Ndlr : Ce texte est proposé en tant que témoignage émanant d’un auteur, faisant état de ce qu’il considère comme l’incidence de la vaccination sur son état de santé. Il atteste autant d’une douleur que d’un drame personnel, dont on comprend qu’ils soient vécus avec crainte et appréhension. S’il devient nécessaire de rappeler que la peur entraîne des réactions parfois irrationnelles, elle peut aussi engendrer une colère qui n’en est pas moins compréhensible. Si le propos semble excessif, c’est qu’il reflète plus la détresse d’une personne que sa volonté d’apporter de la confusion dans un débat où la prudence doit demeurer la ligne de conduite. Proposées dans nos colonnes pour garantir une diversité de l'expression, les humeurs et tribunes publiées n'engagent pas la rédaction, pas plus qu'elles n'expriment l'avis de ses membres.
Le 22/05/2022 à 15:59 par Auteur invité
190 Réactions | 90230 Partages
Publié le :
22/05/2022 à 15:59
190
Commentaires
90230
Partages
Je suis Guilhem Méric, auteur de romans de 51 ans spécialisé dans les univers imaginaires. Peut-être pour m'arracher aux réalités parfois trop toxiques du quotidien. Aujourd'hui pourtant, je vis un enfer.
C’était il y a environ un an. Après moult hésitations, j’ai suivi les conseils d’une amie infirmière et pris rendez-vous pour recevoir les deux premières doses de ce que la doxa scientifique, politique et médiatique a décidé d’appeler communément vaccin anti-Covid-19.
Il faut dire que depuis mars 2020, on s’était acharné jour après jour à nous terroriser avec l’arrivée de ce nouveau virus venu de Chine — plus précisément d’un marché d’animaux situé à Wuhan, près d’un laboratoire P4 manipulant des coronavirus de type SRAS. Le décompte des morts était martelé comme les coups d’une horloge au début de chaque JT où défilaient des épidémiologistes et médecins habitués des plateaux pour nous assommer de chiffres et de spéculations sur la contagiosité, les symptômes et la létalité de ce fameux SARS-COV-2. On nous a confinés dans nos maisons, dans nos appartements, avec pour règle stricte de se contenter d’un tube de Doliprane en cas de symptômes et d’attendre d’être au bord de l’asphyxie pour faire appel au SAMU.
La psychose s’est généralisée à toute la population, entretenue par les médias avec toute la gourmandise qu’on leur connaît pour le sensationnalisme. Qui plus est, l’épidémie était mondiale. La société tout entière à l’arrêt. Les cerveaux anesthésiés par la surenchère d’informations qui, avec le temps, se sont contredites les unes les autres sans qu’aucun de leurs colporteurs ne vienne faire son mea culpa. Les Français en perdaient leur latin en même temps que leur sens critique. Infantilisés par nos dirigeants, l’esprit court-circuité par l’émotion et l’autoculpabilité, ils se prêtaient bien malgré eux à la stratégie de manipulation de masse mise en lumière par l’un des intellectuels les plus respectés au monde, Noam Chomsky.
Je n’ai pas échappé à ce rouleau compresseur, loin de là. Hypocondriaque depuis de nombreuses années, obsédé par la peur de m’étouffer même en buvant un verre d’eau, j’ai été littéralement tétanisé à l’annonce de l’irruption de ce virus qui pouvait s’en prendre aux voies pulmonaires et, sur un coup de dés, m’expédier sans escale à l’hôpital ou à la morgue.
C’est pourquoi et j’y reviens, quand ces vaccins nouvelle génération ont fait leur entrée dans nos vies, j’ai trouvé un remède à mes angoisses. Même si j’éprouvais une certaine appréhension à l’égard de ces produits. J’attendais, comme beaucoup de gens, un vaccin traditionnel, basé sur un virus désactivé, ce genre de choses qu’on m’avait inoculées depuis mon plus jeune âge et dont l’innocuité avait fait ses preuves partout dans le monde. Merci Monsieur Pasteur.
Je me suis donc fait injecter ce fameux vaccin en mai 2021, made in Pfizer. Deux doses espacées sur trois semaines d’ARNm. Hormis une petite douleur à l’épaule la première fois, tout s’est passé comme sur des roulettes. « Tu vois, m’a dit toute souriante mon amie de l’époque, il n’y avait pas de quoi en faire toute une histoire. »
En fait si. L’histoire a commencé à ce moment-là.
D’abord avec l’apparition de légères paresthésies aux mains. J’avais du mal avec l’index de ma main droite, par exemple pour couper un morceau de viande avec mon couteau. Je n’y ai pas trop prêté attention jusqu’à ce que les douleurs s’étendent aux doigts des deux mains, assorties de sensations électriques, notamment au niveau de la pulpe lorsque je devais écrire sur mon smartphone. Peu à peu, il m’est devenu difficile de saisir, de tirer, de pousser des objets, tandis que j’observais une atrophie modérée des muscles de mes mains. La peau, elle non plus n’était pas en reste : hypersensible au frottement, elle s’est mise à rougir et faire mal pour tout et n’importe quoi. Comme si je n’avais plus de « couche » de protection, les cartilages et ligaments mis à nu. C’est à partir de là que j’ai dû porter des gants pour conduire ou laver les cheveux de mon fils. Aujourd’hui, ça ne suffit même plus et je dois endurer pendant deux jours des sensations de brûlure sur mes paumes que seul le contact avec l’eau froide peut soulager.
Puis les pieds sont entrés dans la partie. Avec le même genre de paresthésies, de sensation de brûlure, de tensions et de douleurs qui, avec le temps, m’ont rendu difficile la station debout statique. J’ai noté là aussi une atrophie légère des muscles, au point qu’il m’arrive de perdre l’équilibre. Le problème s’est étendu aux chevilles, qui se font douloureuses quand je suis emmené à marcher plus d’une heure, avec la crainte toujours présente de m’en fouler une : mon pied droit « glisse » parfois sur le côté, chose qui n’arrivait jamais auparavant.
J’ai remarqué également que ma peau marquait longtemps et profondément. Elle rougit très vite, parfois jusqu’à la douleur, simplement en étant appuyée sur un support quelconque. Une manche de pull contre ma main, mon PC appuyé sur les cuisses, mon téléphone en main peuvent me laisser des traces profondes, parfois comiques, un peu comme si ma peau s’était transformée en pâte à modeler. Ces marques finissent par disparaître au bout de trente minutes à une heure, sans laisser d’hématome. Je ne quitte presque plus mes chaussettes, car la chair de mes pieds supporte difficilement le contact nu du sol. Même d’un vulgaire tapis. L’été dernier, j’ai dû mettre des chaussures pour marcher sur le sable. Moi qui adorais plonger mes pieds dans le sable chaud et courir le long de la plage, je reste désormais assis sur ma serviette à regarder mon fils jouer jusqu’à temps de devoir repartir.
Alors bien sûr, j’ai consulté. Médecin traitant, neurologues, rhumatologues, psy, endocrinologue... Sans succès. Du moins, sans résultat apportant le commencement d’un début de preuve que quelque chose en moi était détraqué. J’ai donc consulté une interniste — sorte de Dr House spécialiste en maladies aux patronymes exotiques — qui m’a fait faire un bilan sanguin, neurologique et EMG complet :
Bilan : rien. Nada.
Mon médecin soupçonne malgré tout un problème neurologique qui fonctionnerait à bas bruit et, donc, n’apparaîtrait pas sur les examens. Je dois donc faire des EMG de contrôle tous les six mois dans l’attente désespérée d’un diagnostic. D’un nom à poser sur mes symptômes.
En attendant, en ce joli mois de mai trop chaud pour la saison, j’ai les mains et les pieds en feu pour peu que je m’en serve normalement ; les coudes, les poignets, les genoux sensibles au moindre appui, à tel point que je me retrouve parfois le soir allongé sur mon lit, souffreteux comme un papi de 110 ans, les mains bouillantes et irritées comme si je les avais frottées des heures sur du papier de verre.
Inutile de dire que mon état physique a quelques répercussions sur mon moral. Quand on ne se sent même plus capable de porter un sac de course, de couper en tranche des pommes de terre ou de piétiner dans un magasin, ça devient difficile de se projeter dans un travail ou même dans une relation amoureuse. On devient un fardeau pour soi-même, qui n’a vraiment pas besoin de sentir qu’il en est un également aux yeux des autres.
Alors tout ça, c’est la faute au vaccin ? Bien malin qui le dira. Peut-être dans 5, 10 ou 20 ans, quand les brevets seront levés ? Quand le monde médical, des statistiques et du juridique auront pris suffisamment de recul sur la fréquence anormale de pathologies rares apparues après la vaccination de masse de 2021 ?
Tout ce que je sais, c’est que j’étais en parfaite santé physique avant ces injections. Et que Pfizer, dont on a accueilli le vaccin comme le sang de Christ, s’est retrouvée maintes fois condamnée à de lourdes amendes, notamment pour des faits de pratiques commerciales frauduleuses ou de non-respect de l’environnement et des droits humains.
De quoi nous mettre la puce à l’oreille, comme dirait Bill Gates.
190 Commentaires
jujube
23/05/2022 à 07:10
Pas de chance pour Guilhem Méric - qui se plaint de la première à la dernière ligne. Je compatis mais, malheureusement, les jérémiades m'agacent, quelles qu'en soient les raisons.
Ce virus a donné du fil à tordre et retordre, partout dans le monde, à bien des gens et professionnels, en particulier les mêmes créateurs de vaccins. Chacun a fait ce qu'il a pu face à l'angoissante vitesse de propagation, les mutations de l'agent et la dangerosité de la maladie. Malgré tout, on ne pouvait prévoir ni compter sur la réaction du corps de chaque vacciné. Certains ont été plus veinards que d'autres, beaucoup sont morts, plusieurs n'ont pas senti grand chose - si ce n'est que la piqure même - et d'autres ont subi cette agonie qu'a vécue Méric.
Responsabiliser Pfizer des dommages collatéraux sur la santé des vaccinés est, à mon avis, un non-sens. Qu'on accuse l'industrie pharmaceutique de gains faramineux, passe encore, mais c'est sa raison d'exister. Qu'on ait assisté à l'incroyable et répugnante gloutonnerie des grandes puissances de la planète pour monopoliser le vaccin grâce au fric, alors là oui, je comprends la rage ou la révolte.
Je souhaite à Guilhem un prompt rétablissement et une courageuse acceptation de ses séquelles. Finalement, on est bien obligé de vivre avec ce qu'on a et ce qu'on est. Mais que cet être-là ne se convertisse pas en enfer!
Ade
24/05/2022 à 20:35
Comment pouvez-vous répondre de cette manière? Une personne vient livrer ses soucis de santé suite à un vaccin qui n'avait pour but que de le protéger, et vous lui répondez que les jérémiades vous agacent? Mais quand ce pays est-il devenu aussi individualiste? Pourquoi ne pouvez vous pas simplement croire ce que cette personne exprime, l'écouter, être désolée et voilà. Il ne demande rien de plus. Mais visiblement vous en êtes incapable. Il faut que vous lui balanciez votre intolérance, votre dogmatisme et votre incompréhension à la tronche. Les effets secondaires du vaccin ne doivent être rien pour lui en comparaison de la violence des réactions de gens comme vous.
Bentahar
23/05/2022 à 07:15
Bonjour. Moi je suis presque dans la même situation. 3 doses de vaccins !!!
Ma vie à complètement changée !!! De fatigue en fatigue !!
Je fais plu ce que je faisais avant !! C'est terminé !!!
Trebor
23/05/2022 à 08:14
Voir hemochromatose. Maladie génétique qui apparaît tardivement.
Omega7162
23/05/2022 à 08:15
J'en pense que pour l'instant RIEN ne confirme ou n'infirme que ces symptômes viennent du vaccin....quand à dire que les effets secondaires graves sont très supérieurs en fréquence par rapport aux autres vaccins c'est tout simplement FAUX...il y a des effets secondaires, certains graves et invalidant c'est indéniable mais sur le nombre de personnes vaccinées ce nombre reste, et c'est heureux, extrêmement réduits et en dessous du taux d'effets secondaires du Doliprane, de l'Aspirine ou d'autres médicaments courants....
Je précise que je ne travaille ni pour un labo, ni pour le secteur médical au cas où....
Chris
23/05/2022 à 08:17
Bonjour,
Je suis dans la même situation que vous mais je ne mets pas forcément ça sur le dos de ces vaccins, bien que les symptômes ont débuté peu de temps après la 1ère vaccination
Pour information les EMG ne donnent rien puisqu'ils sont réalisés au repos.
Pour ma part j'ai rendez vous en juin pour faire une EMG mais en activité physique cela s'appelle la recherche des potentiels évoqués.
Au cas où vous n'auriez pas fait cet examen.
Bon courage.
Jess
23/05/2022 à 08:46
" les malfaiteurs n 'aiment pas à trouver de la RESISTANCE dans ceux qu'ils cherchent à séduire." (Marquis De Sade)
Je vous souhaite bien du courage pour vivre avec ces maux au quotidien et j espère pour vous que cela s arrêtera !
"L'épée de la résistance passive n à pas besoin de fourreau et nul ne peut en être dépossédé par la force" Gandhi.
Hymalaya
23/05/2022 à 08:52
Avez-vous fait des tests allergiques ? Nickel, chrome etc...
Samix Michoco
23/05/2022 à 09:35
Ce n'est pas parce que 2 événements se suivent qu'il y a une relation cause effet entre eux.
Le stress chronique lié au COVID (ou autres choses) pourrait être la cause de vos symptômes.
J'espère que vous trouverez les clés pour aller mieux.
Aradigme
23/05/2022 à 09:47
En premier lieu, j'estime ce texte hors sujet par rapport au thème d'Actualitté. Monsieur Meric est certes écrivain, mais ce n'est pas à ce titre, ce me semble, qu'il s'exprime.
Je suis désolé qu'il souffre. Cela m'est arrivé également, et je sais que la souffrance n'est pas bonne conseillère, même et surtout lorsqu'on prend des médicaments pour la combattre.
Quelques précisions sur le vaccin Pfizer à ARN. A son introduction, j'ai moi aussi éprouvé quelques doutes. Je me suis donc renseigné. Je suis biochimiste et j'ai travaillé près de trente ans avec l'industrie pharmaceutique. J'avais donc accès à pas mal d'informations et je disposais d'une formation correcte pour les évaluer.
Premier point: la technique n'est pas si nouvelle que cela. Le principe date des années 1970, les premiers essais sur animaux furent réalisés dans les années 1980, et les premiers tests sur humains vers 2000. Quelques vaccins avaient déjà été produits avec cette technique contre d'autres virus (Zika entre autres) et commercialisés. Les laboratoires disposaient donc d'un recul de plus de vingt ans en ce qui concernait la technique avant que celle-ci soit utilisée contre le Covid-19.
Second point. Comme tout vaccin, il présentait quelques risques mineurs possibles. Je les ai évalués sur un réseau avec d'autres scientifiques. Le rapport bénéfice / risque paraissait très bon en ce qui me concernait (plus de 70 ans et avec comorbidités). J'ai donc choisi le vaccin Pfizer. J'ai travaillé avec eux autrefois et je les sais techniquement sérieux. J'ai reçu des injections et observé quelques effets mineurs liés à la stimulation du système immunitaire, ce qui n'a rien de surprenant.
Troisième point: les effets secondaires répertoriés. Il faut savoir que chaque individu a un ADN différent, et réagira donc différemment à l'injection d'une substance étrangère. Ces variations sont faibles, car nous sommes tous à peu près bâtis sur le même modèle, mais avec quelques différences importantes. Par exemple, tous les humains n'ont pas exactement le même nombre d'os dans le corps, pas les mêmes groupes sanguins, pas la même tolérance au lactose, etc... L'introduction d'une nouvelle molécule peut donc causer, en fonction des personnes, des réactions imprévisibles. Le vaccin avait été testé sur des dizaines de milliers de personnes avant sa commercialisation, mais cela ne fait pas le tour de toute l'espèce humaine, ce qui serait impossible.
Jusqu'ici, à ma connaissance, aucune corrélation n'a été mise en évidence entre la vaccination à ARN et des effets secondaires importants. Cela ne veut pas dire qu'on n'en découvrira pas avec le temps, mais les probabilités sont faibles car les chercheurs disposent déjà de plus de 20 ans de recul sur l'homme avec cette technique.
Quatrième point: si le vacccin se montre raisonnablement sûr, pourquoi ces affirmations sur des effets secondaires? Plusieurs raisons possibles, déjà vues avec d'autres vaccins ou médicaments. (1) des effets secondaires réels mais très peu nombreux, avec la difficulté d'établir une corrélation et encore plus une causalité. (2) des coïncidences - le déclenchement d'une maladie au moment de l'injection, mais sans relation avec celle-ci. (3) des coïncidences induites par le stress. La personne est porteuse d'une maladie non déclarée. Le stress causé par l'injection la déclenche. Ce facteur est d'autant plus élevé que la personne est anxieuse à l'idée de de se faire vacciner. (4) Le facteur NOCEBO (inverse du PLACEBO). Notre esprit influe sur notre corps (voir les expériences de Charcot dès le XIXe siècle). Si nous nous persuadons que nous sommes malades, notre corps développe des symptômes. Le facteur NOCEBO sera d'autant plus important que l'opinion d'une nocivité du vaccin sera répandue dans la population et admise par elle. Donc, donner de la publicité à des cas supposés d'effets secondaires renforce les risques d'effets NOCEBO et les désagréements qui apparaitront dans la population (prophétie auto-réalisatrice). Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas en parler, mais il importe d'être conscient des effets pervers de la diffusion de cette information (5) Notre esprit a tendance à vouloir trouver une cause claire et bien identifiée à tout désagréement. Cela conduit à des phénomènes comme la superstition. Cela conduit aussi à rendre des individus ou des groupes de personnes responsables d'une situation difficile alors que les liens de causalité sont ténus ou inexistants. C'est le principe du bouc émissaire. Il faut savoir admettre que le hasard joue un rôle dans nos vies. Une étude a montré récemment que l'apparition des cancers a pour cause à 10% la génétique,à 10% l'environnement et à 10% l'alimentation. Les 70% restants sont aléatoires. Elle fut mal accueillie, bien que très bien documentée. Les gens veulent croire qu'ils peuvent diriger leur vie, qu'ils éviteront le cancer en mangeant bio, etc... C'est très largement illusoire.
En fait, je me souviens d'une étude sur les effets des agents conservateurs utilisés en conserverie. Pour tester leur possible nocivité, on les injecta à haute dose à des souris. Seul effet observé: elles vécurent significativement plus longtemps que le groupe témoin. Explication: les agents conservateurs mis dans les conserves sont des subtances réductrices comme l'acide ascorbique (vitamine C). Elles protègent contre l'apparition de radicaux libres qui abiment les cellules du corps. Il est donc fort possible que manger des conserves vous maintienne en vie plus longtemps que manger bio, mais ce n'est évidemment pas prouvé. L'étude reste à réaliser sur l'homme car, bien évidemment, le métabolisme humain diffère de celui de la souris, même si tous deux sont des mammifères.
Kolmir
24/05/2022 à 11:40
Merci pour une réponse aussi bien argumentée et documentée.
Jade
23/05/2022 à 10:16
Le manque d'empathie de certaines personnes me sidére comment ne pas compatir devant tant de douleurs décrites et ressenties après l'inno culation d'un vaccin d'un homme qui était en bonne santé ? Pourquoi mettre en doute son témoignage?
Alain
23/05/2022 à 20:08
La personne qui attaque le vaccin en utilisant à la fois son expérience personnelle et son statut d'écrivain utilise justement notre capacité d'empathie pour faire passer ses idées. Or la question est bien scientifique ; l'affect n'a pas sa place dans ce type de raisonnement.
Et pour vraiment faire preuve d'empathie, il faudrait opposer aux souffrances de ce monsieur (souffrances que personne ne met en doute) les douleurs des victimes du Covid et de leurs familles (que l'auteur du texte semble considérer comme des fables)... Doit-on tomber aussi bas pour expliquer ce qu'est un vaccin Arn, un virus ou un Adn ?
Bettina
28/05/2022 à 17:59
Je souhaite à Guilhem Méric de retrouver sa santé d'avant!
Cette crise et ce virus ont permis une chose: dévoiler l'humanité de certaines personnes et l'arrogance d'autres.
Comment peut on lire ce temoignage qui ne fait que décrire la souffrance d'une personne , et au lieu d'avoir de la compassion, l'accuser et l'accabler?
Pourquoi certaines personnes se sentent elles obligées de se poser en défendeurs des labo qui comptent plus d'avocats que de secrétaires? une seule réponse me vient à l'ésprit: ces personnes ont peur de voir et d'admettre certaines réalités. En les balayant d'un revers elles espèrent balayer leurs propres doutes.
Gn
23/05/2022 à 10:17
Pauvre homme... il en est réduit à trouver un coupable... saura t il avant de mourir si le vaccin et son créateur sont responsables ou si c'est la faute à pas de chance ou à l age ?
Kernel
23/05/2022 à 10:41
En général quand on porte des accusations, on est tenu.e d'en fournir les preuves.
Dans le complotisme, c'est l'inverse : c'est a l'accusé.e de fournir les preuves de son innocence ! Qui évidemment sont bien plus compliquées à fournir !
TL/DR : Le mec a un problème neurologique et accuse le vaccin ARN d'en être la source, sans plus de preuves néanmoins.
Franck Calland
23/05/2022 à 11:14
https://www.mdpi.com/2076-393X/10/5/799/htm
Il est clairement établi que cela provoque des thromboses.
Ban453
23/05/2022 à 11:38
Si tous les médecins rencontrés ne soupçonnent pas le vaccin, comment un béotien peut-il le faire ?
Alain
23/05/2022 à 11:49
Première question : quelle est la différence entre une "Doxa scientifique, politique et médiatique" forcément mal intentionnée et un consensus ? C'est péché, d'ailleurs, le consensus ?
Seconde question : qu'elle sont les différences entre concomitance et causalité, entre "éléments troublants" et "indices graves et concordants", entre mobiles et preuves ?
Troisième question : une hypocondrie peut-elle se trouver à l'origine d'un effet nocebo (contraire de placebo, dommageable) ?
NAUWELAERS
25/05/2022 à 20:55
Alain,
Une hypocondrie n'entraîne pas ces effets-là, constatés et ressentis.
Un peu de bon sens !
CHRISTIAN NAUWELAERS
SB
23/05/2022 à 12:44
Perso je n'étais pas pour le vaccin et en règle général plus adepte d'une médecine holistique.
Mais pour info j'ai excatement les mêmes symptômes que vous (a 45 ans) et ça depuis 2/3 ans..et ça s'appelle le vieillissement.. la peau perdant son élasticité (et masse musculaire) les ances de mes sacs à main sur la peau me laissent la marque et bien plus qu'une demi heure..bien avant vaccin ainsi que les rougeurs, picotements, sensations d'aiguilles dans les doigts (nom spécifique du à l'altération du système nerveux) d'autant plus quand on a beaucoup utilisé ses membres et répétitivement pour son activité. Douleurs tendiniteuses et articulaires.
Vaccin ou pas.. ceci existe et ce n'est pas 'rare' mais l'usure commune au vieillissement selon chacun.
Cela dit bon courage à vous.
Bafmich
23/05/2022 à 12:51
Qq publications sur les effets neurologiques des vaccins...
1. Neurological symptoms and neuroimaging alterations related to COVID-19 vaccine:
cause or coincidence: https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/
S0899707121003557.
2. Neurological symptoms and neuroimaging alterations related to COVID-19 vaccine:
cause or coincidence?: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34507266/
3. Spectrum of neurological complications after COVID-19 vaccination: https://
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34719776/.
4. n-hospital observational study of neurological disorders in patients recently
vaccinated with COVID-19 mRNA vaccines: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/
34688190/
5. Neurological side effects of SARS-CoV-2 vaccines: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/
34750810/
6. Neurological complications after the first dose of COVID-19 vaccines and SARSCoV-2 infection: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34697502/
Des milliers de publications existent sur d'autres effets
Annick
23/05/2022 à 13:05
Peut être que cette personne avait une maladie prête à éclore qui serait apparue de toute manière. C'est un peu comme celui qui pense que parce que le plombier vient de changer les robinets c'est à cause de lui que le frigo est tombé en panne. Car avant qu'il ne passe tout marchait bien. Il le dit lui même il est hypocondriaque donc......
Lulu
23/05/2022 à 13:16
Regardez du côté de la fybromialgie, on ne sait jamais, bien que les medecins sont très souvent fybro sceptique,
Faites-vous consulter par un Rumathologue
J'ai eu ces mêmes symptômes depuis 2016et ce n'est q'en 2020 après toutes sortes d'examen, un rhumatologue m'a diagnostique la fybromialgie.
Alors que ces n'étaient pas encore en vigueur.
Florent Rachet
23/05/2022 à 13:24
Bonjour, les commentaires de Kolmir et Hégésippe sont particulièrement dégoûtants (sans parler de celui de dedale, trop convenu pour s'y attarder)... On y devine derrière toute la peur panique de deux quidams surinjectés, qui rivalisent d'ignominie pour l'exorciser... Ceci, bien entendu, à grands renforts d'arguments politiques grotesques et de lieux communs irrespirables. Les déracinés urbains gavés de confort et encamisolés par la marchandise engendrent la haine viscérale. C'est leur unique vertu.
Doac
23/05/2022 à 13:32
Florent Rachet, peut-on connaître vos arguments à ce sujet ? En quoi leurs commentaires sont-ils "particulièrement dégoutants" ? Je n'y vois aucune peur, perso. Je les trouve même assez pertinents, au contraire.