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Littérature française

Corrida, Basta !

Corrida, basta! est le texte intime d'un poète qui a passé son enfance dans le Sud-Ouest, et le texte d'indignation d'un pamphlétaire qui ne manque pas de munitions. De la corrida, Christian Laborde dénonce la cruauté, la vulgarité, les mensonges. Pour mieux dézinguer cette " chorégraphie charognarde ", il convoque Joaquim Du Bellay, Victor Hugo, Ernest Coeurderoy, Marguerite Yourcenar, un pape, des imams, des scientifiques. des philosophes, le dalaï-lama, Isaac Bashevis Singer et, bien sûr, saint François d'Assise. Le moment le plus insoutenable est celui où Laborde, gommant les mots espagnols, effaçant les couleurs criardes, arrêtant la musique folklorique, décrit les tortures tantôt admises tantôt clandestines subies parle taureau lors du tercio de piques, du tercio de banderilles et du tercio de mise à mort. Le moment le plus beau, le plus émouvant, est celui où il s'adresse au taureau, le contemple sous la lune, le peint dans sa beauté rayonnante.

03/2009

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Littérature française

Corrida détraquée

" Son front a percuté mon arcade et nous sommes retombés comme deux vieux cadavres de guerriers dans une poussière maculée de sang. " Deux guerriers ? Oui, car la guerre sert ici de métaphore à l'amour, et plongeant dans les yeux d'Eva, " ses prunelles d'un noir sans fond cerclées de bleu ", qui ont parfois la froideur d'un ciel gelé, parfois la colère d'une bête blessée, on ne verra que le désir de soumettre son amant, dans l'arène où ils disputent une corrida détraquée. C'est le désir qui mène les personnages errants de ce "road-book" à l'extrémité de leurs forces : du bar de l'Estoril, où glapissent dans la nuit de l'alcool "des voix plus ou moins rauques, avinées, anisées, maltées, mélancoliques et fabulatrices", à Montpellier où tout se dénoue. Quête de la femme à la fois fatale et fragile, errance sur les routes, prose lyrique qui convoque les paumés et les survivants, voici un véritable roman d'amour. Sébastien Raizer y déploie superbement sa tendresse tragique.

04/2001

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Poésie

Déesses de Corrida

C'est nuit encore Bouche au parfum De café De tabac un peu Lointain, mes soeurs d'ange Leurs fontaines offertes et Leurs murmures aux princes Dérisoires Charmants étalons déambulant Dans les drogueries de province Un hommage puissant A celles Travailleuses de la nuit Magnifiques ténébreuses Un poème épique Pour celles Qui exigent d'être aimées.

10/2019

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Littérature française

La folie corrida

Qu'est-ce que l'afición "a los toros" ? Qu'est-ce qu'un aficionado ? A quelle espèce étrange appartient cet individu ? Comment cette espèce se divise-t-elle, se partage-t-elle, se passionne-t-elle ? Est-il bon, en tauromachie, de célébrer d'abord les toros ou les toreros ? Y a-t-il danger à "intellectualiser" la corrida et à l'inonder de jus de cervelle ? Y a-t-il péril à la médiatiser ? Hommes et femmes sont-ils animés d'une afición semblable ou différente ? Doit-on s'indigner si les piques ne sont plus ce qu'elles étaient et, parfois, les cornes non plus ? Comment entre-t-on en aficíon ? Est-ce un chemin de croix ? L'aficionado français a-t-il trop de lectures ? Existe-t-il un "sang" gitan chez les toreros ? A ces questions, en gambadant et en liberté, au hasard d'impression et de quelques idées, Jean Cau répond dans La folie corrida.

05/1992

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Littérature française

La corrida des vendanges

Après vingt ans d'absence et à l'occasion de la Corrida des Vendanges, André Feradel, qui est l'homme de confiance d'un torero espagnol, revient à Nîmes, sa ville natale. En quarante-huit heures, il retrouve divers membres de sa famille, riche et honorablement connue, noue de cordiales relations avec d'anciens maquisards des Cévennes, et tombe même vaguement amoureux de la femme de l'un d'eux. Tout en s'inquiétant pour son jeune maître chaque jour en danger de mort, il distrait sa vieille tante en jouant du Chopin, bouleverse sa soeur cadette, irrite son frère aîné, défraie la chronique locale : il rentre au petit jour, vide tous les verres qui passent à sa portée, mène tambour battant une aventure galante, envoie promener son affligeant beau-frère, jette à la face des gens, qui ne lui demandent rien, son passé de honte et de misère, s'adresse en pensée à sa petite soeur d'élection, tombe en syncope et raconte sa vie à un médecin apatride. Et pour finir il découvre que tous ces personnages qu'il a été, cadet de bonne famille, engagé dans les troupes allemandes, réfugié politique et clochard à Madrid, détenu de droit commun, chauffeur de maître, se sont fondus en une seule et même personne. Depuis douze ans celle-ci s'est vouée au culte d'un camarade espagnol connu en prison et fusillé, l'archange impossible à oublier, l'ami unique et merveilleux auquel, un matin, André Feradel a juré fidélité.

09/1964

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Sports

La corrida, effraction salutaire

" Notre société voudrait-elle nous faire croire à une vie sans risque ? Mais une vie humaine sans risque, ce n'est plus une vie humaine, ce n'est guère qu'une mort déguisée. La corrida le montre au plus haut degré: la vie est risque. Effraction salutaire. " " La corrida ? Je suis tombé dedans par ma famille, comme Obélix dans la marmite de Panoramix : quand j'étais petit. Et j'ai été saisi. A 18 ans, quand je suis entré au séminaire, j'ai choisi comme sujet libre de philo : Faut-il ne plus aller aux corridas ? Valait-il vraiment la peine de risquer sa vie devant un toro ? Devenu aumônier d'arènes, j'ai côtoyé les toreros : un poids inouï pesait sur leurs épaules. J'en ai moi-même ressenti quelque chose en osant me " mettre devant " quelques jeunes bêtes. Il m'a fallu mettre des mots sur ce qui me paraissait indicible. Voici donc comment m'apparaît aujourd'hui ce que j'appelle le mystère de la corrida. "

09/2018

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Philosophie

Philosophie de la corrida

La corrida a inspiré les plus grands artistes et nombre de théoriciens. Mais nul, à ce jour, ne s'était aventuré à philosopher sur elle. C'est le défi qu'a relevé Francis Wolff. A le lire, on comprend que la corrida, parce qu'elle touche aux valeurs éthiques et qu'elle redéfinit l'essence même de l'art, est un magnifique objet de pensée. La corrida est une lutte à mort entre un homme et un taureau, mais sa morale n'est pas celle qu'on croit. Car aucune espèce animale liée à l'homme n'a de sort plus enviable que celui du taureau qui vit en toute liberté et meurt en combattant. La corrida est également une école de sagesse : être torero, c'est une certaine manière de styliser sa vie, d'afficher son détachement par rapport aux aléas de l'existence, de promettre une victoire sur l'imprévisible. La corrida est aussi un art. Elle donne forme à une matière brute, la charge du taureau ; elle crée du beau avec son contraire, la peur de mourir ; elle exhibe un réel dont les autres arts ne font que rêver. Sous la plume jubilatoire de Francis Wolff, on découvre ce que Socrate pensait de la tauromachie, que Belmonte peut être comparé à Stravinsky, comment Paco Ojeda et José Tomàs fondent une éthique de la liberté et pourquoi Sébastien Castella est un virtuose de l'impassible...

05/2007

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Littérature française (poches)

La corrida du 1er mai

Picasso, Manolete, Lorca, l'esprit flamenco et le fleuve gitan, autant de composantes du génie espagnol que Cocteau, touriste visionnaire prompt à découvrir la vérité poétique des paysages et des peuples, brasse comme les gemmes d'un éblouissant kaléidoscope.

08/2003

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Sports

La corrida. Histoire et traditions

Depuis toujours, le taureau fascine l'homme par sa force, sa bravoure et sa virilité. C'est pour cela que, dès la plus haute Antiquité, cet animal mythique a été défié et combattu. C'est en Espagne que la corrida a été codifiée, au tournant des XVIIIe et XIXe siècles. Envoûtant pour les uns et contestée par les autres, l'art taurin s'est pourtant affirmé comme un élément essentiel de la culture hispanique, autant que de l'âme du sud de la France. Ce guide permettra ainsi à chacun de s'initier à cette tradition dans laquelle le soleil, la grâce et la lumière côtoient le combat, le sang et la mort.

05/2019

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Sports

Corrida et flamenco : les origines

Corrida, Flamenco, on sent qu'il y a un lien entre les deux, mais on ne saurait dire lequel, comme les deux temps d'une tragédie. La Corrida en est le premier acte. Loin de se réduire à une "boucherie", elle est une façon très ancienne de mettre en scène notre rapport difficile à la mort. Entre ces deux êtres qui risquent leur vie, elle nous interroge sur ce qu'est l'animal, l'homme, le dieu. Toro et torero regardent la mort en face pour que le spectateur puisse croire qu'il en est maître. Quant au Flamenco, loin d'être une simple danse, il traduit l'expression du tragique qui se joue entre l'homme et la femme dans cette arène qu'est... le désir. Les taureaux ne sont pas les seuls à être imprévisibles, les sentiments aussi, qui peuvent s'inverser quand l'amour n'est pas réciproque. Cela a donné lieu à ces mythes où s'illustrent héros, demi-dieux... et monstres. Et si c'était là, dans cette antiquité créatrice de sacré que résidait l'origine de la Corrida et du Flamenco ? C'est à cette découverte que nous invite l'auteur.

11/2015

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Encyclopédies de poche

L'heure de la corrida

Au commencement était l'aurochs. Le fauve du Vieux Monde fut d'abord chassé, avant d'être sacralisé. Sous l'impulsion des jeux romains, la géographie taurine se met en place : la péninsule Ibérique, le sud de la Gaule. La tauromachique est en gestation. A cheval en Castille, à pied en Navarre. Le XVIIIe siècle l'anoblit : immense paradoxe, elle devient populaire. L'âge romantique la justifie : c'est la " fiesta nacional ", l'âme espagnole à l'état pur. Le XXe siècle fait éclater les frontières. Signe, si besoin était, que le rituel tragique où se joue la mort possible est une nécessité humaine, éternelle. Claude Pelletier nous ouvre les portes de ce monde de sable, d'or, de sang et de courage.

05/1992

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Sports

Une brève histoire de la corrida

Une " vue cavalière " de l'histoire de la corrida, attentive à en faire ressortir les étapes décisives et les protagonistes, sans oublier les débats de l'opinion et son rapport au pouvoir politique. A travers ce voyage dans les inflexions de la tauromachie, à la fois tradition festive et rituel, il s'agit de comprendre quel est le sens de cet " art profond ".

02/2012

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Actualité médiatique internati

50 raisons de défendre la corrida

Vous aimez la corrida ? Sachez la défendre ! Vous n'aimez pas la corrida ? Sachez la comprendre ! Comment une sensibilité pourrait-elle en comprendre une autre ?

10/2022

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Policiers

La Corrida chez le faux prêtre

Un jeune dur au coeur tendre, deux très belles femmes, un flic de la vieille école et ses trois agents de choc, une secte criminelle et son inquiétant gourou, une organisation souterraine aux pouvoirs étendus... Ce ne sont là que quelques éléments de ce polar délibérément irrespectueux des valeurs traditionnelles : de l'avocat véreux et de sa très distinguée épouse, de l'insoupçonnable trafiquant de drogues à l'implacable redresseur de torts en marge des lois, le lecteur vogue de surprises en rebondissements jusqu'au coup de théâtre final.

09/2018

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Sports

La corrida de A à Z

La corrida constitue un univers si vaste qu'il faudrait une vie entière pour en pénétrer les mystères. Certes, l'appréciation des gestes du torero, vifs comme l'éclair, demande un œil exercé. Néanmoins, en regroupant toutes les notices de cet abécédaire par grands sujets, c'est toute l'histoire de la corrida qui se dessine… Tout d'abord, vous retrouverez des intitulés qui suffisent pour comprendre que ce spectacle se joue en trois actes : le Scenario bien rodé commence par l'entrée en piste du Cheval avec son picador, et continue avec la pose des Banderilles et la mise à mort de l'animal à l'Epée. Mais que serait la corrida sans ses acteurs que sont le Matador, les femmes (Univers féminin) et les enfants (Juli, el), et surtout son rôle-titre, tenu par le Taureau et symboliquement par madame la Mort (Fête) ? Pour mieux comprendre les origines de la corrida, Elisabeth Hardouin-Fugier renvoie son lecteur à l'intitulé Ibérique. Introduite en France par Napoléon III, la corrida espagnole s'étend à partir d'une date précise, Dix-huit-cent-quatre-vingt-neuf, puis s'organise (Lois) avec une Période faste, l'après-guerre, qui suscite toutefois une Opposition. Pour finir le tour d'horizon proposé par cet ouvrage abondamment illustré, l'auteure nous entraîne dans les arènes d'Hagetmau, dans le Sud-Ouest, et dans le plus ancien élevage taurin du Sud-Est, fondé par Joseph Yonnet, tout en nous faisant découvrir la Camargue, les arènes d'Arles et de Nîmes. Universitaire, Elisabeth Hardouin-Fugier est une historienne des arts et des mentalités. Elle a traité les thèmes où se croisent les modes d'expression, la peinture mystique, les fleurs, les objets liturgiques ou de dévotion, les étoffes. Depuis un Que sais-je ? (1995, traduit en japonais) sur la corrida, elle a publié sur les jardins zoologiques (traductions en anglais, allemand, chinois, taïwanais), sur la législation animalière allemande et les multiples aspects de la corrida.

04/2010

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Sports

Pourquoi ils vont voir des corridas

Pourquoi vont-ils voir des corridas ? Autant les motivations du cinéphile ou celles du mélomane ne font guère de mystère et ne se trouvent jamais discutées, autant la foule des arènes semble être sans visage, sans raison(s) et même sans coeur à tous ceux qui ne s’y sont jamais mêlés. Il était donc temps de connaître les motivations obscures ou rationnelles qui poussent chaque année deux millions de personnes vers des arènes françaises. Car il y a là une véritable société, aussi diverse que celle des amphithéâtres de droit commun. Marc Delon a rassemblé ici un nombre important de témoignages dont la variété langagière et sentimentale ne manquera pas de surprendre les curieux et les philistins. Certains s’émeuvent ainsi de la beauté du geste de toréer, d’autres puisent dans la corrida une représentation de la vie et de la mort, d’autres encore ne peuvent donner pour explication que celle des souvenirs. Quelle étonnante assemblée humaine que celle des arènes, où l’on trouverait presque, chaque après-midi de toros, de quoi remplir un dictionnaire des professions sinon un échantillon du peuple français. C’est ainsi que selon le prix de votre place et selon votre niveau de chance, vous vous trouverez assis à côté d’un brancardier, d’un notaire, d’un gardien de square, d’une anesthésiste, d’un faussaire ou d’une présentatrice météo. Un public aux voix dissonantes, et qu’une émotion soudainement unanime fait crier depuis un même fonds de gorge : "Olé !". Une arène, un public, des milliers de ténors.

06/2013

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Linguistique

Conflits de valeurs et corrida. Une étude argumentative de la controverse

En s'appuyant sur de nombreux exemples attestés et un vaste corpus portant sur la corrida, cette enquête cherche à décrire les multiples manières dont nous formulons nos jugements de valeur afin de persuader autrui, de nous justifier ou de clarifier nos propres choix, et présente une approche délibérément langagière de la question des valeurs. Les avancées des sciences du langage de ces dernières décennies permettent de prolonger les acquis de la Nouvelle Rhétorique de Chaïm Perelman. Elles aident à mieux comprendre le lien entre l'usage de notions abstraites, telles que la liberté, la justice, le bien commun, la vérité, la beauté, au nom desquelles sont menés des combats philosophiques, politiques ou culturels, et la banalité de nos échanges ordinaires où nous ne cessons d'évaluer les êtres, les objets, les actions et les discours sans référence ostensible à des systèmes de valeurs. Cet ouvrage explore le circuit de la valeur dans lequel sont pris les participants d'une controverse dès lors qu'ils s'estiment tenus de prendre parti et propose, en fin de parcours, un inventaire des accords et des désaccords axiologiques les plus courants.

02/2022

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Informatique

Kingdom hearts II

Fusion entre les univers Disney et Square Enix, la saga Kingdom Hearts représente l'archétype du voyage enchanteur tout public. Abordant les jeux emblématiques de la série. Tout en se focalisant sur le second volet considéré comme le plus complet. La journaliste Alexa Ray Corriea analyse entre autres les émotions qui portent l'aventure et émaille son récit d'interviews des développeurs.

10/2018

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Science-fiction

Les Fantômes de Nicanor Casariego

C'est l'histoire d'un journaliste alcoolique et raté, correspondant local d'un journal mexicain, qui rêve de devenir romancier. Son rédacteur en chef lui propose comme dernière commande avant licenciement une série de papiers pour préparer la corrida d'adieu d'un vieux torero local qui a lui aussi raté sa carrière à cause de l'alcool. Par malheur le journaliste déteste les corridas. Par bonheur il voit arriver sur le toit-terrasse de la maison voisine des visiteurs nocturnes inespérés qui vont l'aider à comprendre ce monde étrange et à écrire son texte. Joaquin Ruiz est né dans le Tarn de parents réfugiés politiques espagnols. Il a été professeur agrégé de philosophie au Lycée du Mirail puis psychiatre et psychothérapeute à Toulouse. Il écrit aujourd'hui des histoires.

09/2019

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Littérature française

Très véridique relation des événements qui entourèrent la mort des célèbres toreros Fortunato Vasquez et Fortunato Marquez selon diverses sources profanes et religieuses

C'est bien joli, quand on est pape, d'interdire la corrida par une simple bulle. Mais quand on est pape et aficionado, on est ensuite obligé de se faire raconter les corridas de la féria d'avril à Séville par un obscur prélat qui, en civil, prend des notes sur le déroulement de la lidia... Dans ces neuf contes étranges et parfaits, qui se répondent et s'évitent en jouant avec les époques et la réalité, la tauromachie tient son rôle le plus implacable : interroger les hommes sur le sens de leur vie. "La Mort, qui joue ici un rôle important, est un homme. Le lecteur ne devra donc pas s'étonner de l'usage du masculin à son égard, en dépit du genre que son article défini laisserait supposer".

04/2014

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Sports

Rejoneo. La tauromachie à cheval

C’est un public festif, passionné à la fois de tauromachie et d’équitation, qui tous les ans est fidèle au rendez-vous des corridas à cheval. Le taux de remplissage des arènes est toujours proche des 100% pour chacun de ces festivals. - Ce public de rejoneo est séduit par le talent des cavaliers, l’élégance et la plasticité de leurs montures avec lesquelles ils accomplissent des prouesses techniques dans l’art de leurrer la force brutale de toros braves. A cela s’ajoutent, le décorum, un cérémonial, la musique, un ensemble qui produit chez le spectateur une émotion certaine. Chaque année, la tauromachie génère un bon nombre de publications. Rares sont celles qui abordent uniquement le thème de la corrida à cheval. - Pour ne parler que de la France et n’évoquer que les principales arènes du Sud-ouest et du Sud-est, la capacité moyenne de chaque plaza est de plus ou moins 10000 places. Pour exemple : Arles 12500 - Bayonne 10700 - Béziers 13000 - Dax 8000 - Mont de Marsan 7000 - Nîmes 13500...

07/2019

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Policiers

Les nouvelles aventures de San-Antonio : Corrida pour une vache folle. Roman ibérique, hystérique et antispasmodique

" Quand c'est fini, n-i nini, ça recommence ! " Qu'il chantait, le Léo. Tu te croyais débarrassé de moi, vieille canaille ? Mais ton Tonio, c'est un phénix. Il brûle son existence pour renaître dans l'encre des rotatives. Si j'ai lâché la rampe, je n'ai pas lâché la plume. Tu me connais ? C'est par la tringle de devant que j'ai assuré ma postérieurité. Alors la fiesta continue en Andalousie ! Suis-moi avec Béru et Marie-Marie dans cette rocambolesque, gargantuesque, ubuesque et dardesque corrida pour une vache folle nommée Berthaga...

06/2004

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Beaux arts

Tauromachie. De l'arène à la toile

Entrer dans l'arène, affronter la toile, c'est combattre, tant il est vrai que la création a partie liée avec la mort... Barcelo, Botero, Dalí, Gustave Doré, Goya, Manet, Masson, Picasso, Solana, Viallat, Zuloaga, tous ont exploré leur fascination pour la corrida et les valeurs qu'elle partage avec l'art authentique. Alors même qu'un Picasso confesse son impuissance à transposer le spectacle sur la toile, au risque pour certains de sombrer dans l'espagnolade, la couleur locale ou le kitsch, nombreux sont les artistes à s'y aventurer. De la radicalité des eaux-fortes de Goya aux formes immémoriales des couvercles en métal de Viallat, dramaturgie, érotisme, violence, sacrifice, sacralité, intemporalité sont convoqués dans une inlassable remise en jeu du métier. Aucune étude ne s'est encore proposée d'envisager sur un temps long les échanges féconds entre art et tauromachie, ni d'en interroger les principaux enjeux. Pourquoi les artistes s'acharnent-ils à peindre la corrida, avec quelle passion, sur quelles terres secrètes ? Interrogations d'autant plus vives qu'elles se posent à une époque où la culture taurine divise les aficionados et leurs adversaires, en France et jusqu'en Espagne, où les uns demandent à la loi d'abroger cette pratique décrétée cruelle et barbare, quand les autres aspirent à en obtenir le classement au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Variant les lectures, à la fois iconographique, historique et poétique, ce livre pionnier perce à jour l'acharnement des artistes à fondre la tauromachie dans leur pratique. Ozvan Bottois analyse la représentation de la corrida en soi - le toro, le torero, la corrida et son rituel -, mais également la façon dont elle s'articule avec les différents contextes culturels, identitaires et politiques. Il étudie aussi le mythe et la poétique de l'arène, dégageant ainsi la portée universelle que les artistes assignent au choc du taureau et de l'homme sous le regard de la foule, véritable choeur antique. Un même désir anime artistes et toreros, celui du duende, cette grâce ou cette confirmation que la corrida peut être affaire de peinture, un art dans l'art, une nécessité dans la création.

04/2017

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Tauromachie

Sur la tauromachie. Oeuvre journalistique, conférences et interviews

Ce recueil rassemble des écrits journalistiques et des textes de conférences des années 1920-1930, inédits en français. On y trouvera ses passes d'armes, en particulier avec les animalistes de l'époque qui veulent rendre acceptable l'Espagne pour les touristes allemands, et donc faire disparaître la corrida. Le texte central de ce livre est celui de sa conférence sur la tauromachie prononcée en février 1930 à l'université Columbia de New York, à l'instigation de Federico García Lorca. "Nous allons parler de la tauromachie qui est la science du toreo et du toreo qui est la science de la vie. Savoir toréer c'est savoir vivre." Un mois plus tard, Lorca donne pour la première fois sa conférence "Théorie et jeu du duende." "Si on lit le texte de Lorca à la lumière de celui puissant, profond, subtil, ouvrant sur les au-delà de la corrida d'Ignacio, on peut y déceler, dans les passages consacrés au toro, à sainte Thérèse d'Ávila donnant trois passes à un toro furieux, au rite millénaire et mortel de la fiesta, au jeu de la corrida, la réverbération, l'imprégnation, l'influence [de Sánchez Mejías]", écrit Jacques Durand dans sa préface.

03/2021

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Poches Littérature internation

En tauromachie, tout est mensonge & tout est vérité

Face au danger du taureau, Don Tancredo, "roi du courage", juché sur un piédestal et vêtu de blanc de pied en cap, fait le choix de la plus stricte immobilité. Cette farce de corrida, qui fit fureur à début du XXe siècle, inspire à José Bergamin l'un de ses textes les plus comiques et philosophiques sur la torpeur élevée au rang de concept et expression d'une Espagne sclérosée, figée dans son intemporalité. Tournant et retournant Don Tancredo en bourrique, Bergamin se livre ici à une véritable corrida de mots, au moyen de véroniques dignes d'un "grande" de la littérature espagnole. A la suite de La statue de Don Tancredo, l'essai Du tiers et du quart révèle la personnalité complexe et mélancolique du torero Curro Cuchares.

04/2012

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Littérature française

Une question noire

René Pons est un écrivain rare, rigoureux, lucide, secret, austère et ironique. On retrouve ces traits qui marquent une oeuvre littéraire sans complaisance dans Une question noire. Il y scrute son goût pour la corrida. Plus d’un demi-siècle d’interrogations. Jacques Durand.

11/2012

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Livres 3 ans et +

Carmen. Avec 1 CD audio

A la fois légère comme le son des castagnettes et tragique comme une fin de corrida, l'histoire de Carmen est avant tout celle d'une femme à la recherche du grand amour. L'histoire racontée avec les plus beaux airs de l'opéra.

11/2019

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Tauromachie

Daniel luque au dela des elements

"Devant vous, un peuple debout qui chante sous l'orage s'embrasse de joie sans connaître son voisin et demande qu'à ses obsèques on lui parle de ce samedi 13 août à Dax." (Zocato, 14 août 2022) Après deux années de pandémie, les dieux de la corrida se sont à nouveau penchés sur les arènes de Dax. Six toros de La Quinta, une pluie diluvienne et un public euphorique, voici les douze travaux réservés à celui que l'on nomme désormais le Hercule dacquois : Daniel Luque. Avec sept oreilles, deux queues et un toro gracié, Luque, le héros andalou, a bravé l'eau et le feu, défié le tonnerre et le sable, pour une sortie en triomphe de cette corrida qui aura marqué les esprits de tous ceux qui, de près ou de loin, y ont assisté.

11/2022

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Critique littéraire

Correspondance 1938-1958

Quelle place la tauromachie a-t-elle réellement occupée dans la vie de Michel Leiris ? Fut-elle uniquement, pour l'autobiographe, une métaphore de l'écriture ? L'arène devint-elle le lieu où se conjuguèrent ses intérêts pour l'ethnographie, la poésie, le mythe, l'éthique et le langage ? A ces questions, les 186 lettres de sa correspondance croisée avec celui qui fut son mentor dans la "planète des taureaux", André Castel — oenologue nîmois que ses contemporains appelaient "Don Misterio" — apportent une réponse circonstanciée et inédite... Les deux hommes font connaissance en 1938 alors que Leiris, encore jeune ethnographe, s'apprête à publier une série de poèmes tauromachiques, Abanico para los toron. Depuis 1926, année de son mariage, Leiris assiste en effet à des corridas (il en verra près d'une quarantaine jusqu'en 1965), mais ce n'est qu'en 1935 qu'il éprouve une véritable "révélation", lors d'une faena de Rafaellilo Ponce : "[...] je n'ai jamais trouvé, dans aucune oeuvre artistique et littéraire, l'équivalent de ce que j'ai ressenti à Valence en voyant toréer Rafaelillo, très peu de temps avant qu'il reçoive l'alternative", écrit-il à Castel. Révélation confirmée par la première corrida à laquelle ils se rendent ensemble, à l'automne 1938 : encore sous le coup de l'émotion, Leiris en rédige le compte rendu pour La NRF : "Rafaelillo le 9 octobre à Nîmes"... Après la guerre, André Castel veille à introduire Michel Leiris lequel court les arènes pour voir toréer Fermin Rivera ou Luis Miguel Dominguin — dans le "mundillo" : il lui fait découvrir les " terres à taureaux" de Camargue, l'emmène chez des manadiers, l'invite à des "tientas", lui fait rencontrer des toreros et des aficionados. Et par lettres, ils rivalisent d'érudition tauromachique en évoquant les écrits de Garcia Lorca, Bergamin, Hemingway, Montherlant, Stendhal, Melville ou Alarcon... En Castel, Leiris trouva non seulement un spécialiste avec lequel partager une précieuse conversation sur "l'art tauromachique", mais également un "ordonnateur de plaisirs" qui sut accueillir généreusement ses invités : dès le lendemain de la guerre, se sont ainsi retrouvés, dans la cour de son "labo" au coeur de Nîmes, des toreros célèbres et des chanteurs de flamenco, ainsi que Pablo Picasso (compagnon d'aficit6n avec lequel Leiris vit sa première et sa dernière corrida), Georges Bataille, Blaise Cendrars, Elie Lascaux, André Masson, Jean Paulhan, Jean Hugo, Jean Dubuffet... Mais en 1955, le départ brutal d'André Castel pour l'Espagne annonce la fin de ce commerce amical, tout entier tendu vers l'"image même de notre émotion", que Michel Leiris avait reconnue dans Miroir de la tauromachie.

05/2002

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12 ans et +

Bucéphale et Alexandre une amitié interdite

L'histoire d'Alexandre, fils d'un éleveur de taureaux de corrida et de Bucéphale, l'un des taureaux de l'exploitation avec lequel il se lie d'amitié. Aidé de sa fidèle chienne Vadrouille, Alexandre fera tout pour sauver son ami. Roman à partir de 11 ans.

06/2018