du temps, le pape Clément s'apprêtait à reprendre le chemin de son Aquitaine natale lorsque, le Rhône à peine franchi, la mort le saisit à Roquemaure, le 6 avril 1314. Le conclave, qui devait choisir son successeur, se réunit donc à Carpentras, mais déjà se posait le grand problème qui domine toute la politique de l'époque, celle des clercs et des papes, comme celle des souverains qui se succédèrent sur les trônes de France, d'Angleterre, de Sicile et d'Allemagne : les papes allaient-ils ou non retourner dans la ville de Pierre, que le Christ avait désignée pour être le siège de la chrétienté ? Giacobbo d'Altamura, attaché à la famille piémontaise des Caetani, tourne le dos au passé pour s'unir avec les clans rivaux des Orsini et Colonna. Leurs intrigues n'empêcheront pas l'élection d'un autre cardinal français, le Gascon Jacques Duèse, qui fixe sa résidence à Avignon. Distingué par le nouveau pape, qui prend le nom de Jean XXII, Altamura deviendra peu à peu le plus fidèle de ses vassaux, déjouant les complots italiens visant à réinstaller le chef de la chrétienté à Rome.

01/2013

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Arts divinatoires

L'Oracle des Sentiments

Cet oracle explore les sentiments qui nous lient aux autres dans les domaines amoureux, familial, amical mais aussi à nous-mêmes. Il nous permet de mieux comprendre ce qui est en jeu et d'avancer avec confiance vers les autres. L'oracle et ses cartes se révèlent un guide efficace pour celles et ceux qui cherchent des réponses claires sur leurs sentiments. L'Oracle des Sentiments est présenté dans un coffret contenant 25 cartes agréables à manipuler et 1 livret de 64 pages qui vous initiera à la lecture et à l'interprétation des cartes. Vous pourrez réaliser des prédictions concrètes et nuancées pour vous éclairer. Vous y trouverez : - la description symbolique et la signification des 25 cartes ; - les différents types de tirages : la réponse de la boule de cristal, l'oracle souverrain, l'oracle du doux prénom, l'oracle de la flèche d'amour, l'oracle de la pierre précieuse. Les 25 cartes : I : Rencontre. II : Illusion. III : Romantisme. IV : Distance. V : Alchimie. VI : Séduction. VII : Impatience. VIII : Union. IX : Solitude. X : Amours platoniques. XI : Les âmes soeurs. XII : Changement. XIII : Optimisme. XIV : Amour de soi. XV : Liens toxiques. XVI : Dépendance affective. XVII : Communication. XVIII : Dispute. XIX : Efforts. XX : Relation karmique. XXI : Sexualité. XXII : Famille. XXIII : Aventure. XXIV : Infidélité. XXV : Coup de foudre.

11/2022

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Esotérisme

Tarot de Marseille. Le monde symbolique

Dans cet ouvrage, vous trouverez l'histoire des xxii Arcanes Majeurs du Tarot de Marseille, la signification Esotérique, Kabbalistique, la roue de Pythagore. Les lois qui les régissent, leur polarité, diverses méthodes de tirage, l'association des lames entre elles, ainsi que les légendes auxquelles on a fait référence. Un exemple de l'interprétation de la roue de Pythagore, avec les quatre arcanes que vous avez par votre nom et prénom depuis votre naissance, illustré avec les vingt-deux Arcanes Majeurs du Tarot de Marseille. Mais aussi, les pays, les religions, les symboles, la spiritualité, son lien avec la Kabbale et une approche de la connaissance de soi, sans compter tout ce qui sur terre et dans le ciel constitue notre Univers. Il peut également inviter à un grand et impressionnant voyage dans l'Univers magique où les choses ne sont plus exactement les mêmes. Où le passé et l'avenir s'interpénètrent en défiant toutes les lois connues de l'espace et du temps, où l'homme se doit de "? monter sur ses propres épaules ? ", et trouver un sens à sa vie, en traçant son chemin au milieu de notre univers qui nous conduit vers notre avenir, ou celui que nous choisissons de nous construire. Ce livre est un guide vers la maîtrise du devenir, le voyage intiatique du tarot, qui vous permettra de découvrir avec votre propre personnalité, tous les symboles et mystères qu'il renferme, et à l'introspection qui mène à l'évolution de votre vie passée et à venir. L'homme est désormais libre, ayant atteint son libre arbitre, il ne tombera jamais plus dans la prison de l'ignorance.

03/2018

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Critique littéraire

Correspondance. tome 6 : lettres 110-120

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Critique littéraire

Correspondances. Tome 1 : lettres 1-22 St Jérôme

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 7 : lettres 121-130

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Histoire de l'Eglise

Les nouveaux territoires diocésains. De l'époque médiévale à nos jours

En juillet et août 1317, le pape Jean XXII instaure dix-sept nouveaux diocèses dans le royaume de France. Parmi ces territoires diocésains émergents, on compte celui de Saint-Flour. Jusqu'alors le haut pays d'Auvergne relevait de l'autorité de l'évêque de Clermont. Pour autant, les frontières du diocèse qui porte aujourd'hui ce nom ne sont que pour partie les héritières de celles du XIVe siècle. Les reconfigurations révolutionnaire et concordataire engagées à l'échelle du pays ont redessiné à leur tour la géographie ecclésiastique en s'appuyant sur les circonscriptions départementales. Le diocèse de Saint-Flour a englobé un temps la Haute-Loire, détachée ensuite pour former un nouveau diocèse du Puy, modelé dans ses frontières contemporaines. Ainsi, la fréquente continuité des dénominations de sièges épiscopaux ne signifie pas forcément une permanence des territoires. Dans l'analyse de l'espace diocésain, l'étude de la territorialisation en tant que telle est un gain récent, qui a déjà conduit à remettre en cause l'idée qu'il n'y aurait eu là, au Moyen Age, que la prolongation d'entités héritées de l'Antiquité. En réalité, les diocèses ne se constituent en tant que territoires que progressivement, dans les premiers siècles du Moyen Age, et le remodelage se poursuit au-delà. La réflexion a porté ici sur les dynamiques à l'oeuvre dans les phases transitoires où des diocèses sont créés, redécoupés, absorbés ou disloqués : les modalités de ces construction et reconfiguration territoriales ; les pratiques socio-spatiales qui nourrissent une identité à établir ou à reconfigurer dans une temporalité plus longue. La question de la pérennité formelle des entités diocésaines se pose, y compris par le truchement des recompositions les plus récentes. Le choix d'une large temporalité, depuis l'époque médiévale jusqu'à nos jours, permet de caractériser les continuités et les ruptures.

09/2021

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Critique littéraire

Correspondance. tome 3 : lettres 53-70

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 4 : lettres 71-95

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 2 : lettres 23-52

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 5 : lettres 96-109

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Critique littéraire

Lettres. Tome 8

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

10/1963

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Littérature française

Le Spleen de Paris. Petits poèmes en prose

Le Spleen de Paris, également connu sous le titre Petits poèmes en prose, est un recueil posthume de poésies en prose de Charles Baudelaire, établi par Charles Asselineau et Théodore de Banville. Il a été publié pour la première fois en 1869 dans le quatrième volume des oeuvres complètes de Baudelaire publié par l'éditeur Michel Levy après la mort du poète. Ce recueil fut conçu comme un " pendant " aux Fleurs du Mal. Baudelaire y fait l'expérience d'une " prose poétique, musicale sans rythme et sans rime, assez souple et assez heurtée pour s'adapter aux mouvements lyriques de l'âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience ". Le recueil de Baudelaire comprend les poèmes suivants : A Arsène Houssaye I. L'Etranger II. Le Désespoir de la vieille III. Le Confiteor de l'artiste IV. Un plaisant V. La Chambre double VI. Chacun sa chimère VII. Le Fou et la Vénus VIII. Le Chien et le Flacon IX. Le Mauvais Vitrier X. A une heure du matin XI. La Femme sauvage et la Petite-maîtresse XII. Les Foules XIII. Les Veuves XIV. Le Vieux Saltimbanque XV. Le Gâteau XVI. L'Horloge XVII. Un hémisphère dans une chevelure XVIII. L'Invitation au voyage (2e version) XIX. Le Joujou du pauvre XX. Les Dons des fées XXI. Les Tentations ou Eros, Plutus et la Gloire XXII. Le Crépuscule du soir XXIII. La Solitude XXIV. Les Projets XXV. La Belle Dorothée XXVI. Les Yeux des pauvres XXVII. Une mort héroïque XXVIII. La Fausse Monnaie XXIX. Le Joueur généreux XXX. La Corde XXXI. Les Vocations XXXII. Le Thyrse XXXIII. Enivrez-vous XXXIV. Déjà ! XXXV. Les Fenêtres XXXVI. Le Désir de peindre XXXVII. Les Bienfaits de la lune XXXVIII. Laquelle est la vraie ? XXXIX. Un cheval de race XL. Le Miroir XLI. Le Port XLII. Portraits de maîtresses XLIII. Le Galant Tireur XLIV. La Soupe et les Nuages XLV. Le Tir et le Cimetière XLVI. Perte d'auréole XLVII. Mademoiselle Bistouri XLVIII. Anywhere out of the World XLIX. Assommons les Pauvres ! L. Les Bons Chiens Epilogue.

01/1979

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Religion

Toulouse

Ce n'est qu'en 1317, par une décision de Jean XXII, que Toulouse est devenu archevêché. Le siège fondé par saint Sernin comportait déjà cependant une histoire importante marquée, entre autres, par la tempête de l'hérésie cathare, et le couvent de Toulouse, fondé par saint Dominique, a été le premier des grands centres de Frères Prêcheurs, tout comme l'Université fut l'une des plus anciennes de France. En 1790, la nouvelle géographie ecclésiastique lui réunit les évêchés de Saint-Bertrand de Comminges et de Rieux, ainsi qu'une partie de celui du Couserans. C'est surtout aux XIXe et XXe siècles que son histoire est passée au premier rang des diocèses français, avec de grandes figures d'archevêques, parmi lesquelles se détache bien entendu celle de Mgr Saliège, mais aussi grâce à la ferveur d'une Eglise ardente, qui ne fut pas toujours en plein accord avec ses pasteurs. Il n'existait pas encore d'histoire de ce diocèse. Celle qui est offerte aujourd'hui dans la collection de l'Histoire des diocèses de France fait plus que combler une lacune. L'équipe est en partie cléricale. Pourquoi pas ? Surtout lorsque le clergé y est représenté par l'abbé GEORGES BACCRABÈRE, dont les premiers travaux portèrent sur les visites épiscopales des XVIe et XVIIe siècles et qui, depuis lors, a réalisé de remarquables recherches archéologiques sur Toulouse antique ; par l'abbé JEAN-CLAUDE MEYER, dont la thèse de doctorat sur l'Église et la Révolution en Haute-Garonne vient de paraître ; par Mgr CHANSOU qui, en qualité de vicaire général de Mgr Saliège, a vécu de l'intérieur la « mutation » du diocèse et dont de beaux ouvrages disent par ailleurs la vocation historique. L'équipe des laïcs est composée d'ELISABETH MAGNOU-NORTIER, ancienne étudiante de Toulouse, de PHILIPPE WOLFF pour les XIVe et XVe siècles, d'YVES CASTAN pour le XVIII, qui, sans être des spécialistes de l'histoire religieuse, peuvent se recommander d'une bonne connaissance des périodes traitées ; enfin de HENRI SEMPÉRÉ qui dirige à l'Université de Toulouse-le-Mirail les travaux accomplis sur la période contemporaine en histoire religieuse. Cette coopération, fructueuse et aisée, entre clercs et laïcs, répond à une tradition toulousaine. Comment ne pas évoquer ici le chanoine Etienne Delaruelle, ancien professeur à l'Institut Catholique, qui, s'il eût vécu, eût été le maître d'œuvre de ce travail ? Quoi qu'il en soit, l'ouvrage lui doit beaucoup.

01/1983

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Religion

Toulouse

Ce n'est qu'en 1317, par une décision de Jean XXII, que Toulouse est devenu archevêché. Le siège fondé par saint Sernin comportait déjà cependant une histoire importante marquée, entre autres, par la tempête de l'hérésie cathare, et le couvent de Toulouse, fondé par saint Dominique, a été le premier des grands centres de Frères Prêcheurs, tout comme l'Université fut l'une des plus anciennes de France. En 1790, la nouvelle géographie ecclésiastique lui réunit les évêchés de Saint-Bertrand de Comminges et de Rieux, ainsi qu'une partie de celui du Couserans. C'est surtout aux XIXe et XXe siècles que son histoire est passée au premier rang des diocèses français, avec de grandes figures d'archevêques, parmi lesquelles se détache bien entendu celle de Mgr Saliège, mais aussi grâce à la ferveur d'une Eglise ardente, qui ne fut pas toujours en plein accord avec ses pasteurs. Il n'existait pas encore d'histoire de ce diocèse. Celle qui est offerte aujourd'hui dans la collection de l'Histoire des diocèses de France fait plus que combler une lacune. L'équipe est en partie cléricale. Pourquoi pas ? Surtout lorsque le clergé y est représenté par l'abbé GEORGES BACCRABÈRE, dont les premiers travaux portèrent sur les visites épiscopales des XVIe et XVIIe siècles et qui, depuis lors, a réalisé de remarquables recherches archéologiques sur Toulouse antique ; par l'abbé JEAN-CLAUDE MEYER, dont la thèse de doctorat sur l'Église et la Révolution en Haute-Garonne vient de paraître ; par Mgr CHANSOU qui, en qualité de vicaire général de Mgr Saliège, a vécu de l'intérieur la « mutation » du diocèse et dont de beaux ouvrages disent par ailleurs la vocation historique. L'équipe des laïcs est composée d'ELISABETH MAGNOU-NORTIER, ancienne étudiante de Toulouse, de PHILIPPE WOLFF pour les XIVe et XVe siècles, d'YVES CASTAN pour le XVIII, qui, sans être des spécialistes de l'histoire religieuse, peuvent se recommander d'une bonne connaissance des périodes traitées ; enfin de HENRI SEMPÉRÉ qui dirige à l'Université de Toulouse-le-Mirail les travaux accomplis sur la période contemporaine en histoire religieuse. Cette coopération, fructueuse et aisée, entre clercs et laïcs, répond à une tradition toulousaine. Comment ne pas évoquer ici le chanoine Etienne Delaruelle, ancien professeur à l'Institut Catholique, qui, s'il eût vécu, eût été le maître d'œuvre de ce travail ? Quoi qu'il en soit, l'ouvrage lui doit beaucoup.

01/1983