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kiosque à journaux

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Ecole des loisirs

Kiosque

Olga est coincée dans son kiosque. Tous les jours, elle sert ses clients, feuillette des revues et rêve de voyages. un jour, sa vie est chamboulée. une grande aventure commence...

03/2021

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Littérature française

Kiosque

Sept années durant, de 1983 à 1990, jusqu'à l'avant-veille du prix Goncourt, un apprenti-écrivain du nom de Jean Rouaud, qui s'escrime à écrire son roman Les Champs d'honneur, aide à tenir rue de Flandre un kiosque de presse. A partir de ce " balcon sur rue " , c'est tout une tranche d'histoire de France qui défile : quand Paris accueillait les réfugiés pieds-noirs, vietnamiens, cambodgiens, libanais, yougoslaves, turcs, africains, argentins ; quand vivait encore un Paris populaire et coloré (P. , le gérant du dépôt, anarcho-syndicaliste dévasté par un drame personnel ; Norbert et Chirac (non, pas le maire de Paris ! ) ; M. le peintre maudit ; l'atrabilaire lecteur de l'Aurore ; Mehmet l'oracle hippique autoproclamé ; le rescapé de la Shoah, seul lecteur du bulletin d'information en yiddish...) Superbe galerie d'éclopés, de vaincus, de ratés, de rêveurs, dont le destin inquiète l' "écrivain " engagé dans sa quête littéraire encore obscure à 36 ans, et qui se voit vieillir comme eux. Au-delà des figures pittoresques et touchantes des habitués, on retrouve ici l'aventure collective des lendemains de l'utopie libertaire post soixante-huitarde, et l'aventure individuelle et intime d'un écrivain qui se fait l'archéologue de sa propre venue aux mots (depuis " la page arrachée de l'enfance " , souvenir des petits journaux aux couvertures arrachées dont la famille héritait de la part de la marchande de journaux apitoyée par la perte du pater familias jusqu'à la formation de kiosquier qui apprend à parler " en connaissance de cause " .)

01/2019

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Littérature étrangère

Le kiosque à musique

Dans les nouvelles de Saïd al-Kafrawi, le décor, est très souvent suranné : tapis anciens, tentures empesées, dorures ternies, photographies d'autrefois, bibelots d'un autre âge... Un amas de vieilleries où le temps semble retenu prisonnier. Et comme les objets qui les entourent, les personnages évoluent dans une sorte de torpeur : usés par les années, ils ont le regard suspendu au-dessus de leur passé. Aucun appesantissement cependant. Aucune exaltation du mythe de l'enfance (ou de la jeunesse) perdue. Il s'agit plutôt de saisir la vision ténue de quelques instants d'éclat conservés au creux de la mémoire. Lorsqu'on lit le recueil de bout en bout, on a l'impression que la narration, dans sa diversité, est toujours en trompe-l'œil, que subrepticement le lecteur est entraîné hors du récit vers les zones d'ombre de la conscience, les espaces de la contemplation et de l'introspection.

03/2002

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Littérature étrangère

Le kiosque

En Union Soviétique, à une époque non déterminée (l’auteur joue avec les dates), une file d’attente commence à se former devant un kiosque, suite à une rumeur selon laquelle un célèbre compositeur en exil volontaire, considéré comme dissident, revient à Moscou pour un dernier concert. Le nombre de billets sera limité, et il n’y en aura qu’un par personne. Peu à peu, des gens qui ne se connaissent pas se retrouvent, chaque jour, pendant un an. Et, au fil du temps et des saisons qui passent, alors que le kiosque reste fermé, ces « silhouettes » anonymes prennent corps. Des amitiés improbables se nouent, des souvenirs enfouis refont surface, des événements inattendus les aident à dépasser les frustrations quotidiennes.Au cœur de cette histoire se trouve la famille de Sergueï, un musicien dont le rêve était de devenir violoniste mais qui est devenu joueur de tuba dans une fanfare nationale. Pour autant, il ne veut pas abandonner son idéal. Et, peu à peu, chaque membre de la famille, sa femme, sa belle-mère, et son fils, investit le célèbre compositeur d’un pouvoir magique et mystérieux et espère que ce concert changera sa vie.Comme le précise Olga Grushin à la fin de son roman, elle s’est inspirée d’une histoire vraie. En 1962, le célèbre compositeur Igor Fiodorovitch Stravinski est invité par le régime soviétique à venir orchestrer un concert à Moscou ; ce sera son premier voyage de retour dans son pays natal après presque 50 ans d’absence. La file d’attente pour les billets commença un an avant le spectacle et se transforma en un étrange et compliqué réseau social. Et, de fait, le nom de Stravinski est à peine déguisé. Dans le roman, il s’agit de Selinski (un sosie) : même apparence physique, une musique décrite comme celle de Stravinski. Mais peu importe. Selinski/Stravinski est une figure lointaine qui sert de prétexte pour raconter l’histoire de Russes ordinaires réunis par le désir de découvrir une musique qu’ils n’ont jamais eu le droit d’écouter.

08/2011

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Littérature française

La guerre des kiosques n'aura pas lieu

D'une façon agréable, ironique quelquefois, quoique didactique, c'est l'histoire des kiosques de l'origine à nos jours, qu'ils soient kiosques de jardin, de palais ou château, de musique, de vente de tout ou n'importe quoi et de journaux à travers le monde... Concernant le kiosque à journaux, il y est fait une large place en France et à Paris, où vient de surgir une crise latente, larvée, annoncée pour les jours prochains de 2017 suite à la déclaration de l'été dernier de Mme la Maire de Paris : "...360 kiosques remplacés...". D'où ce titre énigmatique... à découvrir.

01/2018

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Littérature étrangère

Journaux

Les Journaux de Kafka : voici, enfin, la première traduction intégrale en français des 12 cahiers, écrits de 1910 à 1922, que cette édition reproduit à l'identique, sans coupes et sans censure, en rétablissant l'ordre chronologique original. La traduction de Robert Kahn se tient au plus près de l'écriture de Kafka, de sa rythmique, de sa précision et sécheresse, laissant "résonner dans la langue d'arrivée l'écho de l'original". Elle s'inscrit à la suite de ses autres retraductions de Kafka publiées aux éditions Nous, A Milena (2015) et Derniers cahiers (2017). Les Journaux de Kafka, toujours surprenants, sont le lieu d'une écriture lucide et inquiète où se mêlent intime et dehors, humour et noirceur, visions du jour et scènes de rêves, où se succèdent notes autobiographiques, récits de voyages et de rencontres, énoncés lapidaires, ainsi qu'esquisses et fragments narratifs plus longs. Dans ce battement entre vie écrite par éclats et soudaines amorces fictionnelles, les Journaux se révèlent être le coeur de l'oeuvre de Kafka : le lieu où les frontières entre la vie et l'oeuvre s'évanouissent. Il est plus clair que n'importe quoi d'autre que, attaqué sur la droite et sur la gauche par de très puissants ennemis, je ne puisse m'échapper ni à droite ni à gauche, seulement en avant animal affamé le chemin mène à une nourriture mangeable, à de l'air respirable, à une vie libre, même si c'est derrière la vie.

01/2020

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Beaux arts

Les kiosques à musique en Bourbonnais

A travers une riche iconographie actuelle et de nombreuses archives, souvent méconnues, Christian Paul nous invite ici à parcourir le Bourbonnais pour découvrir les nombreux kiosques qui émaillent le département. L'ouvrage met ainsi en valeur le patrimoine subsistant et collecte les traces des édifices, multiples, qui ont aujourd'hui disparu.

04/2019

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Littérature française (poches)

Journaux II

Sait-on que Marivaux, romancier et dramaturge de renom, fut aussi " journaliste " avant la lettre ? Il collabora pendant près de quarante ans aux périodiques de son temps, et créa plusieurs journaux dans lesquels il exerça seul sa plume. Le second tome de cette édition fait la part belle aux plus philosophiques d'entre eux : les sept feuilles de L'Indigent philosophe (1727), " espèces de Mémoires " rédigés par une sorte de clochard adepte de Diogène et de la bouteille, et les onze feuilles du Cabinet du philosophe (1734), " fatras " de réflexions philosophiques entremêlées de scènes de comédie, de morceaux allégoriques et d'histoires fictives. Ces deux périodiques sont complétés ici par des textes théoriques et esthétiques parus dans le Mercure, comme les Pensées sur la clarté et le sublime (1719) ou Le Miroir (1755).

01/2010

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Littérature française (poches)

Journaux I

Sait-on que Marivaux, romancier et dramaturge de renom, fut aussi " journaliste " avant la lettre ? Il collabora pendant près de quarante ans aux périodiques de son temps, et créa plusieurs journaux dans lesquels il exerça seul sa plume. Le premier tome de cette édition met à l'honneur le plus célèbre d'entre eux, Le Spectateur français, publié sous forme de " feuilles volantes " de 1721 à 1724. Un narrateur misanthrope, spectateur désabusé de l'espèce humaine, y croque sur le vif les excès de l'amour-propre chez les grands, les riches, les coquettes, les savants et les auteurs, tout en insérant dans ses commentaires lettres, mémoires, et histoires fictives. Dans les Lettres contenant une aventure et les Caractères des habitants de Paris publiés dans le Mercure entre 1717 et 1720, Marivaux mêle réflexions, anecdotes, saynètes, et use d'une arme plus puissante que la satire pour châtier les moeurs de son temps : l'humour.

01/2010

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Poches Littérature internation

Les journaux

Tout au long de son œuvre, Henry James (New York, 1843 - Londres, 1916) n'a cessé de traquer la réalité derrière les apparences, la vérité humaine cachée dans le fracas du monde. Le vacarme de la presse à sensation ne pouvait manquer d'être pour lui l'occasion d'un traitement féroce. Parus en 1903, dans sa période de grande maturité, Les Journaux - texte jusqu'alors inédit en français - sont une satire réjouissante de l'univers journalistique du Londres du début du siècle. C'est aussi une belle histoire d'amour, doublée d'une sorte d'énigme policière. Un jeu virtuose mené avec l'art d'un grand maître.

10/1997

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Littérature française (poches)

Journaux intimes

Tenus de 1804 à 1816 entre l'Allemagne de Goethe et la France de Napoléon, ces journaux sont les confidents d'une conscience à vif : ils scrutent avec lucidité les tourments de l'être et les intermittences d'un coeur pris dans des labyrinthes passionnels dignes des meilleurs romans. Par sa sincérité dévastatrice et son esprit d'expérimentation, par son intelligence aiguë, par son style électrique et son ironie mordante, Constant offre la matrice d'une nouvelle pratique d'écriture. Il représente ainsi, pour le journal, ce que Rousseau est pour l'autobiographie : un pionnier, qui garde aujourd'hui toute son actualité et sa modernité. C'est un philosophe, un homme politique, un amoureux, un romancier, un grand écrivain qui s'exprime ici.

11/2017

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Critique littéraire

Journaux (1914-1965)

Queneau a sans doute moins sacrifié au genre consacré du "journal" que des publications partielles ont pu le laisser croire. Ici, comme ailleurs, sa singularité a malmené les usages. Ni vraiment littéraire ni proprement intime, le journal est pour lui d'abord un accompagnement tout provisoire et fort relatif, une manière de carnet de bord distancié illustrant, comme il se plaisait à dire, que "la vie est une navigation, on le sait depuis Homère" . Cinquante ans sont bouclés, non de confidences ou de pratique mémorialiste, mais d'un regard net, curieux, ras - comme on dit d'une lumière rasante ; où l'événement, majeur ou bénin, n'est distingué par aucune émotion, nul effet. Queneau, visiblement, renonce à la "scène à faire" , au témoignage à transmettre et aux poses qu'il implique. Il enregistre, note, se souvient parfois, quand il ne se décourage : le monde, les autres, lui-même n'occupent que leur place, entre la médiocrité et le dérisoire, avec la précision d'un greffier. Le seul élément stable, permanent d'un "journal" à l'autre, demeure le savoir, une infatigable découverte intellectuelle, de surabondantes lectures dont les listes détaillées et précieuses, en retraçant un itinéraire culturel, créent une armature parallèle sans cesse revivifiée.

04/2019

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Littérature étrangère

Récits, romans, journaux

Ce livre permet de suivre, à travers un choix de textes, les étapes principales de la création, renouvelée jusqu'au bout, de Franz Kafka, et ainsi de mieux se repérer dans son œuvre.

04/2000

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Littérature française (poches)

Journaux. 1912-1940

Lorsque Stefan Zweig rédige au Brésil, peu avant son suicide, le testament spirituel du Monde d'hier, il ne dispose plus de ces journaux rédigés à différentes périodes de sa vie. En contrepoint au superbe tableau autobiographique, ceux-ci nous livrent sans apprêts, au jour le jour, les réactions et les pensées de l'écrivain. Ce sont d'abord Vienne et Paris à la veille de la Grande Guerre : les succès littéraires, l'amitié de Rolland, de Rilke, de Verhaeren, les aventures amoureuses multiples et sans lendemain. Puis viennent la révolte et l'écœurement devant " l'immense absurdité du massacre ". Ensuite, dans l'Europe en lambeaux où montent les périls du nazisme, nous voyons le pessimisme et l'angoisse d'un homme de plus en plus solitaire qui, de l'Angleterre au Brésil et à New York, cherche un havre qu'il désespère de trouver. Sans cesse abandonnés et repris, ces journaux nous permettent une approche intime et souvent poignante de l'auteur du Joueur d'échecs.

01/2001

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Littérature française (poches)

Journaux de voyage

"C'est les jambes flageolantes que je reçois le premier coup de New York. Au premier regard, hideuse ville inhumaine. Mais je sais qu'on change d'avis. Ce sont des détails qui me frappent : que les ramasseurs d'ordures portent des gants, que la circulation est disciplinée, sans intervention d'agents aux carrefours, etc., que personne n'a jamais de monnaie dans ce pays et que tout le monde a l'air de sortir d'un film de série. Le soir, traversant Broadway en taxi, fatigué et fiévreux, je suis littéralement abasourdi par la foire lumineuse". Ce volume comprend les journaux de voyage d'Albert Camus aux Etats-Unis de mars à mai 1946, puis en Amérique du Sud de juin à août 1949.

09/2013

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Première guerre mondiale

Journaux de guerre

Plongez au coeur de l'Histoire avec ce magnifique livre constitué de reproductions de journaux issus d'une incroyable collection ! Pour la première fois dévoilé en presse, ce riche répertoire d'archives forme un témoignage capital et émouvant sur les deux guerres mondiales. Immersion garantie ! Benoît Prot nous ouvre les portes de son incroyable collection, véritable trésor qui reflète quatre siècles d'histoire de la presse française. Durant la seconde guerre mondiale, la presse du front, les journaux kakis, les gazettes de soldats fleurissent. Mais les journaux, à cette époque, c'est aussi des quotidiens, des magazines, des journaux clandestins (faits par les résistants), des journaux parachutés par les aviateurs anglais et américains, des journaux faits par les allemands et des journaux de prisonniers. Tous ces documents rares sont analysés, décryptés et commentés par l'auteur.

10/2023

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Littérature étrangère

Journaux. Tome 2

Cette première édition française des Journaux, en deux volumes, renferme la traduction intégrale des vingt-cinq "cahiers" publiés en Allemagne, avec tout ce qu'il a paru indispensable de conserver des textes annexes, pages autobiographiques et notes, dues à la méticuleuse érudition d'Adolf Frisé. Ces "cahiers" (1898/9-1941) ont accompagné toute la vie d'écrivain de Musil. Notes de "journal" au sens usuel, souvenirs ; ébauches parfois importantes, d'oeuvres dramatiques et narratives, avec les réflexions qu'elles suscitent ; interrogations sur la littérature ; citations d'auteurs lus et relus : Nietzsche surtout, mais aussi Maeterlinck, Emerson, Tolstoï, D'Annunzio ; nombreux extraits de livres, de revues, de journaux sur les sujets les plus divers ; choses vues, personnages connus de près ou rencontrés en passant, événements lointains ou actuels... Autant d'informations, d'analyses précieuses en elles-mêmes, mais qui pourraient sembler chaotiques si elles ne constituaient à la fois un immense entrepôt et un chantier où chaque élément est conservé ou exploité dans la perspective de l'ceuvre à réaliser, qui deviendra L'Homme sans qualités. Ainsi les Journaux apparaissent-ils comme le complément indispensable de sa lecture, un document unique sur la création littéraire chez Musil, et en général ; au-delà, chez cet écrivain partagé entre la fascination de l'irrationnel et la passion de la rigueur scientifique dont il a poursuivi toute sa vie l'utopique conciliation, un témoignage capital sur la crise de l'esprit moderne.

10/1981

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BD tout public

Journaux. [1h25 & Momon

L'oeuvre poignant de Judith Forest enfin réédité en intégrale : les cultissimes 1h25 et Momon, Mister John, Travelling, etc. accompagné d'un appareil critique, des entretiens avec l'auteure, les articles marquants de l'époque, des croquis et dessins préparatoires. Judith Forest est une comète. Au long de sa courte et brillante carrière, qui n'aura duré que trois ans, elle aura été l'auteure de deux livres qui auront marqué leur époque et défrayé la chronique, avant de disparaître sans laisser de trace. Elle avait à peine plus de vingt ans (sa date de naissance est incertaine). Dans le second de ses livres, elle évoquait déjà son désir et son impression de disparaître, et son envie de se consacrer, loin du monde et des hommes, à l'herboristerie. Avec des contributions de Xavier Löwenthal, Thomas Boivin, William Henne, François Olislaeger, Fabrice Neaud, Thierry Groensteen, Morgan di Salvia, Clément Solym, Memphis Jack, Alain Lorfèvre, Romain Brethes, Nicolas Ancion, Marine Gheno et Christophe Poot.

07/2018

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Philosophie

Journaux et cahiers de notes. Volume 1, Journaux AA-DD

Les Journaux et cahiers de notes font partie des manuscrits découverts au domicile de Kierkegaard après sa mort. Publiés au Danemark, ils sont mis pour la première fois à la disposition du public français, accompagnés de volumineux commentaires apportant toutes les précisions utiles concernant l'état matériel des textes, sous leur forme imprimée ou manuscrite, mais aussi des informations extrêmement détaillées sur les citations et allusions qu'ils contiennent, les sources certaines ou très vraisemblables de nombreux passages, mettant ainsi en évidence les liens entre ce que lauteur écrit, dune part, et ce qu'il lit, entend et voit autour de lui, d'autre part.

04/2007

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Littérature française

Journaux intimes. Fusées, mon coeur mis à nu

Journaux intimes. Fusées. Mon coeur mis à nu / Charles Baudelaire ; texte réimpr. sur les manuscrits originaux avec une préf. , par Ad. Van Bever... Date de l'édition originale : 1920 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

06/2020

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Littérature française

Journaux et oeuvres diverses

En véritable "Moderne" , Marivaux exerce dans ses journaux son sens de l'observation critique et manie avec brio l'allégorie, le dialogue ou la lettre pour les mettre au service de réflexions morales, sociales et littéraires. La présente édition permet de découvrir l'originalité de Marivaux journaliste.

02/2021

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Cinéma

A la vie, à l'amour. Carnets, poèmes, journaux intimes

A la vie, à l'amour rassemble des textes écrits par Mireille Darc. Il y a des poèmes, des extraits de ses journaux intimes, des lettres. Certains textes sont très longs, d'autres font quelques lignes. Tous sont beaux et profonds. Ils racontent un voyage au Cambodge, à la rencontre d'un enfant malade du coeur, pour La Chaîne de l'Espoir, ou bien l'adoption d'un corbeau et la vie à Douchy au milieu des arbres et des animaux. Certains sont des rêveries où Mireille Darc s'adresse à ses parents, d'autres des lettres qui témoignent d'un humour à toute épreuve. Chaque texte est accompagné d'une histoire confiée par son mari de Pascal Desprez, ou du témoignage de leurs proches. L'ensemble est illustré de 350 photos tirées de ses albums personnels, prises dans son appartement, ou offertes par de grands photographes qui étaient aussi ses amis. A la vie, à l'amour dévoile une Mireille Darc méconnue du grand public : une femme qui a passé sa vie à donner de l'amour aux autres, et qui, après avoir traversé des épreuves terribles, est devenue réalisatrice de films documentaires, photographe, maître reiki, poétesse, et même chef de talent. L'actrice a laissé place à une femme exceptionnelle, dont la plume délicate nous touche au coeur.

09/2020

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Histoire internationale

Ethiopie à la une. Journaux et publicirés 1865-1935

De 1865 à 1935, l'Ethiopie fait la une de l'actualité dans la presse française. Ses empereurs surgis de la nuit des temps, son farouche irrédentisme face aux appétits coloniaux des nations européennes, ses élans paradoxaux vers la modernité et l'enjeu diplomatique qu'elle représente dans l'antagonisme franco-britannique peuplent les colonnes des quotidiens et des hebdomadaires. Théodoros, Ménélik, Hailé Sélassié, la bataille d'Adoua, l'incident de Fachoda, autant de noms exotiques qui pénètrent les foyers français et marquent les esprits jusqu'à devenir des figures familières pour les lecteurs d'avant la radio et la télévision. Au moment où l'Ethiopie (on disait alors plus volontiers l'Abyssinie) accède aux honneurs médiatiques, le paysage industriel et commercial français est en profonde mutation. La production de masse inonde rapidement le marché. La grande distribution impose les premiers grands magasins. C'est le début de l'ère de la réclame. Il faut absolument accrocher le consommateur, graver le nom des marques dans sa mémoire à coup d'images publicitaires. La découverte du procédé chromolithographique et la récente notoriété de l'Ethiopie sont une aubaine pour les pionniers du message publicitaire. Les visages des dirigeants éthiopiens et de leurs familiers, les scènes de la vie quotidienne, les faits d'armes de l'armée du roi des rois envahissent les albums où chacun range les belles images colorées offertes pour l'achat de chocolats, de biscuits ou de tant d'autres produits désormais indispensables. Ce livre redonne la parole aux journaux et aux publicités de l'époque, afin de rappeler aux lecteurs d'aujourd'hui à quel point l'Ethiopie fut familière à leurs prédécesseurs.

04/2010

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Critique littéraire

Journaux intimes. De Madame de Staël à Pierre Loti

L'écriture du journal intime est la saisie d'un état à une époque de la vie. Elle offre à son auteur un suspens dans le flux de l'existence, le point à partir duquel il peut conquérir une distance vis-à-vis de celle-ci, et un point de vue sur le passage du temps qui n'a pas de forme. L'écriture intime est rendue possible par les mutations sociales et philosophiques que connaît le XVIIIe siècle, et particulièrement par le développement d'un espace privé séparé de l'espace social. Tous ces changements sont eux-mêmes le signe d'une transformation de la conception de la personne : jusque-là prise dans un ordre social et religieux qui donnait sens à son existence, celle-ci devient progressivement un individu qui ne tient son être que de lui-même. A la différence des mémoires qui racontent le moi public et portent des valeurs collectives, l'autobiographie et le journal intime s'attachent à ce qui échappe aux échanges sociaux : au privé, à l'intime. Le XIXe siècle peut être dit « le siècle de l'intime », et le journal est la forme dans laquelle se développe cet intérêt pour l'intériorité : il affirme le primat de l'individu sur le collectif, du particulier sur le général. L'écriture du journal intime est la saisie d'un état à une époque de la vie. Elle offre à son auteur un suspens dans le flux de l'existence, le point à partir duquel il peut conquérir une distance vis-à-vis de celle-ci, et un point de vue sur le passage du temps qui n'a pas de forme. L'écriture intime est rendue possible par les mutations sociales et philosophiques que connaît le XVIIIe siècle, et particulièrement par le développement d'un espace privé séparé de l'espace social. Tous ces changements sont eux-mêmes le signe d'une transformation de la conception de la personne : jusque-là prise dans un ordre social et religieux qui donnait sens à son existence, celle-ci devient progressivement un individu qui ne tient son être que de lui-même. A la différence des mémoires qui racontent le moi public et portent des valeurs collectives, l'autobiographie et le journal intime s'attachent à ce qui échappe aux échanges sociaux : au privé, à l'intime. Le XIXe siècle peut être dit « le siècle de l'intime », et le journal est la forme dans laquelle se développe cet intérêt pour l'intériorité : il affirme le primat de l'individu sur le collectif, du particulier sur le général. Le paradoxe, toutefois, est que le réel le plus immédiat - soi-même - est celui qui échappe le plus à l'individu qui prétend l'appréhender. Le journal est le lieu de la confrontation entre la conscience et la réalité de son être, dans un ciel déserté par la transcendance. Le diariste est contraint d' « assister comme témoin » à ce qui se passe en lui, comme s'il s'agissait d'un autre, car c'est par la « description rigoureuse de ce qui se passe en [lui] » (Stendhal) qu'il peut se ressaisir lui-même tenter d'établir les causes de son propre comportement et projeter son action. Le journal montre ce qu'on n'a encore jamais vu parce que le roman ne sait pas encore le rendre : le mouvement d'une conscience, ses débats intérieurs, la banalité du quotidien ; il expose aussi ce que le roman ne peut pas donner à voir sans risque de paraître faux : l'histoire sans relief d'une existence. C’est un panorama de la plus grande époque du journal intime que nous donnons ici, en ayant le désir de contribuer de manière importante à l’histoire d’un genre littéraire moderne.

03/2012

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Histoire internationale

Les guerriers silencieux. Journaux apaches

Dans les années 1920, un peuple de fugitifs, des Apaches chiricahuas, vit encore caché dans la Sierra Madre, au nord du Mexique. Il est plus à contre-courant de l'histoire que ne l'était Geronimo lors de sa reddition en 1886. En 1927, la rumeur enfle : il se confirme que des groupes apaches se déplacent en toute liberté mais surtout, on vient d'apprendre qu'ils ont enlevé un enfant Mexicain après avoir tué ses parents. La chasse aux derniers Chiricahuas libres va bientôt être rouverte. L'anthropologue Grenville Goodwin, qui à ce moment travaille à la réserve de Fort Apache, se lance dans une quête passionnée sur leurs traces, à la découverte des derniers camps. Durant deux expéditions passées à sillonner les contrées sauvages il rédige un journal que son fils Neil, qui n'a jamais connu son père, découvrira en 1962. Dès 1976, Neil, à son tour, prend le chemin des pistes de l'Arizona et des sierras mexicaines. Il en fait aussi un journal. D'un journal à l'autre, père et fils font écho à toute une série d'histoires, à l'Histoire. De ses voyages, Neil acquiert la conviction que, de nos jours, des descendants de ces Apaches se cachent au Mexique parmi d'autres tribus. Autant hallucinants que réels, les deux journaux nous plongent dans cette aventure à peine croyable où planent l'ombre des Chiricahuas, derniers guerriers insaisissables, invisibles et silencieux, maraudant comme des fantômes dans les grands espaces où jadis ils régnaient en maîtres.

11/2018

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Littérature étrangère

Journaux de bord. 1947-1954

"Dans l'Evangile qui porte son nom, saint Matthieu pose l'équation : "Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus". Quelque vingt siècles plus tard, un écrivain français si peu français la retourne : "Très peu d'appelés, encore moins d'élus." Jack Kerouac, plus criminel encore peut-être, retourne le retournement : "Car beaucoup sont élus, mais peu sont venus." C'est dans ces Journaux de bord - tenus entre 1947 et 1954, publiés aux Etats-Unis en 2004 et accueillis avec une indifférence qui tentait vainement d'être à la hauteur de ce crime discret contre l'humanité - que Jack Kerouac a élaboré, dans le secret absolu, sa formule. Ses amis jaloux à l'époque, ses lecteurs distraits par la suite, ses cinéphiles hébétés d'aujourd'hui le croyaient sur la route. Cette proposition baroque, irrégulière, requiert désormais toute notre attention. Lisons". P G

11/2015

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Adolescence

Journaux d'adolescence. 1915-1981

"Devrai-je te quitter, mon cher cahier ? " Le journal personnel est un genre qui, comme la poésie, s'accorde avec les questionnements et la soif de lyrisme des adolescents. Nombreux sont les jeunes qui se confient à lui, la plupart d'entre eux l'abandonnent à l'âge adulte ou même avant ; très peu, s'ils l'ont conservé, songent à le transmettre. Les journaux d'adolescence déposés dans les archives de l'Association pour l'autobiographie et le Patrimoine Autobiographique par leurs auteurs, une fois devenus adultes, sont d'autant plus précieux. Pour composer ce livre, Claudine Krishnan a puisé dans ces archives une dizaine de journaux écrits par des adolescents entre 1913 et 1980, avant l'ère d'Internet et des réseaux sociaux. Ces jeunes, confrontés à une société bien différente de celle d'aujourd'hui - certains vivent par temps de guerre - utilisent une langue "classique" , celle que l'on enseigne. L'amour et la sexualité sont bien-sûr très présents, mais on est plus proche de l'amour courtois que du réalisme cru qui préside aux relations amoureuses des jeunes ces dernières décennies. Ce qui frappe, c'est la gravité des confidences. Rimbaud s'est-il trompé ? On est souvent très sérieux quand on a dix-sept ans et on s'occupe de sujets importants : amour, religion, engagement. Un regard sans complaisance est porté sur le monde adulte et sur une société qui apparaît comme peu désirable. On imagine leur sévérité, voire leur anxiété, s'ils avaient tenu leur journal aujourd'huiâ-

10/2023

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Correspondance

Journaux intimes. Raconter la vie

Entretien avec Annie Ernaux

10/2021

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Histoire de la population

1793. L'esprit des journaux

Cette anthologie donne à lire la variété ignorée de la presse de 1793. Les articles, tirés d'une centaine de titres et cités pour la plupart in extenso, composent une histoire des journaux de 1793, plutôt qu'une histoire de 1793 par les journaux.

03/2023

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Critique littéraire

Journaux de jeunesse 1914-1931

Voici l'ensemble des journaux de jeunesse d'Anaïs Nin réunis pour la première fois en un seul volume. Cette édition comprend les années 1927 à 1931, pour marquer enfin la continuité de l'enfance à la rencontre avec Henry Miller. On y découvre une enfant avide de compliments et d'amour, qui, dans un français encore naïf, décrit sa quête d'attention et de reconnaissance. Puis en 1920, devenue une jeune fille ravissante et intelligente, elle adopte l'anglais pour confier sa passion pour Hugo Guiler, qu'elle adulera longtemps avant de faire la douloureuse expérience de la perte des illusions et de l'amour. Sa mère, Joaquinito et Thorvald, ses frères, son père, éternelle figure de l'absent, côtoient ainsi dans ses journaux peintres et écrivains : O. H Lawrence, Sinclair Lewis, Botticelli... Réalité et fantasme, quotidien et exceptionnel se croisent et se mélangent, dépeignant pour nous une époque passionnante que constituent les années 1914 à 19.31. Lire ou relire les Journaux de jeunesse d'Anaïs Nin c'est comprendre l'écrivain qu'elle est devenue et découvrir avec elle la liberté d'être ce que l'on désire, sans fard et sans regrets.

09/2010