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Littérature française (poches)

Le temps voulu

Le temps d'un été, Pierre Forgues, professeur de lettres bientôt quadragénaire, et Daniel Carbon, dit Duck, vingt-deux ans, vont vivre une histoire d'amour fulgurante. Pourquoi ce garçon-là éclipse-t-il soudain tous les autres? Hasard d'une rencontre attendue, alchimie des corps. Un vide au coeur à combler, et soudain quelqu'un s'impose, s'installe. C'est comme ça. Les choses s'enchaînent d'elles-mêmes et se dissocient pareillement. Une fois l'aventure terminée, il reste à la revivre, les yeux ouverts, et à raconter ce qui a été, avec sincérité, sans porter de jugement. L'histoire de Pierre et de Duck est celle de beaucoup, et c'est là ce qui donne au Temps voulu, comme d'ailleurs aux autres ouvrages de Navarre leur portée et leur résonance, car les rêves déçus sont nombreux. Seule différence entre les êtres: la manière de vivre la déception et la capacité de résistance. Chez Pierre, comme chez Yves Navarre (le texte est empreint de sa vie) cette résistance passe par l'écriture et par la magie d'une autre rencontre, celle qui se produit avec le lecteur.

06/2010

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Littérature française (poches)

Au moment voulu

" La nuit, dans le Sud, quand je me lève, je sais qu'il ne s'agit ni du proche, ni du lointain, ni d'un événement m'appartenant, ni d'une vérité capable de parler, ce n'est pas une scène, ni le commencement de quelque chose. Une image, mais vaine, un instant, mais stérile, quelqu'un pour qui je ne suis rien et qui ne m'est rien - sans lien sans début, sans but -, un point, et hors de ce point, rien dans le monde, qui ne me soit étranger. Une figure ? mais privée de nom, sans biographie, que refuse la mémoire, qui ne désire pas être racontée, qui ne veut pas survivre ; présente, mais elle n'est pas là ; absente, et cependant nullement ailleurs, ici ; vraie ? tout à fait en dehors du véritable. Si l'on dit : elle est liée à la nuit, je le nie : la nuit ne la connaît pas. Si l'on me demande : mais de quoi parlez-vous ? je réponds : alors, il n'y a personne pour me le demander ? "

11/1998

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Ecole des loisirs

J'aurais voulu

Je ne veux plus être un écureuil ! Si on m'avait demandé mon avis, j'aurais choisi autre chose. J'aurais choisi d'être un castor. Pour bâtir un monde meilleur ! Mais en réalité, c'est quand même fatiguant la vie de castor, et de toute façon, j'ai toujours rêvé d'être un cerf. Pourtant là encore, j'espérais beaucoup mieux. Ou alors... un hibou ? un hérisson ? Ah non, je sais ! Et vous, le savez-vous ?

09/2021

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Littérature française

J'aurais tant voulu

Ce Finlandais et ce Français, qui n'auraient jamais dû se rencontrer, sont réunis par les aléas de l'Histoire. C'est l'aventure d'un homme vivant, que tout le monde croit mort, qui échange sa vie pour celle d'un homme mort, que tout le monde imagine vivant. C'est l'histoire d'une femme qui perd son mari et le retrouve, sans qu'il s'agisse du même homme. Cette mystification naît de la volonté d'une Suédoise qui place son avenir entre les mains d'un étrange inconnu. Cette rencontre inattendue, insérée dans une situation historique réelle, comporte une part de vérité. On ne peut pas tout inventer. Des neiges de la Finlande à la France méditerranéenne, chaque personnage raconte dans ce récit chronologique les événements tels qu'il les a vécus. Dès le début se pose un mystère, d'autres surgiront dans ces destins croisés, jusqu'à ce qu'à la fin, tout s'éclaire.

11/2015

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Littérature française

Avoir tant voulu que...

Octobre?1582, Bourg Saint Innocent. Dans ce village frontalier le plus au sud du pays, il ne pleut plus depuis cent quatre-vingt-cinq jours. Le soleil a brûlé les cultures et asséché le ruisseau. Les puits sont vides. Le bétail a soif et la famine menace. Entre raison et croyances, mensonges et trahisons, chacun interprète les évènements à sa manière. Si l'intérêt général guide les pas de certains, les intérêts personnels en aveuglent quelques-uns. Alors qu'un vieux secret oublié refait surface, la vie des uns et des autres, bascule irrémédiablement.

01/2023

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Littérature française

J'aurais voulu être éditeur

Si l'auteur a eu besoin, pour son propos, de mettre en scène un explorateur ingénu de nos tribus éditoriales et littéraires, il n'est pas dans ses intentions d'user d'un anonymat de pacotille pour susciter on ne sait quel teasing de mauvais aloi et ne pas assumer la paternité de ce livre. Aussi signe-t-il : Claude Durand.

03/2010

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Santé, diététique, beauté

Je l'ai tant voulu

Parce qu'elle était prête à tout pour mettre au monde un enfant qui lui ressemblerait, Jeanine a bravé tous les tabous. Grâce à un ovule sélectionné fécondé par le sperme de son frère, Jeanine accouche à soixante-deux ans d'un petit Benoît. Deux semaines plus tard, elle franchit l'Atlantique pour serrer dans ses bras la petite Marie-Cécile, née d'une mère porteuse et " jumelle " de son premier bébé. Jeanine s'était donné deux chances, le destin lui offre un double bonheur. Par-delà une première biologique interpellant les consciences du monde entier, voici le parcours d'une battante. D'une femme aux rêves piétinés, aux espoirs déçus, aux blessures secrètes, mais capable aussi d'une énergie inébranlable et d'un amour fou. Pour que ses enfants, un jour, assument et comprennent comment et pourquoi ils sont là, Jeanine raconte ses combats. Des réticences du fameux Dr Antinori au miracle opéré par le Dr Sahakian, jusqu'aux démêlés judiciaires dans lesquels elle se débat encore aujourd'hui pour vivre une maternité qu'elle veut ordinaire, son histoire bouleversante révèle comme jamais notre monde en mutation.

04/2002

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Poches Littérature internation

J'aurais voulu être égyptien

" Si je n'étais pas né égyptien, j'aurais voulu être égyptien ", la célèbre citation de Mustapha Kamel donne le ton de ce recueil : voici l'Egypte placée sous le feu d'un écrivain amoureux de son pays, qui, par le détour de la fiction, fait apparaître les turpitudes et les contradictions d'une société à la dérive. Interdit de publication par l'Office du livre pour cause d'insulte à l'Egypte, le premier de ces récits, "Celui qui s'est approché et qui a vu", donne précisément à voir un monde où règnent les faux-semblants et l'hypocrisie. Avec une implacable ironie, pour décrire des êtres prisonniers de l'obscurantisme et de l'arbitraire, l'auteur met en scène des personnages singuliers, dont la terrible humanité évoque l'univers d'un Dostoïevski à l'ombre des pyramides. Tendre, grinçant, truculent, ce recueil se voit pour sa publication en poche augmenté de sept nouvelles inédites.

03/2010

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Actualité et médias

Qui a voulu tuer Charlie ?

L’idée nous est insupportable ! La Barbarie semble à notre porte ou déjà là. Par les massacres des trois journées noires de janvier 2015, la question doit encore être posée. Comment cela est-il possible ? Qu’avons-nous échoué, raté, manqué, depuis des années pour que le "destin" nous mène vers un tel drame ? "La barbarie persiste tant que durent les conditions qui favorisèrent la rechute" que fut Auschwitz dans cette barbarie. Malgré le devoir de mémoire, les conditions d’une éducation à l’humanisme ne sont pas créées. S’affrontent, désormais, dans une malédiction que nous n’avons pas réussi à rompre, la société capitaliste inhumaine, dans ses parties dominantes, qui sélectionne et élimine les hommes comme quantité superflue, et des poches d'oppositions régressives religieuses faisant croire, comme les nazis en leur temps, à l’existence d’un âge d’or sacré constitué de totems et tabous. La catastrophe ne pourra être évitée que dans un effort de compréhension des tensions qui existent au coeur même du système capitaliste… et par la disparition de ce dernier.

03/2015

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Policiers

Ils ont voulu nous civiliser

Thomas Ferrer n'est pas un truand. Pas vraiment. Les petits trafics lui permettent de sortir la tête de l'eau, même si la vie n'a pas été tendre avec lui. De petits larcins en détournements de ferraille, le voilà face à face avec un truand, un vrai cette fois. Celui-ci, laissé pour mort par Ferrer, embarque deux frères assoiffés de vengeance à la poursuite de son agresseur. La traque sera sans pitié, alors qu'une puissante tempête s'abat sur la région.

10/2017

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Divers

J'aurais voulu voir Godard

Philippe Dupuy part à la rencontre du cinéaste Jean-Luc Godard. Une rencontre improbable a priori, mais rien n'est impossible en bande dessinée ! 100 pages pour évoquer avec lui le processus de création, la singularité de toute démarche artistique, dans un dialogue ludique et didactique au pays de la bande dessinée et du cinéma. Une exploration des grandes questions qui passionnent Philippe Dupuy en tant qu'artiste : l'acte de création, faire, faire lire, le statut de l'artiste dans l'histoire de l'art.

05/2023

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Sciences politiques

J'aurais voulu être français

Au départ de ce livre, une indignation. Quand, en 2015, les réfugiés du Proche-Orient se sont présentés aux portes de l'Europe, nous avons entendu pour ne pas les accueillir les mêmes arguments que ceux qui furent opposés en son temps au propre père de l'auteur. Guy Sorman se livre ici à un exercice inédit : le tressage serré de l'autobiographie et de l'essai. Fils d'un loueur de chevaux de Varsovie, son père a fui la Pologne en 1916 pour échapper à l'enrôlement dans l'armée russe, puis l'Allemagne en 1933 pour échapper aux hordes nazies, puis Paris en 1940 pour échapper aux Allemands, puis le Lot-et-Garonne en 1942 pour échapper aux gendarmes français : une vie dans le siècle, pourchassé par les séides de Lénine, Hitler et Pétain, à courir plus vite que les idéologies totalitaires. Le fils Guy aussi, à sa manière, rencontre la grande histoire : son cousin Herschel Grunspan (Grynspan) a tué Ernst Von Rath, secrétaire de l'Ambassadeur d'Allemagne à Paris, servant de prétexte au déclenchement le lendemain de la Nuit de Cristal. Il passe son adolescence à Sartrouville où opère le bon docteur Destouches, alias Louis-Ferdinand Céline ? Le " N " de trop du patronyme Sormann (décret de naturalisation de ses parents en 1947) va-t-il le poursuivre toute son existence, rappelant une Odyssée commencée en 1492, passant par Istanbul, Varsovie, Berlin, Paris, New York ? Ce père voulut être américain mais n'y parvint pas. Le fils, lassé de n'être que français, ou plutôt de découvrir à 46 ans qu'il était demeuré apatride aux yeux de la loi française (pas recensé en 1947, tous ses efforts pour " faire un bon français " : études brillantes, ENA, Légion d'honneur, élu local, épouse et enfants catholiques, cabinet d'Alain Juppé, initiation à la franc-maçonnerie, échoueront devant un fonctionnaire de police de Boulogne-Billancourt au moment de renouveler sa carte d'identité) a opté pour la double nationalité. Il raconte ici avec entrain et cocasserie les épisodes les plus marquants d'une vie à cheval entre deux nations : le plus américain des français et le plus français des américains n'est-il pas le mieux placé pour décrire de l'intérieur ce qui distingue profondément ces deux pays aux prétentions universelles ? Pas seulement la nature de leur vision du capitalisme, mais plus profondément, leurs relations respectives au corps, à l'espace, à la religion, à la charité, à autrui, à la vérité, à la transcendance... Et à l'ego : ses portraits sans concession des grands de ce monde en " pompeux cornichons " réjouiront tous les lecteurs !

10/2016

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Littérature française

J'aurais voulu être un Beatles

Cinquante, c'est le nombre d'années écoulées depuis la séparation des Beatles et la naissance de Jérôme Attal. Le temps est donc à l'écriture, pour mettre dans cette double peine, beaucoup de joie. Son désir s'exprime ainsi : partager en de courts récits tout ce que la musique peut changer en nous, montrer avec quelle grâce et quelle puissance elle sait nous accompagner mais également nous altérer en profondeur. Pour lui, aucun groupe n'a autant compté que les Beatles. Ils ont assuré cette transition périlleuse entre l'enfance et l'adolescence, lorsque l'imagination, au service de la fiction, ne suffit plus à masquer la réalité qui s'impose avec l'âge. Emergent de cette envie, des nouvelles, des pensées et un ensemble de souvenirs touchants, justes, drôles, qu'il n'appartient qu'aux lecteurs de rattacher à leur propre expérience.

02/2020

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Littérature étrangère

Ce que j'ai voulu taire

Longtemps présumé perdu avant d'être retrouvé et de paraître en 2013 à Budapest, Ce que j'ai voulu taire constitue le dernier volet inédit des Confessions d'un bourgeois. Le récit se construit autour de deux dates : le 12 mars 1938, lorsque l'Allemagne nazie annexe l'Autriche, et le 31 août 1948, lorsque l'écrivain et sa famille quittent la Hongrie, désormais pays satellite de l'U.R.S.S. Mêlant confession intime et analyse historique, Márai évoque cette période cruciale de la Hongrie, auscultant une société tiraillée entre désir d'indépendance et rêve de grandeur nationale qui va finir par servir l'Allemagne nazie. Véritable réquisitoire contre le fascisme et la barbarie, le récit révèle un humaniste engagé, un homme conscient qui aspire à une autre voie que celle de l'Etat totalitaire dans laquelle le pays va s'engouffrer. D'une grande honnêteté intellectuelle, Ce que j'ai voulu taire est le témoignage exceptionnel d'un des plus grands auteurs du XXe siècle, contraint de quitter un pays qui a nourri son oeuvre. Il éclaire aussi, par une réflexion résolument moderne, les paradoxes de la Hongrie et de l'Europe d'aujourd'hui.

10/2014

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Littérature française

J'aurais voulu être un escargot

Souad Labbize offre avec ce roman une oeuvre singulière et importante de la littérature maghrébine.

04/2019

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Réussite personnelle

Ce que j'aurais voulu entendre

A toutes les âmes qui ont erré un jour dans la souffrance.

06/2022

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Théâtre - Pièces

J'ai toujours voulu faire bien

J'ai eu la chance de découvrir un travail en cours lors d'une présentation de maquette qui m'a permis de programmer le spectacle pour sa création dans le cadre de notre festival "Mises en demeure", dédié à la jeune création théâtrale, pour quatre représentations, du 26 au 29 septembre 2019. Il y a tout d'abord l'écriture, précise, ciselée, concrète et profonde, au service d'une réelle construction théâtrale, sur laquelle la mise en scène peut s'appuyer. Puis une réelle maîtrise du plateau de la direction d'acteurs qui permet à deux actrices et un acteur de déployer un jeu physique, organique, centré. La scénographie et l'univers sonore concourent au même objet artistique, puissant et abouti. Claire Bosse-Platière réussit un tour de force de traiter de la violence conjugale, sujet piège s'il en est un pour le théâtre, en inventant une forme nourrie d'une force créatrice nouvelle. Le nombre de spectateurs et l'accueil du public n'ont fait que confirmer ces qualités. " A Asnières-sur-Seine le 1er Octobre 2019, Tatiana Breidi. co-directrice du studio d'Asnières et de l'ESCA Il y a des mots qui vous touchent comme un coup, de coeur, de poing, de main. Ceux de Claire Bosse-Platière, autrice, en font partie. Si son texte traite de la violence conjugale, sujet douloureux, certes, mais ici traité comme une libération. On assiste à un témoignage poignant mais jamais larmoyant, où la parole de l'autrice est lancée comme un cri vers l'autre, avec sincérité, humilité, générosité et importance. " Mélanie Davidts.

03/2021

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Suisse

Maurice Bavaud a voulu tuer Hitler

En 1938, un projet germe dans la tête du jeune Maurice Bavaud : quitter la Suisse direction Munich pour y abattre Adolf Hitler. Mais l'entreprise échoue, Bavaud est arrêté et exécuté à Berlin en 1941, sans la moindre intervention de la diplomatie helvétique. Quarante ans après les faits, Meienberg revient sur cette tentative d'assassinat, au fil d'un reportage haletant qui révèle les rapports troubles entre la Suisse et les nazis et raconte comment l'idéal de liberté de Bavaud l'a conduit jusqu'au sacrifice de soi.

10/2021

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Littérature française

J'ai voulu tuer Mário Soares

Portugal 1974/1975, la révolution des OEillets. Les feuillets que me confie Maria en 1998 narrent de façon succincte une série d'épisodes de sa vie, depuis sa naissance en 1925 à l'aube des années 2000. Etrangement, elle parle assez peu de la période qui se situe pendant la révolution des OEillets, pourtant elle retourne au Portugal entre août 1974 et novembre 1975. Et ce qu'elle en relate dévoile un moment de vie extraordinaire. Les bribes d'informations distillées, témoignent de ce qu'elle est projetée dans le maelström révolutionnaire auprès d'un ami de jeunesse, le leader politique et héros antifasciste Manuel Serra. Elle va en partager intimement les péripéties politiques. Dans cette parenthèse stupéfiante, Maria Portugal, dont le personnage oscille entre faits réels et moments imaginaires, devient l'héroïne de ce roman. Elle va y traverser ce qui fut en Europe le dernier mouvement insurrectionnel où un peuple tente de prendre son destin en main et d'imaginer une autre forme de société. Et si la voie esquissée par la révolution des OEillets était celle que les nations européennes auraient pu prendre ? Le peuple portugais se réveillant après un demi-siècle de dictature a tenté de nous montrer un autre chemin possible. "J'ai voulu tuer Mário Soares" est une fiction qui révèle des aspects insolites de l'après 25 Avril 1974. 2024 en marquera le cinquantième anniversaire.

10/2023

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Littérature française

J'aurais tant voulu y croire

"L'arrivée à Cuba s'annonce. A bord du bateau, l'atmosphère a changé, une légèreté à laquelle ils n'étaient pas habitués s'installe. On se croise sur le pont comme si on était sur la Croisette et on cherche à savoir auprès des habitués comment sont ces fameuses îles des Caraïbes... - C'est vraiment vide tout cela, fait Marité, en posant d'un geste las sa coupe sur le gazon... il me tarde de rentrer au pays. - J'avais compris, dit Bernard songeur. Tu t'ennuies. Mais tu ne m'as pas répondu. Me suivras-tu ?" Marité et Bernard, fils de l'ambassadeur de Belgique, quittent Bordeaux en septembre 1948 pour une traversée de plusieurs milliers de kilomètres. Entre un navire portugais empli de réfugiés, un fiancé qu'elle découvre distant et méprisant et un contexte social et politique complexe, la jeune femme devra faire des choix qui décideront de son avenir. Des dizaines d'années plus tard, Fanny, sa petite-fille, trouve son journal de bord et décide de partir sur ses pas. Entre Bruxelles et Cuba, sa propre histoire viendra se mêler à celle de sa grand-mère, émouvante et forte.

12/2017

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Policiers

J'ai voulu oublier ce jour

Ils étaient les meilleurs amis du monde. Après l'école, ils allaient jouer à Leakin Park. Dans ces bois eut lieu une rencontre qu'ils auraient préféré ne jamais faire. Trente ans plus tard, le plus fragile meurt soudainement et ils se retrouvent pour la première fois. Ils n'ont jamais parlé de ce qui s'est passé alors. Ils se sont séparés, enfuis loin les uns des autres. Le secret enfoui va-t-il resurgir ?

09/2014

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Littérature française

Ti Vouli Ben

Les états d'âmes d'un jeune soldat Nicois à l'aube de son engagement militaire pour la France en 1939.

10/2023

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Poésie

J'ai toujours voulu vous le dire

A la pie en frac qui éclabousse la neige, J'ai dit que l'homme est faible et que mon coeur est gros... Qu'il ne reste que la beauté du monde et qu'à tenter l'espoir pour évincer la nuit. Ne reste qu'à attendre, à respirer le vent, à écouter la pluie. Un chemin entre poésie et récits poétiques, où l'âme se raconte au gré des émotions et des jours : ses rêves, sa fantaisie, ses amours, ses effrois. Des jaillissements d'images et le coeur inquiet. En une langue claire qui ne cède rien à l'air du temps ni, surtout, à l'hermétisme. Qui poursuit la musique et l'harmonie de la langue.

04/2020

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Littérature française

Pourquoi j'ai voulu tuer mon père

Kévin nous parle de l'envie de vivre dans un monde où tout semble acquis, tout semble dû, même la vie, la vie physique. Un événement vient bousculer tout cela, une rencontre, une sexualité et ses dangers, qui, dans les années 80, attentent à l'immunité et conduisent rapidement à la mort. Kévin est gay et confronté au sida. Mais c'est bien au-delà de la fatalité que Kévin s'interroge, cherche du sens dans ce qu'il ressent, dans ce qu'il vit, dans le monde qui l'entoure, dans ses relations avec les autres êtres humains. Il confronte les idées reçues à l'expérience, au terrain, au vécu et explore de nouveaux domaines, nouveaux pour lui. Il découvre son propre inconscient et les bases profondes de sa personnalité. Il recherche ses origines humaines, l'origine de ses sentiments, l'origine des blocages qu'il rencontre sur son chemin et continue d'avancer grâce à la force de son désir de vivre malgré tout, là où d'autres baissent les bras ou disparaissent face à l'inéluctable.

01/2018

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Histoire de France

J'ai voulu voir. Lettres d'Alégrie

Gilles Caron fut l’un des plus grands photographes du XXe siècle, ses photos des émeutes de mai 68 sont aujourd’hui connues de tous (notamment celles des émeutes de mai 68, la geurre des Six-jours, etc.) Il a immortalisé les stars de l’époque (Brigitte Bardot, Jacques Brel ou François Truffaut) avant de disparaître tragiquement au cours d’un reportage à l’âge de trente ans. En juin 1960, il fut envoyé en Algérie, comme parachutiste au sein du 3e régiment d’infanterie de marine. Là-bas, il continua d’entretenir une correspondance fournie, commencée dans son enfance, avec sa mère. Tour à tour drôles et sérieuses, légères et inquiètes, ces lettres (environ 300), retrouvées et retranscrites par la femme de Gilles Caron, Marianne Caron Montely, nous dévoilent, avec une intensité bouleversante, la tendresse sans limites qui lie une mère à son fils. Ce dialogue de toute une vie leur est indispensable, à l’un comme à l’autre, et balaie tous les sujets de conversation : des problèmes dentaires de Gilles au référendum du général de Gaulle ; ils discutent de lectures, cinéma, peinture, mais aussi de la vie quotidienne, la famille ou l’appartement que « Mame » prépare pour le retour de Gilles. Leur sujet principal reste la guerre d’Algérie : les lettres échangées entre 1960 et 1962 apportent un éclairage formidable, précis et vivant sur ce terrible conflit. C’est probablement en Algérie que se sont développés la curiosité de Gilles Caron et son besoin de se trouver au cœur de l’action, qualités déterminantes pour la carrière de photographe qu’il entame à son retour. Gilles veut témoigner pour « se situer dans le monde ». Dès 1960, au cœur de la tourmente, il écrivait à sa mère : « Je n’arrive pas à comprendre comment je ne suis pas planqué dans un service à Alger. Enfin, oui, je sais, j’ai voulu voir… »

01/2012

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Critique littéraire

Il n'a pas voulu de moi

Le 8 mars 2012, je viens tout juste d'avoir quarante ans. La maladie me tombe dessus pour ne plus me lâcher : une cirrhose aiguë et une hépatite sévère. Comment en étais-je arrivé là ? La drogue, l'alcool, une vie mouvementée ? Le 4 mai 2012, à l'hôpital de Purpan à Toulouse, je crois bien que c'est la fin pour moi. Je fais l'expérience de la mort imminente. Mais en dépit de toute attente, tout recommence sur des bases nouvelles. S'il me faut désormais composer avec la maladie, je suis aussi animé d'une foi inexpliquée.

04/2016

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Littérature française

Le jour ou j'ai voulu vivre

D'un côté, un jeune homme, il est journaliste. Il porte un drôle de prénom : Soleil. "On t'a appelé Soleil pour que tu réchauffes les coeurs", lui explique sa mère. Sauf que son coeur a du mal à briller… Soleil écrit des lettres à Maëlle, comme on jette une bouteille à la mer, comme des confessions qui disent son désordre amoureux. Il avait rompu avec elle, pour garder une "distance", pense-t-il… De l'autre côté, une jeune femme, une libraire dont on ne sait pas grand-chose au début. Elle croit qu'elle peut se débrouiller seule. Elle rêve beaucoup. Elle est drôle. Elle n'a pas d'amoureux. Elle écrit aussi, à son "Cher journal"… Avec ces deux personnages, la romancière Ophélie Bazillou nous offre "Le jour où j'ai voulu vivre", un superbe roman sur l'art difficile d'aimer. C'est touchant et plein de sensibilité. On sourit souvent. On s'attache à Soleil et à cette libraire à cause, ou plutôt grâce, à leurs fragilités et à cette quête irrépressible de la vie. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.

10/2018

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Romans historiques

Il voulut être écuyer

Fin du XIVe siècle, Bavière Johannes Schiltberger, âgé de 15 ans, devient l'écuyer d'un comte. Celui-ci décide de participer à la guerre contre l'Empire ottoman, voulue par le roi de Hongrie, mais les armées chrétiennes sont défaites par les Ottomans lors de la bataille de Nicopolis en 1396. Schiltberger est fait prisonnier et doit accepter de devenir fantassin au sein de l'armée victorieuse. Il participe à diverses batailles mais lorsque les Ottomans font face aux troupes turco-mongoles de Tamerlan, ce sont ces dernières qui l'emportent. A nouveau captif, il doit désormais combattre à leurs côtés. Après différentes péripéties, parviendra-t-il à regagner son pays natal, plus de 30 années après son départ ?

03/2022

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Lecture 9-12 ans

C'est l'univers qui l'a voulu

Virgile, 11 ans, n'a qu'un seul vrai copain : Gulliver, son cochon d'Inde. Valencia, elle, est sourde et se sent bien seule ; elle passe sa vie à observer la nature. Quant à Kaori, elle vient d'ouvrir un cabinet de voyance - interdit aux adultes ! - avec sa petite soeur Gen. Ils se connaissent à peine. Mais un jour, Virgile se retrouve coincé au fond d'un puit, dans les bois, à cause d'une mauvaise blague de Chet, la brute du collège. Et personne ne sait où il est passé... Les destins des quatre enfants (et de Gulliver, bien sûr) vont alors se mêler. Kaori en est certaine : rien n'arrive par hasard et l'Univers veille sur eux. Et si c'était l'Univers, justement, qui avait organiser la disparition de Virgile pour les obliger à se rencontrer ?

04/2019

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BD tout public

J'aurais voulu faire de la bande dessinée

Philippe Dupuy part à la rencontre de deux musiciens, le chanteur Dominique A et le pianiste de jazz Stéphan Oliva, qui auraient aimé faire de la bande dessinée avant de choisir la musique. Avec eux, il évoque leur amour du 9e art, mais aussi le processus de création, la singularité nécessaire à toute démarche personnelle et artistique, dans un dialogue ludique et didactique au pays de la bande dessinée et de la musique. A son tour, il s'interroge sur son travail d'auteur de bande dessinée et se replonge lui aussi dans ses propres souvenirs d'enfance...

03/2020