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prix Monte Carlo

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Joyce Carol Oates

Née le 16 juin 1938 aux États-Unis, dans l'État de New York, Joyce Carol Oates a publié plus de 70 ouvrages en quelque 50 ans de carrière : ses romans croisent plusieurs univers et influence, et s'inspirent parfois de faits réels comme Blonde, publié en 2000, qui s'appuie sur la vie de Marilyn Monroe.

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Fabrice Caro, alias Fabcaro

Né à Montpellier en 1973, Fabrice Caro suit des études scientifiques, envisage de devenir professeur, et entame finalement une carrière d'auteur de bandes dessinées en 1996 : il signe des dessins dans plusieurs revues, dont Tchô !L'Écho des savanes et CQFD.

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Dossier

Lettres du Monde : promouvoir les littératures et les cultures du monde

A l'approche de son vingtième anniversaire, Lettres du Monde poursuit sa mission de rayonnement culturel en Nouvelle-Aquitaine en invitant des auteurs et autrices du monde entier à rencontrer des lecteurs, lectrices et futurs passionnés de littérature.

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Dossier

Les Prix Landerneau

Remis pour la première fois en 2008, le Prix Landerneau s'est décliné, depuis, en plusieurs récompenses : on compte ainsi le Prix Landerneau BD, le Prix Landerneau Album Jeunesse, le Prix Landerneau Polar et le Prix Landerneau des Lecteurs... Ces récompenses fédèrent l'ensemble des libraires des quelque 220 Espaces culturels E. Leclerc.

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Dossier

Les prix littéraires

Depuis la création du prix Goncourt, devenu une véritable référence, et la certitude de multiplier les ventes du roman lauréat en libraires, les prix littéraires animent toutes les passions. En France, les cinq cadors – Goncourt, Femina, Médicis, Renaudot et Interallié – sont les seuls qui semblent avoir une véritable incidence sur les achats.

Extraits

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Littérature étrangère

Monte-Carlo

Monte-Carlo, années 1960, jour de grand prix. Embauché par une écurie anglaise de formule 1, le mécanicien Jack Preston s'affaire, juste avant le départ, aux derniers réglages d'un bolide. Quand s'élance imprudemment aux abords du circuit une jeune star de cinéma au faîte de sa gloire, Jack relâche son attention, se retourne et ne voit qu'elle. Négligence ou fatalité, survient alors dans son dos une explosion : Jack se précipite vers la jeune femme et, de son corps, la protège. Grièvement brûlé, le mécanicien est évacué, transporté à l'hôpital. Quelque temps plus tard il est rapatrié en Angleterre, dans son village où on le considère dorénavant comme un héros. Curieusement, et malgré une interview réalisée à l'hôpital, les médias ne se font pas l'écho de cet acte héroïque, pas plus que l'actrice n'adresse un signe de gratitude à son bienfaiteur. Ayant retrouvé son modeste quotidien, Jack peine à se reconstruire. Assurément, pense-t-il, la jeune femme va chercher à le retrouver... Virtuose du récit, Peter Terrin, dans une écriture sobre associée à un sens remarquable de l'image et de la lumière, donne à cette tragique confrontation entre rêve et réalité une puissance d'évocation magistrale.

10/2017

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Romans graphiques

Fiesta au Monte Carlo

Fiesta vient de s'inscrire au rallye Monte Carlo. Mais Golden Malicar, son pire ennemi, va tout tenter pour lui mettre des bâtons dans les roues, quitte à provoquer quelques catastrophes. Heureusement, Mustang, l'amoureux de Fiesta, et ses deux gros copains, les pick up Ranger et F450 vont l'aider dans cette course folle : mais va-t-elle réussir à déjouer tous les pièges de ce rallye ?

11/2021

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Histoire du sport

Les Olympiades féminines de Monte-Carlo

Au début des années 1920 le sport féminin en est encore à ses balbutiements. Alors qu'elles se heurtent aux stéréotypes culturels ainsi qu'aux prescriptions médicales de l'époque, les sportives vont trouver à Monaco un soutien important à leur cause. C'est en effet dans la Principauté que se déroule la première rencontre internationale de sport féminin. Elle donne naissance aux Olympiades féminines de Monte-Carlo qui, à trois reprises, en 1921, 1922 et 1923, réunissent des centaines de jeunes filles venues de toute l'Europe. A leur programme, des compétitions d'athlétisme, de natation, de sports collectifs, mais aussi de la gymnastique et des danses rythmiques. En démontrant qu'à côté du sport pur, la grâce pouvait être conservée, les Olympiades ont renforcé la légitimité du sport féminin et à ce titre ont joué un rôle précurseur. S'appuyant sur une riche illustration, cet ouvrage nous fait revivre ces trois olympiades à travers notamment les prestations et les portraits des participantes. Il montre aussi comment elles ont donné une place particulière à la Principauté dans l'histoire du sport féminin : grâce à elles, Monaco est désormais reconnue comme la première étape de l'accès des femmes aux Jeux olympiques.

06/2023

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Littérature étrangère

Le danseur russe de Monte-Carlo

Constantino Augusto de Moreas, spécialiste de l'oeuvre du poète José Martí, a passé toute son existence à Cuba. Invité par une université espagnole, il décide à Madrid de ne pas se rendre à sa conférence, jette son passeport, ne conserve pour tout bagage que son exemplaire des Mémoires d'outre-tombe et sa brosse à dents. Il prend le train pour Barcelone. Commence alors une errance dans les rues de la ville, ses places, ses cimetières, à travers ses souvenirs aussi, qu'il voudrait fuir mais qui ne cessent de le rattraper.Un geste, un tableau, une mélodie le ramènent vers Cuba - à la coupe de la canne à sucre, au travail forcé, à l'hôpital, au jeune danseur qui répète L'oiseau de feu de Stravinsky et s'invente un passé pour oublier la maladie...

09/2012

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Critique littéraire

Carlo Goldoni

"Oh, que de scènes mes propres aventures ne m'ont-elles pas fournies !" Né à Venise en 1707 et mort à Paris en 1793, Carlo Goldoni est l'auteur d'une oeuvre de plus de deux cents titres empruntés à des genres aussi divers que la tragédie, l'intermède, le drame, le livret d'opéra, la saynète, sans oublier ses Mémoires. Continuateur de la commedia dell'arte, il est l'incontestable inventeur de la comédie italienne moderne dont les chefs-d'oeuvre ont pour titres : Les Rustres, La Locandiera, Arlequin serviteur de deux maîtres. Il écrivit en trois langues - l'italien, le vénitien, le français -, vécut les trente dernières années de sa vie à Paris, toujours à la recherche de ce qu'il appelait "la vérité au théâtre" , toujours dans l'intention de "raconter le monde" , prétendant que sa vie n'était pas "intéressante"…

11/2015

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Beaux arts

Carlo Zinelli

S'il y a de nombreux textes consacrés à Carlo, dans des catalogues d'exposition notamment, s'il figure en bonne place dans les ouvrages consacrés à l'art brut, peu de publications lui ont été spécifiquement consacrées. Il s'agit là de la première étude en français à lui être exclusivement consacrée. Figure importante de l'art brut, Carlo Zinelli – dit Carlo – naquit en 1916 à San Giovanni Lupatoto en Italie. Il est le sixième enfant d'une fratrie de sept. A l'âge de 2 ans, il perd sa mère. Très tôt, Carlo se passionne pour la musique. A Vérone, il travaille à l'abattoir municipal. La guerre. D'abord enrôlé comme chasseur alpin, il partira pour l'Espagne prendre part à la guerre civile. Il en revient deux mois plus tard déjà, blessé. Suivent deux ans de convalescence à la suite de laquelle il sera réformé. Blessé dans son être et dans son rapport défaillant aux autres, Carlo Zinelli s'est exfiltré d'un monde pour en investir un autre, le créer sans relâche et peut-être le redéfinir. De 1941 à 1947 des crises successives d'angoisse et d'agressivité le mènent en effet périodiquement en hôpital psychiatrique. Il est enfin interné pour schizophrénie paranoïaque. Pendant une longue période il ne fera que des graffiti, sur le sol, sur les murs. Ce n'est qu'à partir de 1957 que Carlo pourra donner libre cours à sa créativité : il peut enfin s'exprimer grâce à un atelier d'expression libre qui s'est ouvert dans l'hôpital. Dans ses dessins à la gouache ou au crayon, dans cette épopée quotidienne que seule la mort interrompra après vingt-sept ans d'internement (il mourra en 1974 à l'hôpital de Chievo à Vérone), ses deux mondes de schizophrène se rencontrent, se fécondent et s'apaisent mutuellement. Le cortège d'hommes, de femmes, d'animaux plus ou moins exotiques est infini.Les êtres passent, ombres sans visage, corps mutilés, perforés, crucifiés, ensevelis. S'ils portent tous les stigmates de l'impossible oubli, l'odeur de la terreur, de la souffrance, voire de la mort, n'y est plus. Lavée. Neutralisée. Des expositions des oeuvres réalisées dans l'atelier sont organisées en Italie et à l'étranger. C'est alors que Jean Dubuffet voit celles de Carlo et en acquiert de nombreuses qu'il intègre dans sa Compagnie de l'Art brut (aujourd'hui Collection de l'art brut, à Lausanne). L'artiste laissera 2000 oeuvres environ. S'il y a de nombreux textes consacrés à Carlo, dans des catalogues d'exposition notamment, s'il figure en bonne place dans les ouvrages consacrés à l'art brut, peu de publications lui ont été spécifiquement consacrées. Il s'agit là de la première étude en français à lui être exclusivement consacrée.

09/2019

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