Issu d’un colloque organisé en mars 2017 à la Sorbonne, ce livre est loin d’être une farce. Ceux qui connaissent un peu l’univers d’Alexandre Astier savent fort bien qu’il est passé maître dans l’art d’allier humour et connaissance. Que ma joie demeure et L’Exoconférence, respectivement spectacles nous (r)enseignant sur la musique et l’astrophysique, nous le prouvent également.