Provence Giono enfance

France 5 parcourt le patrimoine français pour ravir les amoureux de paysages majestueux, les passionnés d'histoire et d'architecture ancienne, ainsi que les gourmands avides d'authenticité. Ce dimanche 20 août à 20h55, escale dans la Provence de Pagnol et Giono. À 21h45, les curieux pourront suivre l'itinéraire de l'écrivain voyageur écossais, Robert Louis Stevenson, à travers les Cévennes, accompagné de son fidèle âne Modestine.

Après Orléans et la violence familiale, Reims et l’école de commerce, Verdun et le service militaire, Yann Moix arrive à Paris. Dernier tome de cette tétralogie « au pays de l’enfance immobile », toujours rempli de peine et d’ambition. Yann Moix assume sa honte et son ressentiment, non sans humour, et achève son œuvre au noir à 27 ans, pour enfin mourir et renaître par l’entremise de la littérature, qui n’est pas écrire des livres. Avec en exclusivité, les premières pages du roman qui sortira le 31 août.

ROMAN FRANCOPHONE - Le soleil, c'est celui de la Provence où évoluent deux seniors infiniment sympathiques. La volonté de bien y vivre le temps qu’il leur reste les anime, au son du chant des cigales et du jazz qui swingue et qui envoûte. Tout cela fait diablement penser à quelqu’un… Pour son sixième ouvrage, Guy Marchand nous livre un joli opuscule d’à peine une petite centaine de pages mais qui nous entraîne sur des routes et des champs qui font rêver, et des péripéties que nous aimons de suivre…

RÉCIT FRANCOPHONE - Nous avons tous lu Jean Giono. Ou, du moins, croisé son nom à l’école. Quelle image avons-nous de son oeuvre ? Celle d’une Provence chantant au rythme des cigales ? Des livres sentant le terroir ? Si c’est le cas, nous avions tout faux. Du moins trop souvent de l’avis d’Emmanuelle Lambert, dont Giono, Furioso, initialement paru chez Stock est désormais disponible en Folio.

Dans le cadre de l’opération France Télévisions #MonLivreDeLété, les antennes régionales de France 3 mettent les écrivains en lumière à travers une soirée documentaire, confirmant ainsi son engagement en faveur de la littérature et de la culture. Ils sont écrivains, dénoncent et instruisent avec leur plus belle plume. Les hommes de lettres soutiennent leur part à jouer dans la société et leurs écrits restent dans l’Histoire d’un pays.

Homme d’affaires redoutable, et redouté, Pierre Bergé est mort ce 8 septembre, à Saint-Rémy-de-Provence. Une vie menée entre la haute couture, le monde des affaires et celui des livres, pour lequel il avait une affection particulière. Son action de mécène fut de nombreuses fois saluée.

Il y eut la pièce de théâtre « Jules et Marcel » jouée au Comœdia dans une mise en scène de Nicolas Pagnol. Puis, vint la projection en avant-première mondiale de « La Femme du Boulanger » en version restaurée, présentée par Nicolas Pagnol et Thierry Dehayes, spécialiste de Marcel Pagnol et de Jean Giono, au Cinéma Le Pagnol. Enfin, fut proposée la grande rencontre « Terres d’enfance » consacrée à Vladimir Fédorovski, reçu à l’EDL au micro de Philippe Vallet de France Info... Mais cela ne pouvait finir ainsi.

Lancé en 2015, le Prix Envoyé par La Poste récompense un texte reçu par un éditeur par voie postale et sans autre forme de recommandation. Et cette année, la récompense est attribuée au roman de Jean-Baptiste Andrea, Ma reine.

C’est le petit jeune – le primo romancier –, qui viendra porter une partie de la rentrée littéraire pour L’Iconoclaste. Peu de titres, traditionnellement, seuls quatre titres seront présentés au public par la maison. Mais il en est un qui retient l’attention, de ceux dont il est bon de se souvenir par avance, parce qu’ils feront parler. Et lire. Surtout lire.

Ce roman fit l’heur et le malheur de son auteur. Il lui apporta le Prix Goncourt, mais après la fortune et la gloire, vinrent la dépression, les drames personnels et la stérilité littéraire : « Le prix Goncourt est un gâteau couvert de mouches et bourré de fèves sur lesquelles on se casse les dents. » [1] Le succès fut exceptionnel : deux millions d’exemplaires vendus en France, une quinzaine de traductions.

Avant votre départ pour les vacances d'été, si vous manquez d'idées quant aux livres à emporter, l'Académie Goncourt vous suggère une petite sélection de quinze ouvrages, rapporte l'AFP. S'il faudra attendre jusqu'au 5 novembre pour connaître le prochain lauréat du plus célèbre prix français, voilà de quoi nourrir votre esprit pour patienter.

Mon cher Hervé, il y a toujours des livres nouveaux ! J’ai commencé deux romans loués par la critique que je n’ai pas terminés. Le premier m’a découragé par un style trop affecté : des phrases courtes, beaucoup de phrases sans verbe, beaucoup d’alinéas (c’est-à-dire des paragraphes très courts), une érudition étourdissante (que de noms propres cités sans explications !). Pourtant le sujet m’intéressait : il s’agissait d’un essai sur le XVIIIe siècle. L’autre, écrit au fil de la plume, cédant au remplissage et inutilement allongé, m’a donné l’impression d’avancer dans du sable. Là encore, le sujet m’intéressait : un écrivain en lutte contre les médias. En revanche, j’ai lu du début jusqu’à la fin  Le Mas Théotime d’Henri Bosco, publié en 1945, Prix Renaudot, numéro 168 de la collection Folio, acheté pour un euro chez un bouquiniste.

Après s'être attelé à La fille du puisatier, Daniel Auteuil récidive, en puisant dans les oeuvres de Marcel Pagnol de quoi alimenter sa carrière de réalisateur et sa vidéothèque. À compter du printemps prochain- 2012, donc - c'est la trilogie !