prix Antonin Careme

Lundi 12 décembre, s’est tenue la 22e édition de la remise des prix de littérature gourmande au Réfectoire des Cordeliers à Paris (6e). Lors de cet événement somptueux, qui a réuni plus de 300 personnes, 5 livres ont été primés. Cette année, c’est le chef cuisinier français triplement étoilé, Guy Savoy, qui reçoit le Prix Antonin Carême. Il succède à Catherine Roig et Emanuela Cino, Prix Antonin Carême 2021.

Jeudi 12 décembre, plus de 200 personnalités dont de nombreuses du monde de la gastronomie, des hommes politiques, des Présidents et des représentants des autorités officielles, étaient réunies à la Table du Luxembourg pour la remise du 19e Prix Littéraire de la Gastronomie Antonin Carême et du 10e Prix Spécial du Jury Pierre-Christian Taittinger.

Ce jeudi 12 décembre, le 19e Prix littéraire de la Gastronomie Antonin Carême et le 10e Prix spécial du Jury Pierre-Christian Taittinger ont été décernés respectivement à David Toutain pour son livre publié aux Éditions de La Martinière, et Huîtres, d'Anaïs Delon et Emanuela Cino, publié aux Éditions Hachette Cuisine. 

Vendredi dernier, le 29 novembre, les 16 membres du jury du Prix Littéraire de la Gastronomie Antonin Carême se sont réunis à la Table du Luxembourg pour retenir 10 livres sur les 63 en lice. On compte ainsi 7 livres en compétition pour le Prix Littéraire de la Gastronomie Antonin Carême, qui récompensera le meilleur ouvrage unissant littérature et gastronomie européenne, et 3 livres retenus pour le Prix Spécial du Jury Pierre-Christian Taittinger, décerné au meilleur ouvrage retenu pour la qualité de ses photos et la mise en valeur des mets.

Toute une semaine dédiée au plaisir de la bouche, de la table et de la cuisine, c’est vouloir vider l’océan à la petite cuillère. Mais la BnF a décidé comme d’autres de relever le défi, avec une série d’événements accueillis par l’établissement. À s’en pourlécher les babines...

Comme annoncé dans l'article consacré à la "Statue Voilée" de Camille Marbo (Cf article ici),  j'ai lu sans tarder " les creux de maisons"  d'Ernest Pérochon, l'un des concurrents malheureux au prix de la Vie Heureuse de 1913,  aux côtés de Mauriac. J'avais adoré " Nêne" (cf article d'Hervé Bel, ici) et dès les premières pages, j'ai découvert avec délice la campagne du bocage vendéen à la fin du 19ème siècle et Séverin le personnage central.

L'hôtel Lutetia à Paris réinvente les Samedis littéraires