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L'écrivaine anglaise Joanna Trollope vient de faire don de ses archives à l'université d'Oxford. Les manuscrits de ses romans, des lettres mais également ses notes de recherche iront rejoindre le fonds de la célèbre bibliothèque Bodléienne, rapporte The Guardian.  

L'Inde a beau être un pays en pointe dans les nouvelles technologies, l'une de ses universités revend, en accord avec un magasin, des photocopies de manuel scolaire. Pas de piratage numérique complexe, mais une méthode bien connue pour distribuer des livres à peu de frais. Les deux presses universitaires en question, Oxford et Cambridge, ne plaisantent pas, et réclament 110,000 dollars de dommages et intérêts. 

L'université d'Oxford perd un Nobel, qui se réfugie au Canada

L'université du Michigan numérise 1250 manuscrits musulmans

Au milieu des rayons de la bibliothèque du collège All Soul, se dresse un hommage de pierre à Christopher Codrington. Mort en 1710, cet ancien étudiant de l’université d’Oxford avait fait un legs important à l’établissement. Sa fortune reposant majoritairement sur l’exploitation d’esclaves, sa générosité prend aujourd’hui un goût amer et l’emplacement de sa statue fait polémique.

Mercredi, l’Université d’Oxford aurait baptisé une salle de lecture de la Bibliothèque bodléienne d’après l’éditeur chinois China Publishing Group Corp (CPG). Alors que se déroule la Foire du Livre de Londres (London Book Fair), la délégation de l’éditeur a visité l’Université le même jour. Cette visite s’inscrit aussi dans le cadre des commérations du 400e anniversaire de la mort des dramaturges Shakespeare et Tang Xianzu.

Si tout le monde connaît bien l'acteur anglais Daniel Day-Lewis, notamment pour sa remarquable performance dans There will be blood, son père, Cecil, est moins bien connu du grand public. Pourtant l'homme fut un poète de talent qui entretint une correspondance avec quelques-uns des plus grands auteurs de son temps. Son fils et sa fille viennent de léguer une partie de cette correspondance à la bibliothèque Bodleian de l'université d'Oxford.

Du coup, sa fameuse bibliothèque the « Bodleian Library » est dramatiquement pleine à craquer. En effet, la bibliothèque reçoit mille nouveaux livres par jour ! Un entrepôt a donc été construit dans les environs de Swindon, dans le Wiltshire.

Baisse de budgets, manque de personnel, et somme innombrable de documents à transcrire, après numérisation : les universités cherchent de nouveaux moyens pour allier rapidité et qualité dans le traitement de leurs archives. Depuis 2011, les universités de l'Iowa ont mis en place une plateforme participative de transcription de documents.

L’école coranique Darul Uloom Deoband, située dans l’l’État d’Uttar Pradesh, en Inde a décidé de se lancer dans un projet de restauration de grande ampleur : plus de 1500 manuscrits de leur bibliothèque doivent être remis en état. La collection regorge d’ouvrages extrêmement rares sur des sujets tels que la médecine, le droit, l’histoire, la religion, la culture ou encore le soufisme. De futures ressources précieuses pour les chercheurs du monde entier. 

University of Cambridge ESOL et l'Université Toulouse 1 Capitole viennent de signer un partenariat pour une durée de trois ans. L'organisme spécialisé dans les certifications internationales en langues, attaché à l'Université de Cambridge, ouvrira ainsi son deuxième bureau en France, après Paris.

Avec plus de 500 autres mots tels que « e-cigarette » ou « webisode », le mot « twerker » va faire son entrée dans les dictionnaires Oxford. Décrit comme le fait de danser « de façon sexuellement provocante, en ayant recours à des mouvements des fesses et des hanches, jambes fléchies », le "twerk" a véritablement explosé après la prestation de Miley Cyrus au cours des Music Awards 2013. Une prestation controversée que beaucoup ont adoré détester. 

Après avoir été exécuté par la chanteur américaine Miley Cyrus avec un certain succès mais aussi une bonne dose de provocation lors des MTV video awards (dimanche 25 août 2013), le « Twerking » fait son entrée dans l'Oxford dictionary, rapporte l'AFP. Le dictionnaire de référence de la langue anglaise a cédé devant le charme provocant de cette danse.

La maison d'édition universitaire Oxford University Press, liée à la prestigieuse université d'Oxford, au Royaume-Uni, est revenue sur les définitions et expressions qu'elle associe au mot « femme » au sein de deux de ses dictionnaires, accessibles en ligne, l'Oxford Thesaurus of English et l'Oxford Dictionary of English. Les exemples choisis sont dénoncés depuis plusieurs mois, notamment par une pétition qui réunit près de 30.000 signatures.

C’est une fausse nouvelle qui fut douloureuse, ou non, pour les amoureux de la langue de Shakespeare. Depuis hier, une information, mal comprise et relayée par la communauté Twitter, circulait sur le Net comme quoi la virgule d’Oxford n’avait plus lieu d’être pour la célèbre université britannique.

Si le dictionnaire est une sérieuse référence outre-Manche, il possède également son pendant humoristique relevant son lot de citations qui détendent les zygomatiques. Gyles Brandreth, rédacteur en chef de la cinquième édition de l'Oxford Dictionary of Humorous Quotations, a établi sa propre sélection des citations les plus drôles. Si Oscar Wilde est l'auteur le mieux représenté dans l'ouvrage, la préférence du Bitannique va à Jane Austen, quand Woody Allen constitue le mieux référencé des auteurs de boutades encore vivants.

Le comité de rédaction de l'Oxford English Dictionary a une habitude historique, faire appel au public dans la recherche de l'évolution sémantique des mots qu'il compulse. Déjà en 1879, l'éditeur James Murray avait fait une demande d'aide pour traquer néologismes et mots oubliés pour la première édition de l'ouvrage. Et contrairement aux attentes, érudits et tout public avait répondu au défi.

Les écrivains Philip Pullman et Colin Dexter ont apporté leur soutien à la campagne d'Oxford pour devenir capitale mondiale UNESCO du livre en 2014.

Le Dr Leonard Polonsky a fait un autre très généreux don, mais cette fois à la bibliothèque Bodleian de l'université d'Oxford. Le montant du don s'élève à 1,5 million £ et devra être utilisé pour la numérisation des fonds et les installations d'imagerie numérique.

L’université Paris 13 célèbre ses 50 ans cette année. À cette occasion, elle se donne un nouveau nom pour affirmer son identité, à la hauteur de son ambition : Université Sorbonne Paris Nord. C’est à l’issue d’une consultation auprès de l’ensemble de sa communauté en septembre dernier que le nom a été choisi.

Parce que Dame Censure change régulièrement de visage et de manières, les bibliothèques de l'université d'Oxford ont décidé d'exposer les livres qui, autrefois, nécessitaient une autorisation spéciale pour être ouverts. L'exposition, organisée du 15 novembre 2018 au 19 janvier 2019, permettra de découvrir quelques-uns des 3000 exemplaires mis à l'abri des regards, car jugés « obscènes ».

La bibliothèque Bodléienne, prestigieux établissement de l'Université d'Oxford, lance une application pour smartphones.

Typique de l'ère victorienne, l'idée de compiler tous les mots de la langue anglaise pour en faire un dictionnaire est certainement laborieuse, et même pour les éminentes gens de lettres à barbes blanches qui s'y attelaient autrefois. Si la prochaine mouture de l'Oxford English Dictionary est annoncée en retard, elle actualisée à l'ère du numérique, avec pour nouveau rédacteur en chef Michael Proffitt. En marge, le passé refait surface.

Les universitaires d'Oxford viennent de mettre le doigt sur un coin de page intéressant. Parmi les grandes querelles qui sévissent autour de Shakespeare. En effet, Thomas Middleton serait, selon une analyse poussée des pièces de Shakespeare, le coauteur des oeuvres.

Les ouvrages des bibliothèques Bodléiennes d'Oxford et de la Biblioteca Apostolica du Vatican vont passer sous les scanners : au cours des quatre prochaines années, 1,5 millions de références seront numérisées afin d'en garantir l'accès sur Internet. Avec, en ligne de mire, les manuscrits grecs et hébreux, les livres réliés du XVe siècle et des ouvrages plus récents.

La bibliothèque universitaire d'Oxford, Bodleian, envisage de mettre en ligne le premier folio, imprimé et relié, des pièces de Shakespeare, datant de 1623. Un appel aux fonds de 20 000 livres est lancé pour numériser l'ouvrage, rapporte The Guardian.

La très britannique et pour autant - d'ordinaire, du moins - rigoureuse académie de l'Oxford English Dictionnary vient de mettre à jour son vocabulaire. Et des mots, des acronymes, plus précisément, entrent non sans une certaine brutalité.

La nouvelle édition de l'Oxford dictionary of English (en 1 volume) est parue hier et elle apporte son lot de nouveaux mots, environ 2 000. Parmi ceux-ci, certains qui ont marqué l'année comme « vuvuzela », et d'autres qui marquent une époque de crise et d'avancées technologiques.

Cela faisait 10 ans que l'on avait vu pointer le bout de son nez, mais après sa première apparition, le dictionnaire n'avait pas vraiment fait de miracles. Et pourtant, l'Oxford English Dictionnary, c'est une véritable institution...