Recherche

écrivains murs ville

Extraits

ActuaLitté

BD tout public

Mur murs

Une petite fille et ses parents visitent une maison à vendre. Curieuse, elle décide d'explorer seule la maison et déambule dans les pièces tapissées de papier peint. Son imagination prend le pouvoir et les murs de la maison se transforment sous ses yeux, la faisant tour à tour passer par différentes émotions : la surprise, la peur, l'amusement.

10/2015

ActuaLitté

Littérature française

Les murs de la ville

Albuquerque novembre 1982, une série de crimes, un enquêteur alcoolique, un contexte électoral auxquels viens s'ajouter l'atmosphère glauque dune saison triste et morne ! L'enquête est difficile pour ne pas dire impossible tant les faits sont incroyables, mais même pour servir la justice, rien jamais ne pourra faire obstacle aux intérêts politiques en vigueurs. Ils sont la loi, la règle et aussi la morale.

11/2014

ActuaLitté

Autres collections (6 à 9 ans)

Un ours en ville

Tout en haut de la montagne, Ours réfléchit à ce qu'il pourrait faire de sa vie. En observant les lumières de la ville qui brillent au coeur de la vallée, Ours a alors une idée. Et si cette année, au lieu d'hiverner, il descendait de sa montagne respirer l'air de la ville ?

10/2023

ActuaLitté

Littérature française

A Biarritz, un écrivain dans la ville

"Un soir de janvier je descends à la gare de la Négresse. J'ai sur le dos mon Mac Farlane de vagabond excentrique. Je traverse la rue sous une pluie dense et me fourre dans le premier bus qui va jusqu'au centre. A ce moment-là je ne sais pas encore que je vais changer de vie et que je m'approche de mon destin. Ce sont mes premiers pas à Biarritz, accordés à rien. Au silence des rues. A une pluie tenace. La côte des basques c'est en haut. Pour y aller il faut contourner un parc et prendre une rue longue où l'océan, tout au fond, se devine. C'est là que je vais faire escale, poser mon sac et mon bâton. Jean-Roger Geyer débute dans une collection d'avant-garde chez Gallimard aux côtés de Butor, de Le Clézio et de tant d'autres. Il publie essais et romans, Récits d'un pèlerin français, L'Art de vivre au maximum avec le minimum, Paris la honte. Nomade dans l'âme, il prépare L'homme qui s'en allait, le roman de sa vie."

03/2018

ActuaLitté

Beaux arts

Ville affectives Villes effectives

La conception de projets urbains ne se réduit pas à une analyse clinique de situations et de programmes. Chaque ville traversée, le temps d'un concours, d'une étude, est presque comme une amour de passage. Angers, Paris, Lille, Rennes, Boulogne-Billancourt, Arcueil, Toulon... Les architectes urbanistes Dusapin & Leclercq se sont laissés envahir par ces " villes affectives ", ont réinventé des parcours. Certains projets sont restés des esquisses lorsqu'ils ne se sont pas transformés en travaux de grande envergure. L'ouvrage présente leurs histoires particulières, entre incertitudes et désirs communs.

12/2004

ActuaLitté

Littérature française

La vielle fille

" Beaucoup de personnes ont dû rencontrer dans certaines provinces de France plus ou moins de chevaliers de Va- lois : il en existait un en Normandie, il s'en trouvait un autre à Bourges, un troisième florissait en 1816 dans la ville d'Alençon, peut-être le Midi possédait-il le sien. Mais le dénombrement de cette tribu valésienne est ici sans importance. Tous ces chevaliers, parmi lesquels il en est sans doute qui sont Valois comme Louis XIV était Bourbon, se connaissaient si peu entre eux, qu'il ne fallait point leur parler des uns aux autres ; tous laissaient d'ailleurs les Bourbons en parfaite tranquillité sur le trône de France, car il est un peu trop avéré que Henri IV devint roi faute d'un héritier mâle dans la première branche d'Orléans, dite de Va- lois. S'il existe des Valois, ils proviennent de Charles de Va- lois, duc d'Angoulême, fils de Charles IX et de Marie Touchet, de qui la postérité mâle s'est également éteinte, jusqu'à preuve contraire. Aussi ne fut-ce jamais sérieusement que l'on prétendit donner cette illustre origine au mari de la fa- meuse Lamothe-Valois, impliquée dans l'affaire du collier. Chacun de ces chevaliers, si les renseignements sont exacts, fut, comme celui d'Alençon, un vieux gentilhomme, long, sec et sans fortune. Celui de Bourges avait émigré, ce- lui de Touraine s'était caché, celui d'Alençon avait guerroyé dans la Vendée et quelque peu chouanné. La majeure partie de la jeunesse de ce dernier s'était passée à Paris, où la Ré- volution le surprit à trente ans au milieu de ses conquêtes. Accepté par la haute aristocratie de la province pour un vrai Valois, le chevalier de Valois d'Alençon avait, comme ses homonymes, d'excellentes manières et paraissait homme de haute compagnie... ".

02/2023

ActuaLitté

Littérature française

Ecrivains

La figure de l'écrivain telle que l'imagine Antoine Volodine. Ni alcoolique génial ni géant hugolien, ni romantique torturé, et encore moins sommité mondaine adulée par les médias. L'écrivain ici se débat contre le silence et la maladie, quand il n'est pas sur le point d'être assassiné par des fous ou des codétenus. Qu'il soit homme ou femme, il sait qu'il n'a aucun avenir. Souvent, il est analphabète, comme Kouriline, qui évoque oralement la terreur stalinienne en s'inclinant devant des poupées en ferraille. Il peut aussi lui arriver d'être déjà mort, comme Maria Trois-Cent-Treize, qui fait une conférence sur l'écriture dans l'obscurité totale qui suit son décès. Ou d'être en transe, comme Linda Woo, qui depuis sa cellule donne elle-même une définition des écrivains : " Leur mémoire est devenue un recueil de rêves. Ils inventent des mondes où l'échec est aussi systématique et cuisant que dans ce que vous appelez le monde réel.

09/2010

ActuaLitté

Critique littéraire

Bruxelles. La ville vue par les écrivains du XIXe siècle

Les écrivains du mouvement réaliste (1840-1880) ont été les témoins direct des mutations sociales, aussi bien en ce qui concerne les conditions de vie que les mentalités opérées au XIXe siècle.Au fil de l'histoire de la littérature française de Belgique, ces écrivains ont été les premiers à créer des oeuvres originales et à décrire leur environnement tel qu'il était. Pourquoi donc leur réel talent fut-il ignoré, dans leur pays, méconnu, voire méprisé ? Alors que de grands écrivains français leur reconnaissaient non seulement ce talent mais aussi une " identité belge " propre. Ce sont ces auteurs réalistes qui ont préparé le terrain et créé le ferment de l'éclosion de la littérature française de Belgique. Il était temps de leur attribuer la place qui leur revient, de les réhabiliter.A travers une véritable promenade littéraire pour le moins surprenante, émergent des pans historiques oubliés, des lieux pittoresques souvent disparus de la ville de Bruxelles et de ses environs. On prend réellement conscience de la qualité de vie que cette époque offrait à ses habitants. Les descriptions sont précises. Comme s'il s'agissait d'un grand reportage sur cette période, dominée encore par un esprit largement bucolique, proche de la nature. On s'immerge littéralement, en pleine objectivité, au centre de la physionomie et les moeurs bruxelloises au XIXe siècle. On les savoure avec bonheur et, sans retenue, on se laisse entraîner par ces riches évocations littéraires.On mesure aussi le fossé qui s'est creusé entre la vie de cette jeune capitale et l'actuelle capitale de l'Europe.Le lecteur trouvera au fil de sa lecture les évocations de quelques grands auteurs étrangers, tels que Brontë, Baudelaire, Hugo, de Nerval, illustres visiteurs ou résidents de la ville à cette époque, dont la prose rejoint la plupart du temps, par la forme et le fond, celle des écrivains réalistes belges.Il faut lire cet essai pour le plaisir de la découverte.

11/2019

ActuaLitté

Littérature étrangère

Diyarbakir. La ville qui murmure en ses murs

Diyarbakir, le Tigre, la Mésopotamie : cinq mille ans pour une histoire d’amour qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours. Aujourd’hui, au XXIe siècle, Diyarbakir – « Amed » de son nom kurde – est la métropole du sud-est de la Turquie, une agglomération en extension permanente que les Kurdes de cette région tiennent pour leur capitale. Dans cet ouvrage, publié en français pour la première fois, Seyhmus Diken se fait la voix de sa ville natale – une voix douce et amicale, une voix apaisée. Voix de son passé, de ses murs antiques et monumentaux, de cet anneau de pierre noire qui lui offre les plus longues fortifications urbaines de la planète. Au fil des pages s’impose le caractère basaltique d’une cité que dévorent le présent, les souffrances et les vagues de l’exil des hommes. L’auteur donne la parole aux lieux enfouis, détruits et oubliés, aux sensations, aux amitiés envolées, à cette nostalgie que distillent chants et poèmes où se rêve Diyarbakir. À mille lieues de tout discours urbanistique, il se livre à un essai de géographie intime, conviant en ses lignes un assemblage unique de souvenirs personnels, d’anecdotes et d’airs populaires qui donnent une chair si singulière à cette ville fugitive. Suivre le sillage du guide Seyhmus Diken, c’est plonger – par le texte et ici par l’image – dans la mémoire d’une Turquie « turque » mais aussi kurde, juive, arménienne, syriaque et chrétienne, d’une Turquie bien plus complexe et bigarrée que ne le dit, que ne le veut le présent. C’est en redécouvrir les promesses.

02/2011

ActuaLitté

Régionalisme

Mur, murs des Monts d'Or

La Patrie de Paul Bocuse s'est récemment dotée d'une superbe fresque réalisée par la société Haut les Murs. Elle offre un panorama sur cette véritable petite civilisations que constitue le Mont d'Or et ses 13 villages : Albigny-sur-Saône, Champagne-au-Mont-d'Or, Chasselay, Collonges-au-Mont-d'Or, Couzon-au-Mont-d'Or, Curis-au-Mont-d'Or, Limonest, Lissieu, Poleymieux-au-Mont-d'Or, Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, Saint-Didier-au-Mont-d'Or, Saint-Germain-au-Mont-d'Or et Saint-Romain-au-Mont-d'Or, auxquels il convient d'ajouter, sur le territoire lyonnais, Saint-Rambert et l'Ile Barbe. L'association Au fil des Mémoires, aiguillonée par son président emblématique, Jacques Gautier, a décidé de se saisir de ce très joli prétexte pour explorer la mémoire vive des habitants des lieux. Le chapeau de Jean-Moulin, les chèvres du mont Thou, les boules lyonnaises, les randonnées en VTT... la Saône, la flore, la faune... les femmes et les hommes qui ont construit ce territoire aussi charmant que fragile... Nous sont donnés à voir et à comprendre à travers des anecdotes, quelques épisodes historiques et une foule de documents et de photographies. Ce livre est à mettre entre les mains de tous. Les anciens comme les nouveaux venus en feront leur miel (du Mont-d'Or bien sûr).

12/2018

ActuaLitté

Critique littéraire

Tahar Ben Jelloun, l'écrivain des villes

C'est à partir des hauts lieux que sont les villes que Tahar BEN JELLOUN a choisi d'écrire. Il situe son univers romanesque du côté de l'espace urbain, corps réel et imaginaire. A partir de l'écriture de ce lieu : la ville, Tahar BEN JELLOUN tisse son texte urbain, en trace la topographie. Les phrases de son texte écrivent les rues des villes qu'il porte en lui, plus que celles des villes qui l'ont porté. La constance de leurs signes tracent un itinéraire qui donne toute son impulsion à l'écriture. La ville est toujours là, à chaque coin de page, pour signifier son itinéraire et celui de l'écrivain qui s'est chargé de la transcrire. Elle est perçue comme un espace fortement sexualisé dont le dédoublement est à la conjonction du corps et de la langue, de l'espace et du texte, de la mémoire et de l'écriture/désir, thématiques centrales dans la littérature marocaine de langue française. C'est l'écriture bilingue qui peut le mieux témoigner, à partir d'un texte travaillé par deux langues et par deux représentations de l'espace, l'une sacrée/originelle, l'autre profane/étrangère de la dimension dialogique de la ville. Ville sacrée, villes profanes : elles n'en finissent pas de nommer le lieu de naissance et les lieux de résidence, la langue maternelle et les langues étrangères. C'est ce corps à corps de l'écrivain avec les villes, avec les langues dont veut rendre compte cet essai.

06/1998

ActuaLitté

Romans de terroir

La Fille aux ours

Jeune provinciale exilée à Paris, Lucy peut enfin réaliser son rêve : elle quitte tout, même le tendre Julien, pour aller s'installer dans les Pyrénées et se vouer à la protection des ours. A peine est-elle arrivée qu'elle rencontre Mathias, un rien bourru, comme les ours sur lesquels il veille avec passion. Il la rudoie, mais lui ouvre néanmoins la porte de son association tout en gardant solidement fermée celle de son coeur. Qu'importe, Lucy se prend de sympathie pour Olivier, né dans une famille d'éleveurs et qui prétend défendre la cause de l'ours. Pour mieux la séduire ? La tension, entre d'un côté éleveurs et bergers et, de l'autre, protecteurs de l'ours, monte d'un cran. Des brebis viennent d'être atrocement déchiquetées. Lucy est partagée. Ours ou brebis ? Son attirance à la fois pour Mathias et pour Olivier n'arrange rien. Au point de lui faire perdre la tête... Un beau matin, la jeune femme décide de monter dans les estives. L'alerte est donnée. La randonneuse, sans le savoir, est dans le secteur où une ourse et son ourson ont été repérés. Le temps presse. Au péril de sa vie, Mathias part à sa rencontre...

10/2010

ActuaLitté

Histoire littéraire

Murs d'images d'écrivains. Dispositifs et gestes iconographiques (xıxe-xxıe siècle)

Avec la collaboration de Pauline Basso et d'Andres Franco Harnache Pourquoi s'entoure-t-on d'images ? Tableaux, gravures, photographies, cartes postales, images précieuses ou de peu couvrent les murs de nos habitations, selon des agencements variés. Ces dispositifs iconographiques sont autant de reflets de l'histoire personnelle, sociale et culturelle de leurs concepteurs. Et qu'en est-il alors pour un sujet écrivant : quel est l'impact de tels environnements visuels sur l'activité d'écriture ? A partir de quand une pratique culturelle banale, commune, prend-elle un sens particulier pour un homme ou une femme de lettres ? Tels sont les enjeux de ce livre inscrit au croisement des études littéraires et visuelles. A la fin du xixe siècle, l'environnement des écrivains se voit de plus en plus nourri de références picturales et de la présence concrète des images. Reproductions et oeuvres originales sur leurs murs constituent-elles un simple décor ? Quels sont leurs liens avec la pensée esthétique développée par des littérateurs ? Quelle place occupent-elles dans la genèse d'une oeuvre ? Comment participent-elles d'une posture d'auteur ? Et, sur le plan de la réception et de la patrimonialisation, comment les musées peuvent-ils exposer au mieux ces agencements visuels ? Des frères Goncourt à Yannick Haenel, en passant par Colette, Louis Aragon, Simone de Beauvoir ou Ramón Gómez de la Serna, le mur d'images devient un objet-clé du rapport de l'écrivain à la culture visuelle, y compris la plus contemporaine. Ce volume richement illustré explore ainsi, en sept chapitres et au travers d'une multitude de cas, différentes facettes du mur d'images tel qu'il a pu être investi du xixe siècle à nos jours. Il ouvre à une conception hybridée du fait littéraire, qui s'ancre dans les gestes iconographiques.

02/2023

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

L'ours est un écrivain comme les autres

Réédition en poche de cette parabole animalière hilarante, qui s'est vendue à des dizaines de milliers d'exemplaires. William Kotzwinkle croque à belles dents les petits et les grands travers des milieux littéraires et médiatiques.

04/2023

ActuaLitté

Littérature étrangère

L'ours est un écrivain comme les autres

Échaudé par un précédent malheureux – une première version de son roman a disparu dans l'incendie de sa maison –, Arthur Bramhall pense protéger son nouveau manuscrit en l'enfouissant soigneusement au pied d'un arbre, au cœur de la forêt. Déterrant cet objet qui semble si précieux pour l'homme, un ours se plonge dans sa lecture... et flaire immédiatement le succès. Le livre sous le bras, il s'en va à New York, où les éditeurs les plus prestigieux vont se battre pour publier l'œuvre de cet écrivain si singulier – un peu bourru certes, mais tellement charismatique ! Le roman s'installe bientôt en tête des meilleurs ventes : combien de temps durera la mystification ? Satire des milieux littéraires et médiatiques, cette fable animalière enlevée et hilarante est tout bonnement irrésistible !

ActuaLitté

Beaux arts

Lille : la maison et la ville

C'est l'histoire d'une ville. Plus particulièrement, c'est l'histoire d'une manière de penser et de faire la ville. Le matériel principal, c'est l'assemblage de maisons inexorablement édifiées entre mitoyens, réalité augmentée de quelques bâtiments communaux pour construire un paysage urbain représentatif de ses habitants. Cette manière de faire la ville perdurera du XIIIe au XXe siècle en s'adaptant progressivement aux évolutions du goût pour l'architecture, selon les matériaux et les techniques de la construction, selon la règle et les usages. C'est aussi l'histoire du rapport entre l'espace privé de la maison avec l'espace public de la cité, espace confiné entre les murs et les portes de l'enceinte qui sépare le monde de la ville et celui de la campagne. L'histoire de Lille est flamande avant d'être française. La ville gardera, à travers les vicissitudes des époques et les formes variables du pouvoir, une même intelligence dans l'addition raisonnée d'un type d'habitat, maison d'une famille édifiée entre mitoyens, forme résidentielle vécue par tous comme un idéal pour vivre chez soi et être membre de la collectivité d'une ville. C'est aussi une histoire pour servir le présent. Donner à lire et à voir les constantes de la forme urbaine, apprendre à lire l'architecture à travers les inconstances de l'histoire, c'est donner à comprendre le sens d'une évolution architecturale et urbaine propice à engager de futures réalisations.

12/2019

ActuaLitté

Revues

Lire N° 494, mars 2021 : Arsène Lupin. Les écrivains maudits

Arsène Lupin Qui était Maurice Leblanc ? La bibliothèque idéale. Itinéraire du gentleman cambrioleur. Les écrivains maudits Baudelaire, Fitzgerald, Melville... La malédiction du prix Goncourt Régis Jauffret se confie à Claire Chazal. Que vaut (vraiment) le nouveau Delphine de Vigan ?

02/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

Ecrivains randonneurs

" Jamais je n'ai tant pensé, tant existé, tant vécu, tant été moi, si j'ose ainsi dire, que dans les voyages que j'ai fait à pied ", écrivait Jean-Jacques Rousseau. Il fut le seul écrivain randonneur à avoir imaginé une écritoire portative qui lui permette d'écrire tout en marchant, mais pas le seul à avoir nourri sa pensée en mettant un pied devant l'autre, loin de là. De Pétrarque jusqu'à Jim Harrison en passant par Flaubert, Rimbaud, Proust, Colette, Simone de Beauvoir, Jacques Lacarrière... tous ont écrit des pages inoubliables sur cette expérience qu'ils ont eue en commun avec tous les amateurs de randonnée. " A travers ces textes, la marche apparaît comme la meilleure façon d'appréhender le monde, à vitesse humaine, au rythme de sa propre introspection... " Antoine de Baecque

05/2013

ActuaLitté

Littérature française

Les écrivains

" J'ai deux stylos. Un à bille pour les dialogues, l'autre à encre pour les descriptions. Les mêmes depuis quinze ans. Il a fait mourir la femme qu'il aimait dans un livre. Un an plus tard, elle mourait réellement. On ne rigole pas avec ça. J'ai lu L'Ile au trésor soixante fois au moins. Tout est dedans, tout. Cette fluidité, je l'envie. Quand je n'écris pas, je vais naviguer sur la Saône. Pour moi, il n'y a que le matin qui compte. Je peux en boire un litre, ça ne me fait rien. J'ai tout essayé niveau ordinateurs mais je regrette encore mon Olivetti Lettera 32. Qui a dit que la main qui écrit est le sismographe des tremblements de l'âme ? Ce n'est pas Yves Navarre ? "

08/2002

ActuaLitté

Romans historiques

La fille de l'ours

Hiver 1895. Cet hiver-là, les bêtes sortirent des bois. Les bêtes et d'autres choses, bien plus inquiétantes encore. Au nord du Montana, non loin de la frontière canadienne, alors que le village de Little Creek, coupé du monde et oublié de tous, étouffe sous la neige, les quinze ans de Pierre se heurtent à une jeune indienne étrangement blonde, surgie de la forêt au milieu du blizzard. Près de vingt ans après la Longue Marche des indiens Nez-Percés, d'anciennes haines refont surface et les esprits des vieux guerriers viennent se mêler d'une vengeance, où surnaturel et chamanisme troublent le jeu des passions ordinaires. Roman à suspens, fantastique, western, roman d'initiation, La Fille de l'Ours est également un hommage à Chief Joseph et à son peuple, les Nez-Percés.

12/2018

ActuaLitté

Autres collections (9 à 12 ans

La fille qui parlait ours

A douze ans, Yanka est plus grande et plus forte que tous les autres enfants du village, du moins en apparence. Trouvée devant une grotte d'ours quand elle était bébé, elle s'est toujours demandé d'où elle venait. A cette question, elle n'a eu pour toute réponse que des contes et des légendes. Mais à présent Yanka veut savoir qui elle est vraiment. Et elle part en forêt pour mener son enquête. C'est le début d'un voyage extraordinaire, bien au-delà de tout ce qu'elle aurait pu imaginer : des rivières de glace et des montagnes de feu, des animaux malicieux et des loups affamés, des histoires magiques et des aventures en cascade.

02/2022

ActuaLitté

Généralités médicales

Ville-Evrard. Murs, destins et histoire d'un hôpital psychiatrique

Au moment où la société s'interroge sur la place qu'elle doit accorder au malade mental, cet ouvrage retrace plus d'un siècle d'histoire de l'un des plus importants hôpitaux psychiatriques. De l'enfermement à la sectorisation, le lecteur est invité à suivre l'évolution de cette structure humaine et sociale ouverte en 1868 sur une exploitation agricole de plus de 300 hectares. Des milliers d'hospitalisés y ont vécu, souffert, attendu, parmi lesquels Camille Claudel, Antonin Artaud, Komitas, le président du Conseil Edouard Herriot. Au-delà des clichés et des idées reçues, l'auteur évoque la réalité de l'hôpital psychiatrique public et l'engagement de psychiatres et d'infirmiers, avec comme fil rouge le respect de la dignité humaine.

05/2008

ActuaLitté

Littérature française

De vies en villes. Journal d'un écrivain public

Quelques stations de RER B suffisent pour passer d'un Paris ouvert, lumineux, scintillant de tous les privilèges que la capitale procure, à une commune de la banlieue nord, en Seine-Saint-Denis, où les habitants sont dépourvus d'un tel héritage. Ce voyage, l'écrivain public, salariée d'un centre social, l'effectue trois jours par semaine pour tenir ses permanences administratives. Son journal rend compte, sur un an, de la vie ordinaire, la sienne, régie par ce mouvement pendulaire pour aller exercer son métier accompli bien souvent dans les marges invisibles de l'activité économique et celle des "habitants" qu'elle reçoit dans son bureau et qui ont rarement "voix au chapitre" . Ce Journal est un rapport de l'heure qu'il est, établi au présent.

09/2021

ActuaLitté

Littérature française

Deux écrivains français

Deux essais, l'un sur Julien Gracq, l'autre sur Claude Simon, constituent ce petit volume. Pierre Bergounioux nous permet de lire ces deux auteurs dont les manières et la matière d'écriture sont si dissemblables, comme les interprètes du temps qui les a vu naître et vivre. Tout deux ont connu une même épreuve, et en partie construit leurs oeuvres sous le choc de l'effondrement général que constituèrent, pour la vieille société où ils avaient vu le jour, la guerre de 14 ? -? 18 puis la défaite de 1940.

12/2009

ActuaLitté

Critique littéraire

Portraits d'écrivains

" Il y a quelques années, à un journaliste qui lui demandait pourquoi il écrivait désormais si peu, Maurice Nadeau répondit que découvrir un nouvel écrivain, ou en redécouvrir un qui avait été oublié était pour lui une manière d'écrire, de continuer à écrire. Et cette déclaration - venant d'un critique-éditeur auquel nous autres écrivains, dans le monde entier, devons beaucoup -, il me semble que je pourrais la faire mienne : en raison du plaisir que j'ai toujours trouvé à conseiller aux éditeurs dont j'étais le plus proche la publication ou la republication de certains auteurs, de certains livres. je l'ai sans doute fait avec moins d'assiduité et moins d'investissement que Nadeau, de façon plus dilettante et selon mes caprices, mais le fait d'avoir contribué à des révélations ou au retour de certains écrivains est pour moi un motif de satisfaction et de joie, comme si l'accueil que les lecteurs réservent à leurs livres, c'était moi qui l'obtenais avec des livres écrits par moi. " C'est en ces termes que Leonardo Sciascia expliquait sa démarche. Qu'ils soient consacrés à des auteurs siciliens comme Brancati, De Roberto, Lampedusa, Maria Messina, ou étrangers comme Voltaire, Azaña, Jorge Luis Borges, les seize portraits - pour la plupart, des préfaces et études inédites rassemblées par Maria Andronico Sciascia qui composent ce recueil sont révélateurs de la diversité des intérêts de Sciascia et de la justesse de son coup d'œil critique et éditorial.

01/2001

ActuaLitté

Critique

Ecrivains d'Italie

Dans la préface de l'ouvrage, Philippe Vilain cite Umberto Eco pour qui il existe une interaction constante entre l'auteur et le lecteur. L'écrivain est, selon lui, inventé par ses lectures et sans doute n'existe-t-il pas d'auteurs qui ne soient pas avant tout de bons lecteurs. C'est donc le sémiologue qui est à l'origine de ce recueil où des écrivains contemporains racontent quels écrivains transalpins les ont influencés dans leur démarche créative. Nous pourrons découvrir (ou redécouvrir) différents écrivains, célèbres ou plus confidentiels : l'italiano-ukrainien Giorgio Scerbanenco, maître du roman noir italien dans les années 70, la politiquement engagée Natalia Ginzburg ou Vittorio Alfieri, l'un des pionniers de l'écriture autobiographique. Nous parcourrons Naples à la recherche d'Elena Ferrante et retournerons à Turin dans le sillage du fantôme de Pavese, magnifiquement décrit par Pierre-Louis Basse ; nous écouterons Pierre Adrian évoquer Pier Paolo Pasolini, un écrivain avec lequel dialogue sa propre oeuvre. Ce sera l'occasion de vérifier comment la pensée de Pasolini demeure essentielle pour penser le monde contemporain, la culture industrialisée et mercantile. De même au sujet de Primo Levi, dont Aomar Belkaci nous livre une brillante réflexion à l'heure où les guerres et les fascismes reviennent nous hanter.

04/2023

ActuaLitté

Critique littéraire

Montmartre des écrivains

C'était le temps du Montmartre de la bohème, celui d'un village avec ses ruelles et ses jardins, ses moulins et ses ateliers d'artistes. On y buvait sous une tonnelle un petit vin du cru, on y déclamait des vers au Lapin Agile, c'était le temps des bals et des guinguettes, où "gendelettres" et viveurs se côtoyaient. Dorgelès "voyait le jour" sur le faite de la Butte, Mac Orlan en descendait la pente vers les brumes de la grande ville. Carco fréquentait les bars louches au pied de la colline, dont Céline prophétisait qu'elle allait sauter. Montmartre des écrivains, ce fut un art de vivre et une atmosphère, des lieux et des figures. La bohème ! la vraie, dont le charme et la poésie revivent dans ces pages.

05/2019

ActuaLitté

Classiques

Vingt mille lieues sous les mers

Une expédition est organisée sur l'Abraham Lincoln, frégate américaine, pour chasser "Une chose énorme" , signalée par plusieurs navires à travers le monde. A son bord : le français Pierre Aronnax, professeur au Muséum de Paris, et Conseil, son fidèle domestique. Une fois parvenus en vue du monstre, deux immenses trombes d'eau s'abattent sur le pont, Aronnax, Conseil et le harponneur canadien Ned Land se retrouvent sur le dos du colosse... qui se révèle être un sous-marin, le Nautilus, conçu et commandé par un étrange personnage hostile à toute l'humanité : le capitaine Nemo. Bien que condamnés à ne plus jamais revoir leur patrie, la plus extraordinaire aventure commence pourtant pour ce trio... A bord du Nautilus qui se déplace à volonté, bravant victorieusement monstres et méchants, ils vont découvrir un à un tous les secrets de l'Océan. La mer était la passion de Jules Verne ; c'est elle l'héroïne de Vingt mille lieues sous les mers, l'un de ses plus célèbres romans.

09/2021

ActuaLitté

Collège

Vingt mille lieues sous les mers

Un monstre mystérieux sème la terreur en mer. Lancé à sa poursuite, le professeur Aronnax va vivre une aventure exaltante et dangereuse, qui l'amènera à découvrir les merveilles cachées au fond des océans, mais aussi à frôler la mort... Epopée moderne où la technologie rapproche de la nature, ce voyage extraordinaire sonde les ténèbres des abysses et les profondeurs, non moins énigmatiques, du coeur de l'homme. TOUT POUR COMPRENDRE- Notes lexicales- Biographie de l'auteur- Contexte historique et culturel- Genèse et genre de l'oeuvre- Chronologie et carte mentaleTOUT POUR REUSSIR- Questions sur l'oeuvre- Travaux d'écriture- GlossaireGROUPEMENT DE TEXTES- Mer, monstres et marinsCAHIER ICONOGRAPHIQUE.

10/2021

ActuaLitté

Grands textes illustrés

Vingt mille lieues sous les mers

Si tu es fasciné par le mystère des profondeurs marines et rêves de vivre une aventure dans l'océan, alors le célèbre roman de Jules Verne est ce qu'il te faut ! Monte à bord du sous-marin Nautilus aux côtés du professeur Aronnax et de son fidèle domestique Conseil et du sacré marin Ned Land, et fais la connaissance du mystérieux et fascinant capitaine Nemo. Tu participeras aussi à une grande chasse au fond de l'océan, échappera à une tribu de cannibales et combattra des calamars géants... avant d'échapper au puissant tourbillon d'un maelström. Une aventure époustouflante t'attend !

10/2021