Stanley Kubrick

Presque 40 ans après Shining de Stanley Kubrick, Mike Flanagan s'essaie au jeu de la suite avec Doctor Sleep, sur les écrans à partir du 30 octobre 2019. Un long-métrage lui-même adapté du roman de Stephen King, avec, à l'écran, Ewan McGregor, Rebecca Ferguson ou encore Kyliegh Curran.

La fin du film Shining n’aurait pas dû être celle que l’on connaît : Stanley Kubrick a décidé au dernier moment d’en retirer une scène clé, dont le script est désormais accessible au grand public. Bien entendu, attention aux spoilers si vous n’avez pas vu le film ! Et profitez-en pour vous rattraper...

Avec Solaris, Andreï Tarkovski a réalisé son film le plus connu, même s'il ne cachait pas le fait qu'il n'aimait pas vraiment ce long-métrage au sein de sa filmographie. Souvent comparé à 2001 : l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick, Solaris est l'adaptation du roman de Stanislaw Lem paru en 1961.

Avant qu’on ne s’inspire de lui, David Bowie s’inspirait de livres et de films. Parmi eux, Les garçons sauvages, de William S. Burroughs, 1984 d’Orwell ou encore Orange Mécanique, le film générationnel de Stanley Kubrick. Pour faire ressortir toutes ces références, il projetait de faire des comédies musicales dont il nous reste quelques morceaux. 

Publié en 1977, Shining fut d'abord un succès de librairie avant de connaître l'adaptation cinématographique restée dans l'histoire et signée du maître Stanley Kubrick, en 1980. N'oubliant pas ce best-seller déjà ancien, Stephen King s'est remis au travail et proposera une suite qui sortira en septembre 2013 aux Etats-Unis.

Rob Shaw a publié un remake fidèle plan par plan à l’adaptation du livre de Stephen King (Shining, l’enfant lumière, aux éditions Alta et traduit par Joan Bernard) par Stanley  Kubrick. Le clip dure environ 50 minutes et met en scène des personnages fabriqués en miniature. Une manière de se remettre doucement de l'angoisse que procure le film. 

Si l'on a tous en tête les images du film de Stanley Kubrick, L'Orange mécanique est d'abord un roman d'anticipation terrifiant publié en 1962 par l'écrivain britannique Anthony Burgess. Traduit en français en 1972, peu après la sortie du film, L'Orange mécanique nous ouvre les portes d'une société où règne la délinquance juvénile.

C'est qu'il n'y a aucune raison de changer une équipe qui marche : le roi, c'est bien le King. Stephen, de son petit prénom, est présenté comme LA super star de l'édition. Shining, Ça, Christine, et tant d'autres de ses romans ont été portés sur grand écran, parfois par d'humbles et modestes réalisateurs, comme Stanley Kubrick, d'autres fois... 

The Shining est souvent cité dans la liste des plus grands films de tous les temps, et pour cause : démonstration par excellence de la peur par insinuation, il est l'un des succès les plus retentissants de Stanley Kubrick. 42 ans après sa sortie, un coffret collector, créé par les éditions Epiphany et Rough Trade Books, prend la forme du manuscrit, quelque peu déconcertant, de Jack Torrance. 

Quitte à voir toute sa vie privée siphonée et sa maison entièrement dirigée par une intelligence artificielle, autant faire confiance à une technologie qui a fait ses preuves. Un groupe de spécialistes propose ainsi de s'offrir une réplique fidèle de l'ordinateur HAL-9000 et de son célèbre « œil » rouge créé par Stanley Kubrick et l'auteur Arthur C. Clarke pour le film 2001, l'Odyssée de l'espace...

 Orange mécanique : ce titre étrange couvre deux oeuvres du XXe, dont la plus fréquemment citée reste le film de Stanley Kubrick, adaptée de la dystopie du Britannique Anthony Burgess (1917-1993). Mais la moitié de siècle que l'on fête pour l'ouvrage aurait pu être tout aussi sombre que l'univers de la bande de drougies : Orange mécanique a failli ne pas voir le jour dans sa version originale.

En septembre Stephen King va publier la suite de son roman The Shining, qui avait connu une adaptation au cinéma par le grand Stanley Kubrick. Avec le livre et le film, le récit des mésaventures de la famille Torrance à l'Overlook Hotel a acquis de très nombreux fans. Les amateurs de Stephen King quant à eux estiment qu'il s'agit de l'un de ses romans les plus effrayants. 

Est-il encore besoin de présenter ce chef-d’œuvre du 7e art qu'est 2001 : L'Odyssée de l'espace ? Le film culte de Stanley Kubrick, pour ses 50 ans, est de retour au cinéma dans une version restaurée. Avec, à l'écran, Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester, Leonard Rossiter, Margaret Tyzack, Robert Beatty, Sean Sullivan et Daniel Richter, partis pour une aventure inédite dans l'histoire de l'humanité...

Le journaliste et écrivain Michael Herr, célèbre pour ses récits de la Guerre du Vietnam, est décédé le 23 juin 2016 à New York d'une longue maladie, à l'âge de 76 ans. Son livre Dispatched, publié en 1977, suivait les méthodes du Nouveau Journalisme de Tom Wolfe pour raconter l'expérience des soldats au Vietnam. Son récit attirera l'attention de Francis Ford Coppola et Stanley Kubrick pour, respectivement, Apocalypse Now et Full Metal Jacket.

Comment traumatiser le cobaye d'une expérimentation scientifique, en s'inspirant des grands classiques de la littérature moderne ? Facile : tout le monde a encore à l'esprit la joyeuse séquence du film de Stanley Kubrick dans A Clockwork Orange. Inspiré du livre d'Anthony Burgess, on y retrouve Alex, le personnage principal, dans une séance de rééducation, pour lutter contre la violence qui l'anime. Au menu, des images violentes, du Beethoven : voici l'extrait en question.

Certains diront que si le théâtre a Shakespeare, le roman Dostoïevski, la poésie Rimbaud ou la philosophie Kant, le cinéma a Stanley Kubrick. Le cinéaste a adapté de nombreux livres durant sa carrière, toujours signés par de grands auteurs. Son film de 1975 est ainsi tiré du roman picaresque de William Makepeace Thackeray, Mémoires de Barry Lyndon (trad. Léon de Wailly), paru en 1844. Le réalisateur avait souhaité qu'il soit « le plus beau film jamais réalisé en costumes ».

Fraîchement acquitté du meurtre de Colten Boushie, Gerald Stanley, avec l'aide de ses avocats, avait approché plusieurs maisons d'édition. Between the Lines, maison d'édition de Toronto, a refusé le mois dernier de publier ce manuscrit relatant l'affaire Boushie du point de vue de l'ancien accusé, Gerald Stanley. Décision accueillie par une déferlante de mails haineux signés des partisans de Stanley.

A Clockwork Condition : un projet exhumé

Le dernier volet des odyssées spatiales d'Arthur C. Clarke, 3001 : L'Odyssée finale, va prendre la forme d'une minisérie sur petit écran, dans une production de la chaîne SyFy, en collaboration avec Scott Free Productions et Warner Horizon Television. Cette quatrième épopée se déroule un millénaire après la première, adaptée par Stanley Kubrick. Le corps de Frank Poole, qui a dérivé dans l'espace depuis l'échec de la mission Discovery, va être redécouvert et ramené à la vie. Mais la vie sur Terre a bien changé et il lui faudra retourner vers Jupiter.

Le producteur et réalisateur américain James B. Harris adaptera au cinéma le thriller Alex signé par Pierre Lemaitre en 2011 (aux éditions Albin Michel), rapporte l'AFP. Goncourt 2013 avec son roman Au revoir là-haut, l'écrivain sera associé à cette adaptation en tant que coscénariste.

En 1960, un film de Stanley Kubrick et d’Anthony Mann sortait au cinéma. Son titre ? Spartacus avec, dans le rôle principal, Kirk Douglas. Depuis, nous pensons tout connaître de la vie de cet homme qui réussit à former une armée pour combattre l’oppression romaine. Il est devenu l’un des symboles d’une sorte de lutte des classes. Mais qu’en est-il réellement ? Quelles étaient les vraies motivations de Spartacus ? Abolir l’esclavage ? Vraiment ? Yann Le Bohec, professeur émérite à l’université Paris IV-Sorbonne, publie chez Tallandier, une biographie, Spartacus, chef de guerre, qui s’applique à démystifier la vie de cet homme.

Jack Torrance n'imaginait sans doute pas ce qui l'attendait le jour où il décida de postuler pour ce boulot de gardien. Il s'agissait de veiller à l'entretien de l'Overlook, un grand hôtel du Colorado, pendant la saison d'hiver, une fois l'établissement fermé à la clientèle. Il s'y installerait avec sa femme Wendy et leur jeune fils, Danny. Et dès lors, ils seraient coupés du monde... Un isolement dont Jack a bien besoin, lui qui s'apprête à écrire un nouveau livre. Mais un isolement qui a vite raison de sa santé mentale. Il faut dire que le palace semble «possédé», pour avoir été le théâtre d'événements dramatiques et de morts violentes. Et Danny, qui a des talents de médium, ressent bien vite le danger que les fantômes du passé font peser sur sa famille... Mais cela suffit-il à justifier la soudaine folie meurtrière de Jack ?...

A la tête de la Cinémathèque française depuis plus de douze ans, Serge Toubiana vient de faire savoir qu’il avait choisi de quitter son poste dès la fin de cette année. C’est sur son blog que cet amoureux du cinéma a fait connaître son choix, rapporte l'AFP.

L’Hôtel Stanley situé au sein de l'Estes Park dans le Colorado est devenu célèbre pour avoir inspiré The Overlook Hotel dans le roman de Stephen King, Shining. Les propriétaires envisagent très sérieusement de devenir un véritable emblème du genre : ils souhaitent transformer une partie de leur bâtisse en musée... de l’horreur.

Le concept et ses applications sont déjà tout prêts, préparés par le talentueux et renommé cabinet de design Yanko Design, en collaboration avec Fujitsu. Leur vidéo fait rêver.

Bande-annonce : Une version familiale de Shining, pour tout public

En 1984, sur le tournage du film 2010 : L'Année du premier contact, la suite de 2001, L'Odyssée de l'espace et l'adaptation de son livre 2010 : Odyssée deux, Arthur C. Clarke nomme ses 12 films de science-fiction préférés. Et autant dire qu'il s'agit de sacrés classiques...

Dans l'adaptation cinématographique de Shining, par Kubrick en 1980, le mystère entourant le mal qui s'emparait de Jack Torrance (Jack Nicholson) ajoutait au malaise. Même le roman de King restait évasif, mais le Maître avait rédigé un prologue à son roman, racontant les débuts du sinistre Overlook Hotel. Ce prélude à Shining sera prochainement adapté au cinéma par Mark Romanek, derrière la caméra pour Never Let Me Go, notamment.

Alors que le prix Arthur C. Clarke a récemment envoyé un appel massif à ses fans, pour aider les organisateurs à le moderniser, l'une des grandes oeuvres du romancier revient sur le devant de la scène.