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Souvenirs sans égards : 3 inédits d'Alain

Souvenirs sans égards : trois inédits d'Alain

Souvenirs sans égards : 3 inédits d'Alain

Les lycéens parlent de leur lycée :

C'était mi-avril 2011, dans un communiqué de presse, la société Jouve et la BnF annonçaient un partenariat, pour la numérisation de collections imprimées. Une opération de grande envergure, qui impliquait un partenariat entre Safig, Diadéis et le sous-traitant BlancTec, pour la numérisation de 70.000 ouvrages par ans.  

Comme chaque semaine, Neil Jomunsi nous propose un nouveau texte. Pour rappel, Neil Jomunsi a décidé, en hommage au grand auteur américain Ray Bradbury, d'écrire une nouvelle par semaine pendant un an. Résumé de la semaine. À l'occasion de l'anniversaire de la publication de Fahrenheit 451, l'oeuvre-phare de Ray Bradbury, le jeune auteur s'est attaqué au thème des univers totalitaires et nous en propose sa version, logiquement intitulée... Celsius 233 (faites la conversion).

Il y a quelques mois, passait sur France 2 un téléfilm réalisé par Nina Companeez, qui mettait en scène La Recherche du temps perdu de Marcel Proust.

Fidèle au poste – et pas simplement de télévision – La Grande librairie donne rendez-vous ce 6 février à nos neurones. Et plus particulièrement aux souvenirs de chacun. À partir de 20h50, une nouvelle émission est à retrouver.

Alessandro Baricco, auteur italien, père de Novento pianiste, Soie, Le château de la colère et bien d'autres encore, nous emmène, dans chacun de ses ouvrages, au cœur d'un monde à la fois énigmatique et poétique. Par Deborah Lecqu.

A la manière de ses concurrents high-tech comme Sony avec son projet Morpheus, Facebook avec son masque Oculus Rift, parmi d'autres, la société Apple a pris soin de déposer divers brevets concernant les expériences de réalités virtuelle et augmentée. La semaine dernière, une petite annonce passée sur son portail de propositions d'emplois, pour recruter un ingénieur spécialisé en la matière, semble indiquer que quelque chose se prépare. 

Ce samedi 18 février l’Hôtel de ville de Paris a accueilli la 23ème édition du « Maghreb des livres », une manifestation qui a réuni plus de cent trente auteurs, avec un accent particulier mis sur l’Algérie. Des ateliers de calligraphie étaient proposés aux visiteurs venus nombreux. Mais on pouvait aussi assister à des conférences ainsi qu’à des lectures.

Alors que plusieurs éditeurs ont lancé un ensemble de réflexion pour épauler les librairies du territoire et leur permettre de poursuivre plus sereinement leur activité, leurs librairies du Limousin viennent de publier un état des lieux, réalisé par le Centre régional du livre.

La peur de se tromper est un élément extrêmement bloquant chez les élèves français, à tel point que cela freine leurs apprentissages. Pour pallier cette situation et faire évoluer les pratiques, le professeur en didactique du français Yves Reuter vient de publier un petit livre intitulé Panser l'erreur à l'école (Presses universitaires du septentrion, 14 €, 10 € en version numérique). Le Café pédagogique est allé à la rencontre de l'auteur.

Avant d'évoquer les solutions mises en place au Japon en ce qui concerne le manga numérique, il serait bon de prendre connaissance de l'ampleur du marché là-bas. On n'est plus dans les balbutiements d'un marché naissant comme en Europe, ni face à un marché en plein boum mais avec une offre ridicule comme aux États-Unis. Le marché du numérique japonais est plus mature et les manga y tiennent une grande place.

Statistique Canada a publié en décembre son Annuaire du Canada 2010. Au sein de ces 456 pages, on retrouve une analyse chiffrée minutieuse du marché du livre sur l’année 2008. Et, sur cette dernière, l’écrit constituait toujours le premier élément du commerce culturel canadien. Il correspond à 71 % des importations et 34 % des exportations sur le marché des biens culturels.

Les Français... sous le regard persan de Montesquieu

FNAC expose le regard de Sfar sur Gainsbourg

Pascaline Lumbroso nous entraîne, avec vivacité et bienveillance, à changer de point de vue sur l’une des étapes essentielles de la vie des femmes, étape à laquelle bien souvent elles ne sont pas préparées. La ménopause, transition naturelle encore trop souvent associée à la vieillesse, est ici valorisée et poussée à être pleinement assumée… Expérience personnelle à l’appui ! Par Caroline Daviau, thérapeute santé et bien être.

Ah, l'Amérique… lieu d'excès et de tous les possibles, où l'invraisemblable côtoie le surnaturel,  et le lieu commun fricote avec l'absurde. Et en matière de recherches effectuées sur internet, on frise non seulement le ridicule, mais surtout, on se rend compte que la démocratie est bien le pire des régimes : celui qui préfère le football (américain) à la littérature. Sauf que, s'il ne s'agissait que de football américain…

ouvrage de rencontresregards, tous étrangers, variés et multiples posés sur la France

Louis Bayard nous regarde avec Un œil bleu pâle

Ahhhhh, les cérémonies à la française… il est dit que c’est soporifique… et c’est tellement vrai ! Télécommande à la main, prête à zapper, pas le temps de rester, un samedi soir sur la Terre autre chose à faire… Et pourtant, samedi soir, lors des 25es victoires de la musique présidées cette année par Charles Aznavour, nous avions du bon.

Sept éditeurs indépendants au Liban témoignent, dans une série d’interviews réalisées en partenariat avec l’Alliance internationale des éditeurs indépendants, qui en assure également la traduction. Ces regards croisés permettent de mieux mesurer la situation où chacun se trouve. ActuaLitté propose ce document inédit en exclusivité.

En cette fin d'année, les bilans pleuvent, les listes de flops et de tops boivent sans vergogne à toutes sources d'encre numérique, et les médias font feu de tout bois, même mouillé. Comme l'infographie est une mode sans précédent, notre petite publication a choisi d'amorcer l'année nouvelle, en votre compagnie et en se remémorant le passé – et ça, c'est un zeugma ! Parce que non, nous ne sommes pas tombés de la dernière pluie d'octets...

Que nous réserve l'avenir ? Cette semaine, La Grande Librairie accueille des romanciers, des scientifiques, et des philosophes pour y voir plus clair et vous inspirer.

Si les œuvres, les pierres, les objets pouvaient parler, que nous diraient-ils ? Question que l’on se pose souvent quand on visite un musée, un monument ou encore quand on tient un livre ancien dans ses mains. Alain Le Ninèze, essayiste, romancier, publié chez Autrement, au Seuil, chez Acte Sud et maintenant aux ateliers Henry Dougier, essaie, à sa façon, de faire parler le tableau le plus illustre qu’il soit, l’intrigante Joconde, Mona Lisa.

Dès lors qu'on est attentif à cette affaire de premières fois, et qu'on ouvre un livre, qu'on regarde un film, on se met en mode recherche, la moisson est riche. À croire que littérature et cinéma passent leur temps à mettre en scène des premières fois, comme si c'était là le grand ressort de l'émotion. Il faut bien, diront les esprits pragmatiques,  qu'à un moment le monsieur voit la dame pour la première fois (et inversement). Force est de reconnaître qu'ils n'ont pas tout à fait tort.

Raconter des histoires, c’est dire une manière d’être au monde. Dans Bayard Récits, des autrices et auteurs racontent le réel en portant un regard singulier sur la société. Leurs ouvrages s’inscrivent dans le genre de la narrative non fiction, au croisement du journalisme et de la littérature.

Dans l’imaginaire collectif, Hermione, Ronald, Harry et tous les autres, ont désormais pris les traits des acteurs qui les auront incarnés au fil des productions cinématographiques. De Daniel Radcliffe à Emma Watson, en, passant par Rupert Grint ou Alan Rickman (Severus Rogue), les visages se sont imposés, tout en évoluant avec l’âge. Mais à quoi ressemblent réellement les personnages ?