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Téhéran

Extraits

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Littérature française

Quitter Téhéran

Naïri Nahapétian a vu sa vie basculer à l'âge de 9 ans, au moment de la révolution islamique en Iran. Elle quitte Téhéran pour Paris avec sa mère, pensant revenir quelques semaines plus tard. Mais l'exil dure. Et son père ne les rejoint pas. Des années plus tard, après une profonde dépression, Naïri se lance dans une enquête familiale pour comprendre ce qui a empêché son père de s'installer à Paris avec elles. Des avenues chics du XVe arrondissement aux rues embouteillées de Téhéran, Naïri remonte le fil de ses souvenirs d'enfance en Iran, de son intégration dans la France des années 80 et de ses expériences de jeune femme. Tout en cherchant à résoudre l'énigme de l'interdiction faite à son père de quitter l'Iran, elle mène une réflexion sur le port du voile et sur la place des femmes dans la société iranienne comme française. Elle livre aussi une analyse de la vie politique contemporaine en Iran, dont elle est une experte reconnue en tant que journaliste. A travers son parcours de vie, on découvre l'Iran et ce qu'a signifié la révolution islamique en particulier pour la minorité arménienne dont Naïri est issue. On saisit aussi combien une histoire familiale peut être marquée du sceau de l'histoire politique d'un pays.

04/2023

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Littérature persane

Teheran Trip

Le Trainspotting iranien Shadi, jeune femme iranienne, plonge dans l'opium pour échapper à ses parents stricts, à sa famille omniprésente, à son avenir compromis, dans un Téhéran secoué de tremblements de terre, aussi physiques que politiques. Le temps d'un week-end, elle fait le mur et nous entraine dans l'envers du décor de Téhéran pour nous faire découvrir une jeunesse désenchantée et fascinante. Un roman vif, déjanté, banni dans son pays, enfin publié aux USA et en Europe, et salué comme un souffle d'air dans la littérature orientale.

02/2023

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Guides étrangers

Portraits de Téhéran

Vivre ma ville, ce sont des livres pour voyager autrement, pour découvrir une destination racontée par les habitants. Des personnages de leur ville, qui donnent les clés, les conseils, les bonnes adresses, l'expérience de ceux qui vivent sur place, là où les autres guides se contentent d'auteurs professionnels de passage. Chaque portrait est un roman. Chaque portrait a un enjeu : comprendre le choix de cette ville-là. Chaque portrait permet aussi au lecteur de s'identifier, et donc de choisir ses destinations en fonction du personnage qui résonne le plus en lui. Dans les Portraits de Téhéran, Sara Saidi, journaliste correspondante à Téhéran, nous fait découvrir des personnages étonnants : artistes, entrepreneurs, femmes engagées, intellectuels, ils font Téhéran aujourd'hui. La capitale d'un pays incroyable qui s'ouvre aux voyageurs. Mais qui continue d'interroger sur ses valeurs et son rapport au monde. C'est l'âme de ses habitants, et leurs espoirs, que le livre permet de découvrir. Un récit fascinant, qui donne les clés de l'Iran à ceux qui souhaitent découvrir le pays autrement.

08/2018

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Littérature étrangère

Les jacarandas de Téhéran

L'action, qui se déroule de 1983 à 2011, suit l'itinéraire d'un groupe d'hommes, de femmes et d'enfants liés par le sang ou réunis par les flux de l'Histoire. Ce sont eux, les enfants du jacaranda : Neda, née dans la prison d'Evin à Téhéran, arrachée à sa mère après quelques mois ; Omid qui, à trois ans, a vu l'arrestation de ses parents, activistes politiques ; Sheida qui apprend, vingt ans après les purges violentes dans les prisons iraniennes, que son père y a été exécuté. Portrait émouvant de trois générations marquées à vie par des années de répression et de lutte et pourtant unies par un même rêve de liberté et de justice, le livre de Sahar Delijani est d'un réalisme saisissant. Inspiré de l'histoire de sa propre famille, ce roman évoque pourtant des sujets universels. Son écriture, d'une puissance narrative rare, parvient à captiver le lecteur de bout en bout.

04/2014

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Littérature anglo-saxonne

La Librairie de Téhéran

Dors-tu, ô toi qui m'aimes depuis si longtemps ? Téhéran, 1953. Pour leur fille, les parents de Roya veulent le meilleur : ils l'inscrivent dans le meilleur lycée de la capitale, espérant bien faire d'elle la future Marie Curie de ce monde. Une savante, une intellectuelle, une femme capable de changer le cours de l'histoire. Après ses cours, la jeune fille fréquente régulièrement la librairie de M. Fakhri, où elle trouve de quoi étancher sa soif de poésie persane et de littérature étrangère. C'est là qu'elle va faire connaissance de Bahman, jeune activiste politique, bien décidé à changer le monde. La librairie de M. Fakhri devient dès lors un lieu de rencontre et de résistance. Dans cette période politiquement mouvementée, au milieu des recueils de Hafez, Rûmî et Khayyam, naît une inoubliable histoire d'amour.

11/2022

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Urbanisme

Téhéran, une capitale fragmentée

L'histoire urbaine récente de Téhéran est marquée par une importante différenciation socio-spatiale suite à l'urbanisation rapide des années 1960. Au cours des deux siècles précédents, quelles que fussent leurs origines socioéconomiques, les Téhéranais vivaient les uns à côté des autres en toute proximité spatiale. La scission socio-spatiale dans la capitale iranienne connaît un tournant quand la famille impériale Pahlavi déménage au milieu des années 1960 des palais du sud de Téhéran pour les complexes palatiaux de Saadabad et Niavaran au nord. Dès lors, les catégories aisées s'installent au nord et les plus populaires au sud de la capitale. Cette tendance divise désormais la plus grande ville de l'Iran en deux rives, ville-nord et ville-sud, de part et d'autre de l'axe Azadi-Enqelab, artère commerciale d'est en ouest. Analysant la qualité de vie, l'écologie factorielle, le droit à la ville, la justice spatiale dans les débats urbains, et à l'aide d'une démarche documentaire et d'une enquête de terrain, cet ouvrage dresse un état des lieux de Téhéran pour révéler les raisons de cette importante séparation socio-spatiale. En comparant les deux ensembles spatiaux, il montre que les parties méridionale et septentrionale de la capitale de l'Iran sont loin d'être uniformes et homogènes dans la mesure où il existe des quartiers opposés sinon enclavés, comme c'est le cas du quartier populaire de Niyayesh, au nord réputé aisé de la ville, et inversement du quartier aisé de Kossar situé, lui, dans le sud populaire.

07/2021

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