Bonnier Publishing Fiction

Le groupe d’édition suédois Bonnier, crée en 1804, comprend plusieurs domaines de compétences. Spécialisé dans les secteurs de l’édition (magazine, livres, journaux), du cinéma ou encore des médias radiotélévisés, ce groupe d’origine danoise basé à Stockholm (Suède) fait partie des plus grosses sociétés privées du monde. Avec des structures disséminées aux quatre coins du globe, Bonnier s’adresse essentiellement aux publics américains, allemands, britanniques et d’Europe de l’Est. Dernièrement, la maison d’édition Bonnier Publishing a décidé de créer une division australienne de la maison. 

Quelques mois après le rachat de la maison jusqu'à lors indépendante Quercus, par Hachette, son fondateur et ex-PDG Mark Smith rejoint la branche d'édition de fictions de Bonnier. En tant que PDG de Bonnier Publishing Fiction, label basé à Londres, l'entrepreneur aura à charge des titres pour adultes comme enfants. Pour un montant non communiqué, il apporte également sa société Zaffre Publishing, et son label dédié aux auteurs émergents Twenty7, dans le giron du groupe.

Les débats autour de l'utilisation des verrous numériques, ou DRM, sur les catalogues, ne sont pas calmés en Allemagne. Dès le début d'année, des libraires allemands avaient souligné toute la stupidité de ces moyens techniques de protection, qui ne font que rendre difficile, voire impossible, l'usage des livres numériques. Le Syndicat des éditeurs, le Börsenverein, avait appuyé cette demande des libraires.

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Suite au rachat annoncé fin octobre 2021 du groupe Hugo Publishing, rejoignant Glénat, les grands mouvements débutent. Diffusée et distribuée par Interforum, la maison qu’avait fondée Hugues de Saint-Vincent rejoignait la société aujourd'hui dirigée par Marion Glénat, fille du fondateur. Et fort logiquement, Hugo allait se détacher d’Editis, à plus ou moins court terme.

D'abord regardé avec méfiance, le modèle de l'abonnement pour accéder aux livres numériques devient une piste de développement pour les grands groupes éditoriaux. Le suédois Bonnier annonce ainsi la mise en place d'une offre d'abonnement, sur le site BookBeat, avec la perspective d'une expansion à l'international.

Le groupe d’édition suédois Bonnier avait déjà fait sensation en juin dernier : avec l’abandon des DRM, la firme donnait le ton. Et depuis outre-Rhin, le mouvement de déverrouillage des fichiers est devenu un véritable enjeu politique. Maintenant, c’est avec une offre de lecture par abonnement que le groupe va se distinguer, proposant ebooks et audiobooks, nouveautés comme titres du fonds.

Alors que Simon & Schuster sont parvenus à un accord, avant même que le contrat liant les deux parties ne prenne fin, la situation en Allemagne était assez différente. Le groupe suédois Bonnier, implanté outre-Rhin, était en conflit avec Amazon, aussi ouvert que celui du groupe Hachette Book outre-Atlantique. Qu'on se réjouisse, la situation se résout.

L'un des rendez-vous les plus attendus de la Foire du Livre de Francfort n'est autre que le « CEO Talk » : cette année, c'est Jacob Dalborg, PDG de Bonnier Books. Le groupe suédois est l'un des plus importants du secteur du livre européen, et Dalborg viendra apporter des précisions quant à la stratégie mise en place pour l'avenir.

La maison d'édition allemande Bonnier vient d'annoncer le rachat de l'éditeur britannique Igloo Books. Avec ce mouvement, à effet immédiat, l'éditeur entend se constituer « force dominante » du marché du livre jeunesse, créneau livresque parmi les plus fructueux du moment. Selon certaines estimations, le chiffre d'affaires annuel du germanique pourrait passer d'environ 55 millions à 85 millions £, et la société pourrait être bien partie pour viser les 100 millions £ pour l'année 2016. La somme versée pour l'acquisition n'a pas été rendue publique.

Seulement huit mois après son lancement, le groupe d’édition Bonnier annonce la fermeture de la branche britannique de la plateforme d’autopublication Type & Tell. Elle sera effective le 20 décembre 2017. Après la fermeture du service Pronoun par le groupe Macmillan, il semble donc que l'activité d’autopublication gérée par des éditeurs soit délicate. 

Bloomsbury est sur le point de vendre sa filiale allemande Bloomsbury Verlag GmbH à une filiale du groupe de média suédois Bonnier AB, informe The Bookseller. Cette vente s'effectue dans le cadre d'une stratégie de partenariat de Bloomsbury avec Piper Verlag, un entreprise du groupe Bonnier AB.

Le groupe d’édition suédois Bonnier fait partie de ses poids lourds médiatiques, avec plus de 175 sociétés et une présence dans 17 pays. Le groupe vient de s’offrir l’éditeur indépendant John Blake, spécialisé dans la non-fiction, pour une somme qui n’a pas été dévoilée.

Le groupe d'édition Bonnier est l'un des plus importants d'Europe : on apprend d'ailleurs que sa filiale britannique, Bonnier Zaffre, s'est engagée dans un processus d'extension aux États-Unis. En attendant, en Suède, son pays d'origine, le groupe connaît une période mouvementée, alors qu'il est accusé de chercher à brader le travail des traducteurs en revoyant de manière unilatérale leur contrat type.

Les résultats sont enthousiasmants, assure un email envoyé par Jeff... Belle, le vice-président d'Amazon Publishing, à des agents littéraires. Ce dernier se dit particulièrement content des premiers mois d'exploitation des différentes filiales de la maison d'édition. Et des ventes de livres, bien entendu !

Après La semaine de 4 heures et Le corps de 4 heures, l’auteur Timothy Ferriss s’apprête à publier un nouveau guide spirituel : Le chef de 4 heures (The 4 Hour-Chef) et pas chez n’importe quel éditeur...

Les éditions IDW (Star Trek, True Blood, Doctor Who, G.I. Joe, Rocketeer...) viennent d'obtenir une licence d'exploitation de la série Judge Dredd, initialement publiée par Virgin Books.

Publishing Technology : une premier semestre solide

L'Union des Écrivains suédoise a annoncé, début juillet, la résolution d'un conflit de longue date entre la profession de traducteur et le groupe d'édition Bonnier. Ce dernier, plus important éditeur du pays, a finalement accepté de signer un modèle de contrat satisfaisant pour les traducteurs, qui menaient depuis plusieurs mois un mouvement de boycott à son encontre.

La société IDW Publishing, filiale d'édition du distributeur Diamond Comic, s'est offert son concurrent Top Shelf Productions pour bien commencer l'année. Une acquisition attendue, de la part d'un éditeur mainstream, qui se dote ainsi d'une filiale un peu plus tournée vers le travail d'auteur. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé.

Figure de l’édition belge, les éditions Mardaga vont connaître une nouvelle vie : elles sont reprises à partir de ce jour par Thibault Léonard (fondateur de Lemaitre Publishing). « C’est une excellente nouvelle et cela permet d’assurer complètement la continuité des activités de l’entreprise », assure-t-on. 

Le Wall Street Journal jette un regard critique sur la première saison éditoriale d'Amazon, en rapportant l'étonnante stagnation des ventes de Penny Marshall, My Mother Was Nuts, l'une des grosses figures de la société. Et ce n'est pas tout, les nouvelles acquisitions de la société sont aussi au ralenti…

Une nouvelle qui ne va pas faire plaisir à tout le monde. Le fait qu'Amazon fasse aussi de l'édition n'est pas pour rassurer de nombreux acteurs du livre. Hier, on a appris que, pour la première fois, un livre Made in Amazon avait dépassé la barre du million d'exemplaires vendus. Il s'agit de l'auteur Oliver Pötzsch et de sa série Hangman's Daughter. 

Le départ de Larry Kirshbaum, patron d'Amazon Publishing, la filiale éditoriale, n'aura pas laissé la place à un intérim prolongé. En effet, si l'ancien agent littéraire a décidé de quitter le groupe et de repartir à ses anciennes amours, à compter du 17 janvier, son remplacement est déjà assuré.

Comme le rapporte GalleyCat, les éditions Amazon Publishing préparent la sortie en décembre d'une courte biographie du Christ par l'écrivain Jay Parini et intitulée Jesus : The Human Face of God. La divinité faite homme rejoindra ainsi d'autres icônes, certes moins orthodoxes, mais chacune vénérée à leurs propres manières, au sein d'une série biographique. La version hardcover sera tarifée 12 dollars contre 3,99 pour l'édition Kindle. Amen.

Adobe tout fier, vient de se fendre d'un billet pour annoncer quelques nouveautés pour Digital Publishing Suite, avec trois grands axes. Améliorer l'expérience de téléchargement, accroître la monétisation des contenus et peaufiner les éléments que l'on peut mettre dans son fichier.

Publishing Technology, le plus gros fournisseur de logiciels et services de l’industrie éditoriale a ouvert un bureau à Paris aujourd’hui, permettant ainsi un soutien au marché français.

Lagardère Publishing se contracte, Wendel se dilate

Jouve achète Publishing Dimensions, créateur de eBooks

La rémunération qui coince pour l'éditeur