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Moi, j'aime la Belgique ! (poème parlé marché)

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Dossier

Salon du livre de Genève 2019 : la Belgique à l'honneur

La 33e édition du salon du livre de Genève se déroulera du 1er au 5 mai dans le Halle 2 de Palexpo. Sous la double présidence de Lydie Salvayre et Éric Fottorino, la manifestation littéraire accueille la Belgique Wallonie-Bruxelles, comme hôte d’honneur. Et dans le même mouvement européen, convie le patrimoine littéraire de Barcelone en ses murs.

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Dossier

Poésies d'ici, poèmes d'ailleurs

La poésie a longtemps été considérée comme l'apanage des âmes sensibles, des rêveurs et des romantiques. Mais qu'en est-il vraiment ? Est-ce un art réservé à une élite ou peut-on tous s'y adonner ?

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Dossier

Octobre, mois de l'Imaginaire, la littérature de demain

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Fête du Livre 2023 : le rendez-vous littéraire de Saint-Étienne

La 37e édition de la Fête du Livre de Saint-Étienne est en marche ! Du vendredi 13 au dimanche 15 octobre, la ville s'anime autour de la littérature, offrant aux passionnés et aux curieux une pléiade d'événements.

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Dossier

Memento mori : pour 2024, les Imaginales invoquent la vie et la mort

Nichée dans le massif des Vosges, la Cité des Images d'Épinal mène des projets de plus en plus ambitieux pour promouvoir l'image populaire et ses manifestations contemporaines sur son territoire. Parmi les événements phares, le festival des Imaginales, associé depuis l'année dernière à la Fête des Images, occupe une place centrale.

Extraits

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Poésie

Moi, j'aime la Belgique ! (poème parlé marché)

"Nous entrons dans un monde de nationalités d'emprunt. Nous serons des immigrants légers. Plus d'évasion d'impôts à la Charles Baudelaire : nous apportons notre moitié rêveuse à la Belgique, elle apporte la sienne à la France. Exemple, je m'assieds sur une banquette d'un café d'Anvers où je laisse s'écouler un Escaut de temps. Devenu rivière de moi-même, je me réfléchis, nous nous réfléchissons à plusieurs dans nos confluences. Des ombres s'asseoient à côté de moi, ni plus anciennes ni moins réelles, je leur parle elles me parlent elles ne passent plus. Rubens s'entretient avec Spilliaert et Ensor. Le chanteur Jacques Brel souffle dans les cheveux du petit Emile Verhaeren. D'imperturbables iguanodons se désaltèrent, croqués par un dessinateur de bandes dessinées. La grande Garabagne d'Henri Michaux ? Non, nous sommes dans un pays réel rêvé ! Vous préférez la Suisse ? Pourquoi pas, mon livre est une méthode universelle - le PPM, Poème Parlé Marché". Jacques Darras.

03/2001

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Récits de voyage

Tu marches, il marche, vous marchez... moi je cours

Icône du sport français, Marie Dorin livre pour la première fois un texte personnel sur l'empreinte que la marche laisse dans sa vie. Dotée d'une imagination débordante, elle raconte sa peur et sa fascination pour les animaux sauvages et ses souvenirs d'escapades plus vrais que nature. Un récit littéraire exclusif, authentique et plein d'humour. Icône du sport français, Marie Dorin livre pour la première fois un texte personnel sur l'empreinte que la marche laisse dans sa vie. Dotée d'une imagination débordante, elle raconte sa peur et sa fascination pour les animaux sauvages, ses souvenirs d'escapades plus vrais que nature, sa passion pour la connaissance de la faune et de la flore, et sa prise de conscience écologique assortie d'actes concrets. Un récit littéraire exclusif, authentique et plein d'humour. Extrait "... La troupe d'enfant silencieuse encadrait le conteur qui a fini par rassembler autour de lui tous les jeunes du groupe, suspendus à ses lèvres. Malin, mon père n'a pas raconté toute l'histoire d'un seul trait. Il faisait des pauses. Style il racontait l'histoire pendant une demiheure, puis, prétendait devoir se reposer, ou boire, ou vouloir parler avec un autre adulte. Et nous laissait ainsi en proie au désir brûlant de connaître le destin des personnages. Et aux questions. Pourquoi la femme n'aimait pas l'homme ? Comment tout cela allait-il finir ? Mal, on s'en doutait. Et ça nous fascinait encore plus. On marchait en silence, en repensant au récit. Petit à petit, l'histoire se diluait dans l'air, emportée par le chant des oiseaux qui semblait-il, avaient soudain repris leurs trilles sautillants. La femme s'était évaporée et la forêt avait retrouvé une allure de forêt. Les arbres se distinguaient de nouveau par la forme de leurs feuilles et la couleur de leurs troncs, les bruits retrouvaient leurs propriétaires : oiseaux, vent, pas sur les brindilles etc. Chaque élément reprenait ses contours respectifs et se dissociait de la forêt qui unifiait l'instant précédent ses habitants en un ensemble mystérieux. Jusqu'au moment où de nouveau, la marche devenait trop longue et que l'histoire reprenait vie avec la voix de mon père. . ".

11/2019

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Religion

Parole en marche

Avec Provocation au goût de vivre, la résurrection de la chair (L'Harmattan, 1998), l'auteur nous avait introduits au cœur de la foi chrétienne. Avec Parole en marche, Albert Boisson poursuit son chemin et nous fait découvrir le secret de sa vie quotidienne. " Tu as trouvé le moyen de raconter ta vie entière en une année, lui dit, dans un interlude, son ami Lucien Avenas, le passé en s'insérant dans le présent retrouve son éclat, revit, devient actuel, concret... Cela n'a rien d'une lourde discussion intellectuelle, cela est léger, une plume au vent qui nous fait lever la tête vers le ciel pour un moment de contemplation... Tout ton journal se boit comme un verre d'eau fraîche... Il m'a inspiré et poussé à prendre moi aussi la plume. " Comme on prend un train en marche, le lecteur pressé peut prendre ce Journal au hasard des jours, peut-être recevra-t-il une bouffée d'oxygène ? Il y trouvera entre mêlés, " mieux qu'une photo ", des instantanés, graves ou légers, de la vie familiale ; les élans du marcheur émerveillé par la beauté du monde qui l'entoure ; des réflexions sur l'Eglise et la foi, cette foi qui ne devrait être qu'un cri d'amour en Dieu, quel que soit le nom qu'on lui donne. Ce livre espère servir de déclic pour mettre " la parole en marche ". C'est une invitation pour oser libérer sa propre parole.

01/2005

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Littérature étrangère

Parle-moi

Une bibliothécaire d'une petite ville de Norvège, seule et désoeuvrée, part presque malgré elle en vacances à Cuba où elle est séduite par un musicien. L'histoire d'amour intéressée finira par tourner court après de nombreuses péripéties et allers et retours, mais aura été, sans illusion aucune, jusqu'au mariage. Mais que peut faire un Cubain en hiver en Norvège ? Au-delà du regard porté sur une autre culture, un autre corps, c'est toute la détresse, la solitude, l'enfermement de cette femme – pas dupe – qui est décrit ici, non sans humour. La question migratoire s'en trouve détournée. Qui fuit quoi ?

10/2020

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12 ans et +

Parle-moi !

Trois ans à sortir avec le beau, sublime, merveilleux Bryan. Trois ans ensemble, et à l'instant où le diplôme est en poche, l'université au bout du chemin, Bryan quitte Devi. Effondrée, la jeune fille pense que son avenir est fichu. Mais le destin n'a pas dit son dernier mot. Son portable sonne : à l'autre bout du fil, c'est elle-même, Devi, trois ans plus tôt. Une version d'elle-même qui n'a pas encore connu ses déboires et aurait bien besoin de ses conseils. Devi se trouve soudain devant une chance inespérée : tout recommencer autrement !

07/2014

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Littérature anglo-saxonne

Parle-moi

A l'université d'UCSM, en Californie, un sujet est dans toutes les bouches : le passage à la télé du professeur Guy Schermerhorn et de son chimpanzé Sam - un singe pas comme les autres : il parle, Guy l'ayant initié à la langue des signes. C'est alors que, dans le hall, Aimee tombe sur un prospectus indiquant que le professeur cherche des étudiants pour l'assister dans ses recherches (comprendre : s'occuper de Sam). " Aucune expérience nécessaire, est-il précisé. Seulement de la patience et un dos à toute épreuve. " En effet, la tâche n'est pas de tout repos, ce dont peut témoigner la prédécesseuse d'Aimee, défigurée après une grave morsure. Mais la jeune étudiante s'en sort à merveille. Grâce à sa douceur maternelle, elle arrive à canaliser l'animal. Et puis elle lui change ses couches, lui donne le bain, répare ses bêtises, le câline, lui fait la cuisine - quand Guy ne commande pas des pizzas (le plat préféré de Sam). Voilà de quoi satisfaire le professeur : il a trouvé en elle la parfaite nounou. Et la parfaite petite-amie... Cependant, une mauvaise nouvelle va mettre fin à cette idylle. D'après une étude qu'un certain Borstein s'apprête à publier, seuls les humains peuvent apprendre le langage, ce qui pousse le professeur Donald Moncrief - le grand manitou de la primatologie et à l'initiative de l'expérience menée par Guy - à mettre un terme à celle-ci. Il rapatrie Sam chez lui, dans l'Iowa, et l'enferme dans sa " grange aux chimps " sans autre forme de procès. Sauf que pour Aimee, Sam c'est toute sa vie. Et elle va tout faire pour le libérer. On reconnaît ici l'humour grinçant si caractéristique du style de T. C. Boyle. Mais pour loufoque qu'il soit, ce roman n'en est pas moins sous-tendu par une réflexion métaphysique et éthique profonde : quelle est la frontière entre l'humain et l'animal ? Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Bernard Turle

02/2023

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