fondation Asimov fiction

Arte diffusera le mercredi 5 octobre à 22h40 un portrait inédit de l'écrivain visionnaire, Isaac Asimov, considéré comme l’un des maîtres de la science-fiction. L'auteur russe naturalisé américain a exploré des thématiques futuristes qui font écho aux grands défis actuels. Ce documentaire invite à se plonger dans une œuvre prolifique pour méditer sur les messages livrés, 30 ans après la mort de l'écrivain.

Des extraterrestres aux voyages dans le temps, voici les meilleurs films de science fiction sur Netflix, souvent adaptés d'oeuvres littéraires incontournables qui sont devenues quelque peu mythiques.

Promoteur depuis longtemps d’une société de la transparence, Marc Zuckerberg, qui est à la tête de l’empire Meta, avait fait polémique quand il avait publiquement revendiqué sa philosophie en la matière. Pour le fondateur de Facebook, la transparence absolue est un avenir souhaitable, et communiquer de façon anonyme relève d’une forme de bassesse. Cette question est au cœur de nombreux romans de science-fiction, à commencer par Transparence de Marc Dugain qui questionne les usages futurs du partage des données.

Depuis le début de la crise sanitaire, durant la première partie de l’année 2020, ils sont nombreux les hommes politiques, journalistes et communicants de tous bords à faire référence à la science-fiction pour expliquer le monde qui prend nouvellement forme sous nos yeux. Cette catastrophe d’une ampleur inédite qui a engendré des restrictions jamais vues encore jusque-là a suscité des parallèles nombreux avec les romans de science-fiction.

Froid glacial, musiques sirupeuses, décorations diverses : plusieurs indices annoncent les fêtes de fin d'année. Les recommandations littéraires de Bill Gates en font partie, tant le fondateur de Microsoft est fidèle à cette tradition. Cette année, toutefois, le milliardaire a fait une place pour quelques librairies américaines...

On a pour habitude de dire que la science-fiction éclaire notre futur et que les grands auteurs, de Jules Verne à Isaac Asimov, en passant par George Orwell et H. G. Wells, ont tous à des degrés divers anticipé des réalités qui font aujourd’hui partie de notre quotidien. 

Depuis des années, l’arrivée de Fondation, adaptée des romans d’Isaac Asimov, se ménage : Apple l’a emporté sur son concurrent Netflix en 2018, pour les droits de diffusion. Le cycle sera donc proposé fin septembre 2021, sur Apple TV+. Le Cycle de Fondation d’Asimov contient au départ plusieurs nouvelles, publiées entre 1942 et 1950 : elles poseront un univers qui ne cessera, ensuite, de s’étendre...

Apple TV et Skydance s'attaquent à un monument de la science-fiction en proposant Foundation, une adaptation basée sur les livres du cycle homonyme d'Isaac Asimov. La série est supervisée par David S. Goyer et Josh Friedman.

La science-fiction américaine vient de perdre une de ses représentantes les plus engagées avec la disparition de Janet Asimov, auteure de nombreux livres, dont certains coécrits avec Isaac Asimov, qu'elle épouse en 1973. Née en 1926 en Pennsylvanie, Janet Asimov est morte le 25 février dernier à l'âge de 92 ans.

Véritable référence dans le genre de la science-fiction, Fondation d’Isaac Asimov a longtemps été réputé inadaptable. Ce n’est pas l’avis d’Apple — dont l’objectif est de faire concurrence à Netflix et Amazon — qui vient d’obtenir le droit de développer et de diffuser la série. 

Après de multiples projets d'adaptation qui n'ont jamais abouti, les fans du cycle de SF Fondation d'Isaac Asimov verraient-ils enfin le bout du tunnel ? Skydance Television a annoncé la signature d'un contrat avec les ayants droit, pour faire de la saga une série télévisée.

Tant que le golem restait sous le contrôle de son créateur, tout allait bien. Cet être façonné d’argile, incapable d’autonomie ou de prise de décision avait quelque chose de rassurant. Outre sa monstruosité. Mais avec des créatures mécaniques sentientes, la donne change : intelligence artificielle, mon amour...

Il aurait pu citer Flaubert : « Et ce fut comme une apparition. » Il aura préféré évoquer Fondation d’Asimov, et le personnage d’Hari Seldon. Jean-Luc Mélenchon aime manifestement les références à la science-fiction, et cela ne peut que plaire que d’entendre parler de littérature. Mais tout de même, cette idée d'hologramme...

Ce 18 avril, le candidat Jean-Luc Mélenchon sera en meeting à travers sept villes : une ubiquité que les autres aspirants à la présidence lui envient évidemment. Depuis Dijon, le représentant de La France Insoumise sera retransmis par hologramme. Mais d'où vient cette manie de l'omniprésence ?

INFOGRAPHIE – Aujourd’hui, certains verseront une larme. On célèbre en effet, comme chaque 6 avril depuis 25 ans, la mort de l’écrivain Isacc Asimov, pionnier du genre littéraire de la science-fiction. Pour l’occasion, notre partenaire Stampaprint propose une infographie se concentrant sur sa production littéraire très vaste, en se concentrant sur les cycles de Fondation, de l’Empire et des Robots. Elle évoque aussi, au passage, les trois lois de la robotique élaborées par l’auteur.

Le très prolifique auteur de science-fiction Isaac Asimov, incontournable pour les amateurs du genre mais également scientifique reconnu par des gens sérieux, publia le 21 janvier 1980 un essai intitulé A Cult of Ignorance, dans les pages de Newsweek. Il y partage une vision pessimiste de la place du savoir parmi les valeurs de l'Oncle Sam, une réflexion toujours d'actualité, alors que de nouvelles élections présidentielles s'annoncent à coups de tweets.

Début 2011, le groupe américain Vida a créé une étude (désormais reconduite tous les ans) démontrant que les principaux magazines littéraires britanniques et américains publiaient davantage de critiques écrites par des hommes sur des hommes. Autrement dit, dans une grande majorité, ce sont les hommes qui critiquent les livres écrits par d’autres hommes. Cette étude en a inspiré une autre, appelée « SF Count », dans laquelle le rédacteur en chef Niall Harrison du site internet Strange Horizons (un magazine publiant des fictions, poèmes, essais, interviews…) a tenté de déterminer si les résultats de l’étude Vida étaient vérifiables pour les médias axés sur les critiques des livres appartenant au genre de la science-fiction. 

Son ouverture est au moins aussi attendue que l'arrivée du calamar géant par le Capitaine Nemo : un grand musée de la science-fiction ouvrira ses portes en 2017, à Washington D.C. L'équipe derrière le musée anticipe, logiquement, et propose aux internautes de soutenir l'initiative en participant à l'achat de l'espace où l'établissement prendra place - non, ce n'est pas dans l'espace.

Out of the blue, and into the dark ! La mythique bande des hard-rockeurs britanniques d'Iron Maiden secoue le marché de la bière en lançant cette semaine son propre label, forcément ça mousse déjà. Si sur scène les troopers de l'Apocalypse sont reconnaissables par des décibels de haut voltage et une bonne dose de jeu théâtral, leur monstrueuse mascotte quant à elle se promène floquée sur les pavillons noirs de métalleux à travers le globe. L'espèce de zombie aux cicatrices de trépanation, Eddie the Head, créé par l'illustrateur Derek Riggs, entend désormais envahir les étiquettes de bouteilles au rayon alcool. Et ça n'est pas du goût de tout le monde.

Et hop, une nouvelle infographie sortie du chapeau, pour établir la liste des meilleures ventes de livres de science-fiction. Toujours le même principe : une belle réalisation et des informations minimalistes. 

Edgar Rice Burroughs serait probablement piqué au vif de savoir ce qui a été fait de son personnage, John Carter. Initialement publié sous forme de série, dès février 1912, le Cycle John Carter verra le jour en romans cinq années plus tard, et en 1948, ce sont dix livres qui le composent. Un onzième sortira, posthume, en 1964, le romancier étant décédé en mars 1950...

Il y avait déjà de quoi s'étrangler de rire, en découvrant les dires et spéculations de ce Russe qui affirmait voir une certaine corrélation, voire de clairs rapprochements entre Fondation et Al Qaeda. Sous prétexte que Qaeda en arabe signifiait Base...

Amusante, cette situation... Enfin, amusante... Si Oussama Ben Laden a bien été tué par des troupes américaines, et que les États-Unis souhaitent en finir définitivement avec Al-Qaeda, un petit retour en arrière s'impose, alors qu'en 2002 le Guardian publiait un bien étrange article...

Isaac Asimov et ses Robots reviennent pour trois titres