Plantu était évidemment au rendez-vous, pour rendre hommage aux victimes de la tragédie Charlie Hebdo. L'artiste a perdu des confrères et puis des amis aussi, qu'il connaissait pour certains depuis des décennies. Mais, interrogé par Le Monde au lendemain de l'attentat, il continue d'en parler au présent. Finalement, en son art rien n'a changé. Si ce n'est que « leurs assassins m'ont mis des boosters au bout des doigts. [...] La guerre est ouverte entre démocratie et barbarie. Il faut s'y préparer, et ne pas baisser le crayon. Jamais ».