revendeurs

Amazon trépignait aux portes de la Chine, mais son entrée dans le pays est désormais actée. Après avoir passé les contrôles scrupuleux du ministère de l'Industrie et des technologies de l'information, toute la gamme des appareils Kindle est disponible dans l'Empire du Milieu, via la chaîne de revendeurs Suning.

Petite nouveauté pour les auteurs indépendants, puisque le service de Penguin, Book Country, communauté de lecteurs et auteurs en ligne, offre la possibilité de commercialiser leurs ebooks. Une solution déjà présente, puisque l'on retrouvait les titres chez les revendeurs classiques, et qui a été améliorée avec un service de vente directe. 

Un distributeur et revendeur de livres numériques a décidé d’explique que les DRM, trop c’est trop. Et surtout, que cette pratique du verrou numérique n’a finalement qu’une finalité : celle de favoriser les grands acteurs américains. 

Le marché du livre numérique poursuit sa croissance un peu partout, et aux Pays-Bas pas moins qu'ailleurs. Patrick Steenvoorden, de Centraal Boekhuis, premier revendeur néerlandais, explique qu'en 2010, les ventes ont dépassé les 350.000 exemplaires.

La chaîne de librairies Barnes & Noble commence à s'y connaître en matière de livres numériques : dotée de sa propre gamme de lecteurs et d'une honorable bibliothèque, elle espère rivaliser avec Amazon et limiter les parts de marché du géant... Ce qui ne sera pas chose facile avec des pratiques commerciales aussi étranges : ainsi, une carte de crédit périmée pourrait bien vous priver de lectures...

Vente de livres érotiques : bientôt une action en justice

L’occasion de faire des affaires sur internet, tout en garantissant la promotion des grandes marques de revendeurs en ligne… c’est tout cela les French Days. Durant cette période de promotion, même les libraires s’y mettent — alors que la loi sur le prix unique du livre interdit, sauf conditions, de pratiquer des rabais. 

L’industrie du livre se divise en Italie autour d’une législation encadrant le prix de vente des livres, et, profitant de la pagaille, Amazon initie un nouveau service. Amazon Business per le Librerie, est un outil « conçu exclusivement pour les revendeurs de livres ». Et l’on ne parle pas d’occasion cette fois.

Pour assurer la distribution de leurs ouvrages numériques, auteurs et éditeurs ont souvent recours à des outils tiers. Des systèmes comme PublishDrive ou Draft2Digital permettent d’assurer une présence chez les revendeurs d’ebooks plus modestes. Mais Google Play Book entend mettre en place des relations plus directes, en se passant de pareils intermédiaires.

Après la parution d'un premier audiolivre du premier tome de la saga du Seigneur des anneaux, signée par J.R.R. Tolkien, les éditions HarperCollins en proposent un nouveau, qui reprendra l'intégralité de ce phénomène international. Celle-ci sera disponible dès le 16 septembre auprès de tous les revendeurs de livres audios. 

Un petit vote organisé entre Britanniques autour des revendeurs vient de faire ressortirque la chaîne WH Smith était le pire magasin de toute la Grande-Bretagne. Le pire de tous. L'enquête réalisée montre en revanche qu'Apple a reçu la meilleure des notes possibles, alors qu'étaient passés au crible 100 magasins britanniques. 

Les livres d’Haruki Murakami sont-ils menacés par les revendeurs en ligne ? La librairie japonaise Kinokuniya a décidé d’acheter 90.000 des 100.000 exemplaires de la première édition de son livre Novelist as a vocation. L’intention est de permettra aux clients des boutiques physiques de pouvoir se procurer l’ouvrage.

Les pays qui ne régulent pas la vente de livres, papier ou numérique, voient fleurir des outils insolites, comme le service Hebban. Il s'agit d'un comparateur de prix, qui met en concurrence les revendeurs, pour proposer au client le moins cher de tous. De quoi faire encore une fois grincer des dents. 

Quel est le devenir de l'édition ? Serait-il en train de s'écrire avec le site Pottermore et ses futurs développements ? On pourrait découvrir un aperçu intéressant sur Futurebook, qui analyse les perspectives que Pottermore offre dans le renouveau des échanges entre éditeurs et revendeurs, tout en forgeant une autre relation avec les lecteurs.

Après une dizaine d'années de dégringolade dans les chiffres de vente, le manga a connu une légère hausse pour le début d'année 2012 chez les revendeurs américains de bandes dessinées. Cette évolution imprévue s'explique par la disparition du réseau Borders, qui captait jusqu'à 40 % des ventes à sa plus belle époque.

Random House Uk a annoncé qu'il ne suivrait pas la même politique que Random House US concernant le modèle d'agence. On se souviendra que l'éditeur américain avait décidé d'adhérer au modèle d'agence expliquant que fixer un prix unique pour les ebooks « garantirait une plus grande marge pour les revendeurs ».

Les relations entre Taïwan et la Chine empirent, attendu que le turbulent voisin continental continue de mener la vie dure aux livres. De nouvelles normes entrent en vigueur concernant les importations d’ouvrages taïwanais. Et pour les revendeurs chinois, assure un libraire indépendant de la capitale, la commercialisation de livres devient plus complexe que jamais.

Nouvelle stratégie. Amazon pourrait bien faire disparaître la comparaison entre le prix de vente d’un produit et celui conseillé par le fabricant. Le revendeur ferait par là en sorte que le produit n’affiche qu’un seul prix, apparemment fixé par lui. 

Revendeur majeur, l’Indien Flipkart s’est positionné juste après Amazon dans la liste des meilleurs vendeurs de livres au monde. Passant devant des sociétés comme Barnes & Noble, ou Fnac et même Waterstones, Flipkart prend une place à laquelle peu l’attendaient.

Il n’y aura pas de feuilleton estival, pourtant tant espéré, racontant les frasques entre Amazon et Penguin Random House UK. La filiale du groupe éditorial américain a trouvé un terrain d’entente avec le revendeur. Donc, comme prévu, fin de l’histoire.

Le « Kindle Killer » Kobo atteint un nouveau palier dans la guerre des prix qui l'oppose aux autres constructeurs de readers en proposant son appareil d'entrée de gamme, le Kobo reader WiFi non tactile, pour 49 £ (environ 59 €) chez le revendeur AsdaDirect. 

Instaurée en 1981, la loi dite Lang, permettant aux éditeurs de fixer un prix de vente à leurs livres, imposé aux revendeurs, séduit toujours autant les industries culturelles. En 2016, le marché du jeu vidéo en France s’élevait à 3,46 milliards €, soit 4 % de croissance – continue depuis quatre ans. Mais on peut faire mieux...

Voilà une semaine à peine que le grossiste américain Baker & Taylor a annoncé la fin de ses activités à destination des libraires et revendeurs. L’idée de se consacrer exclusivement aux bibliothèques et scolaires — donc aux marchés publics – fait des remous et contraint les éditeurs à s’adapter. Premier en date, Hachette Book Group, mais les autres suivent.

La rentrée, c’est le vent dans les feuilles, lesdites feuilles qui tombent, les couleurs qui passent du vert massif au rouge, orange, jaune… Et ce sont les petites incartades des grands revendeurs de livres au-dessus des lois — même celle qui établit un prix unique aux livres, fixé par les éditeurs desdits livres. Non, pas “d'Edilivre”…

Les questions tournant autour des taxes sur les livres numériques préoccupent actuellement, et depuis un bon moment, nos cousins d'outre-Atlantique. Au Québec, plusieurs revendeurs ont remarqué qu'une ponction de 9,5 %, relative à la taxe de la Belle Province, s'applique sur les ebooks, alors qu'elle n'existe pas sur les livres papier. Quid ?

Avec 40 % de parts du marché mondial, selon les experts de l'industrie, Penguin Random House est un monstre qui n'a pas fini de grossir. Cette fusion des groupes Pearson et Bertelsmann réunissant leurs pôles éditoriaux a donné lieu à une créature puissante. Surtout quand il s'agit de négocier des contrats avec les revendeurs. 

Les chaînes de revendeurs américains ferment aussi. Mais dans la ville de McAllen, dans l'État du Texas, si un volcan s'est éteint, une bibliothèque s'est éveillée. En effet, dans un ancien centre commercial Walmart, s'est ouverte la plus grande bibliothèque de plain-pied aux États-Unis, c'est-à-dire 11.600 m2. 

Les organisations internationales prônant l'adoption rapide de l'EPUB3 comme format standard pour les livres numériques se multiplient : après la Fédération européenne et internationale des libraires (EIBF), l'Association des éditeurs américains (AAP) s'associe avec l'International Digital Publishing Forum pour faire la promotion de ce type de fichier auprès des éditeurs et revendeurs.

En témoignent les annonces dans les magasins, les publicités la variété d'offres et de gammes de prix disponibles sur le marché, les dispositifs de lecture et de divertissement sont devenus un enjeu pour les fabricants et les revendeurs. Si bien que les machines rivaliseront bientôt avec les ordinateurs portables, ce que vient de comprendre Microsoft, au hasard.

Les consommateurs des pays anglo-saxons se plaignent. Eux qui ne connaissent pas de loi permettant aux éditeurs de fixer un prix unique pour l'ensemble des revendeurs au livre papier ne comprennent pas ce qui se trame autour du livre numérique. C'est pourtant simple : les éditeurs ont souhaité obtenir des garanties, au détriment des clients.