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Policiers

Arcanes Médicis

Villa Médicis, Rome. Un cadavre avec les yeux énucléés est découvert un matin dans l'une des fontaines du jardin. C'est le choc au sein de l'institution, d'autant que la victime est le fils du directeur. Dépêché sur place, le commissaire Castelli conclut rapidement à un homicide et ne tarde pas à découvrir que la victime entretenait des liens ambigus avec les résidents. Dans ce huis-clos où chacun devient un suspect potentiel, un jeu psychologique et macabre s'instaure avec le tueur qui, particulièrement retors et manipulateur, sème le trouble parmi les pensionnaires et le personnel. Les tensions montent quand on retrouve le corps du jardinier avec les yeux énucléés, comme la première victime, à proximité d'un accès à l'une des nombreuses galeries sillonnant les sous-sols de la Villa. Quels sont les mobiles du tueur ? Qui sera sa prochaine cible ?

09/2018

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Histoire de la musique

Bons baisers de Rome. Les compositeurs à la Villa Médicis (1804-1914)

A partir de son ouverture à la musique en 1803, le prix de Rome devient le sésame convoité par tous les apprentis compositeurs, point final d'une formation généralement suivie au Conservatoire de Paris. Couronnement d'un cursus, ce concours offre à ses lauréats un séjour de perfectionnement à l'Académie de France à Rome, installée sur les hauteurs du Pincio dans la somptueuse Villa Médicis. Les musiciens y côtoient leurs collègues des autres sections (architecture, peinture, sculpture et gravure) durant une période de deux à cinq ans au cours de laquelle ils doivent produire des partitions — les "envois de Rome" — destinées à être jugées par l'Institut. Cette opportunité, à première vue extraordinaire, se révèle pour un certain nombre de jeunes gens une contrainte qui les éloigne de Paris au moment où la construction d'un réseau professionnel s'avère capital. Episode souvent décisif dans l'élaboration d'un style personnel, entre fin de formation et début de carrière, le séjour italien concerne la plupart des grandes figures musicales romantiques (Hérold, Halévy, Berlioz, Gounod, Bizet, Massenet ou encore Debussy). La vie quotidienne des pensionnaires, leur production artistique et leurs voyages d'étude ou de loisir interrogent autant leur rapport avec l'Italie elle-même qu'avec les grands mouvements esthétiques européens. La Villa serait-elle simplement la "caserne académique" conventionnelle dont parle Berlioz, ou plutôt une arène animée de confrontations fécondes ? Contestation et transgression y distinguent bien souvent le talent du génie.

03/2021

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Renaissance

Marie de Médicis

La biographie incontournable d'une des plus grandes reines de France. Les reines qui ont fait la France Epouse de Henri IV, Marie de Médicis ne bénéficie guère d'une réputation flatteuse. On la dit indolente, lourde tant au physique qu'au moral, entichée de ses favoris italiens... Philippe Delorme présente une tout autre image, vivante et savoureuse, de la première reine de la dynastie des Bourbons. Princesse de la Renaissance, femme d'un roi plus que volage, soucieuse néanmoins de sa dignité de femme, inébranlablement fidèle à ses amitiés, elle saura, au cours d'une régence difficile ponctuée de péripéties dramatiques, préserver la paix civile pour transmettre à son fils Louis XIII, à l'aube du Grand Siècle, une couronne intacte. Une HISTOIRE de France AU FEMININ, qui est contée ici avec pittoresque et véracité : une histoire bruissante de passions, d'intrigues, d'anecdotes intimes.

11/2021

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BD tout public

Catherine de Médicis

Italienne de naissance, reine de France par mariage, Catherine de Médicis est une figure emblématique du XVIe siècle. Son nom est irrémédiablement associé aux guerres de religion opposant Catholiques et Protestants. Partisane d'une politique de conciliation, elle est l'instauratrice en France de la liberté de conscience pour les Protestants et a de nombreuses fois tenté de faire accepter le concept de « tolérance civile ». Bien que son rôle dans le massacre de la Saint-Barthélemy ait contribué à faire d'elle une personne controversée, Catherine de Médicis a toujours été animée par une seule volonté : défendre à tout prix l'idée de royauté française.Ce nouvel album de la collection « Ils ont fait l'Histoire » – le premier consacré à une femme – réhabilite le personnage de Catherine de Médicis et vise à relativiser la « légende noire » faisant d'elle une personne acariâtre, jalouse et prête à tout pour conserver son influence.

10/2015

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Histoire de France

Catherine de Médicis

" Une femme extraordinaire ", " un grand roi " : c'est le jugement de Balzac sur Catherine de Médicis. Le destin de la triste orpheline italienne est prodigieux : fille de banquiers, nièce de pape, reine de France pendant douze ans, puis, sous le règne de ses trois fils, pendant trente ans, véritable maîtresse du pouvoir. L'époque ? Sang et or : huit guerres civiles, le massacre de la Saint-Barthélémy, le meurtre des Guise, une cour brillante, dames galantes et mignons, astrologues et magiciens... De toutes parts, un combat de Titans oppose catholiques et protestants, Rome et Genève, l'Espagne et l'Angleterre. Les rapports sociaux sont bouleversés et les relations économiques perturbées par l'arrivée en Europe des trésors d'Amérique. Catherine, dans cette crise multiforme, tente l'impossible : rétablir l'ordre, imposer la tolérance, réaliser la coexistence des religions et des partis. Elle parvient tout au plus - et c'est miracle - à maintenir la cohésion de l'Etat. Jamais souveraine ne fut plus proche de ses sujets, ni ceux-ci plus écoutés : états-généraux, assemblées, colloques se succèdent. Autour d'elle gravitent Ronsard, Ambroise Paré, Bernard Palissy, Germain Pilon, Philibert de Lorme. La politique n'éclipse pas la princesse amie du luxe et des bâtiments, la femme dévote et superstitieuse. Des centaines de voyages, près de sept mille lettres attestent l'activité, l'intuition, le savoir-faire de celle qui fut, en des temps tragiques, l'une des femmes exemplaires de l'histoire de France.

01/2000

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Histoire de France

Marie de Médicis

Elle est grande, elle est hautaine, elle a le teint très blanc, un double menton, mauvais caractère, 27 ans déjà. En l'an 1600, Marie de Médicis épouse Henri IV. C'est un mariage d'argent : les Médicis sont une richissime famille de banquiers florentins devenus grands-ducs de Toscane. C'est un mariage politique : le Pape et l'Espagne veulent amarrer la France au catholicisme après 45 ans de troubles et de guerres religieuses. Entre Henri IV et Marie de Médicis, la vie conjugale devient souvent un enfer. Maîtresses, scènes de ménage, histoires d'argent ; Sully arbitre comme il peut. Quand Henri IV est assassiné, son fils Louis XIII n'a que 8 ans et demi. Marie de Médicis devient Régente. Elle met la France au pillage pour acheter la tranquillité des nobles, remplir les poches de ses favoris Leonora Galligaï et Concino Concini, et satisfaire une passion sans frein pour les diamants. Chassée du pouvoir par Louis XIII en 1617, elle est exilée au château de Blois, s'en évade par une échelle de corde, et fait deux années de suite la guerre à son fils. Elle se raccommode avec lui grâce à Richelieu, un jeune évêque dont elle fait la fortune et qui grâce à elle devient cardinal et premier ministre. Reine-Mère assagie et respectée, elle construit le Palais du Luxembourg à Paris, et commande à Rubens l'histoire de sa vie - un peu arrangée - en 24 tableaux. Mais elle a le démon de la jalousie et de l'intrigue. Richelieu est devenu trop puissant à son goût. Elle veut sa disgrâce, ne l'obtient pas, et, en 1631, s'enfuit du royaume de France, qu'elle quitte pour toujours. Onze ans d'exil et d'errances en Belgique, en Angleterre, en Allemagne où elle meurt dans la ville de Cologne. Onze ans de complots, négociant avec l'Espagne ennemie de la France, dressant contre Louis XIII son jeune frère Gaston d'Orléans avant de se brouiller aussi avec celui-ci. Elle meurt solitaire et dans la gêne en 1642, quelques mois avant Richelieu et Louis XIII.

09/1994

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Histoire de France

Catherine de Médicis

Issue de la puissante et célèbre famille de banquiers florentins, Catherine de Médicis entre dans la maison des Valois par son mariage avec Henri de France, fils de François Ier. Son veuvage en 1559 la lie jusqu'à sa mort, en 1589, aux événements les plus marquants de l'histoire du royaume. Reine de France, régente et mère de monarques, la place qu'elle occupe sur l'échiquier politique du royaume est inédite. Dans ces temps particulièrement troublés, alors que les guerres de Religion secouent la France, Catherine de Médicis tente une politique d'apaisement entre catholiques et protestants. Elle est aussi l'une des plus grandes mécènes de son temps. Et pourtant, elle attire de nombreuses haines. Les romanciers ont contribué à la discréditer et les historiens ne l'ont guère mieux présentée, à l'instar de Michelet qui la nomme " l'immonde Jézabel " dans son Histoire de France. La vie de Catherine de Médicis, riche tant d'un point de vue politique que culturel, a alimenté nombre de rumeurs et de fantasmes, créant ainsi une véritable " légende noire ". La biographie que lui consacre Céline Borello rétablit une vérité historique bien plus complexe et nuancée.

01/2021

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Littérature française

L'escadron Médicis

1557. Alors que le royaume de France est gangrené par la montée du Protestantisme, la Cour du roi Henri II et de Catherine de Médicis vit au rythme fastueux de la Renaissance. Ecartée du pouvoir par Diane de Poitiers, maîtresse de son royal époux, la Médicis veille dans l'ombre et charge la jeune comtesse Marie de Soissy d'être son espionne et de lui rapporter les moindres rumeurs concernant les affaires d'Etat. Mais les intrigues de la Cour peuvent parfois conduire au pire, et la jeune femme va devoir passer par de terribles épreuves pour servir sa souveraine.

09/2015

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Romans historiques

L'invité des Médicis

En novembre 1613, un invité inattendu débarque en Toscane à la cour de Cosme II de Médicis, fuyant l'invasion de son pays : Fakhreddine II, prince du Liban. Son but est de lever une armée européenne contre la Sublime Porte qui veut sa perte. Mais son séjour à Florence, capitale de la Renaissance italienne, prend une tournure imprévue car jalonné d'embûches et d'intrigues. Venu en Italie pour quelques mois tout au plus, celui qui y fut surnommé "Faccardino" restera cinq ans. Cinq années qui vont métamorphoser cet homme, changer la face du Levant et le cours de son histoire. Au long de ce récit puissant et solidement documenté, Carole Dagher se glisse dans la peau du grand émir Fakhreddine II. Cet homme raffiné, brillant militaire et stratège, va découvrir la cour des Médicis, l'univers des artistes, la puissance des guildes, l'amour aussi... Un roman qui restitue à merveille les richesses et les rebondissements d'une exceptionnelle rencontre entre l'Orient et l'Occident.

03/2020

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Italie

L'orient des Médicis

De Cosme l'Ancien à Laurent le Magnifique, Florence entretient avec l'Orient une relation étroite et ambiguë, entre volonté d'apparaître comme la gardienne de la chrétienté et attirance pour un pays riche et raffiné. Quelles conséquences a cette relation sur l'Europe du XVe siècle ?

06/2023

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Beaux arts

Les fastes des Médicis

Trois siècles durant, les Médicis, cette dynastie de marchands, banquiers, princes, ont non seulement assuré la gloire de Florence, mais ont aussi donné deux reines à la France - Catherine et Marie de Médicis - et deux papes au monde chrétien - Léon X et Clément VII. De Cosme l'Ancien, le fondateur au XVe siècle, à Jean Gaston, au XVIIIe siècle, les Médicis ont accumulé les trésors, collectionnant les chefs-d'oeuvre et commanditant les plus grands artistes. Ce livre célèbre leur goût pour les antiquités, les pierres dures, l'exotisme, la peinture, la sculpture, les sciences ou la poésie, et leur amitié autant que leur mécénat envers Fra Angelico, Botticelli, Michel-Ange, Giambologna, Benvenuto Cellini, Galilée et tant d'autres qui ont marqué l'histoire de l'art et des idées. Il nous invite à pénétrer au coeur même de leurs palais pour y retrouver le prestige et la puissance de Florence.

09/2010

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Romans historiques (poches)

La Saga des Médicis Tome 3 : Lorenzo ou la fin des Médicis

Suite et fin de la grande saga des Médicis, dont Contessina et Le Lys de Florence, les deux premiers volumes, ont connu un très grand succès, Lorenzo met à nouveau en scène une Florence plus florissante que jamais, berceau des arts et des lettres, enviée de tous les autres Etats, où se déroulent fêtes somptueuses mais aussi conspirations de clans rivaux attisées par Rome et ses papes dépravés. Lorenzo, " le Magnifique ", en est le chef, l'âme et l'intelligence, mais le destin du plus illustre des Médicis a aussi son versant sombre, fragile et tourmenté: son amour d'enfant puis d'adolescent pour Lucrezia Donati, d'une vieille famille florentine ruinée, qu'il sacrifiera pour raison d'État, le poursuivra toute sa vie et nourrira sa poésie. Sarah Frydman, dans Lorenzo ou la fin des Médicis, retrace avec passion et clairvoyance les derniers feux de cette Renaissance italienne tumultueuse et prolifique ; déjà s'annoncent l'obscurantisme et l'Inquisition avec l'entrée dans Florence du moine Savonarole. La Saga des Médicis comprend 1. Contessina 2. Le Lys de Florence 3. Lorenzo ou la fin des Médicis

01/2006

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Beaux arts

Le séjour des grands prix de Rome à la villa Médicis. Une récompence douce-amère

La villa Médicis, que tant de touristes d'aujourd'hui regrettent de ne pas pouvoir visiter, a été de 1806 à 1971 le lieu où se retrouvaient, pour un séjour de quatre ans, les premiers grands prix de Rome de peinture, sculpture, architecture, musique et gravure. La manière dont ils étaient recrutés, les obligations auxquelles ils étaient soumis durant leur pensionnat, la personnalité de leur directeur et surtout leur vie au quotidien sont pratiquement inconnues. L'auteur a relevé dans la correspondance des directeurs successifs (1806-1914) les principaux thèmes évoqués : discussions autour du concours, personnel interne à la villa, administration, vie romaine et voyages... Présentée par François Fossier, la majeure partie de l'édition de cette correspondance est disponible aux éditions L'Harmattan.

03/2018

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Beaux arts

Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance de Carolus-Duran (1905-1913)

L'ultime directorat du XIXe siècle, assumé par Carolus-Duran (1837-1917), ne se démarqua des précédents que par un miraculeux redressement des finances de son établissement, sans qu'il y fût pour grand-chose. Comme Hébert, il s'était fait une solide réputation de peintre mondain, mais n'avait pas été couronné par un prix de Rome ; il n'entra à l'Académie des beaux-arts qu'un an avant sa nomination, en 1905, comme directeur de la villa Médicis où il resta jusqu'en 1913. Le personnage, ami de Manet et qui forma dans son atelier un certain nombre d'artistes anglo-saxons, dont Sargent, était très ouvert à la peinture moderne. C'est aussi lui qui obtint qu'enfin les femmes fussent admises au concours de Rome et en reçut deux. Malheureusement, son âge, la santé de sa femme qui le maintint presque constamment hors de Rome et le lent redressement des finances de la Villa lui interdirent de suivre des pensionnaires, d'ailleurs peu brillants.

01/2019

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Sociologie

Smart City. Une autre lecture de la ville

Pendant des mille?naires les villes ont maille? l'histoire des civilisations et des peuples, aspirant les femmes, les hommes et concentrant les richesses et les savoirs. Si les premie?res villes apparaissent avec les e?critures ; il revient a? notre e?poque d'inventer celle de demain a? l'e?re du nume?rique. Alors que l'espe?rance de vie a cru dans les espaces urbains au cours du sie?cle dernier, on observe de nos jours la tendance inverse. Aujourd'hui, une gigantesque re?volution e?lectrique englobe notre monde, stimule?e par les ge?ants d'internet. Les moyens sont a? notre porte?e et la plupart n'ont pas besoin d'e?tre invente?s. Il reste a? en faire la synthe?se cre?atrice car ce sont bien les villes et les hommes qui font l'histoire. Cet ouvrage collectif propose la re?flexion de scientifiques, d'entrepreneurs, etc. qui s'interrogent sur l'e?mergence d'une ville intelligente, la Smart City en posant une e?cologie citadine qui, d'une certaine fac?on, s'articule sur un biomime?tisme observe? dans les e?cosyste?mes les plus complexes. Il s'agit de coe?volution, autrement dit de multiples me?canismes qui e?tablissent des interrelations entre des acteurs (entreprises, le secteur prive? ou public, territoires, citoyen) qui se rendent des "services mutuels".

11/2019

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Histoire internationale

Les Médicis. XIVe-XVIIIe siècle

Banquiers, maîtres de Florence, papes, humanistes et mécènes, les Médicis incarnent la Renaissance italienne. Du XIVe au XVIIIe siècle, ils sont des acteurs majeurs de l'échiquier politique européen. De Cosme l'Ancien à Laurent le Magnifique et Cosme ler, premier grand-duc de Toscane, l'ascension des Médicis est exceptionnelle : ils marient leurs filles à des rois, prêtent de l'argent aux monarques, deviennent papes et sont au coeur des grands courants sociaux, culturels et politiques de leur temps. Rois sans couronne, ils sont les maîtres de la République de Florence. La Renaissance toscane rayonne grâce à eux du plus magnifique éclat. De la Florence de Dante à la veille de la Révolution française, Marcel Brion fait revivre les destins de cette captivante lignée.

01/2021

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Histoire de France

Jacques Coeur. Le Médicis français

Marchand armateur, banquier, industriel, maître de mines, Jacques Coeur, né à Bourges en 1395, fut investi des plus hautes charges publiques. Génial administrateur doublé d'un inégalable esprit d'entreprise, il passa pour l'homme le plus riche du royaume. Commissaire royal et grand argentier de Charles VII, Jacques Coeur restaura le commerce français après la guerre de Cent Ans et rétablit les échanges avec l'Orient. Créateur avant la lettre de sociétés multinationales et d'entreprises à succursales multiples, il s'efforça d'instaurer une justice fiscale. Arrêté sous un prétexte futile, il fut condamné, au terme d'un simulacre de procès, à une énorme amende, à la confiscation de ses biens et au bannissement, transformé en emprisonnement par ordre du roi. Sa chute brutale, sa captivité aggravée de tortures, son extraordinaire évasion et sa mort lointaine ajoutent une touche tragique à sa destinée prodigieuse.

05/2018

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Policiers

La vérité vaincra. Les Médicis m'ont créé, les Médicis m'ont détruit

Stuttgart : Le jeune Allemand Jonas Friedelbel se voit confier la mission par le Prophète de son Eglise de retrouver les véritables origines de la mère de Léonard de Vinci. Est-ce pour pratiquer le baptême des morts pour elle et son fils ? Salt Lake City : En plein sanctuaire mormon, un homme est décapité. Le policier Tommers se lance à la recherche de l'assassin en Europe. Amboise : Alessandro Sardelli et Sarah Schweitzer se rendent une nouvelle fois au Clos Lucé, dernière demeure du Maestro. Mais le généalogiste entraîne brutalement sa compagne en Italie... Qui est le vrai Léonard de Vinci ? Le simple fils illégitime de Piero da Vinci et d'une servante ? Et si ses biographes n'avaient pas voulu croire ou voir l'évidence ? Et s'il fallait seulement s'intéresser à l'homme pour comprendre les oeuvres et non l'inverse ? Les révélations finales près de Milan s'appuient sur la vie et les oeuvres les plus connues du plus grand artiste de la Renaissance. Véritable tourbillon se lisant d'une traite, le roman transporte le lecteur entre Moyen Age, Renaissance et aujourd'hui, bouleversant toutes les théories formulées depuis cinq cents ans sur Léonard de Vinci...

08/2012

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Beaux arts

Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance de Jules-Eugène Lenepveu (1873-1878)

Jules-Eugène Lenepveu (1819-1898), prix de Rome de 1842, s'était illustré par de grandes compositions allégoriques et par la peinture du plafond de l'Opéra. Il fut nommé en 1873 pour remplacer Ernest Hébert, trop compromis dans le régime du Second Empire. Son directorat fut surtout marqué par le début des dilapidations du secrétaire de la villa Médicis et son incapacité à enrayer cette machine infernale qui greva les directorats postérieurs.

01/2019

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Beaux arts

GIORGI VASARI. L'homme des Médicis

Les fresques du Palazzo Vecchio à Florence? Vasari. Le musée des Offices, avec ses arcades et sa magnifique loggia sur l'Arno? Vasari. La place des Cavalieri à Pise, une des plus belles d'Italie? Vasari. Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, ces deux cent cinquante biographies qui ont fondé l'histoire de l'art et la critique d'art et restent une référence insurpassée? Encore et toujours Vasari. Ce n'est pas tout. Cet homme-orchestre (1511-1574), à la fois peintre, architecte, urbaniste, écrivain, a joué un rôle politique considérable dans le XVIe siècle florentin et toscan. Ami et conseiller du duc de Toscane, Cosimo Ier ministre de la culture avant la lettre, il organisa avec un savoir-faire exceptionnel la propagande de l'Etat. Il manquait une biographie de ce prince des biographes, de ce génie polyvalent, qui a façonné le décor d'une des villes les plus illustres du monde et demeure le modèle des opérateurs artistiques. Pour la première fois, Roland Le Mollé, ancien professeur d'italien à l'université Stendhal de Grenoble et spécialiste de Vasari, trace un tableau complet d'un des plus importants protagonistes de la Renaissance italienne.

12/1995

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Renaissance

Bianca, l'âme damnée des Médicis

Le 5 juin 1578, Francesco Ier de Médicis, grand-duc de Toscane, épouse son amour de jeunesse et sa maîtresse de toujours, l'audacieuse Bianca Capello, aussi admirée que détestée. Volontaire, indépendante et opiniâtre, Bianca défie les époques par son courage, sa combativité et son ambition. La noble et toute-puissante famille Médicis, elle, outragée par cette union avec celle que l'on dépeint alors comme une favorite sans scrupules et une intrigante volage, use de mille stratagèmes pour séparer les deux amants, faisant courir les pires médisances à son égard. Contre vents et marées, Francesco, et l'amour qu'il porte à Bianca, la protègent. Dix ans plus tard, alors que rien ne semble pouvoir troubler leur bonheur, Francesco et Bianca s'éteignent à deux jours d'intervalle entre les murs de leur villa toscane. Très vite, la rumeur d'un empoisonnement à l'arsenic enflamme les cours italiennes, et bientôt le bruit se répand que le corps de Bianca aurait été vulgairement jeté dans la fosse commune par le cardinal Ferdinand, le frère de Francesco... Pourquoi Bianca suscite-elle cette rage chez le clan Médicis qui la surnommait alors Pessima Bianca - " l'exécrable Bianca " ? Carol Ann et Patrick de Carolis remontent des siècles d'histoire et réécrivent le destin incroyablement romanesque de celle qui fut vilipendée et sacrifiée par cette fratrie médicéenne avide de puissance et d'argent. A travers leur plume, Bianca de Médicis revient à la vie et se révèle une héroïne à la modernité frappante et fascinante : une jeune femme libre et affranchie de la morale étouffante de l'époque, mais aussi une amoureuse passionnée et une figure aussi ensorcelante qu'inspirante.

10/2021

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Art contemporain

Bill Viola In Dialogue. Selected Writings and Lectures

Le Musée d'art moderne de Salzbourg consacre à l'artiste américain créateur de vidéos et d'installations Bill Viola une grande exposition de l'ensemble de son oeuvre - qui s'étend désormais sur plus de cinquante ans. Bill Viola passe dans le monde entier pour un pionnier de l'art vidéo et médiatique. Le livre qui accompagne l'exposition, "Bill Viola en dialogue. Choix de textes et de conférences" , contient, en plus des écrits centraux de Bill Viola lui-même (parmi lesquels : Le Porc-épic et la voiture, 1981 ; Vue sans représentation, 1982 ; le Son d'une ligne de balayage, 1984 ; Le Corps endormi, 1992 ; Présence et absence, 2007), des textes originaux de John Cage, Peter Campus, Hollis Frampton, David Tudor et Peter Sellars. Il peut donc être très utile pour comprendre l'oeuvre de Bill Viola. Car ses travaux, dont certains, immersifs, occupent tout l'espace, séduisent visuellement mais sont aussi extrêmement rationnels et profondément intuitifs. Bill Viola consacre toute son attention aux interactions spécifiques qui se produisent entre ses images et les spectateurs. A ses yeux, son oeuvre ne se déploie pas sur le seul écran vidéo, mais aussi et surtout dans les têtes de ceux qui y ont assisté.

11/2022

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Archéologie

Villae. Villas romaines en Gaule du Sud

Le catalogue de l'exposition " Villae romaines " qui s'est tenue à l'abbaye de La Celle (département du Var) est un ouvrage complémentaire et indépendant. Conçu pour satisfaire la curiosité du public et des professionnels, il vise à offrir des synthèses thématiques sur les différents aspects d'une maison romaine établie hors des villes. Quand ce phénomène d'exploitation des campagnes apparaît-il ? Comment vit-on dans ces maisons ? Qu'y produit-on ? Voici quelques exemples des questions auxquelles cet ouvrage apporte des réponses.

06/2021

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Géographie

La ville face au vide. Une nouvelle lecture du déclin

S'appuyant sur l'étude statistique du comportement de 100 villes de 20 000 à 50 000 habitants entre 1970 et 2020 pour établir une typologie inédite des villes moyennes, cet ouvrage éclaire particulièrement les postures de déclin dont il propose une nouvelle lecture à l'aune d'une histoire revisitée de l'aménagement du territoire. Entre déni et non-dit, il puise aux sources du discours politique, de l'esthétique romantique et du fonctionnalisme utilitariste les éléments d'explication d'une fracture territoriale et sociale annoncée depuis un siècle et demi entre la France du vide et celle du trop-plein. Dans une approche qui rétablit la philosophie au coeur de la pensée, il se démarque des nombreux ouvrages attachés aux effets pour décrire les causes et mesurer l'écart entre les valeurs révolutionnaires - au premier rang desquelles l'égalité - qui ont forgé les républiques, et leur mise en pratique à l'aube du IIIe millénaire. Ce que montre ce livre qui invite au débat véritable, c'est le hiatus entre une conception ancrée et productive du monde et un projet global où le vide esthétique et technique devient une fonction corrélative du plein.

01/2021

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Beaux arts

Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance des deux directorats d'Eugène Guillaume (1891-1904)

L'arrivée en 1891 d'Eugène Guillaume (1822-1905) au poste de directeur, après l'égoïste Hébert, apparut comme une sorte de soulagement. Il avait été directeur de l'Ecole des beaux-arts de 1862 à 1874 et avait donc eu sous sa houlette presque tous les pensionnaires. On le savait probe, austère et tant l'Académie des beaux-arts à laquelle il appartenait que le ministère espéraient avoir enfin un directeur à la hauteur de sa tâche. Le grand défaut de Guillaume était un goût forcené pour les distinctions et il travailla sans relâche, lorsqu'il fut à Rome, à obtenir un fauteuil à l'Académie française, qu'il obtint en 1898. Son attention pour la villa Médicis fut assez médiocre lors de son premier mandat. Ensuite, ayant obtenu ce qu'il désirait, il tenta vainement de redresser la situation financière catastrophique dans laquelle se trouvait son établissement. Il n'y parvint pas et sombra dans la sénilité en épousant, à l'insu de sa famille richissime, une jeune gourgandine qu'on s'arrangea pour déposséder.

01/2019

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Livres 0-3 ans

Villa Farnwell. Villa Farnwell

Les trois copains d'enfance, Benjamin, Malika et Stan, sont attirés par une vieille maison abandonnée. Il semble qu'il s'y passe des choses étranges, en particulier la nuit. Ils décident d'en savoir un peu plus et, pourquoi pas, tenter d'y entrer. Un jour, Benjamin ne répond plus aux SMS et aux appels sur son portable... A-t-il pris de l'avance et a-t-il décidé de faire cette exploration tout seul ? Persuadés que leur copain les a devancés, Malika et Stan vont, à leur tour, pénétrer dans cette maison abandonnée. Abandonnée ? En apparence seulement !

10/2021

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Histoire de France

Catherine de Médicis. Epouse d'Henri II

Dans l'histoire de la France, les femmes, et avant tout les reines, ont souvent régné sur le coeur et l'esprit de leur peuple, bien qu'elles n'aient pas toujours. Exercé le pouvoir. Pendant quinze siècles, certaines ont joué un rôle prépondérant en se montrant plus lucides, plus préoccupées du bonheur de leurs sujets, sinon plus attentives au rayonnement de la monarchie. Si les rois ont fait la France, on peut dire que les reines l'ont sans doute aimée davantage. Héritière des Médicis, belle-fille de François II, épouse d'Henri H, mère de François II, de Charles IX et d'Henri III, elle tient pendant trente ans la barre de l'État, dont quatorze de pouvoir absolu. Confrontée à huit guerres de religion, aux luttes des Guise et des Bourbons pour s'arroger le pouvoir, aux interventions de l'Espagne et de l'Angleterre, elle se bat avec un courage admirable contre tous les facteurs de désintégration. Mais, on ne peut laisser dans l'ombre ses fautes - dont la Saint-Barthélemy au premier rang - ni ses erreurs politiques, sa méconnaissance des thèses économiques des premiers mercantilistes, ses dépenses inconsidérées et ses guerres. Jean-Pierre Poirier signe ici une biographie magistrale qui remet en lumière la grandeur et les lacunes d'une reine hors pair.

09/2009

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Histoire de France

Marie de Médicis. Reine, régente et rebelle

Seconde Médicis à avoir exercé la régence en France, appelée mère de l'Europe pour les six enfants, dont quatre souverains, qu'elle eut d'Henri IV, elle a laissé dans l'histoire deux souvenirs forts : un mauvais, pour avoir scandaleusement enrichi ses favoris italiens, les Concini ; un bon, comme mécène, pour avoir introduit à la cour de France les techniques florentines du ballet et de l'opéra, financé les peintres les plus prestigieux, Rubens, Van Dyck, Pourbus, et fait bâtir le palais du Luxembourg. Sa vie fut plus mouvementée que celle d'aucune autre reine de France. Elle connut le luxe, la puissance, mais aussi les humiliations de la femme trompée publiquement, l'assassinat de l'époux aimé malgré tout et une chute dramatique, après sept ans de pouvoir. Evadée à deux reprises des résidences surveillées où l'avaient conduite ses rébellions contre son fils Louis XIII, elle finit en exil, dans la solitude et le dénuement, indignement persécutée par celui qu'elle avait su découvrir et imposer, le cardinal de Richelieu. Si elle gouverna avec le goût de l'intrigue et aussi la prodigalité de ses ancêtres Médicis, ce fut sans leur cruauté ; et elle sut, à travers les pires écueils, maintenir la paix civile et transmettre la couronne intacte en de plus fortes mains que les siennes. Personne ne l'a mieux justifiée qu'elle-même lorsqu'elle disait : " J'ai préféré verser l'or plutôt que le sang ".

05/2010

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Romans historiques (poches)

La Saga des Médicis Tome 1 : Contessina

Corruption, assassinat, pouvoir, passion : tels sont les maîtres mots de l'histoire légendaire de Cosimo de Médicis et de sa descendance. Son histoire est aussi celle de la République de Florence, de son évolution artistique, politique, industrielle et commerciale alors qu'elle dominait l'Europe des XIVe et XVe siècles. Mais, au-delà des intrigues, des alliances et des manipulations politiques, Contessina est l'histoire d'un amour, celui de Cosimo pour Contessina de Bardi, la première de ces femmes hors du commun à avoir joué un rôle essentiel dans le destin des Médicis.

09/2005

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Beaux arts

Rubens. Des camées antiques à la galerie Médicis

Marianne Cojannot-Le Blanc, historienne de la peinture et des arts européens au XVIIe siècle, et Evelyne Prioux, spécialiste des arts et de la théorie littéraire de l'Antiquité, ont réuni leurs compétences pour proposer une nouvelle analyse de la suite spectaculaire des vingt-quatre tableaux peints par Rubens (1577-1640) pour la galerie de Marie de Médicis au palais du Luxembourg (tableaux aujourd'hui conservés au musée du Louvre). Le peintre, fort de sa maîtrise inégalée des textes antiques et des iconographies impériales des camées qu'il collectionnait et étudiait avec passion, sut imposer à ses contemporains un cycle à la gloire d'une reine vivante, d'une rare ingéniosité. S'écartant en apparence des conventions établies pour la célébration d'un mi (scènes de batailles, triomphes), il s'est inspiré des iconographies antiques visant à promouvoir les épouses et mères d'empereurs, ainsi que de poèmes grecs ou latins et d'épopées miniatures évoquant le mariage ou l'enfance. Pour le comprendre, il faut consentir à circuler non seulement entre l'Antiquité et le XVIIe siècle, mais encore entre la peinture et les pierres gravées, entre les très grands et très petits formats, entre l'univers de la création et celui de la collection d'objets précieux. De cet itinéraire sort vainqueur, non pas tant la commanditaire que Rubens, le cycle se donnant à voir comme un éblouissant discours sur l'art de peindre.

11/2018