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Beaux arts

Staël

Le destin artistique fulgurant de Nicolas de Staël - à peine vingt ans de production picturale - trouve sa correspondance exacte dans son écriture. Rien de plus saisissant que le langage du peintre tel que capté par sa plume à l'attention de ses amis.Une égale exigence de lucidité, d'engagement absolu - jusqu'à en mourir - traverse sa pratique de peintre et ses méditations sur son art - pour lui égales jusqu'à s'y confondre avec sa perception quotidienne de la vie. De lettre en lettre, ses formulations d'une intuition et d'une beauté frappantes, ses raccourcis vertigineux, son rythme de phrase trépidant, haletant, comme habité déjà par l'urgence de trouver, de créer, avant l'inévitable, n'ont pas d'équivalent au XXème siècle parmi les textes d'artistes. Le génie de l'écrivain de Staël, autant que celui du peintre, a fasciné ses interlocuteurs. Et quels interlocuteurs ! René Char, Georges Braque, les historiens de l'art André Chastel et Denys Sutton.Cet ouvrage propose pour la première fois une lecture couplée de ces deux aspects de l'expression du météore de Staël : sa peinture, et - versant inconnu - son écriture. Au coeur de la création.

04/2003

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Beaux arts

Staël

L'inoubliable beauté, la fulgurance de la trajectoire, entre abstraction et figure, la relation profonde, essentielle, avec les plus grands poètes de son temps, la fin tragique de celui qui écrivait " Je ne peux prévoir ce que je ferai demain, mais pour l'instant je suis au maximum du plan, aux confins de la toile vierge " : on trouvera dans ce livre la trace de cet exceptionnel destin. Mais aussi - et c'est là sans doute sa nécessité - on y trouvera une lecture nouvelle de l'oeuvre, éclairée d'une lumière intérieure. Par-delà les périodes, les classifications, Dobbels montre que tous les motifs, toits, fleurs, nus, paysages, orchestres, ne sont là que pour servir au renouvellement : " Ce qui se répète n'est jamais le même, mais le neuf en est une mesure interne, un écart intérieur. "

10/2009

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Critique littéraire

Madame de Staël

"Il faut s'étourdir, il faut se laisser emporter par le tourbillon [... ] ; je cède au torrent, j'aime tout ce qui me dérobe au temps". Fille de Jacques Necker, futur ministre des Finances de Louis XVI, Anne Louise Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, plus connue sous le nom de Madame de Staël (1766-1817), est une femme aux talents multiples. Ecrivain (Corinne ou l'Italie), philosophe (De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales), propagatrice des romantismes allemand et anglais, féministe avant la lettre, elle ne cesse aujourd'hui encore de nous surprendre. Dans son approche attentive et empathique, Sophie Doudet nous donne de celle qui affirmait que sa vie "était un témoin qu'il fallait entendre aussi" l'image d'une femme curieuse de tout, agile, novatrice, revendiquant pour elle comme pour ses consoeurs un droit absolu au bonheur.

02/2018

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Critique littéraire

Madame de Staël

Germaine de Staël est aujourd'hui une illustre inconnue. Pourtant elle a côtoyé toute l'Europe des Lumières, exaspéré Napoléon par sa lucidité politique, connu la gloire littéraire à Vienne à Rome et à Londres, fait chavirer les cours, de Benjamin Constant au prince de Prusse, en passant par les jeunes hussards. C'est cette vie à bride abattue que Michel Winock dépeint ici avec bonheur, dans un récit troussé comme un film d'aventures. Celui-ci commence sur les genoux du grand Necker, son père, banquier puis ministre de la dernière chance de Louis XVI, et dans le salon de sa mère, où vient tout ce qui passe pour avoir de l'esprit à Paris. Sur fond de Révolution et de Restauration, d'exil en exil, on y verra Madame de Staël devenir une tête politique, une femme du monde, une amoureuse tourmentée, la romancière qui écrivit Corinne et, finalement, l'archétype de la femme romantique.

10/2012

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Critique littéraire

Madame de Staël

Avec le talent d'écriture et l'érudition qu'on lui connaît, Ghislain de Diesbach trace le portrait exhaustif d'une femme à la sensibilité rare, exigeante et tourmentée, disant d'elle-même : " Je suis une personne avec laquelle et sans laquelle on ne peut vivre. " Elle incarne avec Chateaubriand l'un des deux tempéraments d'écrivains les plus personnels du siècle. Digne héritière des Lumières, croyant au progrès indéfini du genre humain par la pratique de la raison et de la liberté, elle fut la première à donner au mot romantisme sa signification nouvelle et permit à la France de mieux comprendre l'Allemagne. Par la hardiesse de sa pensée, par son esprit d'indépendance, l'auteur des Considérations sur les principaux événements de la Révolution française semble aujourd'hui étonnamment moderne, et son génie singulier, plus brillant encore qu'il ne paraissait à ses contemporains.

02/2011

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Critique littéraire

Madame de Staël

La postérité a tendance à ne retenir d'un écrivain que quelques œuvres. Pour Mme de Staël, Corinne et De l'Allemagne, essentiellement. Or, on comprend mieux Corinne si l'on connaît les premières nouvelles et Delphine. On saisira mieux De l'Allemagne si l'on se réfère à De la littérature. Tout se répond et se correspond dans une œuvre où se manifeste l'unité très forte d'une pensée, d'une sensibilité et d'un style. Ce livre voudrait donner une idée de la totalité de cette œuvre. La confrontation avec l'Histoire de son temps, l'expérience de la fiction, une réflexion généraliste sur la littérature qui constituent les grands axes de la création staëlienne se croisent en effet dans Corinne.

11/1999

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Architecture

Building Bast. Building Books

Building BAST dresse le portrait de BAST (Bureau Architectures Sans Titre) à travers 20 questions identiques posées à 20 personnes parmi les client.es, prestataires, ou collaborateur.rices de l'agence toulousaine. Au fil des réponses, émerge l'approche singulière d'une pratique architecturale attentive à son environnement et à l'époque en crises dans laquelle elle s'inscrit.

05/2023

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Beaux arts

Nicolas de Staël en Provence

La période provençale de Nicolas de Staël, entre juillet 1953 et juin 1954, marque un tournant essentiel, aussi bien dans sa vie que dans son oeuvre. La découverte de la lumière du Midi, la beauté exceptionnelle de ce pays, la rencontre amoureuse d'une femme et l'épreuve de la solitude sont autant d'expériences qui nourrissent son imaginaire et le rythme spectaculaire de sa production artistique. "Nicolas de Staël en Provence" rend compte des plus hautes envolées picturales du peintre. Ici, la précision d'un regard révèle la nature dans son expression la plus inventive.

04/2018

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Beaux arts

Nicolas de Staël. Lettres et dessins

La publication en 1968 du catalogue raisonné de la totalité des peintures de Nicolas de Staël par Jacques Dubourg et Françoise de Staël accompagné de ses lettres présentées par Germain Viatte provoqua un effet de choc d’autant plus considérable que la complexité de l’itinéraire de l’artiste qu’elle révélait, treize ans après son suicide, était aussi atypique qu’à contre-courant. Staël apportait superbement la preuve de la vitalité de la peinture, de l’immensité du champ des renouvellements qui s’offraient à elle quand les augures affirmaient programmée sa mort et ne juraient que par le conceptuel, la table rase installée, l’objet. Au surplus, comme l’écrivit André Chastel, les lettres « c’est Staël à l’état pur […] dans ses conflits, ses professions de foi, ses violences, ses hésitations et ce qu’on eût nommé à la Renaissance, sa terribilità ». Impossible de s’arranger avec un homme pareillement identifié à sa peinture, surtout que celle-ci avait déjà pris un envol qui ne s’arrêtera plus. Trente années plus tard, la publication d’un nouvel inventaire de l’œuvre peint et de la correspondance contribue à préciser encore les éclairages apportés par la publication de 1968, dans une situation où Staël a pris sa place parmi les grands peintres du siècle, où il continue d’être aussi dérangeant au regard de ceux qui croient incarner le contemporain. Simplement, pour entrer dans ses lettres, l’écart s’est agrandi avec cette décennie de l’après-deuxième guerre mondiale où, dans la France violentée et ruinée, coupée du monde pendant cinq années, la peinture se rattrapa dans un bouillonnement d’initiatives, d’inventions, de débats tranchés et tranchants, cruels parce qu’ils touchaient au vif, mais qui restent d’une fraîcheur passionnée sans égale. Ce petit livre présente des extraits choisis de la correspondance de Nicolas de Staël, illustrés de dessins non encore publiés.

10/2011

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Critique littéraire

Germaine de Staël, retour d'exil

Femme de pouvoir et d'esprit, ouverte aux idées révolutionnaires mais attachée à l'Ancien Régime, Germaine de Staël symbolise bien son époque aux tendances politiques contradictoires. Son importance au sein du milieu intellectuel européen, ses relations conflictuelles avec Napoléon, et la proximité qu'entretiennent ses écrits et ceux de Sade sont autant de points qui sont ici abordés pour saisir la complexité de Mme de Staël. «L'exil m'a fait perdre les racines qui me liaient à Paris et je suis devenue européenne.» Germaine de Staël à Mme de Berg, 5 mai 1814.

06/2015

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Beaux arts

Nicolas de Staël. Peintures et dessins

Nicolas de Staël (1914-1955) a quitté la vie à l'âge de 41 ans après avoir mené la peinture à une incandescence inconnue jusqu'alors. On ne comprend pas ce peintre d'origine russe si l'on ne prend pas en compte la synthèse, unique dans l'art européen de son temps, entre le prisme pictural nordique et le prisme pictural byzantin méditerranéen. C'est la grille de lecture qui éclaire le regard de Jean-Claude Marcadé tout au long de cette monographie. L'auteur voit un lien essentiel entre l'énergie sublimée de la couleur dans l'icône et les unités colorées de nombreux tableaux de Nicolas de Staël, tout particulièrement dans l'ultime phase de sa création. L'iconique flamboie dans son authentique visée : l'au-delà de la représentation, la visibilité apparaissant au sein de l'invisibilité, venant à la naissance à travers elle. En d'autres termes : l'abstraction essentielle faisant se manifester, se révéler les objets et les êtres. Sans parler des " rouges staëliens dans leur sublime simplicité, ces rouges de toutes les nuances, des sourdes aux transparentes, des carmins, des cramoisis aux pourpres et aux vermillons, ces rouges ont la même énergie que dans la peinture d'icône orthodoxe ". Et pourtant, dans son art, Nicolas de Staël apparaît, à première vue, parmi les génies issus de l'Empire russe, comme le plus " français ". Ses premières abstractions sont, certes, pleines de violence, mais il saura se plier à la discipline française. On ne saurait cependant le réduire à ça : c'est l'apport capital de la lecture novatrice que nous propose Jean-Claude Marcadé ici que de restituer l'impact de Ravenne, de l'art roman et de la lumière de la Sicile dans l'art fulgurant de cet artiste qui est passé dans le ciel de la peinture tel une comète. Une iconographie exceptionnelle de près de 300 œuvres est réunie ici avec, pour la première fois, une présentation de l'œuvre graphique substantielle.

09/2008

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Beaux arts

Nicolas de Staël, l'impossible Concert

Seul dans son atelier d'Antibes, face à la mer, Nicolas de Staël entame, le 14 mars 1955, une toile géante de 3,5 m sur 6 m : Le Concert. On y voit d'un côté, un piano à queue noir et, de l'autre, une contrebasse ocre, séparés par des partitions posées sur des pupitres. Mais ce qui frappe c'est le fond de la composition qui mange tout le tableau : un vermillon écarlate, comme un grand rideau de scène incandescent. Deux jours plus tard, Nicolas brûle quelques papiers, écrit trois lettres, monte sur la terrasse de son atelier et bascule dans le vide. Dans ce gigantesque tableau, dans ces deux instruments de musique les seuls visibles de cet orchestre, dans ce rouge de feu se trouve sans doute, enfouie, l'explication de son geste. Nicolas de Staël a quarante et un an lorsqu'il peint Le Concert. Après dix ans de souffrances et de privations, il connaît enfin, depuis quelques mois, un réel succès.

02/2019

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Ecrits sur l'art

Ce rouge incandescent selon de Staël

Récit mêlant romanesque et vérités historiques. Un tableau raconté par une auteure. Le rouge est là, vibrant comme une mer où flottent les instruments. On s'y noie, on s'y perd. Le Concert, oeuvre ultime de Nicolas de Staël, inachevée, ne cède rien de son mystère. L'oeuvre détonne, étonne, par sa taille, par son style, par ce rouge incandescent qui fascine. Pourquoi ce rouge ? Pourquoi ce retour au figuratif ? Pourquoi, comment, un homme dans la force de l'âge, au sommet de sa gloire choisit-il de mettre fin à ses jours ? D'un bout à l'autre de sa vie, du petit prince de Saint Pétersbourg fuyant la violence de la révolution russe aux rives lumineuses de la Méditerranée ; de l'enfant orphelin au peintre fou d'amour, De Staël questionne. Assoiffé d'absolu, tendu toujours vers la perfection de son art, il a vécu passionnément, désespérément, allant venant d'un lieu à l'autre, d'une femme à l'autre, pour finir sa vie sur ce rouge chavirant. Comme un point d'orgue.

10/2023

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Architecture

Steel. Saint-Etienne

Pilier du grand projet urbain de restructuration de la principale entrée de ville de Saint-Etienne mené par l'EPASE (Etablissement Public d'Aménagement de Saint-Etienne), Steel, projet porté par la foncière de développement Apsys, permet de transformer un foncier très dégradé en lieu de vie, de shopping et de loisirs valorisant pour la ville Unesco de design. "Shopping resort" plein de surprises, Steel développe une architecture et un design emblématiques, un paysagisme généreux, une expérience de visite ludique et artistique (avec notamment le concept Micro-Folie de La Villette), une programmation commerciale puissante, un ancrage local fort, de manière à favoriser le rayonnement de Saint-Etienne sur sa zone d'influence. Conformément à la stratégie RSE d'Apsys, Steel, investissement le plus important mené à Saint-Etienne depuis la Seconde Guerre mondiale, s'inscrit dans une démarche de développement durable exigeante.

03/2021

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Critique littéraire

Madame de Staël ou l'intelligence politique

Germaine de Staël a eu l'honneur d'être haïe par Napoléon. "Honneur", certes, car, machiste par éducation et par tempérament, Napoléon méprisait tellement les femmes qu'il n'aurait pas pris la peine de croiser le fer si cette ennemie-là n'avait été manifestement si supérieure et si puissante. C'est la moindre des raisons de s'intéresser à une vie fort tumultueuse dans les sentiments, mais infiniment sage dans la pensée. Fille de Necker, ministre réformateur de Louis XVI, elle a étudié l'économie politique comme d'autres le piano ou la broderie. Reconnue très jeune comme capable de faire et défaire les carrières, elle est courtisée et aimée malgré sa sympathique laideur par les hommes de la Révolution... avant d'être obligée de fuir pour sauver sa tête. Elle continue à régner sur le monde intellectuel, depuis son exil, le château de Coppet, véritable creuset des idées européennes libérales. Passionnée par les idées, Germaine est aussi passionnée par les hommes, qu'elle choisit avec moins de discernement qu'elle ne juge les événements de son temps : le noble Narbonne-Lara, le Suédois Ribbing, Benjamin Constant, l'Austro-irlandais O'Donnell, jusqu'à Albert de Rocca, cet officier de vingt-trois ans qu'elle épouse quelques années avant sa mort, le 14 juillet 1817 – date ô combien symbolique pour cette héritière directe de la France des Lumières. -- Textes de présentation et de liaison de Michel Aubouin. Lettres de Mme de Staël, extraits de ses textes politiques et de ses romans, textes et extraits de lettres de Chateaubriand, Talleyrand, Napoléon, Benjamin Constant...

05/2017

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Encyclopédies de poche

Nicolas de Staël. Une illumination sans précédent

" Je sais que ma vie sera un continuel voyage sur une mer incertaine [...]. Nous verrons ce que les six mois qui suivent apporteront, et j'ai confiance [...] " Nicolas de Staël a vingt-deux ans lorsqu'il écrit ces lignes depuis le Maroc, où il séjourne en 1935-1936. Il sait qu'il va vouer sa vie à la peinture, exclusivement. Ce corps à corps passionné avec la matière, avec la couleur et la lumière, il le mènera jusqu'au vertige, jusqu'aux limites de la vie. Une vie jalonnée de belles amitiés, celles des peintres André Lanskoy et Georges Braque, celles des marchands Jeanne Bucher et Jacques Dubourg, celle du poète René Char. Une vie faite d'arrachement, d'orgueil, d'impatience et de ferveur émerveillée, menée dans " la conscience du possible, l'inconscience de l'impossible et le rythme libre ". Des Compositions des années 1940 au Parc des Princes, des grands Nus à la magistrale série des paysages de Sicile, des premières expositions parisiennes à la gloire outre Atlantique, Marie du Bouchet retrace la vie de cette personnalité hors du commun, dont l'œuvre s'inscrit comme un événement unique dans la peinture du XXe siècle.

03/2003

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Beaux arts

Nicolas de Staël, un automne, un hiver

Cet ouvrage est intitulé Nicolas de Staël, un automne, un hiver car il présente le dernier ensemble de peintures et d'œuvres sur papier réalisé à Antibes par l'artiste entre octobre 1954 et le 16 mars 1955, date de son suicide. Il a accompagné une exposition organisée dans le musée d'Antibes en 2005 mais a été conçu comme un ouvrage à part entière. Il met en lumière ces quelques mois en documentant le plus possible le séjour de l'artiste à Antibes. Des essais de Daniel Abadie qui propose de " revoir " De Staël aujourd'hui, de Federico Nicolao qui soumet une réévaluation du rapport abstraction/figuration de l'œuvre ultime de l'artiste, la correspondance de Nicolas de Staël, un texte de Valentine Marcadé sur l'œuvre de Nicolas de Staël, inédit en français, et commenté par Jean-Claude Marcadé, un texte de John Richardson inédit en français, quelques pages souvenirs d'Anne de Staël cernent de plus près l'ultime explosion de couleurs que connaît l'art de Nicolas de Staël à la veille de sa mort, en dépit de sa difficulté à se réaliser dans sa peinture. 147 tableaux et de nombreuses œuvres sur papier ont vu ainsi le jour en moins de cinq mois, à Antibes, à deux pas du musée qui lui a consacré cet hommage. La correspondance de Nicolas de Staël à partir de l'été 1954, une biographie et une bibliographie sélective complètent l'ouvrage.

06/2005

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Pédagogie

Business Partner C1 Coursebook & eBook with MyEnglishLab & Digital Resources. Coursebook & eBook with MyEnglishLab & Digital Resources

Les besoins en anglais professionnels sont très importants en France, de plus en plus centrés sur les besoins opérationnels et les besoins métiers. Business Partner propose un apprentissage autonome et qui a du sens dans le contexte professionnel actuel, grâce à des 'learning outcomes' clairement identifiés et un éventail riche de matériel (vidéo, études de cas, audio, etc). Un fort accent sur le vocabulaire : c'est ce que souhaitent maitriser les étudiants et les professionnels pour être à l'aide en anglais : le vocabulaire et le langage fonctionnel. La vidéo sert de base à l'introduction de nouveau vocabulaire, qui est ensuite travaillé dans les leçons : champ lexical, collocations, construction de mots, faux amis etc. Le tout dans un objectif de communication et de travail collaboratif. La maitrise des compétences transversales et des soft skills : présenter, négocier, savoir se comporter dans un contexte de socialisation au travail, travailler en équipe, écoute active, utiliser sa capacité d'influence, etc. Le langage fonctionnel : 3 leçons dans chaque unité pour maitriser le langage tel qu'il est utilisé au travail). Ces leçons sont construites de manière à permettre le transfert du langage fonctionnel à toutes les situations professionnelles. La grammaire : chaque unité contient une leçon avec une orientation plus 'grammaire', avec un 2e point de grammaire optionnel dans les ressources en ligne. L'approche est inductive. Le support audio et vidéo de Business Partner permet de s'entrainer à la compréhension de nombreux accents anglophones et autres, reflétant les réalités du monde de l'entreprise

11/2021

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Comics divers

Transformers. Hearts of Steel

Chuck Dixon et Guido Guidi ramènent les Transformers à l'époque des machines à vapeur, aux côtés du héros folklorique américain John Henry, Mark Twain et Jules Verne. Alors que les Decepticons tentent de se créer une nouvelle source d'énergie, Bumblebee et ses nouveaux compagnons réussiront-ils à empêcher Starscream d'exécuter son plan ? Les autres Autobots arriveront-ils à temps pour éviter de voir leurs ennemis conquérir notre passé ?

05/2021

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Monographies

Nicolas de Staël du Trait à la couleur

Dans ce livre, Anne de Staël, fille aînée du peintre, rassemble ses souvenirs d'enfant augmentés d'une réflexion originale sur le rapport du dessin au tableau. Les moments de vie évoqués étaient toujours mêlés à l'urgence et à l'intensité de l'expression picturale. Il ne s'agit donc pas ici d'une analyse d'historienne de l'art, mais du regard d'une enfant qui a grandi auprès de cette peinture et qui, devenue adulte, a cherché à dénouer le mystère de la création dont elle a été en partie témoin. Jusqu'ici, le lien entre le trait du dessin - encre de Chine, fusain, mine de plomb - et la densité de la couleur n'avait jamais été aussi clairement établi. Dans une langue toujours poétique, l'auteur a voulu montrer comment le travail du dessin dans l'oeuvre de Nicolas de Staël sous-tend la couleur. Le peintre est en effet l'un des plus grands coloristes de la peinture du XXe siècle, et nous découvrons ici l'importance de son travail de dessinateur. L'entrelacement des noirs et des blancs a aussi permis d'exalter la lumière au coeur du pigment. Devant un tableau, Anne de Staël fait surgir ses souvenirs, conséquence de l'émotion esthétique reçue. L'ouvrage est richement illustré, et la fille de l'artiste nous livre un texte à la fois poétique et personnel enrichi de lettres et d'écrits du peintre, nous permettant de redécouvrir l'ensemble de l'oeuvre de Nicolas de Staël.

08/2023

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Essais biographiques

Nicolas de Staël. Enfant de l'étoile polaire

"Je t'embrasse de tout coeur, toi, Paris, toute la ville et ton pays tout entier. Je vous aime plus profondément, plus désespérément que je ne vous ai jamais aimés" écrivait Nicolas de Staël à son grand ami René Char en 1953, un an avant de se jeter dans le vide. Né à Saint-Pétersbourg en 1914, Nicolas de Staël von Holstein a cinq ans lorsque sa famille fuit la Russie pour se réfugier en Pologne. Après la mort de leurs parents, Nicolas et ses soeurs sont accueillis par des amis en Belgique. Après des études aux Beaux-Arts de Bruxelles, il voyage en Espagne, au Maroc, en Italie où il se nourrit du spectacle de la nature, de la lumière et de leurs contrastes. En 1943, il s'installe définitivement en France et se lance dans l'aventure de l'abstraction avec l'intuition que "sa vie [sera] un continuel voyage sur une mer incertaine". Pinceau des mots à la main, au plus près de son sujet, Karin Müller raconte à la première personne le destin fulgurant de ce peintre intransigeant et généreux, ami des surréalistes, de Kandinsky, Braque, Lanskoy, Magnelli, Sonia Delaunay et bien d'autres, que le succès et la reconnaissance tardive n'empêcheront pas de mettre fin à ses jours à l'âge de 41 ans. Un texte magistral à la hauteur du génie de Nicolas de Staël. Le peintre foudroyé laisse plus de mille tableaux peints dans l'urgence des malheurs, privations, souffrances et bonheurs traversés.

09/2023

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Monographies

Nicolas de Staël. La peinture comme un feu

"On fonctionne comme on peut. Et moi j'ai besoin pour me renouveler, pour me développer, de fonctionner toujours différemment d'une chose à l'autre, sans esthétique a priori... Ce qui importe c'est que ce soit juste". Cette formule que Nicolas de Staël couche sur le papier dans une lettre de janvier 1955, deux mois avant de se donner la mort à Antibes, synthétise le principe qui a gouverné sa trajectoire. Guidé par un puissant instinct et une vive aspiration spirituelle, il a su transformer les coups de l'adversité en ressort de créativité. Des ciels gris-bleu de Saint-Pétersbourg à la perspective azur de la Méditerranée, Staël a cheminé en solitaire, à la fois ombrageux et solaire, entouré et seul, orgueilleux et compassionnel, avant de s'éteindre comme une comète folle au terme d'un parcours aussi lumineux que tragique.

09/2023

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Art du XXe siècle

Connaissance des arts. Hors-série : Nicolas de Staël

Nicolas de Staël est un peintre français d'origine russe. Sa carrière s'étale sur 15 ans, de 1940 à sa mort en 1955. Il a peint durant ces années plus d'un millier de tableaux. Sa peinture est en constante évolution. Sombre à ses début, elle aboutit à l'exaltation de la couleur. Ses toiles se caractérisent par d'épaisses couches superposées et un important jeu de matières à une peinture plus fluide. Par son style évolutif, qu'il a lui-même qualifié d'" évolution continue ", il appartient aussi bien à l'Ecole de Paris, qu'aux abstrait ou à l'art informel. Il meurt à 41 ans se jetant de la terrasse de l'immeuble où il avait son atelier à Antibes

09/2023

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Livres 0-3 ans

Days of the Week (Little Board Books)

Apprendre les jours de la semaine en suivant la vie quotidienne du petit panda et sa famille dans ce livre charmant, tout carton - adapté aux petites mains. Apprendre les jours de la semaine en suivant la vie quotidienne du petit panda et sa famille dans ce livre charmant, tout carton - adapté aux petites mains.

03/2022

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Livres 3 ans et +

The Sunday Books. (Les Livres du dimanche)

En 1946, Mervin Peake, romancier. poète, illustrateur de L'Ile au Trésor, d'Alice, de La Chasse au Snark, auteur de la Trilogie de Gormenghast, s'installe avec sa famille sur l'île de Sercq. Contre l'ennui des dimanches insulaires, il instaure le rituel des Sunday Books, cahiers dans lesquels il dessine pour ses deux fils, improvisant au fil des illustrations des histoires pleines de fantaisie. Soixante ans après; Michael Moorcock, géant des lettres anglaises, proche de Peake et passeur de son oeuvre, réinvente les bouts-rimés, les limericks, les aventures extravagantes qui formaient la bande-son perdue de ces images. Deux grands esprits joueurs dialoguent à travers le temps. un trésor familial nous est rendu dans sa magie intacte.

11/2010

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Edition

Faire un ebook. PDF, ePub et Mobipocket

Comment faire un livre numérique aux formats PDF, EPUB, et MOBIPOCKET. C'est facile. FAIRE UN EBOOK vous donne toutes les informations pour faire votre livre numérique. Ce livret est écrit sous forme de TUTOS qu'il suffira de suivre pas à pas pour arriver sans problème au résultat attendu. Il n'est pas facile de bien comprendre un tuto papier. Visitez le Site Web de l'auteur pour télécharger gratuitement les TUTOS vidéo robert-pons. wixsite. com/monsite

04/2021

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Littérature érotique et sentim

Steel brothers Tome 1 : Châtiment

Vengeance... 9 lettres qui rythment ma vie depuis 7 ans, un mot qui résume mon unique raison d'exister encore. Je touche au but... Enfin... Quand Evelynn, adolescente de 14 ans, découvre sa famille massacrée, son traumatisme se transforme en haine qui alimente son désir de vengeance. Evelynn devient Ivy. 7 ans après le drame, elle réussit à s'infiltrer et à se faire accepter par les Steel Brothers, gang de bikers aux moeurs peu recommandables. Ils sont responsables de la mort de sa famille, ils doivent payer, et Ivy a mis sur pied un plan infaillible. A leur tête, le ténébreux Dante pourrait bien tout remettre en question. Dangereux, sans foi ni loi, le puissant chef de gang va tenir un rôle inattendu. Ivy pourra-t-elle jouer cette partie dont elle ne connaît pas toutes les règles ?

05/2018

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Littérature érotique et sentim

Steel brothers Tome 2 : Damnation

Ivy croyait que le pire était derrière elle, qu'une fois sa soif de vengeance étanchée, elle aurait droit aussi à son nouveau départ. La tempête sans précédent qu'elle a vécue auprès des Steel Brothers n'etait que les prémices de l'ouragan dévastateur qui va s'abattre sur elle. On ne quitte pas un homme comme Dante sans en payer le prix cash. Après les avoir traqués sans relâche, les rôles s'inversent et le chasseur devient la proie. Dante veille de loin, mais pourra-t-il éviter le pire ? Jalousie, complots et trahisons tissent la toile du destin d'Ivy. Aura-t-elle encore la force de se battre ?

09/2018

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Essais biographiques

Le Prince foudroyé. La vie de Nicolas de Staël

Son unique obsession était la peinture : elle était son souffle, son sang. Quand Nicolas de Staël (1914-1955) se donna la mort, à quarante et un ans, il laissait plus de mille tableaux, autant de dessins, et l'énigme d'une vie menée au galop. Insolent et généreux, Staël savait masquer sous le rire les failles d'une enfance brisée par la révolution russe de 1917 et les rigueurs d'un exil polonais. La reconnaissance arriva des États-Unis, alors qu'il avait trente-neuf ans. Trop tôt ou trop tard : il s'était déjà réfugié en Provence, écrasé de gloire, fraternisant avec René Char, brûlant sa vie. Sa morale tenait en quelques mots : " Il faut travailler beaucoup, une tonne de passion et cent grammes de patience. " Voici la chevauchée de ce prince foudroyé.

06/2009

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Beaux arts

Le Prince foudroyé. La vie de Nicolas de Staël

Son unique priorité s'appelait la peinture : elle était son souffle, son sang. Quand Nicolas de Staël (1914-1955) se donna la mort, à quarante-et-un ans, il laissait plus de mille tableaux, autant de dessins, et l'énigme d'une vie menée au galop. Insolent et généreux, rusé et pur, Staël savait masquer sous des cascades de rire les failles d'une enfance brisée par la révolution russe de 1917 et les rigueurs d'un exil polonais. Aristocrate apatride et orphelin, il fut recueilli en Belgique, voyagea au Maroc, tout entier habité par la fureur de peindre. Derrière le grand artiste salué par son ami Georges Braque et par Marc Chagall ( "Il était innocent, il avait une force cosmique"), il faut découvrir les vertiges de ce météore mélancolique, son corps à corps avec la couleur, son combat singulier avec la matière, son refus hautain de toutes les écoles, qu'elles se réclament de l'abstraction ou de la figuration. La reconnaissance arriva des Etats-Unis, quand il eut trente neuf ans. Trop tôt ou trop tard. Il s'était déjà réfugié en Provence, aveuglé de lumière, écrasé de gloire, fraternisant avec René Char et brûlant sa vie, obsédé par les hautes figures de Paolo Uccello et de Hercules Seghers. Sa morale tenait en quelques mots: "Il faut travailler beaucoup, une tonne de passion et cent grammes de patience." Voici la chevauchée de ce prince foudroyé.

02/2003