annexe iv edition

Applicable depuis le 1er janvier 2019, la nouvelle annexe IV de la convention collective est censée améliorer le statut et la situation des travailleurs à domicile de l'édition, dont les lecteurs-correcteurs. Si la CGT-SGLCE n'a pas signé l'accord, qu'elle ne jugeait pas suffisamment favorable aux travailleurs, elle en propose un mode d'emploi illustré d'exemples pratiques.

Après des mois d'interpellations et d'échanges parfois houleux, les discussions autour de la fameuse annexe IV de la convention de l'édition qui régit le statut des travailleurs à domicile. Cette dernière n’avait pas été rouverte depuis 2006, et les travailleurs à domicile, notamment les lecteurs-correcteurs et les correcteurs, réclamaient d’urgentes mises à jour pour sortir d’un système dans lequel les maisons d’édition recouraient massivement à des microentreprises pour réduire leurs cotisations patronales.

L'association des éditeurs américains fait état des résultats financiers du secteur pour le mois de juillet 2019, et se réjouit d'une croissance de 5,9 %, qui permet au chiffre d'affaires des éditeurs participants d'atteindre les 1,9 milliard $. Comme d'habitude, la jeunesse et le livre audio dématérialisé mènent la danse des profits et bénéfices.

Qui a parlé d'une crise ? L'Association des éditeurs américains révèle dans un communiqué les chiffres de l'année 2018, jusqu'au mois de novembre, et ils sont plutôt très bons. Le chiffre d'affaires des éditeurs de livres destinés au grand public atteint ainsi 7,29 milliards $, en hausse de 330,3 millions par rapport à l'année 2017.

The Book Edition signe une excellente première année

L'année 2014 s'annonce riche : Emmanuel Carrère, à la fois écrivain, scénariste et réalisateur, vient d'accepter de parrainer le master 2 Édition et Audiovisuel de Paris IV. Un engagement symbolique dont sont fiers les étudiants du master ! 

Celui que l’on surnomme « le Maître de l’horreur » ne s’arrête plus : à peine un mois après la sortie de son nouveau roman The Institute dans le monde anglo-saxon, le voilà déjà dépassé. Un nouveau projet vient d’être annoncé, If It Bleeds, à paraître en mai prochain. 

Aux États-Unis comme pour d'autres marchés du livre, l'année 2020, marquée par la crise sanitaire, n'aura pas forcément débouché sur de mauvais résultats financiers. Outre-Atlantique, le secteur faisait même état d'une hausse des ventes de livres l'année dernière, même si ce résultat global masque de fortes disparités. L'année 2021 démarre aussi avec une hausse des revenus de 10 % environ.

La Publishers Association, équivalent du SNE au Royaume-Uni et organisme représentant les éditeurs, a dressé un bilan de l'année passée. Le chiffre d'affaires total de l'édition britannique accuse un repli de 2 %, avec 4,3 milliards £ pour 2014 : malgré ce pourcentage négatif, les 12 mois ont été tranquilles, sans crise majeure.

Le groupe d'édition danois Egmont se félicite de « la meilleure année de son histoire », à l'heure du bilan financier pour 2014. Le chiffre d'affaires du groupe a augmenté de 10 % pour atteindre 1,552 milliard €, et 1,682 milliard € si l'on prend en compte les résultats des coentreprises du groupe. La stratégie multimédia du groupe médiatique a visiblement payé.

Spécialisées dans les beaux livres traitant du patrimoine régional, les Editions des Falaises, basées à Rouen, annoncent une année 2013 riche de nombreuses nouveautés, rapporte tendanceouest.

Les imprimeurs ont fait chauffer les rotatives, et l'année 2015 sera un bon cru dans l'édition vénézuélienne. Pourtant, de multiples difficultés se posent à un secteur confronté à une sérieuse crise. C'est que 2014 n'a pas été un tournant facile à négocier, le tout sérieusement aggravé par le contexte économique.

Le chiffre d'affaires des éditeurs français a connu une baisse de 4,38 % en 2018, passant de 2792,3 millions € en 2017 à 2670,1 millions €, révèle un rapport statistique du Syndicat national de l'édition qui prend en compte les données de 160 maisons d'édition. Les ventes de livres ont baissé, elles, de 4,88 % par rapport à 2017.

La cruciale période des fêtes n'est pas encore passée, mais l'édition américaine se réjouit à l'idée d'une bonne année 2019, alors que les résultats pour le mois de septembre dernier viennent de tomber. Avec 11,4 milliards de dollars de chiffre d'affaires jusqu'à présent, la tendance est à la hausse, de 4 % par rapport à 2018 au même moment, pour être précis.

Tous les signaux sont au vert pour l'industrie de l'édition britannique, qui se félicite d'une année record en 2019. Tous secteurs confondus, les ventes de livres imprimés atteignent 3,5 milliards £, celles du numérique 2,8 milliards £, et les ventes à l'export représentent 59 % des revenus totaux de l'industrie, selon les chiffres communiqués par la Publishers Association.

Autant l'auto-édition représentait un petit secteur en Europe, malgré des offres de plus en plus importantes, au probablement au détriment de l'édition à compte d'auteur, véritable arnaque reconnue et avérée...

L'heure du bilan est venue pour l'association des éditeurs américains (Association of American Publishers, AAP), qui estime le chiffre d'affaires global de l'industrie, tous domaines confondus, à 28,10 milliards $. La contraction du marché est avérée, à -2,6 % par rapport à 2021.

Nouvel entrant sur le marché très dynamique du livre jeunesse, Unique Heritage Éditions s'intègre au sein d'Unique Heritage Media et s'appuiera sur l'approche éditoriale des marques du groupe, comme Fleurus Presse ou Quelle Histoire, pour proposer des livres « aux contenus innovants ».

Sur l'année 2010 / 2011, allant de juillet à juin, le groupe d'édition et de presse Bayard vient d'annoncer que son chiffre d'affaires avait reculé de 2,2 % dans un communiqué présentant ses résultats.

Éditeur de bande dessinée fondé en 1989, Rackham a notamment publié Sin City et 300 de Frank Miller (trad.  Lorraine Darrow pour les deux titres), ou encore Impasse et rouge de Séra. La maison d'édition, qui connaît une activité intense depuis sa création, a pourtant annoncé dans un communiqué prendre une année sabbatique : elle ne publiera rien pour 2022. En cause, un déséquilibre économique et une surproduction néfaste pour le travail des éditeurs. Finalement, 2021 fut-elle si exceptionnelle pour le marché BD ? 

Demain sera une autre année, et il est l'heure de faire le bilan de celle qu'on laisse derrière soi. Pour le livre et l'édition, l'année aura clairement été tournée vers l'Europe et l'Union, entre la TVA, la réforme du droit d'auteur et la création d'un marché unique numérique. Pour l'édition française, on remarque que des sujets deviennent récurrents, et pas forcément pour le meilleur...

Si le Made in France trouve un écho de plus en plus favorable dans la population, jusqu'à accepter les hausses de prix qui accompagnent ce choix, le « Made in Morocco » n'est pas en reste au pays de Mohammed VI. Promouvoir les produits marocains, c'est également soutenir son secteur du livre. C'est dans cette optique que la maison d’édition marocaine, Le Manifeste, a décidé de lancer le hashtag, #consommonslelivremarocain.

Une nouvelle tentative dans le domaine de la participation à l'édition de livre vient d'être lancée par Les éditions du public, ouvertes vendredi 29, qui propose un système très simple d'engagement des internautes. Ces derniers, sont sollicités à la hauteur de 11 €, investis dans un livre auquel ils croient.

Les Éditions Métailié fêtent leurs trente ans durant toute l'année

Le président du Syndicat national de l’édition, Vincent Montagne, a tenu à présenter des vœux à l’interprofession, voilà quelques semaines, dans ses bureaux. Soucieux de toucher le plus grand nombre, le SNE a également produit une vidéo. Sont évoqués les grands sujets de l’actualité 2015 – et l’expression des meilleurs vœux pour l’année commencée.

Selon les premières données, qui restent encore à confirmer, l’année 2018 sera l’une des pires de l’industrie du livre. Au cours des huit dernières années, seules 2015 et 2016 n’auront pas accusé le coup d’une diminution des ventes. Avec 1,7 % de moins qu’en 2017, indique l’AFP, il est temps de se poser quelques questions...

Dan Clancy, venu des États-Unis pour présenter l'accord entre Hachette et Google Books, avait cédé aux appels de la presse et sur la question de la sortie de Google Editions avoué que le service serait « shortly » mis en place, en anglais dans le texte.

La maison d'édition créée en 2010 à Saint-Étienne révèle dans un édito : « 2023 fut encore une belle année, mais aussi "une année compliquée" ! » Face à cet état de fait, la structure tournée vers le polar lance un financement participatif pour assurer un peu de trésorerie et publier le plus sereinement possible son « panier polar de printemps ».

L'édition et le livre au Québec : bilan mitigé d'une année couci-couça

Une nouvelle maison d’édition fait son entrée dans le paysage littéraire québécois ! Situées à Montréal, les Éditions Mains libres ont été fondées par trois passionnés de littérature ayant déjà étroitement travaillé ensemble, tant comme associés que comme gestionnaires dans différentes entreprises culturelles : Corinne Chevarier, Stéphane Despatie et Didier Minneci.