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Romans historiques

L'uniforme

"Le temps efface tout" C'est presque vrai ; à ceci près que pervers, il préfère la lente oxydation des hommes et des genres. Alors, pour résister, la mémoire s'organise souvent autour d'un simple son, d'une odeur ténue, d'une saveur amère, d'une envie sucrée... ou de sombres funérailles. Relativité du temps et de l'espace démontrée par un conteur arc-bouté sur des mots, l'auteur nous fait profiter d'une filiation directe avec le porteur de souvenirs pour en mesurer l'impact, échanger la détresse contre la truculence et commuer le cynisme en bonté... La liste n'est pas exhaustive mais le pluriel bien singulier. Antoine de Ribérac plonge et nous entraîne tout au fond de cette histoire insolite pour ne remonter qu'au bord de la noyade. Laisser pour mieux prendre. Rire pour moins souffrir. Bien écouter pour mieux sentir.

11/2017

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Romans historiques

Le sang des uniformes

Ils sont issus d'une même famille originaire d'Alsace que la guerre de 1870 sépare et que celle de 1914 oppose. Henri, 19 ans, est soldat dans l'infanterie allemande. Comme plusieurs de ses camarades, il est natif d'une vallée des Vosges alsacienne et il sera opposé aux forces anglaises. Charles, qui a passé son enfance dans le Gard, est capitaine dans l'armée française. Chacun d'eux connaîtra la douloureuse expérience des champs de bataille, des aubes de fer, des pluies d'obus, de la fureur des engagements et de la fragilité de la vie. L'histoire romancée de leur vie, du Tonkin au Nord de la France, avec leurs pensées, leurs désirs blessés de fraternité et de partage avec tous les hommes, librement interprétée sur la base de souvenirs familiaux et d'archives, porte le témoignage d'une tragédie humaine et familiale qui n'est pas moins la conséquence revancharde de la guerre de 1870.

02/2018

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Théâtre

De si beaux uniformes

Dans les coulisses d'un théâtre où se donne un drame historique sur la seconde guerre mondiale, des comédiens discutent. Certains jouent le rôle de nazis, d'autres celui de déportés. Ce sont des hommes liés par la fraternité de la scène, ils rient, s'adressent des plaisanteries, gèrent leur stress. S'ils donnent l'impression d'être soudés, il ne faut pas négliger qu'ils puissent taire leurs pensées les plus profondes, afficher une désinvolture de surface, et entretenir une certaine rivalité. Lorsqu'un soir, juste avant la représentation, par mégarde, un comédien vient tacher l'impeccable tenue de nazi d'un autre comédien, ce fragile équilibre commence à tanguer. Dans cette pièce-récit, Eric Pessan traque les sources-mêmes de l'intolérance, celle qui commence par des petits riens et finit par engloutir l'humanité des êtres. Il s'interroge aussi sur la porosité inéluctable entre le comédien et le personnage qu'il incarne.

03/2018

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Romans historiques

Fantômes en uniforme

Lyon, 1958 - Depuis la fin de la guerre, Valérie Greizio refuse catégoriquement d'exercer son métier de traductrice auprès d'Allemands. Un pari avec Cécile, sa meilleure amie, lui fait accepter le remplacement d'une interprète le temps de la foire internationale de Lyon. Justement auprès d'exposants allemands ! Est-ce bien le hasard qui la remet en présence de cet ancien officier de la Wehrmacht, connu dans des conditions très particulières en 1944 ? Aujourd'hui, même en civil, il ravive des faits cruels soigneusement enfouis au fond de sa mémoire. Mais il la trouble aussi. Est-ce suffisant pour accepter ce qu'elle rejette depuis 14 ans ?

12/2012

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Histoire de France

Sous uniforme allemand

En février 1943, déterminé à participer à la lutte contre le communisme sur le front de l'Est, Jean-Marie Croisile signe son engagement au sein de la Légion des volontaires français contre le bolchévisme. Un choix qui le conduira plus tard à intégrer la 33e Division SS Charlemagne avec laquelle il participera à la défense de Berlin. A l'automne 1943, c'est au tour de son jeune frère, Alain Croisile, puis de leur père, Jean Croisile, de signer un engagement au sein de la Waffen-SS. A la lumière de l'histoire, il s'agit d'un choix indéfendable qui les conduira à la fin de la guerre à affronter la Haute Cour de Justice de Colmar pour avoir "sciemment accompli des actes de nature à nuire à la défense nationale". Au vu de l'histoire familiale, il s'agit d'un choix d'autant plus incompréhensible que le père, Jean Croisile, est un ancien héros de la guerre de 1914-1918, cinq fois blessé dans les combats, dont trois fois à Verdun, mais un aussi un vétéran de la campagne de 1940 au cours de laquelle il s'est encore battu vaillamment contre l'ennemi allemand. "Je puis assurer, en toute conscience, que malgré nos pauvres moyens matériels, j'ai toujours résisté face à l'ennemi, de toutes mes forces, et s'il y avait eu en France plus de"résistants"à ce moment-là [mai 1940], il est bien certain que les événements auraient pris une tout autre tournure", déclarait d'ailleurs Jean Croisile aux jurés chargés de le juger en 1945. Construit autour du récit inédit de Jean-Marie Croisile, et complété par différentes recherches qui permettent de retracer le parcours de cette famille depuis les année 1900 jusqu'à son procès devant la Haute Cour de Justice de Colmar, Sous uniforme allemand dévoile pour la première fois, sans romantisme ni emphase, ce que fut le cheminement complet de ces hommes qui firent le choix d'aller combattre sur le front de l'Est et la réalité de ce qu'ils vécurent.

05/2018

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Sciences historiques

Reconnaître les uniformes 1914-1918

Entre 1914 et 1918, la France a levé la plus grande armée de toute son histoire : plus de huit millions de ses enfants sont passés sous l'uniforme. La conjugaison d'une armée pléthorique et du besoin quasi vital de tenir les siens informés aboutit à un usage intensif de la photographie. Mieux que de longs discours, l'envoi d'un cliché à sa famille permet au soldat de montrer son nouvel aspect, d'attester qu'il a toujours bonne mine et de présenter ses amis, ses camarades de l'escouade ou, plus rarement, ses chefs. Il est donc fréquent, dans un lot de vieilles photos de famille, de compter une bonne proportion de clichés de la Grande Guerre. Ils apportent de précieuses informations historiques (voire généalogiques) et sont relativement faciles à dater. Or, pour identifier le sujet de la photo, pour comprendre et exploiter les indications qu'il nous donne, il faut disposer d'une documentation copieuse - et la maîtriser. Ecueils et faux amis sont nombreux, une identification fine n'est parfois possible qu'à l'issue d'une étude comparative avec d'autres clichés ou des objets d'époque (uniformes, équipements, insignes ou décorations). A partir de cas concrets, ce guide donne à chacun les repères utiles pour s'orienter dans ce qui, par bien des aspects, s'apparente à une jungle. Avec quelques "trucs" simples, il sera ainsi possible au lecteur de dater et d'identifier la plupart des photos de militaires qu'il rencontrera au gré de ses recherches.

05/2013

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