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BONNES FEUILLES - Récit au jour le jour de la contestation de 2020 au Bélarus par ceux qui l’ont faite. Alors que le Bélarus est comme figé depuis vingt-cinq ans sous l’emprise d’un régime autoritaire dirigé d’une main de fer par Alexandre Loukachenko, naît un espoir de changement à l’approche de l’élection présidentielle de 2020. 

BONNES FEUILLES — Qui décide qui est fréquentable et qui ne l’est pas ? Sur quels fondements ? Libye, Turquie, Tchad, Biélorussie, Brésil, Palestine, Mali, Colombie, Iran, Corée du Nord : un tour du monde des relations diplomatiques impossibles. 

BONNES FEUILLES - Alors que de plus en plus de publications interrogent les rapports entre les femmes et la violence, ces témoignages directs de neuf femmes qui ont usé d’une violence politique à diverses époques et dans divers lieux apportent un éclairage précieux. Elles qui ne s’étaient jamais exprimées sur ce sujet s’interrogent sur la légitimité de la violence et de leurs moyens d’action, et livrent des récits de luttes émancipatrices, vivantes. Un thème central pour les féminismes d’aujourd’hui.

BONNES FEUILLES - Cinq membres unissent cette famille : une fille, un fils, un mari, une mère et une sœur, tous liés à Catherine. 

AVANT-PARUTION — ​​​​​​​Auteur de contes philosophiques où le sarcasme virvolte, Voltaire fait l’objet d’une biographie en bande dessinée. Réalisé par Philppe Richelle (scénario) et Jean-Michel Beuriot (dessin), cet éclairage sur l’affaire du chevalier de La Barre a été démarré en 2016.

AVANT-PARUTION – « Seul le tamarinier, debout au milieu de la cour, semblait résister à cette chaleur. Tout le monde était fasciné par cet arbre. Certains disaient à mes parents que c’était une bénédiction d’avoir un tel arbre dans sa cour. D’autres disaient qu’il abritait sûrement des génies. » Premier livre de Roukiata Ouedraogo, voici Du miel sous les galettes, un roman de la rentrée particulièrement attendu.

BONNES FEUILLES - Comme l’a écrit le grand poète Adam Zagajewski : « Cette histoire semblerait condamnée à une tristesse incurable et à la fin que nous connaissons tous. Pourtant, Mikołaj Łoziński a réussi à effacer la noirceur qui teinte notre mémoire de cette époque. Les protagonistes n’ont aucune idée de ce qui les attend, alors que nous ne le savons que trop bien. L’auteur permet à ses personnages de faire des erreurs, de commettre des bévues ; il leur insuffle la vie. »